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Temps de lecture estimé : 7 mn
07/01/05
Résumé:  Léontine est très attentive au nouveau curé.
Critères:  f h fplusag inconnu religion voir fmast hmast légumes fdanus hdanus hgode
Auteur : Klipsch      
La bonne du curé



Depuis que la vieille Léontine travaillait à la paroisse, elle en avait vu défiler du monde. Cela faisait près de 40 ans qu’elle occupait la fonction de bonne du curé et l’heure de la retraite n’avait pas encore sonné. Entamée à l’âge de 17 ans, sa carrière lui laissait beaucoup de très bons souvenirs. De moins bons aussi, quand il avait fallu enterrer l’un ou l’autre des prêtres. Comme ce pauvre abbé Roubier qui venait subitement de passer de vie à trépas après 15 ans de complicité ! Paix à son âme ! L’évêché devait lui envoyer aujourd’hui même son remplaçant, dont elle ne connaissait que le nom, Delamarre.


A 57 ans, Léontine était bien conservée. Son look un peu vieillot contrastait bizarrement avec une forme éblouissante. La tenue de bonniche qu’elle affectionnait depuis toujours ne suffisait pas à dissimuler sa vitalité et son tonus. Ses cheveux gris remontés en chignon et ses petites lunettes cachaient à peine un visage encore agréable que les outrages du temps n’avaient pas défiguré. Son ventre n’ayant pas subi les désagréments d’une ou plusieurs grossesses était demeuré plat jusque là et ses longues jambes musclées inspiraient plus d’un homme au village.


Il était près de 16 heures quand une voiture s’arrêta devant le petit presbytère. Léontine venait de terminer in extremis le lavage des vitres quand l’abbé Delamarre frappa à la porte. Elle se précipita pour l’accueillir et lui ouvrir la porte.


Les présentations furent vite faites. Le jeune curé avait fait une longue route et semblait pressé de prendre ses quartiers. C’était sa première véritable affectation. Sorti du séminaire il y a quelques mois à peine, il venait de terminer un court stage dans une paroisse du nord de la France, à 600 kilomètres de là. À peine âgé de 27 ans, il prenait la responsabilité d’un troupeau de 6.000 brebis, réparties sur une dizaine de communes de la Creuse. Emporté par l’élan de la jeunesse, la tâche confiée par l’évêque ne lui faisait pas peur. Mais pour l’instant, ce qui comptait c’était de s’installer et de se rafraîchir quelque peu.


Léontine, qui connaissait bien les habitudes des hommes d’église, avait anticipé sa demande et lui avait fait couler un bon bain. La salle de bain du presbytère était assez rustique, mais le confort néanmoins acceptable.


Après son long voyage, l’ex-séminariste aspirait à un peu de calme et de détente. Il connaissait l’immensité de la tâche qui l’attendait dès le lendemain mais voulait profiter pour l’instant de quelques moments de tranquillité. La bonne avait bien fait les choses. La baignoire remplie aux trois quarts était prête à accueillir le jeune homme et elle avait poussé le bon goût jusqu’à y verser quelques gouttes d’huiles essentielles de lavande. L’abbé Delamarre, une fois dévêtu, s’immergea entièrement dans la douce chaleur du bain odorant.


La chambre de la bonne était contiguë à la salle de bain. Celui qui aurait pu voir ce qui s’y passait aurait été bien étonné de trouver la vieille Léontine juchée sur un tabouret, l’œil collé au mur, rivé à un trou habituellement caché par une image pieuse. Saint Michel terrassant le dragon était posé face contre terre et la bonne observait avec curiosité l’intimité du prêtre. Cela faisait bien longtemps que le spectacle n’avait pas été aussi agréable.


En quarante années de bons et loyaux services, Léontine avait eu à maintes occasions la possibilité d’observer les curés successifs dans leur bain. L’abbé Roubier avait 72 ans à la veille de sa mort et son physique n’avait plus rien à voir avec celui de son remplaçant.


L’abbé Delamarre était grand et assez bien bâti. Un léger embonpoint trahissait une certaine tendance à la gourmandise, mais dans l’ensemble son corps était ferme et musclé. Léontine se réjouit à l’idée de le voir souvent faire sa toilette, dans l’intimité de sa petite chambre.


Inconscient d’être observé, le père Delamarre profitait de son bain. Le voyage avait été long et éprouvant et il était bien content de pouvoir se détendre. Ce bain lui en rappelait un autre, au séminaire, quelques temps avant son départ. Cette évocation ne le laissait pas indifférent. Sa main glissa lentement le long de sa cuisse et, presque machinalement, il se saisit de sa bite.


Léontine, perchée sur son tabouret, ne perdait rien de la scène. Oh certes ! Elle en avait vu des branlettes solitaires se passer dans la salle de bain en quarante ans. On a beau être prêtre, on n’en est pas moins homme. Même l’abbé Roubier s’adonnait encore à ce petit jeu sans conséquence la veille de sa mort. Cependant, le fait de découvrir si rapidement la virilité du nouveau curé la troublait plus qu’elle ne l’aurait pensé. Le voir maintenant s’astiquer le membre à pleine main entraînait des fourmillements dans son propre bas ventre. Elle connaissait bien ce symptôme familier et savait qu’il lui faudrait éteindre sous peu le feu qui couvait dans ses entrailles. On a beau être bonne du curé, on n’en est pas moins femme.


Dans son bain, le jeune curé astiquait voluptueusement son pénis gonflé. Sa large main droite enserrait le membre turgescent, montant et descendant alternativement le long de la hampe. Les doigts de l’autre main étaient repliés sur le gland luisant et en caressaient le bout avec douceur.


Les pensées du prêtre étaient tout entières tournées vers les étreintes viriles qui avaient précédé son départ du séminaire il y a quelques mois. L’ambiance exclusivement masculine du pensionnat n’avait pas été pour rien dans la révélation de ses tendances homosexuelles. Les parties fines étaient le lot quasi quotidien des plus jeunes séminaristes, encadrés dans ce domaine par les plus anciens. Devenu ancien à son tour, il n’avait pas hésité à prendre le relais et à former lui aussi les nouvelles recrues. La boucle était ainsi bouclée, mais il appréhendait maintenant de se retrouver seul avec son sexe, perdu dans le petit village de la Creuse.


Dans la pièce d’à coté, Léontine laissait libre cours à ses pulsions intimes. La main sous le tablier, ses doigts partaient à la recherche de son sexe trempé. Ils écartèrent la fine étoffe de sa culotte pour plonger dans une moule dégoulinante à souhait. De longues années de pratique de la masturbation avaient habitué la bonne à ce genre d’intromission spontanée. Les doigts ne rencontraient plus guère de résistance au passage des lèvres gonflées de désir. Elle avait du mal à remplir son vagin avec un ou deux doigts. C’est pourquoi elle n’hésita pas à y enfoncer la main toute entière. Mais même là, l’impression de plénitude était fugace. Il faut dire que, bien souvent, c’était des engins autrement plus gros qui occupaient l’endroit.


De sa main restée libre, Léontine se caressait les seins en cadence. Elle possédait encore une belle poitrine pour son âge. Ses mamelles n’avaient pas été altérées par une maternité, ni d’ailleurs par le feu du soleil. Les seuls mauvais traitements qu’elles aient subis était le fait de leur propriétaire, qui n’hésitait pas à les martyriser à l’occasion. Une main dans sa culotte, immergée au fond de sa chatte, et l’autre sur les seins, celle-ci espionnait avec délice la masturbation du prêtre.


Le jeune curé, toujours plongé dans ses souvenirs licencieux, venait de se lever. À la grande surprise de Léontine, il continua à se branler debout et posa un pied sur le rebord de la baignoire. Il caressait toujours son gland avec 3 doigts, mais son autre main s’attardait à présent juste sous ses testicules. La bonne s’approcha un peu plus du trou dans le mur et fut surprise de constater que le jeune homme ne se contentait pas de caresser ses boules.


L’un de ses doigts avait imperceptiblement glissé vers la raie de son cul et semblait masser le centre de son fondement. Elle fût convaincue de la chose quand elle vit le curé se saisir de la savonnette posée sur la tablette, puis s’enduire l’index de savon. Le doigt vicieux retrouva ensuite le chemin de l’entre fesses pour entamer un curieux manège.


La vision du prêtre pédé en train de se branler la bite et le cul redonna une nouvelle vigueur à la branlette de la femme. Cette fois-ci ses doigts ne suffisaient décidément plus. Elle quitta momentanément son poste d’observation pour aller chercher dans sa table de chevet un godemiché de bonne taille. Celui qu’elle réservait habituellement à ses masturbations nocturnes. L’engin trouva facilement la voie laissée libre par ses doigts et elle songea qu’il lui faudrait sans doute en commander un de plus gros calibre bientôt.


Revenue sur son tabouret, le gode fiché dans la chatte, Léontine s’aperçut que le curé pervers avait changé de position lui aussi. À genoux sur le tapis de bain, le torse posé sur la baignoire, il s’astiquait le manche et, mon dieu, oui ! II faisait aller et venir lui aussi un dildo de bonne taille dans son fourreau rectal dilaté. Son visage était transfiguré par le plaisir et il faisait un peu peur à la bonne.


Devant tant de perversité concentrée, Léontine n’en pouvait plus. S’identifiant au prêtre mais regrettant de ne pouvoir, elle aussi, se mettre à quatre pattes sans quitter son poste d’observation, elle laissa naviguer le gode entre sa chatte et son cul.


L’engin, bien lubrifié par les sécrétions vaginales de la femelle lubrique, n’eut aucune peine à forcer un peu la pastille violacée de l’anus. S’il était un peu fin pour le sexe, son diamètre effrayait à chaque fois la bonne quand il s’agissait de se l’enfoncer dans le conduit anal. Pourtant, cette fois-ci, l’appréhension était absente tant l’excitation était forte.


Dans le petit village, les paroissiens étaient loin d’imaginer ce qui se passait dans l’intimité du presbytère. Le nouveau curé, écartelé par le gode anal reçu en cadeau lors de son départ du séminaire était proche de l’extase. Bien loin des préoccupations de sa charge, il se limait la verge avec constance mais semblait plus intéressé par l’engin qui lui ramonait le cul. La joue sur le rebord de la baignoire il retenait son plaisir, tentant de retrouver dans la solitude de la salle de bain les sommets de jouissance connus lors des parties fines du séminaire. Quand, finalement vaincu par la bite factice qui le remplissait, il éjacula un torrent de foutre, il se laissa tomber sur le carrelage.


De l’autre coté, Léontine le singeait, une main dans la chatte, le godemiché planté avec obscénité dans le fondement. Elle ne fut pas longue à suivre le jeune curé vers les sommets. Quittant le tabouret, elle alla s’effondrer sur son petit lit. Dans un bruit le fourreau anal éjecta le godemiché devenu encombrant. La cramouille de l’employée de maison demeurait obstinément béante et mit du temps à retrouver sa forme originale.


Avant de s’endormir, Léontine eut le temps d’entrevoir les possibilités nouvelles pour son propre plaisir que laissait espérer la perversité du nouveau curé.