n° 08369 | Fiche technique | 13363 caractères | 13363Temps de lecture estimé : 9 mn | 31/12/04 |
Résumé: Comment Martine se décoince | ||||
Critères: fh 2couples fbi grosseins forêt voir exhib intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus | ||||
Auteur : Carson |
Quand j’avais une vingtaine d’années, je sortais avec Martine. Elle ne faisait pas partie des filles sur lesquelles on se retourne dans la rue. Elle était un peu enveloppée et portait des lunettes trop classiques qui lui abîmaient le visage. Elle était toujours bien habillée mais jamais sexy. En revanche, elle avait une poitrine formidable que j’adorais tripoter.
Au lit, c’était une fille pourtant très coincée. Le genre de celles qui ne font l’amour que dans le noir, et qui se sentent humiliées dans d’autres positions que le missionnaire. Il était rare qu’elle veuille me caresser la bite et quand elle le faisait, je sentais bien qu’elle n’y prenait pas de plaisir mais qu’elle le faisait parce qu’elle m’aimait à la folie. Elle jouissait quand je lui léchais la chatte, mais je sentais aussi qu’elle en était gênée. Il lui avait même fallu un certain temps avant de se décider à rester nue devant moi. Pourtant elle aimait nos parties de baise.
Nous avions plein de choses en commun et nous étions bien ensemble, mais au bout de quelques mois, je commençais à me lasser et elle avait dû s’en rendre compte.
Un dimanche, elle me proposa un pique-nique en forêt. La connaissant, ou plutôt croyant la connaître, je n’étais pas vraiment partant, mais n’ayant rien de mieux à faire ce jour-là, je me laissais tenter. Elle avait préparé 2 petits sacs à dos avec le repas et une couverture pour étendre par terre. Après avoir laissé la voiture près de la route, nous nous sommes enfoncés dans les bois. Elle portait un short en jean assez court mais pas vraiment provocant qui lui moulait agréablement le cul. Elle avait passé un petit chemisier qu’elle avait noué autour de la taille car il faisait très chaud, nous étions au beau milieu de l’été. Je pouvais voir qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge. J’étais très étonné car ce n’était pas dans ses habitudes. Elle a choisi une petite clairière ombragée près d’un ruisseau pour nous installer. Nous avons bu un peu de vin rosé qu’elle avait prévu car nous avions marché une petite heure. Le sol était très souple, aussi nous avons tous les deux enlevé nos chaussures.
Pendant que j’installais la couverture, Martine est allée, pieds nus, au ruisseau pour se rafraîchir la figure, elle s’est jetée de l’eau sur la figure avec les mains puis a tout simplement enlevé son chemisier. Se redressant, elle revient vers moi légèrement rougissante sa poitrine magnifique à l’air avec un petit sourire aux lèvres et…
Elle était à 4 pattes sur la couverture en train de commence à déballer le repas, les seins à l’air. Je me suis approché par derrière pour lui caresser les fesses par-dessus son short. Elle s’est immobilisée et j’ai senti sa respiration s’accélérer. Sans changer de position, j’ai commencé à lui dégrafer les boutons de son short et le lui enlever. Elle portait une petite culotte en coton que je lui enlevais avec le short. Martine était devant moi à 4 pattes, ses gros seins pendants, et sous mon nez. J’avais les mains partout, je lui pinçais le bout des seins, je lui fourrais les doigts dans sa chatte toute trempée, je lui ai même fourré un doigt dans le cul. Je ne reconnaissais plus ma Martine toute coincée. Je lui suçais la chatte et la rosette. Martine gémissait de plus en plus. Je sentais ma queue toute raide dans mon short devenu trop étroit.
Tout en continuant à la doigter et la sucer, je me suis désapé.
Là, sans prendre plus de précaution je l’ai enfilée d’une traite en levrette. Elle était complètement trempée et ouverte et je n’ai eu aucun mal à m’enfoncer jusqu’à la garde. Elle m’avait tellement excité que je la besognais à grands coups de bite, les mains crochées dans ses hanches pleines. Martine gémissait et criait sans discontinuer. Au bout d’un moment à ce rythme, j’étais au bord de l’explosion. Martine est alors venue me malaxer les couilles avec une main. J’éjaculais à grandes giclées dans sa chatte.
Nous nous sommes écroulés sur la couverture et Martine est venue se blottir dans mes bras, me gratifiant d’un palot magistral qui me fit retrouver toute ma vigueur. Elle s’est alors penchée sur ma queue pour y déposer un petit bisou en disant « Peut-être tout à l’heure ! » Puis est partie se nettoyer le minou au ruisseau.
Je n’en croyais pas mes yeux, de voir Martine toute nue au milieu des bois, s’affairant pour notre repas.
Nous avons mangé de bon cœur après notre exercice, Martine ne semblait pas gênée le moins du monde d’être nue. Elle avait préparé plein de choses et avait même prévu le café. Elle m’expliqua qu’elle ne voulait pas me perdre et avait décidé de jeter sa pudibonderie aux orties, mais qu’il fallait l’aider.
Après le repas, je me suis allongé sur la couverture et Martine est venue se serrer contre moi, la tête sur ma poitrine. Elle a commencé à jouer avec ma bite qui s’est rapidement dressée fièrement. J’ai senti la tête de Martine quitte ma poitrine puis ses lèvres chaudes autour de mon sexe. Martine était en train de me tailler une pipe, c’était la première fois ! J’avais bien fait de me laisser tenter par ce pique-nique en forêt.
Elle y mettait tout son cœur, mais on sentait bien le manque d’expérience en la matière. Je voyais ses gros seins s’agiter en rythme et je sentais la sève monter en moi. Je me suis tourné pour lui lécher la chatte, elle coulait comme une fontaine et nous nous sommes mutuellement donné du plaisir. Martine avait du mal à gémir et me sucer en même temps. J’avais moi-même du mal à me concentrer sur la chatte de ma compagne tant elle me faisait du bien. Tout en la suçant, je lui avais mis 2 doigts dans le cul et plus je les agitais, plus elle me suçait comme une folle. À force, je lui envoyais la purée dans la bouche, elle en recracha la moitié et continua de me branler tout en agitant son cul sur mes doigts. Elle me malaxait violemment les couilles et mon sexe redevint rapidement opérationnel.
Elle s’arrêta de jouer avec ma queue pour jouir de ma langue qui s’agitait dans son vagin et sur son clitoris et de mes doigts dans son cul. J’avais réussi à en rentrer 3 et elle poussait dessus comme une furie. Quand elle se mit à jouir bruyamment, je me suis dégagé de sous elle et me suis repositionné en levrette. Je rentrais brutalement dans sa chatte et tout en m’activant je lui dilatais l’anus avec mes 2 pouces. Quand j’ai estimé que son petit trou était prêt, je suis sorti de son con et j’ai commencé à l’enculer doucement. Martine gémissait et criait comme une folle. Elle était déchaînée. Elle se cambrait au maximum pour aider à la pénétration de mon dard dans son cul. Je sentais ses parois serrer ma queue, c’était génial. Quand j’ai réussi à rentrer complètement dans son cul, je me suis arrêté et nous avons repris un peu notre souffle puis j’ai commencé à limer. Martine avait posé sa tête sur la couverture et avec ses mains s’activaient sur son minou et sur ma queue. C’était la troisième fois en peu de temps mais rapidement j’explosais dans son cul tellement j’étais excité.
Quand Martine sentit mon foutre se répandre dans son cul, elle poussa un long cri comme elle jouissait. Elle se dégagea de ma pine et je pouvais admirer son gros cul et son petit trou distendu par ma queue. Jamais je n’aurais pu imaginer que j’aurais une telle séance de baise avec ma petite Martine si coincée.
Nous sommes allés au ruisseau pour nous nettoyer le sexe. Les prouesses passées et l’eau froide du ruisseau eurent raison de ma bandaison.
Nous sommes retournés sur notre couverture pour y faire une petite sieste, toujours nus.
Puis nous avons entendu des bruits. Rapidement Martine se jeta sur son chemisier pour retrouver un semblant de pudeur. Quelqu’un semblait jouir à côté de là où nous nous trouvions. Nous nous sommes approchés, moi toujours nu et Martine avec sa liquette même pas boutonnée sur les épaules, pour découvrir un couple en train de s’envoyer en l’air sur l’herbe comme nous. L’homme était en train de besogner en levrette sa compagne, à grands renforts de ahans et de gémissements. Le spectacle était torride et rapidement ma queue se remit au garde-à-vous. Martine les regardait les yeux grands ouverts, sa main plaquée sur son sexe. Je me plaçais derrière elle, la queue dans sa raie et tout en lui caressant la chatte et les seins, je me branlais contre son cul tandis qu’elle me caressait les bourses et le cul. Nous regardions, hypnotisés, l’autre couple.
L’homme, avant de décharger, se retira et sa compagne se mis à le pomper jusqu’à recevoir son foutre dans la bouche qu’elle avala jusqu’à la dernière goutte, léchant ce qui avait coulé le long de la bite.
Je sentis ma compagne frémir contre moi quand elle jouit en silence. C’est à ce moment que la femme nous aperçût et nous fit signe de venir. Je sentis que Martine ne voulait pas mais je la poussais et elle s’avança vers le couple en train de nous regarder.
Ils avaient entre 35 et 40 ans, bronzés intégralement tous les 2. La femme avait des seins lourds, avec de grandes aréoles. Elle avait de longues jambes et on voyait qu’elle entretenait son corps par du sport. L’homme était assez sportif aussi, avec des muscles bien dessinés mais commençait à s’empâter.
Ils s’appelaient Claire et Marc et nous avaient vus quelques instants plutôt pendant notre séance, ce qui leur avait donné des idées à eux aussi. Martine devenait toute rouge en sachant qu’elle avait été vue et resserrait autour d’elle sa liquette en croisant les jambes. Claire s’est alors levée et l’a prise dans ses bras pour lui dire qu’elle n’avait pas à avoir honte, qu’elle était belle et que l’amour était quelque chose de beau. En même temps, elle ouvrait le chemisier et le lui enleva.
Nous nous assîmes et bûmes avec eux. Ils avaient emporté un petit vin rosé dans un sac isotherme. Tout en parlant de choses et d’autres, Claire recommença à agacer le sexe de Marc qui se redressa doucement. Martine était hypnotisée par ce sexe. Quand il fût bien dur Claire se pencha dessus et commença une fellation très lente en regardant Martine dans les yeux. Je sentais sa respiration qui s’accélérait. Je lui pris la main et la posa sur mon sexe dur comme du béton devant le spectacle de cette pipe. Martine se jeta dessus et l’engloutit d’un coup. Elle s’agitait tellement que j’en avais mal. C’est Claire qui vint à mon secours. Elle arrêta Martine et entreprit de lui expliquer les subtilités d’une bonne pipe en se servant de ma queue pour son explication. Puis Martine revint pour montrer qu’en bonne élève douée elle avait compris le professeur. Et c’est vrai que sa pipe était super, elle enfournait toute ma queue dans sa bouche jusqu’à en toucher la luette puis la laisser ressortir. En même temps ses mains s’activaient sur ma queue et mes bourses.
A côté de nous, Claire avait repris sa pipe sur Marc mais en même temps caressait le minou de Martine. Marc avait une vue imprenable sur le cul de Martine et les doigts de sa femme dans le sexe de la mienne. Pour ne pas être en reste, j’étendis la main et la posais sur le cul de Claire. Aussitôt, je vis Claire se cambrer et écarter les jambes. Je n’hésitais plus et lui caressais la chatte et le cul alternativement. Je ne pouvais détacher les yeux de cette croupe qui s’agitait autour de mes doigts. La pipe de Martine était fantastique et malgré notre séance du matin, je sentis que je n’allais pas tarder. C’est alors que je vis que Marc était en train de lécher le cul de ma compagne. J’explosais immédiatement dans la bouche de Martine. Contre toute attente, elle m’a gardé bien en bouche jusqu’au bout en avalant tout mon foutre ou presque. Je la sentais qui continuait à s’acharner sur ma bite qui venait de se vider. Les jambes de Claire se resserrèrent autour de ma main et je vis Marc se cambrer alors qu’il se vidait dans la bouche de sa femme. Claire saisit alors la tête de Martine et l’embrassa à pleine bouche, mélangeant mon sperme avec celui de Marc dans leurs bouches. Ce spectacle était si fort qu’une deuxième giclée partit éclabousser ma compagne.
La nuit commençait à tomber et la température fraîchissait. Martine, toute étourdie de sa journée était blottie contre moi et je comprenais qu’elle voulait que nous rentrions. Il était difficile de quitter Claire et Marc, mais ils avaient eux aussi compris le désir de ma compagne. Nous nous séparâmes après avoir échanger nos coordonnées et nous retournâmes à notre clairière puis à notre voiture.
Cette journée a changé notre vie et après plus de 15 ans de vie commune, nous n’avons rien perdu de notre amour. Jamais je ne la remercierais assez de ce pique-nique.