Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 08448Fiche technique17843 caractères17843
Temps de lecture estimé : 10 mn
11/01/05
Résumé:  Un cycliste rencontre une jolie femme
Critères:  fh inconnu sport pénétratio
Auteur : Jérôme Red  (Raffiné de 50a)            Envoi mini-message
Vive le vélo !




Cela faisait déjà plus de 50 Km qu’il roulait et Jérôme se sentait de mieux en mieux. Il

aimait ces sorties en vélo quand il partait tôt le matin et que l’effort de pédaler installait en blui petit à petit la plénitude de son corps qu’il sentait réagir à chaque nouvel effort que lui demandait la route.

Il venait de sortir d’un petit village et relançait, debout sur les pédales. Il la vit de loin. Sur le côté gauche de la route, en face de la maison, éclairée par le soleil une jeune femme penchée sur la butte du talus cueillait des fleurs. Vêtue d’une robe simple, relevée par sa position penchée elle laissait voir des cuisses superbes et deviner une croupe généreuse.

Jérôme ne put s’empêcher, en passant à sa hauteur de crier "Oh la belle fleur!"…

Il passa ainsi vite devant elle, puis se retournant il la vit agiter la main et lui répondre "Merci champion"…

Sans trop savoir pourquoi, il freina brusquement et fit demi tour,

Arrivé à sa hauteur il put constater qu’elle était très jolie, blonde aux yeux bleus, cheveux

courts…"Je persiste" dit-il comme pour s’excuser "Quelle belle fleur!!" elle rit franchement

et lui répondit: " Vous allez sans doute trop vite….sans doute même pas le temps de vous rafraîchir?"

" Oh si dit- il je boirais bien quelque chose de frais"

"Alors venez dit elle en sautant de son talus sur la route" et elle le précéda dans la maison,

"Entrez, je vous propose un jus d’orange"

"Parfait" dit Jérôme en s’asseyant sur un des deux canapés qui se faisaient face.


Pendant que la jeune femme préparait les boissons Jérôme examinait la pièce, cherchant

par là des indices lui permettant de deviner à quel genre de personne il avait à faire.

Le séjour était meublé et décoré avec goût, sans ostentation, une grande bibliothèque

abritait un nombre impressionnant de livres, une chaîne hi-fi de qualité trônait dans un coin.


"Voilà c’est prêt" elle disposa sur la petite table entre les canapés deux verres de jus

d’orange, et s’assit en face de lui, toute souriante.


Jérôme encore surpris d’être là, et tout en sueur à sa descente de vélo, ne savait trop

quelle contenance adopter.

Ce fut elle qui brisa le silence:



que les circonstances étaient exceptionnelles.."



remontée laissait voir un peu de vos cuisses.,.voilà…"

Elle décroisa et recroisa les jambes, et toujours souriante:" Et cela vous a plu?"



Elle se tourna face vers le canapé, tournant ainsi le dos à Jérôme, puis se penchant en avant en regardant derrière le canapé: "Zut où ai je mis ce journal.."

Cette position était l’exacte réplique de ce qui avait tant plu à Jérôme, sauf que cette fois il était à moins de deux mètres d’elle, et immobile, pouvant la contempler tout à loisir.



l’heure…"



relevée…."



Jérôme avait devant les yeux deux jambes magnifiques, légèrement écartées, surmontées de deux cuisses sur lesquelles retombait en partie la robe tenue d’une main . La peau était belle et satinée, blanche presque transparente. Plus haut Jérôme devinait une croupe qu’il imaginait blanche et lisse…



La jeune femme continuait de remonter le tissu de sa robe.

Jérôme, émerveillé, pouvait voir maintenant, à la limite du tissu, quelques poils, montrant ainsi que la jeune femme ne portait pas de culotte. N’en portait elle jamais ou l’avait-elle enlevée avant de servir les verres? Jérôme se promis de lui poser la question…

Le tissu remontait toujours, petit à petit la croupe se dévoilait, blanche, généreuse, bien

posée, tendue de chaque côté d’un sillon étroit et serré.

Arrivée au bout de sa course, la robe maintenant complètement sur ses hanches, la jeune femme pris appui les deux coudes sur le rebord du canapé, puis lentement soulevant sa jambe droite elle posa son genou sur le bord du siège.

Elle adoptait ainsi une position parfaitement impudique, les cuisses écartées, permettant à son invité de voir toute son intimité. Celui-ci ne s’en privait pas, il avait devant lui une

croupe superbe, entièrement dévoilée à sa vue, blanche, lisse, tendue, l’écartement

volontaire de la jeune femme laissant deviner un sillon profond et sombre dans lequel il

croyait déjà apercevoir les prémisses d’un œillet qu’il se promettait d’honorer des plus

vives démonstrations d’admiration.

Entre les cuisses il pouvait apercevoir quelques poils indisciplinés invitant le spectateur à

pousser plus loin ses investigations .

Cloué sur son siège Jérôme dégustait le spectacle que lui offrait cette jeune femme qu’il ne connaissait que depuis quelques minutes. Cette vision avait déclenché chez lui, depuis un moment une importante érection qui le poussa à ouvrir son pantalon, et à libérer son sexe afin de lui offrir toute la liberté nécessaire à la situation…



De sa position Jérôme pouvait voir, légèrement au-dessus de sa ligne de vision les deux

lèvres du sexe de la jeune femme, gonflées comme un abricot au-dessus duquel se détachait une mousse de poils blonds. Rivé à son fauteuil il dégustait ce spectacle en connaisseur, comme un convive averti s’apprêtant à déguster un grand crû. Déjà dans sa tête se bousculaient plusieurs images provoquées par cette vision et déclinant tous les plaisirs qu’elle lui inspiraient.

Assis sur son canapé, il la contemplait, offerte et ouverte à lui, la chatte et le cul à sa

disposition pour tous les jeux qu’elle en attendait, lui la bite enserrée dans sa main,

s’astiquant doucement en préparation à des joutes qu’il imaginait longues et variées.

Se levant enfin il s’avança vers l’autel sur lequel il se promettait de sacrifier à la volupté

et sans toucher aucunement de ses mains ces trésors bandant, son visage approchant des divines fesses ouvertes il posa délicatement ses lèvres sur le petit trou caché dans la raie culière sombre et chaude.

Un petit cri suivi d’un soupir l’avertit que l’on appréciait hautement cette caresse subtile et terriblement impudique. Encouragé par la jeune femme il baisa longuement le bel œillet

parfumé , les lèvres rivées au pourtour étoilé qui se distendait lentement, d’autant plus que maintenant Jérôme le léchait à pleine langue . Sous la douceur de la langue mouillée de salive abondante ta jeune femme ouvrit encore plus les cuisses afin de permettre à l’homme de lui lécher le cul plus intimement encore.

Complètement ouverte par sa position elle se laissait aller à ce léchage culier qui lui faisait

échapper des râles de plaisir maintenant bien affirmés. Jérôme en sentant l’élasticité de

l’adorable trou du cul qu’il était en train de manger, poussa son avantage, et introduisit le

bout de sa langue dans le conduit intime de la jeune femme.



Jérôme se retira un instant, reprenant son souffle:



Jérôme stimulé encore par ces paroles voluptueuses qu’il dégusta comme du miel continuait son enculage avec art, faisant aller et venir sa langue comme un piston dans le cul ouvert et accueillant.

Enfin voulant varier les plaisirs, il se retira, non sans avoir embrassé une dernière fois ce

petit trou délicat et chaud qu’il se promettait d’honorer bientôt d’une autre façon.

Il se leva et alla chercher dans un coin de la pièce un balai qu’il avait repéré depuis un

moment, laissé là peut-être pas sans arrière pensées libertines.

Passant face à la jeune femme il lui présenta l’extrémité du manche, celle-ci aussitôt

l’engloutit dans sa bouche et le suça comme une pine longue et raide. Après qu’elle l’eut bien mouillé, il le retira de cette bouche gourmande et passa derrière la jeune femme. Ouverte comme elle l’était, et légèrement en hauteur par rapport à lui, il voyait distinctement la belle chatte blonde ouverte entre les cuisses écartées, d’autant plus que celle-ci se cambrait effrontément afin de s’offrir encore plus expressément au regard de son invité.

Prenant le manche à deux mains Jérôme en présenta l’extrémité à l’entrée du con ouvert de façon à caresser doucement les abords excités de l’intimité de la jeune femme.

Laissant là le manche, il lui dit:



Pour toute réponse la jeune femme, fléchissant sur ses cuisses commença un mouvement

destiné à se faire pénétrer par le manche à balais tenu fermement par le jouisseur accroupi derrière elle, la queue raide de volupté contenue.

Elle s’empala ainsi lentement et profondément, puis arrivée en fin de course, stationna dans cette position un instant, comme pour savourer pleinement le plaisir de se faire baiser ainsi par son visiteur, par le truchement de ce manche.

Elle savait aussi par cette position, qu’elle augmentait le plaisir de son voyeur et elle en éprouvait elle-même une excitation délicieuse.

Après cette pose voluptueuse elle entreprit le mouvement inverse, destiné à se faire glisser sur le manche, la chatte serrée comme une bouche laissant celui-ci luisant de mouille.

Elle entreprit bientôt un mouvement de va-et-vient empalée sur le manche se baisant ainsi à un rythme de plus en plus rapide, agrémenté de soupirs et de râles du plaisir le plus vif

.



vicieuse" lui murmurait Jérôme au bord de l’éjaculation.



vous enculer si vous le permettez…"



branler, montrez-moi votre bite" pendant qu’elle continuait son mouvement de va-et-vient sur le manche laissant entrer et sortir celui-ci de sa chatte inondée, accrochée des deux mains au bord supérieur du canapé.

Jérôme tenait toujours le manche, accroupi dernière elle, il le retira délicatement

jouissant de la vue de cette chatte qui retenait jusqu’au dernier moment son plaisir.

Il passa de l’autre côté du canapé pour la voir car elle était restée accrochée au dossier, accroupie sur le siège, encore ouverte.

Jérôme bandait, sa queue était sortie, et tout en admirant le beau visage de la jeune femme

il remarqua son regard rivé sur sa bite.



Jérôme s’exécuta, debout devant elle, celle-ci commença à dégrafer sa ceinture. Elle

abaissa le cuissard cycliste et contempla un instant cette belle bite bien rectiligne,

solidement plantée sur une splendide paire de couilles pleines d’une liqueur qu’elle espère

bien libérer, surmontée d’un gland lisse et rond.

D’une main elle se saisit de la tige et délicatement remonta le prépuce sur le gland.



C’est ce qu’elle fit lentement, comme si elle découvrait une œuvre d’art. Sous sa caresse la peau se retira lentement, laissant apparaître un gland rouge et humide, tendu sous

l’excitation que lui proposait la main féminine. Puis se saisissant de la tige à pleine main,

elle la branla d’abord très lentement, faisant revenir la peau sur le gland, puis tirant vers

le bas pour la tendre.

Insensiblement la cadence de son branle s’accélérait, Jérôme en amateur éclairé appréciait la science amoureuse de la jeune femme.

La jeune femme tout en le branlant regardait alternativement la bite bandée emprisonnée dans sa main et les yeux de l’homme qu’elle excitait de sa caresse manuelle.

Elle s’appliquait à bien sentir la réaction de cette pine qu’elle dominait, de temps en temps elle passait une main sous les couilles pour les soupeser et bien apprécier leur volume plein d’une liqueur qu’elle s’activait à faire venir.

Elle se délectait de ce gland qu’elle voyait tour à tour disparaître et apparaître au gré du

mouvement de sa main.

Les yeux plantés dans ceux de Jérôme et la main refermée sur sa bite chaude, c’est ainsi

que la sonnerie du téléphone les surprit.

Le combiné était au coin du canapé, d’un regard à la jeune femme Jérôme lui fit comprendre qu’elle pouvait répondre. Elle se déplaça vers le bout du canapé en glissant sur le siège pendant que Jérôme se translatait par petits pas sur le côté, tous les deux prenant garde à ne pas interrompre leur occupation.

La main droite tenant toujours la pine bandée et continuant son mouvement de branle, elle se saisit du combiné de l’autre main.



Une voix féminine lui répondit.



La main occultant le micro un instant elle murmura à voix basse à l’adresse de son

partenaire:



Celui ci lui répondit d’une moue affirmative qui signifiait: oui, allez y parlez !

Ravie, celle-ci appuya sur le bouton du haut parleur afin que Jérôme puisse entendre la

conversation. Ce geste excita encore l’homme , ce que sentit la jeune femme à travers sa main, d’un œil coquin elle lui fit comprendre qu’elle appréciait.



La jeune femme, avant de répondre chercha l’approbation de son partenaire, ayant vite

compris que celui ci était décidément un libertin affirmé, elle répondit:



La jeune femme regarda Jérôme et répondit: