n° 08452 | Fiche technique | 13863 caractères | 13863Temps de lecture estimé : 9 mn | 11/01/05 |
Résumé: Au mariage d'un collègue, quel ennui, mais quelle rencontre avec une invitée enceinte de huit mois | ||||
Critères: fh extracon enceinte cunnilingu anulingus fsodo | ||||
Auteur : Fred hihic (Homme 38 ans region parisienne) |
Zut zut zut et rezut ! La poisse quoi ! J’étais invité au mariage d’un collègue, et vraiment pas envie de d’y aller. Mais je fus désigné par d’autres collègues pour aller lui remettre son cadeau de mariage issu d’une collecte. Tu parles ! Mes autres collègues avaient bien réussi à se débarrasser de cette corvée.
J’avais dis "ok, mais juste pour le vin d’honneur", mais une fois sur place j’apprenais qu’une place était retenue pour le repas de noce ! Seul au milieu de ces gens que je connaissais pas je risquais de m’ennuyer dur, du moins le pensais-je ! Je pris la résolution de m’esquiver pendant le repas et d’invoquer une urgence quelconque.
Les convives commençaient à s’installer autour des grandes tables de cette grande salle des fêtes ; quant à moi, j’étais relégué en bout de table au fond de la salle, entouré d’inconnus peu liants et très peu causants.
Le repas avait commencé lorsque deux retardataires se présentèrent à la porte, une femme enceinte d’environ 28 à 32 ans et son mari ; l’espace d’un bref instant, le mois de juin et son soleil coquin me firent voir par transparence toutes les formes majestueuses de cette femme enceinte.
Le couple s’assit à une autre table, cette délicieuse femme face à moi ; quand nos regards se croisèrent pour la première fois, j’eus une impression indéfinissable…
L’entrée finie, je continuais à dépérir d’ennui, mais les regards que j’échangeais avec cette jeune femme m’intriguaient, et je me forçai un peu à rester et à endurer ce mortel ennui.
Son mari jouait au gamin avec d’autres convives et s’exhibait en milles pitreries douteuses, se trémoussant de façon ridicule, car la musique du disc-jockey commençait déjà à se faire entendre.
"La pauvre " pensais-je, " elle doit pas être à la noce souvent avec un gros nigaud comme ça".
En effet elle affichait auprès des invités des sourires de bonne convenance, mais qui trahissaient un embarras certain.
Nos échanges de regards ne cessaient pas, je ne savais qu’en penser : attirance, appel au secours, drague visuellle ?
Le repas étant fini, les tables avaient étés repoussées pour laisser le champ libre aux danseurs.
Les petits verres de vin que j’avais bu m’avaient fait oublier un peu mon ennui, je restais donc là à ce mariage, me disant que c’était mieux après tout qu’un plateau télé seul un samedi soir chez moi.
La jeune femme enceinte était assise seule, son grand dadais de mari continuant ses exercices de niaiserie.
Nos échanges de regards continuaient dans la discrétion.
Que faire ? pensais-je. Elle était si jolie, châtain clair, des yeux marron, de taille moyenne, une poitrine ferme, généreuse mais pas trop ; des jambes potelées mais bien galbées, une cambrure des reins accentuée par sa grossesse, un ventre qui reposait sur un peu sur ses cuisses, tant il était avancé dans la grossesse.
Je n’y tenais plus, il fallait que je fasse quelque chose pour savoir ce que voulaient dire ces regards que nous échangions. Je ne connaissais personne ici, je ne risquais rien, mais comment faire ?
Puis, en voyant un serveur qui avec son plateau proposait des coupes de champagnes aux invités, j’eus un trait de génie !
Je griffonnai à la hâte un petit texte sur un morceau de papier.
" Voudriez-vous discuter avec moi dehors, ou fumer une cigarette avec moi si votre état vous le permet encore, je suis ce jeune homme seul à la table vers les plantes vertes ; si vous êtes d’accord, allez vous servir un verre d’eau au buffet et je vous attendrai dehors en partant le premier".
Oui, je sais, c’est un peu long comme invitation, mais je voulais bien planter le décor et être sûr de nos intentions mutuelles.
Le serveur arrivait avec ses coupes de champagnes, je glissai mon papier discrètement dans le creux de la main du serveur avec un billet de 10 euros (j’avais eu cette idée en me rappelant l’avoir vu faire dans des films), et lui dis d’aller le porter à "cette jeune future maman", en lui recommandant de ne pas dire à l’intéressée de qui il provenait ; si on lui posait la question, il ne devait rien dire ni laisser transparaître quoi que ce soit.
Il finit son tour de plateau comme si de rien n’était et, arrivé à la hauteur de la jeune femme, il lui présenta mon mot de façon que personne ne voie rien.
J’étais cramoisi, un sentiment de honte m’étreignait ; et… si elle allait trouver son mari ! et… si j’allais passer pour un con ! et… si elle me répondait sur le papier qu’elle n’avait besoin de rien !
Elle lut mon mot en le cachant sous un mouchoir en papier. Mon cœur battait fort ! Les minutes passaient, plus un regard de sa part puis, au moment où j’allais presque m’en aller en me disant que tout était perdu, elle se leva en me regardant avec insistance et se dirigea vers le buffet se servant elle-même un grand verre d’eau.
Elle me regardait avec insistance, et je compris qu’il fallait que j’aille l’attendre dehors.
La nuit était là. Depuis le début j’avais envie d’elle, et ce n’est que maintenant que mon désir s’éveillait.
Elle sortit seule et me fit signe de la main d’aller plus loin pour être plus à l’écart de tous les gêneurs.
Le parc offrait de l’espace, je me reculais, et quand je fus assez loin, elle regarda derrière elle avec insistance pour voir si personne ne la voyait s’éloigner.
Elle me rejoignait enfin, je ne savais que lui dire pour commencer la conversation.
Arrivé à sa hauteur, j’ouvris mon paquet de cigarettes, en lui disant :
Elle regardait encore derrière elle pour s’assurer que personne ne la voyait partir en ma compagnie, mais malgré tout nous étions obligés de longer le parking de la salle des fêtes ; en passant près des voitures nous croisâmes un groupe d’hommes en train de discuter et de fumer, certains détaillaient nos visages et se souvenaient sûrement que nous étions arrivés, elle en couple et moi seul ; ils se doutaient bien à quoi rimait cette petite escapade nocturne ; d’ailleurs leur conversation s’était interrompue. J’étais fou de joie de pouvoir leur montrer que d’ici quelques instants, j’allais me faire une femme mariée enceinte, d’ailleurs elle aussi affichait une certaine fierté de ce qu’elle faisait avec moi.
Un peu plus tard, nous nous retrouvions de nouveau seuls sur le chemin, faisant plus ample connaissance en nous questionnant.
Elle avait 28 ans, s’appelait Carole et était employée dans une grande entreprise ; enceinte de huit mois, elle attendait des jumeaux, elle avait pris 27 kilos depuis le début de sa grossesse, tout dans le ventre et tout dans les seins comme elle le disait elle-même, un mariage raté, mais un divorce impensable.
Maintenant que nous étions seuls et loin de toute agitation, je m’enhardis à lui prendre la main pour tester ses intentions. Elle répondit en croisant mes doigts avec les siens et me serra fort la main ; un sentiment de bien-être (le réveil de mon sexe !) se faisait sentir.
Je me mis face à elle en plein milieu du chemin, et je l’embrassai goulûment, passant mes mains sous sa robe de grossesse tant mon excitation était grande, je sentais sa culotte de grossesse remontée jusqu’au milieu du ventre, et aussi un soutien-gorge bien serré, je sentais aussi son gros ventre chaud sous mes mains je le caressais pour en connaître le volume et l’ampleur.
De son côté elle commençait à déboutonner mon pantalon comme pour me montrer comment elle était salope. Je sortis mon sexe de mon slip, elle s’accroupit et commença à me faire une fellation royale, de mes mains posées doucement sur sa tête je la guidais pour qu’elle donne plus de plaisir.
Sa position étant devenue inconfortable pour elle, à cause de son ventre, elle se releva, j’en profitai pour lui ôter et jeter sa robe par terre, elle était en sous-vêtements au beau milieu du chemin ; comme grisée par la situation, elle retira son soutif.
Il fallait pour cela trouver un endroit adéquat pour qu’elle s’allonge ; elle se souvint qu’un coin pic-nic existait à 50 mètres d’où nous étions.
En effet une table en bois massif s’y trouvait, elle étala dessus sa robe, baissa sa culotte, et s’allongea sur le dos, sur le dessus de la table ; je me mis à lui manger le minou, un doux minou épilé de frais, elle jouissait, criant un peu par rafales, comme une femme qui se libère après avoir dû taire trop longtemps sa jouissance.
Avant de la pénétrer je lui labourai le clito avec mon doigt ou le plat de la main pour la chauffer encore plus, elle se cabrait de plaisir.
Mon sexe était tendu à l’extrême, c’était le moment de la pénétrer.
Je plaçais ses jambes sur mes épaules puis j’écartais ses cuisses, ma bite commençant à glisser en elle, puis, d’un coup violent je rentrais tout mon sexe en elle allant presque en butée, elle se cabrait de plaisir, lâchant des râles et des roucoulades ; je sentais son vagin qui, par contractions successives, se rétractait sur mon membre, cela faisait comme un manchon humide, très agréable.
Je la bourrais sans aucun égard pour son état, la traitant de salope, elle me répondait par des râles successifs tant son excitation était à son comble. De mes mains je lui pétrissais ses seins qui ne tardèrent pas à couler de ce doux liquide comme en ont parfois certaines femmes enceintes avant l’accouchement.
Je la remplissais avec ardeur puis, me radoucissant, je me concentrais sur son plaisir à elle, je lui caressais doucement le visage, la regardant droit dans les yeux, lui caressant le ventre, les seins, tout en restant en elle sans plus bouger ; je voulais la faire craquer par ma douceur non feinte pour qu’elle ait encore envie de me revoir, pour la toucher au cœur aussi.
Quand elle fut comblée de tendresse et de douceur ce fut à son tour de me faire signe que je pouvais continuer à prendre mon plaisir.
J’avais aussi envie d’elle par son œillet, son anus me faisait envie.
Je le lui dis, elle se redressa sur ses jambes et me dit qu’elle ne l’avait jamais fait avec son mari, car elle le jugeait trop gauche et trop brutal pour ça.
Je lui écartais ses fesses et lui léchais son petit trou mettant toute la salive de ma bouche sur son anus.
Je me redressais, elle se penchait en avant, je commençais à pointer mon dard sur son anus, elle poussa un peu pour faire rentrer ma bite en elle, comme grisé je poussais aussi, mon sexe glissait à l’intérieur d’elle en une seule poussée.
Nous nous démenions comme des chiens lubriques.
J’étais sur le point de me vider, mais c’est dans sa matrice que je voulais me vider.
Je le lui fis comprendre, re-table, re-sur le dos, et puis une série de va-et-vient.
Ma giclée fut longue, fournie et abondante.
Je l’aidai à se redresser, la pris dans mes bras et fis poser sa tête sur mon épaule, lui caressant doucement le corps. Nous étions bien tous les deux cette nuit-la.
Je lui dis aussi pour garder une dimension érotique a cette histoire :
Elle me répondit par un "Oui ! " et des " Je veux te revoir …!".
Nous nous rhabillâmes et reprîmes le chemin du retour. Je ne reparus pas à la noce pour brouiller les pistes et ne pas éveiller les soupçons par notre retour ensemble, Carole et moi.
Grisée par notre aventure, elle profita de la gueule de bois de son mari pour venir me voir le lendemain dimanche chez moi.
Nous avons fait l’amour ensemble jusqu’à ce qu’elle accouche. Nos jeux érotiques et notre goût de la provocation en public allaient croissant. Nous nous faisions même passer pour un couple légitime dans des restaurants ou des magasins, avec un sentiment d’extrême perversité. Et elle se disait intérieurement :
Elle est retombée enceinte quelques mois après, et nous nous sommes retrouvés encore plus assoiffés l’un de l’autre.
Serait-elle retombée enceinte… pour redevenir mon amante enceinte ?Je ne sais, mais cette expérience fut pour moi inoubliable, et m’a ouvert des horizons insoupçonnés.
Cela a aussi permis à ma femme d’être la plus heureuse et la plus épanouie sexuellement des futures mamans de France, durant les multiples grossesses que j’ai vécues pleinement avec elle !!