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n° 08382Fiche technique7354 caractères7354
Temps de lecture estimé : 5 mn
02/01/05
Résumé:  Ma belle fille et moi avons fait l'amour
Critères:  ff fplusag fagée frousses alliance lingerie intermast cunnilingu ecriv_f
Auteur : Julie  (Julie, 72 ans, lesbienne)            Envoi mini-message

Série : Ma belle fille

Chapitre 01 / 03
Ma belle fille m'a séduite 1

Je me présente : Julie 72ans, 1m70, 59 kilos, 95 C, veuve depuis 30 ans, soit 10 ans après la naissance de mon fils.

Mon mari buvait beaucoup, il nous tapait, mon fils et moi, c’est vous dire si sa mort ne m’a pas chagrinée. Par contre, il m’a dégoûté des hommes, et rapproché des femmes, je n’ai donc plus eu depuis que des aventures féminines.


Les années ont passé et mon fils a fini par se marier (à 30 ans il était temps), sa fiancée m’a plu tout de suite, tout d’abord parce qu’elle est très mignonne avec ses cheveux roux, ses grands yeux bleus, et son 95D, et ensuite parce qu’elle se foutait que je sois lesbienne.


Donc, en 1989, mon fils Alain (30 ans) épouse Marjorie (25 ans), ils me donnaient une paire de petits-fils 4 ans plus tard.

Mais, hélas, mon fils marchait sur les pas de son père, bref le divorce après 6 ans de mariage et les enfants ballottés de gauche a droite.

Un vendredi de septembre 2004, comme à l’accoutumée, Marjorie me déposa les enfants, mais cette fois là, elle passa deux heures plus tôt. Etant donné qu’elle a les clefs de chez moi, elle entra, et mit les jumeaux devant la télé puis monta à l’étage. Elle entendit du bruit dans ma chambre, elle entra et se figea en voyant le spectacle : J’étais sur mon lit, nue avec trois doigts dans la chatte, les yeux fermés, et ma main gauche triturait mes tétons, excitée par un texte lu sur votre site qui m’avait donné une envie folle de jouir (J’ai toujours aimé le sexe, même encore maintenant).


Bref, ma belle fille m’avait vue mastiquer de belle manière, et avait décidé que je serais à son tableau de chasse, mais ça, je ne le sus que plus tard car, trop occupée à me faire reluire, je ne la vis pas.


Depuis ce jour, ma belle fille se fit encore plus douce et gentille avec moi, j’eus droit à toute la panoplie de la séduction, bouquets de fleurs, petits dîners, tenues sexy, et tout et tout.

Je ne compris pas de suite son manège. Un soir où nous avions dîné et bu un peu trop toutes les deux, je lui demandai par jeu :


« Dis donc Marjorie, tu me dragues ou quoi, ça fait un mois que tu me chouchoutes, que tu m’offres à dîner dans des restos 3 étoiles, que tu t’habilles très sexe pour me montrer tes jolies jambes et tes grosses doudounes ? »


Je pensais avoir comme réponse un « T’es folle ! ». Et bien non, la réponse fut un grand « OUI je t’aime et je te veux ».


Elle se leva et colla ses lèvres aux miennes, sa langue força le passage de mes dents pour happer la mienne, ses mains caressaient mes seins, elle ouvrit mon corsage et sa tête descendit pour me sucer les seins au travers de mon soutien-gorge. Je lui dis d’arrêter, que j’avais 72 ans et elle 40, qu’elle était ma belle fille, que c’était de la folie.

Pour toute réponse, elle ouvrit son tailleur (elle ne portait pas de soutien) et me dit :


« Ose me dire que tu ne les aimes pas, que tu ne veux pas les caresser, que … ».


Elle ne put pas finir sa phrase, ma bouche se plaqua à la sienne pour une pelle d’enfer. Nous roulâmes sur le tapis, je lui suçais les seins, les mordillais, les léchais, je ne pouvais plus m’arrêter, j’étais déchaînée, je lui bouffais littéralement les seins, à un moment je sentis son corps se raidir, des râles sortirent de sa bouche, des allaitements, des « Oui, oui, oui » en cascade, ses ongles rentrèrent dans mes épaules, elle avait joui des seins, 30 ans que je suis lesbienne, et c’est la première fois qu’une femme jouit des seins sous ma langue, je pris la tête de mon amante dans les mains et l’embrassai avec fougue.

Je lui avouai que cela faisait 15 ans, que je rêvais de lui caresser les seins, que je m’étais branlée des dizaines de fois en y pensant, et que, quand elle faisait du monokini, ma chatte ruisselait comme une fontaine.


Après s’être remise de ces émotions, elle me dit :

« A ton tour de jouir maman Julie »


Elle m’enleva mon chemisier et mon soutien, elle me malaxa les seins, sa bouche se rapprocha de mes tétons dressés comme deux petites bittes, son souffle était chaud ce qui fit durcir encore plus mes tétons, elle les goba, sa langue tournait autour de mes deux petits obus.

Ses mains ne restaient pas inactives. Elle défit ma jupe qui tomba sur le sol, elle voulut me retirer ma culotte mais, à sa grande surprise, je n’en portais pas (je n’en porte jamais sous une jupe moulante, juste des bas auto-fixant), j’eus droit à un :


« Petite cochonne, toujours prête à faire l’amour hein ! Tu m’excites encore plus comme ça, tu es belle, je vais te bouffer la chatte belle maman, boire tout ton jus d’amour».


Sa langue léchait mon ventre, puis jouait dans mes poils, j’écartai les jambes par automatisme, sa langue entra dans le sillon intime de mon sexe et alla à la rencontre de mon bouton rose. Elle le lapa avec force, le suça comme si sa vie en dépendait, elle planta deux doigts dans ma chatte et les fis aller et venir dans mes entrailles.

Les mains plantées dans sa chevelure rousse, je riais mon plaisir, debout sur mes jambes tremblantes.

Je lui dis de continuer de me bouffer la chatte, de continuer de me mettre un doigt dans le cul (ce quelle fit). Je lui dis que j’étais une veille salope impudique, je tremblais de plus en plus sur mes jambes et, après 10 minutes à ce régime, je jouis dans sa bouche à grand flot.


Terrassée par ma jouissance, je tombai par terre. Haletante et fébrile je l’attirai vers moi et nos bouches se soudèrent encore une fois dans un baiser torride mêlé de salive et de ma mouille.

Je lui dis que j’avais honte, que je n’étais qu’une veille salope de lesbienne.

Elle prit ma tête entre ses mains et me dit :


« Salope tout comme moi, Julie, mais vieille « NON », ta peau est douce, tes seins sont fermes et, si cela ne fait qu’un mois que j’ai décidé de passer à l’acte, cela fait longtemps que j’ai envie de coucher avec une femme. Mais, la seule qui me plaisait, c’était toi. Je suis prête, tout mon amour est pour toi, je veux que tu me fasses jouir, et je veux te faire jouir aussi, que tu m’apprennes tous les plaisirs saphiques ».


Je lui répondis que, si elle le voulait, elle serait ma seule amante dorénavant, ce qu’elle accepta de suite.


La nuit était tombée, je l’entraînai vers ma chambre à l’étage. Je lui montrai mon P.C. et lui dis que, depuis un certain temps, je lisais des histoires érotiques sur Revebebe et que le dernier fantasme qui me restait, puisque désormais j’avais couché avec elle, c’était d’écrire mes frasques sexuelles et de les faire lire à tout le monde, et que, si elle était d’accord, je raconterais les nôtres. D’accord, elle le fut, peut-être parce que pendant tout le temps où je lui montrais le site, assise sur ma chaise et elle debout, je lui flattais la chatte sous son string : Normal, la nuit ne faisait que commencer.


Mais c’est une autre histoire. Si ça vous plait, dites le nous.


Julie