n° 08376 | Fiche technique | 12578 caractères | 12578Temps de lecture estimé : 8 mn | 01/01/05 |
Résumé: Si pour certaines personnes l'annonce d'un arrêt de travail des cheminots fût une catastrophe, pour moi ce fut un moment de bonheur. | ||||
Critères: fh voisins voiture voir exhib lingerie | ||||
Auteur : Renardiere Envoi mini-message |
De longues années j’ai été commercial. Aujourd’hui à 45 ans j’ai pris du grade directeur d’un bureau de vente dans la banlieue de Lyon, néanmoins je continue, par goût à habiter sur St Etienne. L’annonce d’un arrêt de travail des cheminots était une catastrophe pour un couple d’amis. Lui jeune artisan, elle responsable d’un service contentieux travail en plein centre de Lyon et n’ayant pas d’autre moyen de locomotion que le TER. Aussi me téléphonent-ils pour me demander s’il m’était possible de dépanner Sophie en la déposant à la gare de Vénissieux. Elle fera le reste du chemin en métro.
Le covoiturage étant de mode j’acceptais. Le lendemain j’arrivai comme convenu à 6H15 devant le porche de l’immeuble de mes amis. Sophie voyant ma voiture sortie sur le trottoir. Je la regardais marcher. Une belle femme de 35 ans avec beaucoup de prestance. Un visage de bébé tout rond avec des taches de rousseur sur les pommettes des cheveux roux mi-longs qui frisent naturellement. Tailleur gris clair, jupe au-dessus du genou, chemisier blanc sous un grand manteau rouge. Peut-être un peu trop stricte mais son métier devait lui imposer ces règles vestimentaires.
« Bonjour Alain, merci encore … »
Nous nous fîmes la bise je démarrais pour une heure de route.
Tout au long du trajet nous discutâmes de banalités, des enfants, de son chef qui la tyrannisait depuis qu’elle avait demandé sa mutation. L’heure passa vite, je la déposais aux portes de la gare, en lui indiquant où l’on s’attendrait ce soir. La semaine s’écoula sur le même rythme le vendredi soir France Inter annonçait que les négociations étaient dans l’impasse. Rendez-vous fut pris pour le lundi.
Lundi de galère, tous les gens qui avaient des congés les avaient épuisés et se retrouvaient jetés sur l’autoroute. Heureusement l’humour de Sophie écourta le trajet.
Le mardi j’arrivai devant le porche à l’heure convenue. Aucune lumière n’éclairait le hall de l’immeuble. J’attendais. Cinq minutes…dix minutes…nous allions être en retard. Je cherchai mon portable quand le hall s’éclaira. Sophie apparue dans son grand manteau rouge un grand sac à la main. D’un pas rapide elle traversa les quelques mètres qui la séparaient de la voiture et si engouffra.
C’était la première fois que je la voyais rougir, toutes ses taches de rousseur avaient disparu. Avais-je, pour faire un calembour, mis dans le mille ? Après un silence je reprenais :
Pas de réponse.
A cette idée, je la vis blanchir. Je sentis que quelque chose la troublait sans pouvoir l’expliquer. Ce n’était pas ces quelques minutes de retard qui pouvaient expliquer ses silences.
Elle prit la parole :
Furtivement je la regardai sans perdre la route de vue. Elle si joviale d’ordinaire avait un visage dur presque cadavérique. Dans ma tête c’était l’ébullition « métro..métro…elle prenait le métro depuis une semaine …je ne comprenais pas ! J’allais lui poser une question quand elle reprit :
J’avais les mains sur le volant les yeux sur la route, avais je bien compris ? Je tournais la tête vers elle. Pour toute réponse elle ouvrit le grand sac et j’aperçus des vêtements jetés pêle-mêle.
Après un instant de réflexion :
Le trouble était perceptible dans sa voix. Je cherchais à comprendre ou elle voulait en venir quelle solution allait elle me soumettre ? Je vivais un étrange moment Sophie nue sous son manteau à côté de moi. Cette femme si sure d’elle s’était mise dans une situation bien cocasse avec moi comme témoin. Je conduisais comme dans un tunnel, me laissant porter par le flot des voitures.
Le coquin qui est en tout homme venait de se lever d’un bon. Alors autant ce faire profiter un peu de la situation. Le jour allait se lever dans quelques minutes.
Je me gardais bien de lui dire que le jour serai levé et que je pourrai mieux profiter du spectacle. Nous arrivâmes vite à l’endroit que j’avais préconisé je levais le pied et m’intercalais sur la file de droite entre deux camions.
Rassurée par le scénario que je lui proposais, elle ouvrit son sac et en sortit un pull à col roulé et un soutien-gorge en dentelle blanc. Je la regarde, elle me sourit, déboutonne le haut de son manteau sans l’ouvrir. Des camions se doublent 100m mètres derrière, interrompant le flot des voitures. Je le lui fais remarquer. Sophie ouvre le haut de son manteau, se tourne pour enlever sa manche droite, puis vers moi pour l’autre manche. J’ai sous les yeux deux petits seins tous blancs avec de larges aréoles brunes, des tétons qui pointent d’un bon centimètre. La peau me parait toute douce avec des taches de rousseur. Les attaches de son cou et de ses épaules sont très fines, ce qui lui donne un air de poupée toute fragile.
Il fait tout à coup très chaud dans la voiture. Sophie passe son soutien-gorge ne prend pas le temps de l’accrocher et enfile son pull. Tout ceci n’a pas duré plus de 30 secondes. Elle se tourne vers moi, me sourit. Elle a le feu aux joues, elle inspire profondément pour masquer son trouble, ses narines se dilatent donnant un air plus coquin à son nez en trompette. Elle me regarde. Je quitte ses yeux pour suivre la route en ayant le sentiment qu’elle aussi a perçu mon émoi. Sa beauté m’impressionne et je ne suis plus du tout sur d’être encore celui qui domine la situation. Elle plonge la main dans son sac et en ressort une pochette Dim en pestant
Elle pose le sachet sur le tableau de bord et continue de vider son sac. Une jupe et une veste de tailleur gris clair qu’elle dépose sur le siège arrière. Et pour finir une culotte de dentelle blanche assortie à son soutien-gorge qu’elle dépose sur le sachet des bas.
L’atmosphère est très détendue, je la sens même joueuse avec un pétillement dans les yeux. Le stress d’être vue des premiers instants s’est complètement évanoui. Je tends le bras et saisis la culotte, elle est douce au toucher, on dirait du papier de soie. Les stops du camion me ramènent à la réalité, je pose la culotte sur ma cuisse et saisis le volant à deux mains. Nous freinons fort jusqu’à l’arrêt. Nous sommes coincés entre les poids lourds devant, derrière, à notre gauche la remorque de celui qui doublait. Je serre le frein à main et me tourne vers Sophie
Elle me sourit, défait les derniers boutons de son manteau qu’elle ouvre en me fixant. Je n’ose pas baisser les yeux. Sans réellement comprendre ce qui m’arrive, je me mets à bander. Certes la situation est existante mais c’est mon corps qui a réagi. À la respiration suivante, je comprends. C’est cette odeur suave qui me commande. Sophie est en chaleur, je le sens, dans l’espace exigu et surchauffé de la voiture je respire ses phéromones à pleins poumons. Je suis perdu, elle détient les dés. Levant le levier de commande de son siège elle le recule en butée.
Elle ôte ses escarpins. Elle étend ses longues jambes comme pour prendre possession de tout l’espace dont elle dispose. Je découvre son ventre plat couvert d’un fin duvet. Son pubis roux et frisé. Il n’y a plus aucune angoisse dans ses gestes, elle est comme dans un cocon dans l’habitacle de la voiture. Sophie attrape le sachet, l’ouvre, déroule les fins bas de nylons non sans les promener sur son ventre qui frémit sous la caresse. Elle sépare les deux bas en roule un entre ses doigts, lève la jambe gauche, introduit son pied dans la gaine de nylon. Le pose sur la planche de bord et le déroule. Arrivée sur le haut de la cuisse, elle redescend attrape sa cheville et remonte jusqu’aux dentelles. Cela ressemble plus à une caresse qu’à autre chose. Sa jambe gainée de la sorte semble encore plus longue, la cuisse barrée de son anneau de dentelle une pochette surprise.
Elle repose sa jambe, se saisit du deuxième bas et plie l’autre jambe. Plus rien ne me cache son sexe. Je suis fasciné par ce qu’elle me montre. Un triangle de duvet roux couvre son pubis charnu, de grandes lèvres ourlées sortent de son sexe formant un pétale rose. Sophie, pour enfiler son pied dans le bas, plie un peu plus la gambe, libérant de la place. Ses lèvres, comme mues par une vie propre, éclosent en une corolle luisante. Les effluves que dégagent son sexe sont enivrants. Elle déroule le bas sur sa jambe en laissant ses cuisses largement ouvertes. Il m’est évident qu’elle prend plaisir à s’exhiber. Je garde les mains sur le volant me doutant que tout geste de ma part romprait le charme. Sophie se retourne et attrape sa jupe. Elle passe les deux jambes dedans, prend appui sur le dossier du siège, elle décolle ses fesses du siège d’un geste rapide elle remonte sa jupe, ferme la fermeture éclair, puis, passant les mains sous son pull, elle agrafe son soutien-gorge.
La circulation redémarre doucement. Elle me regarde avec un pétillement dans les yeux, contente du tour qu’elle vient de me jouer. Je prends la culotte qui est toujours sur ma cuisse :
Elle sourit et ajoute
Elle saisit sa veste de tailleur, la pose sur ses genoux, nous arrivons en vue de la gare. Je stoppe sur la dépose minute. Elle descend, enfile sa veste et son manteau :
Elle tourne les talons et se fond dans la foule en direction du métro.
Je reste seul, sa culotte posée sur ma cuisse. La journée va être longue.
Si pour certaines personnes l’annonce d’un arrêt de travail des cheminots fût une catastrophe, pour moi ce fut un moment de bonheur.