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Temps de lecture estimé : 7 mn
31/12/04
Résumé:  Un homme et la meilleure amie de sa fiancée.
Critères:  fh extracon collègues fête anniversai voir noculotte fellation pénétratio fsodo
Auteur : Tsabes  (Sans prétention)
Sans dessous



Christine !

Quelle nuit nous venons de passer ! Je ne me lasse pas de la regarder. Les draps blancs mettent si bien en valeur son corps nu. J’ai envie de lui refaire l’amour mais je vais sagement attendre qu’elle se réveille.


Christine est l’une des meilleures amies de Fanny, ma fiancée. Elle travaille dans la même entreprise que moi. Pas dans les mêmes bureaux car nous avons plusieurs sites, mais c’est bien par l’intermédiaire du travail que nous avons fait connaissance. C’était lors d’une soirée du personnel comme on en a une fois par an. Eric, un collègue également, m’avait présenté Christine. Nous avions discuté, trouvé des points communs et nous nous étions plu. Toutefois, il ne s’était rien passé, ni les soirées suivantes d’ailleurs. Puis j’ai connu Fanny et là les choses ont été beaucoup plus rapides.



Mais, comme je l’ai déjà dit, Christine et Fanny sont deux excellentes amies. Elles ont fait les mêmes études et sont toujours restées très proches. J’ai donc souvent l’occasion de rencontrer Christine ainsi que Stéphane son ami.

Nous sommes fin août. Christine fête son anniversaire en compagnie d’une quinzaine de personnes dont Fanny et moi. Elle a 30 ans. Nous sommes tous réunis dans un chalet en montagne qui appartient à ses parents. C’est idéal pour faire la fête. Le voisin le plus proche est à plus de 500 mètres et il y a de la verdure partout autour de nous. L’anniversaire se passe en journée, autour d’un buffet et il fait beau et chaud. Il fait même très chaud. La plus part des garçons sont torse nu, en short. Les filles, elles, sont bien sûr plus pudiques…


Le soleil, Christine adore. Elle a la peau très mate et bronze avec une facilité déconcertante qui rend jalouse la plupart de ses copines. Christine a les cheveux courts et très noirs. Elle mesure environ 1m70. Elle est aussi sportive et athlétique. En résumé on pourrait la qualifier de fille « racée » même si ce terme n’est sans doute pas le plus beau des compliments. Ce jour-là elle porte un bermuda bleu marine, un débardeur blanc à fines bretelles et des chaussures en toile blanche également. Déjà je me surprends à la regarder excessivement. J’admire notamment ses longues jambes si parfaitement hâlées. Mais mon trouble naissant devient plus fort après le repas, en milieu d’après-midi.


J’ai vu Christine entrer dans le chalet. À ce moment là, Fanny est loin de moi discutant avec deux autres filles. Sans raison, mais uniquement par instinct, je décide à mon tour d’entrer dans le chalet. Il y fait sombre car les volets ont été fermés pour conserver une certaine fraîcheur qui nous sera bien agréable au moment d’aller se coucher. À l’intérieur il ne semble y avoir personne. Je suis surpris car je n’ai pas vu Christine sortir. Je ne veux pas fouiller et m’apprête à faire demi-tour quand il me semble entendre un tout petit bruit venant de l’une des chambres. Je m’approche lentement. La porte est à peine entrouverte mais je peux quand même distinguer une partie de la pièce. Là j’aperçois Christine devant un miroir qui s’attache les cheveux. Puis elle retire son débardeur et son bermuda pour enfiler un maillot de bain.


Je sors du chalet en essayant de faire le moins de bruit possible et vais rejoindre quelques invités. Ceux-ci parlent football mais, même si j’aime ce sport, je ne les entends pas. Je repense à la scène à laquelle je viens d’assister d’autant que Christine est maintenant sortie à son tour pour se faire bronzer. Lorsqu’elle a ôté ses vêtements elle ne portait aucun dessous. Ni slip, ni soutien-gorge. Je l’ai donc furtivement vu entièrement nue. J’ai toujours pensé qu’elle avait de jolis seins et je n’ai pas été déçu. Je les ai devinés fermes, bien ronds et j’imagine agréables à toucher. Bien entendu de ma position je n’ai pas pu contempler les divers détails de son anatomie, mais j’en ai vu suffisamment pour être excité. Durant tout le reste de la journée je reste obsédé par le corps de Christine. Je me dit que j’aurais dû oser entrer dans la chambre, « par hasard », pour la surprendre nue. Mais c’était risqué. Certes, Fanny m’a toujours dit que Christine lui en avait voulu de sortir avec moi, car elle me trouvait tout à fait à son goût. Mais c’était il y a 4 ans. Depuis elle avait rencontré Stéphane avec qui tout semblait bien se passer.



La nuit ne me calme pas vraiment et, lorsque je fais l’amour à Fanny, c’est le corps de Christine que j’imagine dans mes bras.



Trois semaines sont passées depuis l’anniversaire. Je suis dans mon appartement et j’attends Christine. La veille j’ai emmené Fanny aux urgences. C’est une appendicite. Elle a été immédiatement opérée et doit rester 3 jours en observation à l’hôpital. Christine a décidé de lui rendre visite et je lui ai donné rendez-vous chez moi pour qu’on y aille ensemble. Lorsqu’elle arrive je suis immédiatement troublé. Elle porte une jupe légère dans les tons de beige, un chemisier assorti et les mêmes chaussures en toile blanche que la dernière fois. Nous restons à l’hôpital de 15h à 18h. Je raccompagne Christine jusqu’au bas de mon immeuble pour qu’elle puisse récupérer sa voiture. Un désir m’envahit. Il ne faut pas que je la laisse partir. Je n’ai rien d’original à lui proposer : « Tu as le temps de monter boire un verre ? » À peine ai-je posé la question que je me sens ridicule. La plus vieille phrase de drague du monde ! Et en plus c’est la meilleure amie de ma fiancée ! La réponse est immédiate… : « Ok ».



Nous discutons de tout et de rien mais pas de Fanny, notre « point commun ». Nous l’oublions. La conversation se fixe sur son anniversaire.



Elle me regarde en souriant :



Un ange passe. Mon trouble grandit. C’est elle qui continue :



Je reste bouche bée.



Je me reprends :



Cette fois je ne peux plus me retenir. Je m’approche d’elle, lui prends le visage entre mes mains et l’embrasse. Notre baiser s’éternise. Nos langues n’en finissent plus de se lier. Elle est assise sur le canapé et je me mets à genou devant elle. Je prends ses pieds l’un après l’autre pour lui enlever ses chaussures. Je les caresse et les embrasse. Elle m’aide à enlever mon t-shirt et passe ses mains sur mon torse avec la plus grande sensualité. C’est à mon tour de défaire un à un les boutons de son chemisier. Une nouvelle fois elle ne porte aucun soutien-gorge. Je la regarde et elle comprend :



Ses tétons que je n’avais pu voir jusqu’alors sont au garde à vous. Je les titille du bout de ma langue avant de goûter voluptueusement sa poitrine. Elle me tient la tête avec force pour s’assurer que je ne partirai pas. Ce n’est pas mon intention. Ma main glisse sous sa jupe et remonte le long de ses cuisses. À l’approche de sa fente je sens déjà l’humidité. Christine est aussi désireuse que moi. Deux de mes doigts effleurent à l’aveugle durant plusieurs secondes son clitoris avant de la pénétrer. Christine est belle dans l’excitation, son regard noir pourrait presque effrayer. Puis elle me repousse légèrement en arrière et se lève. Elle me demande d’en faire autant. Elle pose à nouveau ses mains sur mon torse et les descend lentement tout en m’embrassant. Puis elle défait ma ceinture et fait glisser mon jean en bas de mes chevilles. Elle attrape mon sexe fermement à travers mon boxer. Elle glisse ensuite ses ongles au bord de l’élastique avant de me mettre entièrement à nu. Mon érection est à son comble. Elle me masturbe légèrement. Elle s’assoit sur le bord de la table de la cuisine et relève sa jupe. Elle veut que je la prenne. Elle s’allonge sur le dos. Je remonte ses jambes sur mes épaules. Son sexe dont les poils forment un parfait triangle m’attend. Je pose le bout de mon gland sur son minou. Je la pénètre de quelques millimètres puis me retire. Je répète l’opération plusieurs fois avant de la forcer avec vigueur. Il fait encore chaud et de la sueur perle entre ses seins. Christine gémit de plus en plus au fur et à mesure que je m’enfonce en elle et que j’accélère. Elle jouit avant moi et me demande d’arrêter pour prendre une nouvelle position.



Cette fois elle ne porte plus sa jupe. Nous sommes dans la chambre. Sa langue s’attarde sur la base de mon pénis. Elle remonte jusqu’à mon gland qu’elle embrasse du bouts des lèvres. Elle avale mon engin entièrement et me pompe avec une finesse incroyable. Je fonds littéralement et suis prêt à gicler dans sa bouche quand elle s’interrompt, me sourit et me fait « non » de la tête. Elle est maintenant à quatre pattes sur le lit en me tournant le dos. La blancheur de la plante de ses pieds contraste avec la couleur de son teint. Je trouve cela beau et ne peut m’empêcher de les lui lécher. Je la pénètre en position levrette. Christine se penche en avant pour s’appuyer sur ses coudes et mieux me sentir. J’écarte un peu ses belles fesses blanches si fermes. Son anus se dilate légèrement. Tout en restant dans la même position j’approche un doigt de sa rondelle que j’enfonce délicatement. Un gémissement d’approbation m’incite à continuer. Je n’ai pas besoin de beaucoup la lubrifier pour la pénétrer par cet autre trou. Cela lui plaît et elle me demande de ne surtout pas arrêter. Je prolonge cette sodomie au maximum avant de me décharger dans un râle de plaisir.

Durant la soirée nous faisons l’amour à deux nouvelles reprises avant de s’endormir l’un à côté de l’autre épuisés mais épanouis.



Il est 9h. Christine est toujours aussi belle et Fanny ne rentre que dans 2 jours. Je lui caresse les cheveux… elle se réveille… j’ai envie d’elle ici et maintenant.