n° 08421 | Fiche technique | 15867 caractères | 15867Temps de lecture estimé : 10 mn | 07/01/05 |
Résumé: Pendant que son mari la trompe, Sophie se fait prendre par 2 mecs. | ||||
Critères: fhh extracon cocus fête strip facial fellation cunnilingu anulingus 69 sandwich fdanus fsodo | ||||
Auteur : Marc (Homme 31 ans) |
La soirée est terminée, nous saluons nos hôtes et prenons congé. La bise que j’échange avec Julia est très proche de la bouche et nous nous frôlons autant que nous le pouvons sans éveiller l’attention.
Sur le chemin du retour, je dis à Sophie :
Je m’exécute et alors que nous sommes enfoncés dans le bois, elle me dit :
Ce que je fais.
Elle prend une grande inspiration et balance :
Là, j’en reviens pas, elle qui est si prude, elle s’est fait prendre par 2 mecs à la fois.
En tous cas pour moi, c’était surtout sexuel et ça ne remet pas en cause notre couple, et pour toi ?
Je redémarre et me dirige vers notre maison. Les enfants sont chez leurs grands-parents, on est tranquilles pour le reste de la nuit. Nous enfilons nos pyjamas et une fois sous la couette, je commence mon récit avec Julia en n’omettant aucun détail.
Alors voilà :
Guère de temps après que vous soyez partis avec Julia, Patrick dit :
Sylvie dit qu’elle s’en occupe et demande si on peut l’aider. Je me propose ainsi qu’Alain et Aurélien. On part tous les 4 chez eux en voiture, on charge les bouteilles et au moment de repartir, j’ai eu envie de faire pipi. Je leur dis et je dis aussi à Sylvie de repartir avec la voiture, que je reviendrai à pied. Alain dit « alors, je t’attends, on ne sait jamais qui on peut croiser la nuit dans les rues». Là, Sylvie dit « vous ne faites pas de cochonneries tous les deux », en rigolant. Et là-dessus, Aurélien dit « je vais rester aussi pour les surveiller ».
Donc Sylvie repart seul avec la voiture et je me retrouve seule avec les 2 mecs. On rentre à la maison, je vais faire mon pipi, pendant ce temps, je les entends qui débouchent une bouteille de champagne, je les rejoins dans la cuisine et là, je laisse tomber mon chouchou par terre, je me baisse pour le ramasser en leur tournant le dos et là Alain dit :
Et là, plutôt que de couper court à cette dérive, j’en rajoute en disant :
Ils se regardent et Aurélien dit :
Et là, je sais pas ce qui me prend, je bois cul sec mon verre de champagne, - ils se dépêchent de m’en servir un autre que je bois aussi – et je leur dis :
J’allais commencer mon strip-tease au milieu de la cuisine quand Alain dit :
J’enlève mes chaussures et mes chaussettes et je monte sur la table pour commencer mon effeuillage. Je me dandine en faisant glisser mon pantalon sur mes chevilles. Ils m’aident à passer les pieds et je me retrouve en string sous les sifflets admiratifs des 2 mecs.
Aurélien dit alors :
Là encore, je m’exécute et déboutonne ma chemise en tournant sur moi-même. Pendant ce temps, leurs mains commencent de parcourir mes jambes, montent même jusqu’à mes fesses pour les caresser. Je commence à aimer ça et ça m’excite. J’enlève mon chemisier et ils découvrent ma poitrine qui a tendance à déborder du soutien-gorge. Je me mets accroupie entre eux et leur dis :
Aurélien lui, ne dit rien, mais il profite de ma position pour glisser une main sous mes fesses et écarter la ficelle de mon string. Il passe ses doigts sur mes lèvres et sent que je suis toute mouillée. J’ai fermé les yeux et je respire par la bouche sous sa caresse. Il entre un doigt dans mon vagin et dit à Alain :
Le doigt d’Alain remplace celui d’Aurélien dans ma chatte, mais Aurélien me caresse le cul avec son doigt mouillé et crac, il me l’enfile aussi, je pousse des petits cris de plaisir avec leurs doigts dans mes 2 trous. Ils accélèrent la cadence, mettent deux doigts chacun, me caressent le corps, me disent que je suis bonne, etc., bref, au bout de quelques minutes, je jouis et m’allonge sur la table, vidée. Ils ont retiré leurs doigts mais continuent de me caresser le corps quand je leur dis :
Et ils descendent leur frocs sur leurs chevilles. Aurélien était en caleçon et Alain en slip, mais tous les deux manquaient de place dedans tellement ils bandaient. De les voir bander pour moi, ça m’a fait plaisir, je me suis sentie désirée, admirée même. Du coup, j’ai empoigné les bosses de leur sous-vêtements et je les ai caressés. Puis, je leur ai dit comme eux tout à l’heure :
Ils ne se sont pas fait prier et se sont retrouvés à poil en moins de deux. Je suis descendue de la table et ils m’ont enlevé mon string trempé et mon soutif. On était les 3 à poil dans la cuisine, ils se sont mis de chaque côté de moi et m’ont caressée, embrassé les seins, les fesses. Moi, j’ai pris leurs bites dans mes mains et j’ai commencé de les branler, puis je me suis mise accroupie et je les ai sucés comme une folle, à tour de rôle. Aurélien en a une à peu près comme toi mais Alain en a vraiment une grosse : longue et grosse. Ils me tenaient par les cheveux et je les pompais aussi fort que possible. Aurélien a joui le premier, dans ma bouche en me tenant la tête pour que j’avale. Je couinais, mais il ne lâchait pas, donc j’ai avalé. Quand il s’est retiré je lui ai dit que c’était un salaud, alors il s’est baissé et il m’a roulé une pelle et m’a dit : comme ça, on en aura eu tous les 2 !
En fait, c’était pas désagréable avec le recul. Bref, j’ai continué avec Alain qui n’a pas tardé à faire pareil et là c’est moi qui l’ai maintenu pour avoir tout dans la bouche. Ils étaient vidés, et moi, j’avais envie de leurs queues en moi, je leur ai dit :
Je me couche et il empoigne la bouteille de champagne et me la verse sur le corps, enfin surtout les seins, le ventre, le sexe, les cuisses. Ils se sont mis à me lécher partout où il y avait du champagne. J’avais le corps électrisé de sentir leurs langues partout à la fois. Ils bandaient tous les 2 de nouveau. Alain était en train de me lécher la chatte tandis que Aurélien se faisait à nouveau sucer. Alain s’est relevé, a présenté son pieu à l’entrée de ma fente et a commencé à me l’enfoncer. Je mouillais fort, mais elle est grosse et elle rentrait pas vite. D’un seul coup, il a poussé plus fort et elle est rentrée tout entière en moi, j’ai crié un coup sous la douleur et il a commencé à me pistonner. Là je gueulais aussi, mais c’était plus de la douleur, je jouissais à chaque coup de boutoir. J’avais les jambes relevées au-dessus de ses épaules et il me pilonnait comme une brute. C’était le pied total. Puis il a calmé le rythme en disant qu’il allait jouir trop vite. Aurélien lui a dit quelque chose à l’oreille puis Alain s’est retiré. Aurélien a pris sa place et les va-et-vient ont repris. Je le sentais moins gros, mais c’était bon quand même.
Aurélien s’est arrêté aussi et Alain a pris ma place sur la table et a dit :
Voilà de quoi ils parlaient tout à l’heure.
Je me suis assise sur la pine d’Alain et Aurélien a léché mon trou du cul, il y a enfoncé un doigt et, vu comme je mouillais, m’a enculée d’une seule poussée. Ils ont repris leurs aller-retours en cadence. Je te promets que de sentir leurs deux bites dans mes deux trous en même temps, c’était divin !!! du coup j’ai encore eu un orgasme, mais eux, ils n’avaient pas joui, donc ils ont échangé leurs places.
Par contre, je pensais pas que la bite d’Alain rentrerait dans mon cul, eh bien si, et sans souci en plus. Ils m’ont limé encore un bon moment, et j’ai encore joui, mais eux toujours pas. Moi, j’en pouvais plus, alors ils m’ont allongée sur la table encore une fois et je les ai branlés, sucés jusqu’à ce qu’ils crachent leur foutre dans ma bouche, sur mes seins.
Le temps de me remettre de mes émotions, je me suis lavée rapidement, on s’est rhabillés. Je leur ai demandé de ne parler de ça à personne et on est repartis à la salle. Sur le chemin du retour, ils me pelotaient encore le cul et les seins. Mais surtout le cul, parce qu’ils savaient que j’avais plus mon string, qui était trempé dans ma poche.
Quand on est arrivés, Sylvie nous a demandé ce qu’on avait foutu depuis tout ce temps. On lui a dit qu’on avait débouché une bouteille et qu’on avait discuté sans voir le temps passer.
Moi, j’aime le sexe, toi aussi apparemment. Pourquoi on s’en priverait. Si l’un ou l’autre pense que ça va trop loin un jour, et que notre couple est menacé, on peut tout arrêter. Mais là, ton récit m’a fait bander de bout en bout et là, j’ai qu’une envie, c’est de baiser comme un fou avec toi. De te prendre comme ces deux veinards de tout à l’heure.
Elle met la main dans mon caleçon et y trouve ma queue raide et poisseuse de liquide séminal. Elle rejette la couette en arrière, baisse mon pantalon, ôte sa chemise de nuit et se met en 69 pour me sucer en attendant que je lui rende la pareille, ce pourquoi je ne me fais pas prier. La nuit s’est poursuivie comme elle avait commencé : en orgie sexuelle.
FIN