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Temps de lecture estimé : 19 mn
03/01/05
Résumé:  Attristée par l'absence d'activité sexuelle d'un clochard, je me dévoue...
Critères:  fhh inconnu parking ecriv_f
Auteur : Sandra  (Encouragée par de nbreux fans je me relance)      
Dévouement pour un clochard



Pour Xavier…



Sept ans, cela fait maintenant sept ans que je vis avec mon ami ou plutôt mon amour devrais-je dire, car je l’aime plus que tout au monde. Il ne m’avait même pas souhaité "bon anniversaire" avant de partir au travail ce matin et je pensais qu’il avait oublié. Mais, le soir venu, il m’annonça la surprise à laquelle il avait pensé depuis plusieurs jours déjà. Soirée romantique dans un restaurant russe puis divertissement dans un club discothèque ( vu notre âge, nous ne fréquentons plus les boites mais uniquement les clubs et même certains clubs privés…), et une belle surprise si l’occasion se présente.


Le programme m’enchante et sans perdre un instant je file dans notre chambre pour choisir ma tenue de soirée. Un restaurant russe n’est pas un fast-food, donc il me faut quelque chose d’habillé. Ce n’est pas non plus un palace, donc plutôt sobre. Si ce n’est pas un cinq étoiles ce n’est pas non plus un boui-boui, il faut donc que je sois élégante. Mais je dois aussi penser à l’après-resto et ne pas prendre une tenue trop chaude, je prendrai mon grand manteau. Bien, finalement j’opte pour cette robe longue bustier, noire, fendue sur le côté gauche jusqu’au dessus de la cuisse. Par dessus je prévois un petit spencer noir également, juste pour couvrir mes épaules dénudées. Enfin, pour l’éventuelle surprise (j’espère que l’occasion se présentera…), j’enfile un string en dentelle rouge et, pour que la surprise soit partagée, ce modèle là est… ouvert.

Après la douche, le maquillage et l’habillage, me voilà prête. Franck m’attend assis sur le canapé. Il me complimente et m’embrasse avant de m’inviter dans le hall où il m’aide à enfiler mon manteau. Voilà, cette fois nous sommes prêts et nous quittons l’appartement.


Ce n’est qu’une fois dans l’ascenseur que je m’aperçois que Franck tient un sac à la main. Je lui demande si c’est un cadeau qu’il me destine et il me répond que je l’aurai plus tard. Voilà une surprise qui n’est pas sans attiser ma curiosité. À peine commençais-je à réfléchir à cette première surprise qu’une seconde se présente. L’ascenseur s’arrête au rez-de-chaussée. Cela me surprend car nous avons chacun une place de parking pour nos voitures et il est tellement difficile de trouver une place dans la rue que je ne pense pas que Franck y ait laissé la sienne.

Une fois encore je le questionne.

"Non ce soir nous nous laisserons conduire…"

Etonnée, je le suis jusque dans la rue. Je remarque alors, juste devant notre porte d’allée, une superbe limousine Buick (sans doute aurait-il voulu une Rolls mais, quand on n’a pas les moyens il faut savoir se contenter du moindre effet, surtout que celui-ci est tout de même de très bon goût). En nous voyant approcher, le chauffeur ouvre la portière arrière afin que nous prenions place à l’intérieur. Ambiance feutrée, sièges en cuir, un confort à s’endormir, bref le luxe. Après une vingtaine de minutes, nous arrivons devant le restaurant. De nouveau le rituel de la portière s’accomplit et nous entrons dans l’établissement. Après nous être installés à notre table et avoir passé notre commande, Franck m’interroge sur ces sept années passées avec lui. Nous nous remémorons tous les bons moments, les expériences que nous avons vécues ensemble. Naturellement, nous en venons à parler de sexe, de nos sorties en club échangiste, de ces jeux qui m’excitent tant et qu’il aime à me faire pratiquer. Bref, la conversation devient chaude et les petits baisers que nous échangeons par moment deviennent de plus en plus longs et langoureux. L’érotisme s’invite à notre table et Franck (qui me connaît très bien), voit le désir envahir mes yeux qui me trahissent. C’est à cet instant qu’il décide de m’offrir son cadeau. Je m’en saisis et l’ouvre immédiatement. Si, aussitôt le paquet ouvert, je devine la nature de l’objet, j’ai bien du mal à comprendre comment il s’utilise. Il s’agit d’une robe, apparemment superbe, noire, en soie. Je découvre une boucle argentée qui, je suppose, doit permettre une fermeture quelconque de la robe, au niveau de la poitrine me semble-t-il.

Franck me dit alors qu’il faut la déplier complètement pour que je puisse comprendre comment elle se porte. Naturellement je ne m’imagine pas du tout me lever au milieu de la salle pour faire un essayage et je lui fais part de ma décision de ne la revêtir qu’une fois de retour à la maison. Mais il ne voit pas du tout les choses ainsi et m’avoue qu’il aimerait bien me voir porter cette robe durant le reste de la soirée au club. Il me propose alors d’aller me changer dans les toilettes de ce restaurant. Craignant que le caractère de cette tenue soit un peu trop sexy pour être dévoilé en ce lieu, je lui demande l’autorisation de l’enfiler plus tard. Son accord est bien entendu accompagné d’une condition : celle de ne pas avoir le droit de refuser de me changer, et ce, quel que soit l’endroit où il me demandera de le faire (ceux qui me connaissent doivent déjà se douter de ma réponse, n’est-ce pas ?). Voilà le genre de petits défis que j’aime relever et Franck le sait bien, aussi mon accointance n’est pas une surprise pour lui. Je replie le paquet avant de le glisser dans le sac que je dépose à mes pieds. Puis nous terminons l’excellent repas qui nous est servi.


Pendant que le serveur effectue l’encaissement de notre note, Franck prévient avec son portable notre chauffeur de notre sortie imminente. Malgré cela, nous devons attendre quelques minutes sur le trottoir avant de le voir arriver. Précipitamment et nous priant de bien vouloir l’excuser, le chauffeur sort de la voiture pour nous ouvrir la portière. Nous montons et nous voilà partis. Le club est à une bonne demi-heure du restaurant et je m’installe donc confortablement pour profiter au maximum de cette somptueuse voiture. Mais Franck interrompt rapidement ce petit bien-être en me demandant de me changer.

J’avais bien pensé qu’il choisirait un endroit insolite, comme une ruelle sombre, un porche d’immeuble, les toilettes pour hommes dans le club où nous nous rendions, mais l’idée de le faire dans la voiture m’avait paru trop simple, trop banale, surtout qu’il m’avait déjà demandé un jour de changer de tee-shirt dans un taxi, moi qui ne porte jamais de soutien-gorge. Mais à présent, cela me paraît beaucoup plus difficile. Non pas par le manque de place, mais parce qu’il ne s’agit plus d’exhiber simplement mes seins au regard du chauffeur, mais de me dénuder entièrement. Devant mon hésitation, Franck me rappelle notre accord et insiste pour que je m’exécute sur-le-champ.


Je retire alors mes bras des manches de mon manteau que Franck m’aide à retirer avant de le lancer sur le dossier du siège conducteur ce qui ne manque pas d’attirer le regard du chauffeur dans le rétroviseur. Il me voit alors, les mains dans le dos cherchant à se saisir de la fermeture-éclair de ma robe. Je la descends complètement, le tissu se détend jusqu’à glisser sur ma poitrine qui se dévoile doucement. Je relève mes fesses en saisissant ma robe au niveau des hanches et la tire sans hésitation jusqu’à mes chevilles. Me voici à présent revêtue de mon seul string rouge. Devant cette situation, le chauffeur a bien du mal à garder son attention sur la circulation. Franck me fait passer ma nouvelle tenue qu’il vient de déballer. Tant bien que mal j’essaie de comprendre comment enfiler cette longue bande de soie (à cet instant je ne vois toujours pas comment désigner cette soi-disant robe). Franck me propose alors d’attendre d’être sortie de la ville pour pouvoir la revêtir en-dehors de la voiture. J’avoue que l’idée ne me déplait pas et reste donc ainsi. Profitant de ma nudité, Franck s’approche de moi et m’embrasse, une main s’empare de mes seins tandis que l’autre caresse mes cuisses. Bientôt ses baisers se posent sur mes tétons devenus durs et gonflés. L’ouverture de mon string joue pleinement son rôle laissant passer un doigt agile qui trouve rapidement mon petit bouton d’amour. Après avoir constaté le regard attentif du chauffeur dans le rétroviseur, je ferme les yeux. Un autre doigt vient rejoindre le premier et tous deux s’enfoncent doucement en moi. Mon sexe est chaud et déjà trempé. Je serre la tête de Franck contre ma poitrine qu’il ne cesse d’embrasser. Ses doigts étant maintenant entièrement enfoncés dans mon sexe, je sens sa main contre ma toison. Le plaisir m’envahit, mon ventre se contracte, j’écarte mes jambes le plus possible, je pose même mon pied sur la banquette. Le chauffeur doit se régaler, je l’imagine en train de se masturber, ce qui me fait penser que si Franck me demande de lui faire une gâterie je le ferais sans aucun doute, j’en suis même à me demander si je n’en ai pas envie.

Après quelques minutes de ce délicieux châtiment, Franck fait arrêter la voiture. Nous sommes sur une départementale à quelques kilomètres de la ville. Le chauffeur a eu la délicatesse de s’arrêter dans un coin sombre, au bord d’un champ. Franck ouvre la portière et m’invite à sortir. Me voilà sur le côté de la voiture, entièrement nue, au bord d’une route sur laquelle passe de temps à autre l’une ou l’autre voiture qui me salue parfois d’un coup de klaxon. Si la situation m’excite énormément, le froid me hâte dans la tâche. Etonnée par la seule solution que je trouve d’enfiler ce très léger effet, mes gestes sont hésitants et Franck s’inquiète de savoir si j’arrive à mes fins. Je lui réponds que l’obscurité n’est pas faite pour m’aider. Il sort alors à son tour de la voiture et me prend par le bras. "Viens" dit-il. Nous nous dirigeons vers l’avant de la voiture, en passant sur le côté il ordonne au chauffeur d’allumer ses feux et me plante à trois ou quatre mètres devant le capot. Je me retrouve en pleine lumière, sur le bord de la route, le corps à moitié couvert. Eblouie par les phares, je ne vois pas plus le chauffeur qui doit se rincer l’œil, que les quelques voitures qui passent sur la route et dont les passagers ne doivent pas en croire leurs yeux. Je dois reconnaître que cela me facilite beaucoup le travail et qu’enfin j’arrive à boutonner la petite pince que je découvre sur le côté de ma hanche.

Comment vous décrire cette robe…? Imaginez une guirlande sur un sapin de Noël. Et bien voilà à quoi je ressemble. Elle ne recouvre que peu l’essentiel, en enveloppant mon corps en spirale, laissant ma jambe gauche totalement dénudée, ma hanche et tout le côté gauche de mon corps jusque sous mon sein tout en laissant mon ventre nu. Franck remarque alors que mon string n’est pas du tout dans l’esprit de la robe qui doit ne laisser voir que la chair sans être interrompue par un quelconque sous-vêtement et me demande de le retirer, ce que je fais, étant du même avis.

Rapidement je regagne la voiture, à chaque avancée de ma jambe droite, le pan de la robe s’écarte laissant apercevoir brièvement mais totalement mon sexe.


Nous reprenons la route. Mon arrivée dans le club fut des plus remarquées, et je crois bien que même si j’étais entrée entièrement nue, je n’aurais pas attiré davantage de regards.

Nous avançons dans la salle jusqu’aux canapés placés au bord de la piste de danse. Malheureusement ils sont tous occupés, et Franck décide de nous installer aux côtés d’un homme seul et qui donc n’utilise pas la totalité du divan qu’il occupe. Dans une attention très élégante, il me laisse m’asseoir la première, ce qui me place directement auprès de cet homme. Cela ne semble pas le déranger car il nous accueille avec un grand sourire. Les tables présentes devant chaque canapé sont très basses, et si elle permettent de poser les verres, les paquets de cigarettes et autres accessoires, elles n’ont pas vocation à dissimuler les jambes des invités mais au contraire de faciliter l’accès à la piste de danse. Aussi ai-je bien du mal à cacher mon intimité en tirant sur ma robe. Bien que de superbes créatures se déhanchent devant nous, notre voisin ne cesse de détourner son regard pour mater mon entrejambe.

Franck se penche vers moi en posant sa main sur ma cuisse pour me demander ce que je veux boire. Sans même attendre ma réponse il m’embrasse longuement, puis il me laisse juste le temps de lui répondre avant de m’embrasser à nouveau. Du coin de l’œil j’observe mon voisin qui ne quitte pas des yeux la main de Franck qui s’enhardit et glisse doucement sous le tissu. Un petit sursaut de mon corps trahit sans équivoque le lieu que viennent d’atteindre ses doigts.

Cela ne dure que quelques secondes avant que Franck ne se lève pour aller passer commande au bar. J’en profite pour replacer de façon plus décente le pan de ma robe mais Franck me retient la main pour y déposer un baiser, très élégant j’en conviens, mais servant uniquement de prétexte pour laisser un peu plus longtemps mon sexe dévoilé. Puis il se retire et je replace enfin ma robe.

Nous ne sommes pas dans un club échangiste et pourtant mon voisin se risque à poser sa main sur ma cuisse. Je ne bouge pas. Il prend alors l’initiative d’engager la conversation tout en se rapprochant de moi. Sa main ne quitte pas ma cuisse, bien au contraire, très doucement je la sens remonter, ses doigts glissent presque imperceptiblement à l’intérieur de ma cuisse, ils sont presque sur mon sexe qui n’est de nouveau plus dissimulé. Il me semble les sentir contre ma toison tellement ils en sont près, et finalement, je réalise que ce n’est pas qu’une impression, sa main vient réellement de se poser délicatement sur mon sexe. Ses doigts caressent ma toison et je sursaute à chaque fois qu’ils passent sur ma fente. Bientôt un doigt s’y attarde plus longuement et finit par se glisser entre mes lèvres. Je serre sèchement mes cuisses pour lui faire comprendre que je ne suis pas là pour cela. Comprenant qu’il ne doit pas aller plus loin, l’homme retire doucement son doigt de mon intimité, caresse encore un peu ma toison puis retire sa main. Franck nous rejoint un instant après et m’invite aussitôt à venir danser. Inutile de vous dire que j’ai l’impression d’être nue au milieu de cette piste de danse. Le bas de ma robe s’ouvrant intégralement à chacun de mes mouvements, je sens bien que mon sexe reste à la vue de tous. Durant la danse, un homme vient même jusqu’à se coller derrière moi, ses mains m’enlacent et se posent sur mon ventre. L’homme se frotte littéralement contre mes fesses et je sens très nettement son sexe à travers son pantalon. Lorsque Franck se rapproche de moi il me libère, mais un autre prend rapidement sa place. Je me retourne d’un coup pour tenter de le dissuader de me coller de trop près mais il en profite pour me prendre lui aussi dans ses bras. Immédiatement sa main se pose sur ma hanche dénudée et glisse tout aussi vite sur ma fesse. Sa main descend le long de ma cuisse qu’elle relève sèchement. Me voilà collée fortement contre lui, ma jambe est sur sa hanche et dans un réflexe j’ai passé mon pied dans son dos afin de ne pas perdre l’équilibre, d’autant plus que sa main abandonne ma cuisse pour remonter sur ma fesse. Dans cette posture délicate, ma fente est parfaitement ouverte, et il le sait aussi bien que j’en suis consciente. Je sens maintenant ses doigts la caresser, je veux reposer mon pied à terre et tire sur ma jambe mais il la maintient contre lui de son bras. Voyant ma tentative de fuite, il s’empresse de profiter de la situation et parvient à m’enfoncer un doigt dans le sexe. J’aperçois alors Franck s’avancer pour intervenir mais l’introduction de ce doigt dans ma chatte me provoque un tel effet que mes reins se cambrent tout seuls et ma tête bascule en arrière. Franck continue donc de danser en me regardant prendre du plaisir. L’homme active son doigt entre mes lèvres, je me sens couler sur sa main, je ferme les yeux.

La musique change de rythme et Franck finit par se décider à nous séparer, et il était temps je crois, car en observant s’éloigner cet inconnu, je remarque que son sexe était sorti, je réalise qu’en l’absence de Franck je n’aurais sans doute pas échappé au sort qu’il me réservait.


La soirée se poursuivit dans cette constante provocation que Franck n’hésitait pas à entretenir en dévoilant totalement mes fesses durant les slows par exemple et en me laissant sans cesse toucher (pour ne pas dire tripoter) par des inconnus. C’est donc dans un état d’excitation intense que je quittais le dancing.


Il est quatre heures du matin, notre chauffeur accomplit une dernière fois le rituel de la portière en nous souhaitant une bonne continuation. N’ayant pas pu nous déposer devant l’entrée de notre immeuble à cause d’un camion de livraison, Franck et moi nous retrouvons à marcher dans les bras l’un de l’autre sur le trottoir. Soudain je repense au programme qu’il m’avait annoncé et l’interroge à propos de la surprise qui, selon moi, ne s’était pas présentée…


Il me fait un grand sourire et reconnait cette carence. Il décide alors de passer par le parking souterrain pour monter à notre appartement. Je m’imagine déjà allongée sur le capot d’une voiture inconnue en train de me faire prendre par mon amour. Puis, la pensée de me retrouver adossée contre le mur près de l’ascenseur, les jambes autour de la taille de Franck qui me fait aller et venir sur son sexe chaud et tendu, remplace cette première idée. Nous entrons dans le parking quand une troisième idée me vient à l’esprit. Mais soudain Franck m’arrête et me demande de regarder sur le côté. J’aperçois un homme, assis contre le mur, dans le recoin entre la cage d’ascenseur et le local technique.


C’est peut-être immoral mais la seule pensée qui me vient en tête (sans doute à cause de cette soirée), est de m’interroger sur la vie sexuelle qu’il peut bien avoir. Franck s’avance vers cet homme qui lui demande de ne pas l’obliger à sortir. Franck le rassure. Je m’approche à mon tour et engage la conversation. Le sujet de cette dernière en vient rapidement à ce qui me préoccupe. L’homme m’apprend que cette vie-là est totalement inexistante ou presque, me laissant comprendre qu’il s’offre de temps en temps un petit plaisir solitaire. Je lui demande alors si il n’a pas de compassion de la part des prostituées mais il me dit que non et qu’il n’a pas les moyens de se payer se luxe. Je demande alors à Franck de faire quelque chose, de lui donner un peu d’argent. Il me répond que si cela me tient tant à cœur je n’ai qu’à me dévouer. L’homme me lance alors un regard étonné mais plein d’envie et d’espoir mais qui est rapidement remplacé par celui de la méfiance. Il nous demande de ne pas nous moquer de lui et nous dit qu’il n’a que faire de nos sarcasmes. Franck lui dit que sa remarque n’est pas juste des paroles en l’air et m’invite même à lui montrer que ma tenue est parfaitement adaptée à une telle situation. Je ne sais pas jusqu’où cela va me mener mais je m’avance juste devant l’inconnu et ouvre grand mon manteau à la manière d’un exhibitionniste.

Devant cette invitation l’homme comprend le sérieux de la situation, se lève et m’interroge sur le bien fondé de mes intentions. Je réalise que je suis sur le point d’avoir une relation sexuelle avec un clochard et, même si à cet instant je ne sais pas encore quel genre de rapport je vais avoir, cela m’excite énormément. Dans un souci d’hygiène, Franck le questionne sur sa propreté en lui proposant une simple masturbation. L’homme répond qu’il se lave chaque soir au foyer avant de retourner dans la rue. Cette précision ouvre bien d’autres prestations et Franck me fait savoir que la décision et le choix de mes actes me reviennent. Mes idées s’embrouillent, cette robe, mon exhibition sur le bord de la route, tous ces hommes qui ont caressé, touché, pénétré mon intimité, tout cela sans que je puisse accéder au plaisir suprême, je ne trouve rien d’autre à faire que de m’abandonner à cet homme.


Dans un mouvement d’épaules, je fais glisser mon manteau qui tombe à terre.

L’homme me prend dans ses bras, ses mains tombent presque naturellement sur mes fesses.

"Hummm voilà des fesses bien douces".

"Oui, presque autant que ses seins !" dit Franck

"Haaaa ? Mais je ne demande qu’à voir…" répond l’homme en basculant légèrement son torse en arrière.

Je déclipse alors la boucle située devant ma poitrine. Aussitôt les pans de ma robe s’échappent laissant apparaître mes seins. L’homme s’en approche et commence à les embrasser.

"Humm, qu’ils sont bons, et tes tétons sont tous durs déjà, ça te plait de te faire tripoter par un clodo hein ?"

Je ne réponds pas.

"Moi aussi j’ai quelque chose de tout dur, tu sais !"

"Mais je ne demande qu’à voir…"

L’homme me regarde droit dans les yeux, les miens se font coquins.

"Si tu veux, ma belle"

En un instant son pantalon et son slip de coton rejoignent mon manteau et me laissent voir un très joli sexe. Une belle forme bien cylindrique, surmonté d’un gland violacé déjà décalotté en forme de noix, le tout étant assez gros mais très long.

"Puisque j’ai goûté à tes poires, viens goûter ma banane…"

Cette remarque m’amuse autant qu’elle m’excite. Je m’accroupis et saisis cette "banane" qui m’est offerte. Après quelques mouvements de bas en haut, j’approche ma bouche et pose ma langue sur le dessus du gland. Doucement je la fais descendre le long de cette hampe de chair sur laquelle je pose également mes lèvres. J’entends l’homme gémir, ce qui m’encourage. J’appuie davantage ma langue en remontant vers le gland, comme on lèche une glace en cornet. Arrivée au sommet, j’avance encore ma bouche et referme mes lèvres sur ce sexe chaud et doux. Doucement je l’avale petit à petit, encore, encore, jusqu’à ce que mes lèvres touchent les bourses. Soudain l’homme pose ses mains sur ma tête et l’entraîne dans un va-et-vient lent mais régulier. Malgré que ses mains me forcent à avaler la totalité de son sexe, je me laisse guider par ses mains. À l’intérieur de ma bouche, ma langue ne cesse de lécher sa queue, son gland. Parfois, arrivée contre son ventre, elle en profite pour caresser ses bourses. À entendre ses gémissements et ses encouragements je pense qu’il apprécie ce petit traitement.

Ses mouvements se font plus rapides à présent et il les accompagne par de petits coups de reins. Je suis très excitée mais je réalise soudain qu’il n’a pas enfilé de capote, alors je suis obligée d’arrêter la séance. Je me recule en lui expliquant pourquoi et lui propose de le masturber pour qu’il puisse jouir et obtenir son plaisir.

C’est alors que Franck s’avance et nous tend un petit emballage en aluminium.

"Ça pourrait peut-être vous aider non ?"

L’homme me fixe dans les yeux.

"Tu veux me le mettre ?"

Je saisis l’étui et l’ouvre. Penchée en avant, je lui pose la capote sur le sexe et le déroule délicatement jusqu’en bas. Pendant ce temps l’homme profite de ma position (volontaire) pour caresser mes fesses et même glisser ses doigts dans ma raie. J’aime cette caresse, alors je m’avance contre lui et me penche davantage, si bien que ma bouche se retrouve juste au-dessus de sa queue et c’est avec plaisir que je la prends à nouveau dans ma bouche. Ainsi rapproché, mon cul lui est plus accessible, aussi en profite-t-il pour aventurer ses doigts plus loin. Je les sens descendre entre mes fesses, puis sur mon petit trou qu’ils caressent un instant. Puis ils glissent plus bas, jusqu’à trouver ma fente. Sans attente ni hésitation, l’homme m’enfonce un doigt dans la chatte, puis aussitôt un second. Je fais alors partager à cet homme le plaisir qu’ils me donnent en m’appliquant sur sa queue.

Soudain il retire ses doigts et me relève en me prenant par les épaules.

"Ah putain… que c’est bon, tu suces merveilleusement et je ne vais pas tenir très longtemps à ce rythme"

Je me recule et défais la petite attache au niveau de ma hanche qui maintient ma robe encore fermée. Celle-ci ne tient plus que par mes épaules. Il s’approche, pose ses mains sur mon cou et tout doucement, dans une délicieuse caresse, il entraîne les pans de ma robe jusqu’au-delà de mes épaules. Naturellement ma robe s’affaisse et me voilà complètement nue. Il me prend alors par la taille et me pousse jusque contre le mur, je relève ma jambe et la passe derrière son dos mais il la repose à terre avant de me retourner. Puis il saisit mes poignets et les plaque contre le mur au-dessus de ma tête. Je me laisse faire, lui laisser le choix de me prendre comme il préfère m’excite encore plus. Ses mains parcourent mes bras, puis mes seins qu’il caresse, puis il pince mes tétons devenus si sensibles que mon plaisir est sans fin sous ses caresses. Enfin, je sens son sexe glisser entre mes cuisses. Je les écarte d’ailleurs bien grandes.

Son gland se pose sur ma fente, celle-ci est si lubrifiée et ouverte qu’il y entre juste en passant dessus. Puis je sens la poussée s’accentuer et son sexe pénétrer en moi. Me voilà comblée, j’ai enfin une queue entre les jambes, une jolie bite qui s’enfonce en moi et qui m’offre un vrai plaisir. Rapidement l’homme s’active. Il abandonne mes seins pour me saisir par la taille, à chaque coup de reins ses mains me tirent contre son ventre. De mon côté, je cambre le dos pour sentir sa queue s’enfoncer bien au fond de mon intimité. Ses coups de reins se font de plus en plus rapides et de plus en plus forts. Je n’aime pas particulièrement cela en temps normal, mais là, je suis dans un tel état d’excitation que je j’y prends un plaisir délicieux. Parfois il ressort sa queue entièrement avant de l’enfoncer à nouveau, le fait d’être pénétrée d’un coup et entièrement me donne d’incroyables montées de plaisir et de jouissance, j’aime ça, oui en plus de cette situation sa façon de me faire l’amour me plait énormément et je ne vais pas tarder à jouir.


C’est alors que Franck s’approche de nous, et plus particulièrement de moi. Rapidement il se débarrasse de son pantalon et de son boxer et me présente juste sous les yeux un sexe raide comme un pylône électrique. Immédiatement ma bouche s’ouvre et Franck m’enfonce sa bite tout entière.

Hummm, j’adore déjà en temps normal sucer son sexe mais dans de telles conditions je suis comblée. Franck semble très très excité, aussi je m’active sans perdre de temps à une allure fougueuse.


Soudain, dans un violent coup de reins, l’homme se plaque contre moi, ses mains me serrent terriblement fort. Son éjaculation est si forte que je sens les contractions de son sexe contre mes lèvres. Puis très brièvement mais avec force, il se retire et s’enfonce à nouveau. Une nouvelle contraction se fait sentir. À mon tour j’explose de plaisir, je sens mon jus de jouissance s’échapper autour de son sexe et couler le long de mes cuisses. Tout en restant fortement serré contre moi, il donne des coups de reins qui me soulèvent légèrement, j’ai l’impression que ses bourses vont entrer elles aussi dans mon sexe. Cette pénétration de force me fait un peu mal, mais comme elle n’est que brève, j’en retire finalement du plaisir.

D’autant plus que c’est à cet instant qu’arrive le meilleur, Franck jouit en de grosses quantités de sperme. Tout en gardant la bouche bien fermée et sans cesser mes va-et-vient, je reçois son foutre dans la bouche et dans la gorge. Lorsque ma bouche en est remplie et que le sperme commence à s’échapper de mes lèvres, j’avale le breuvage qu’il vient de me donner. Puis ma langue commence à lécher intérieurement ce sexe généreux, avant de le libérer pour finir de le nettoyer.

Après quelques minutes, l’homme se penche sur moi et ses mains s’emparent à nouveau de mes seins. Mes tétons toujours aussi sensibles réagissent à cette caresse et me procurent quelques frissons. Puis il se retire et vient s’appuyer contre le mur à côté de moi. Nous nous regardons, puis mes yeux se baissent et fixent son sexe. Il est entièrement noyé dans son sperme, la petite poche réservoir n’a pas suffi et du sperme remonte presque jusqu’en haut de la capote. Comme j’aimerais boire ce délicieux nectar, mais la prudence me résigne à n’en rien faire.


Franck s’essuie rapidement à l’aide d’un mouchoir en papier et m’aide à réenfiler ma robe et mon manteau. L’homme quant à lui s’habille et nous avoue ne pas comprendre les raisons qui nous ont décidés à faire cela mais qu’il en est ravi, bien entendu. Par franchise je lui avoue que cela était l’un de mes fantasmes non encore réalisé mais qu’il s’agissait aussi pour moi de lui offrir un peu de sexe car aimant tellement cela je trouve bien déplorable qu’il ne puisse pas en avoir de temps en temps. Naturellement il demande de lui faire charité plein d’autres fois, mais je lui réponds que l’exception fait plaisir et non pas l’abondance.


Nous nous quittons, Franck et moi regagnons l’ascenseur et notre appartement.

Curieusement depuis ce jour (voilà plus de trois mois), nous ne l’avons pas encore revu.


Sandra