Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 08453Fiche technique9431 caractères9431
Temps de lecture estimé : 6 mn
11/01/05
Résumé:  Je retrouve Camille le lendemain de notre rencontre
Critères:  fh collègues travail amour cunnilingu pénétratio init
Auteur : Slave  (Jeune auteur)      
Deuxième journée



Un rayon de soleil vint frapper le haut de mon visage, Camille venait à l’instant d’ouvrir le rideau de sa chambre. C’est alors, après les quelques secondes nécessaires pour reprendre mes esprits, que je réalisai ce qui c’était passé entre nous. La situation n’était pas simple en fait. Je ne savais que dire, que faire, je me demandais comment Camille réagirait après la nuit que nous avions passée ensemble. Je dois dire que l’attitude de Camille ce matin-là fut, pour moi tout du moins, des plus surprenantes. Elle vaquait à ses occupations matinales, faisant ce que je pense être son rituel du matin. Elle se promenait dans la pièce vêtue pour seul habit d’une petite culotte blanche et d’un t-shirt blanc aussi. Elle ramassa ses affaires, et me dit le plus naturellement du monde que le petit déjeuner était prêt. Un observateur venu de l’extérieur et ne sachant rien de ce qui venait de se passer la veille aurait conclu que nous sommes finalement un couple normal, établi depuis quelque temps. Mais il n’en était rien. Moi, maladroit à souhait et gêné pour des raisons qui se veulent obscures jusqu’à aujourd’hui je ne disais mot. J’essayais de percevoir les sentiments de Camille ; considérait-elle que ce qui venait de se passer entre nous était une aventure sans lendemain, ou le début d’une relation qui se prolongerait dans le temps. Je dois avouer qu’à ce moment-là je n’avais pas d’avis clair sur la question. Finalement, un peu troublé, je me levai échangeant quelques paroles des plus banales et nous déjeunâmes dans le silence. Ce silence je ne peux le qualifier de pesant, car sans parler chacun de nous essayait de comprendre ce qui venait de se passer, et dans le même temps nous étions heureux comme des enfants venant de réaliser un plaisir interdit. Je me souviens encore de ce petit déjeuner si rapide mais toutefois si étrange où Camille de ses yeux bleus me regardait avec ce petit sourire que j’aimais tant. Puis Camille se montra la plus courageuse de nous deux et fut la première à briser ce silence. Elle me demanda simplement de ne pas faire étalage au travail de ce qui venait de se passer et me demanda si je souhaitais garder notre relation secrète. Je lui proposais alors de partir au travail un bon quart d’heure avant elle afin de ne pas éveiller les soupçons. Elle fut d’accord et c’est ainsi que nous nous quittâmes, momentanément certes, car le travail allait nous rapprocher de nouveau.




Cette journée de travail me parut longue car une question me taraudait l’esprit sans trouver de réponse. Le soir venu, que devrais-je faire ? Me fallait-il rentrer chez moi ou bien retourner chez Camille ? Camille n’avait fait aucune allusion sur ce qu’elle souhaitait. Peut-être était-ce pour voir mes sentiments, pour tester mon comportement ? En effet la question qui pouvait paraître banale à première vue n’était pas si simple. Je raisonnais ainsi : si je rentre chez moi (il le faudra car je dois changer de vêtements et faire d’autre tâches) elle risque de me prendre pour un macho qui, ayant eu ce qu’il voulait, pouvait repartir le cœur joyeux en sifflotant sans se soucier de la suite des événements. Mais alors, que faire ? Car si je retourne chez elle, serai-je le bienvenu ? N ’aura-t-elle pas l’impression que je veux la posséder, la diriger, m’incruster dans sa vie sans que rien ne m’ait été explicitement demandé ? Tel Hamlet, j’étais devant un dilemme, bien que le mien ne fût pas de nature aussi tragique. Alors j’attendais, espérant au fond de moi voir Camille venir vers moi au bureau et m’indiquer la marche à suivre. Oui, mes pensées s’étant peu à peu remises en place au fil des heures mes sentiments envers elle devinrent plus clairs : je l’aimais, si tant est qu’il est possible d’aimer quelqu’un après à peine quarante-huit heures. Mais nous avions fait l’amour, dormi dans les bras l’un de l’autre, et ce n’était pas rien, en tout cas pas pour moi. Finalement je décidai de faire le premier pas et d’aller voir Camille. J’attendis le moment favorable ou elle fut seule à son poste. Je vins vers elle et d’un ton rapide et peu sûr je lui expliquai mes sentiments et demandai si pour elle il en était ainsi. Elle me sourit, se leva, vint m’embrasser discrètement et me dit : " Viens ici ce soir vers 18 h, je finirai de ranger des papiers et on pourra parler plus tranquillement de tout ça ". Je hochai la tête en signe d’approbation et repartis travailler.




La journée passa lentement. À 18 h je me dirigeai donc vers le bureau de Camille. À son étage plus personne n’était présent en effet. Camille était ce jour-la vêtue d’un chemisier blanc et d’un tailleur noir très strict. Son visage assez pâle faisait un contraste des plus sublimes avec ses longs cheveux noirs. Nous discutâmes et rapidement je me rendis compte que pour elle non plus ce qui c’était passé n’était pas perçu comme une simple aventure. Elle me dit que néanmoins avant de vivre en couple nous devrions apprendre à nous connaître davantage. J’étais d ’accord. Puis elle regarda autour d’elle et le style de la conversation changea quelque peu. Elle me disait qu’elle avait pris beaucoup de plaisir et que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas connu ça. Je lui fis comprendre que c’était réciproque. Au fil de ce dialogue devenu plus intime elle se rapprocha de moi puis vint m’embrasser. Nos lèvres se mêlèrent dans un succulent baiser plein de tendresse et de fougue. Sa main si douce se baladait sur mon torse et insidieusement commençait à déboutonner ma chemise. Nous étions pris dans ce jeu, seuls au monde sans penser à rien d’autre qu’à nous. Ma main caressa ses cheveux si soyeux et vint se fixer dans sa nuque. Elle se recula quelque peu et entreprit d’enlever son chemisier. Pendant ce temps j’ôtais ma chemise et me retrouvais torse nu. Elle prenait son temps, exagérant ses gestes à souhait. Elle dévoila son soutien-gorge en dentelle violette qui soutenait étroitement sa poitrine. Je lui dégrafai son soutien-gorge et pus admirer ses seins. Son joli 85 b bien ferme et haut sur la poitrine, les tétons fièrement dressés en disaient long sur son désir. Je les lui malaxai, je léchai ses seins de la base en remontant au téton que je suçai goulûment. Elle aimait ça, ses petits gémissements me le firent savoir. Elle m’agrippait par les cheveux, et pendant que ma bouche se délectait de ses seins, une de mes mains partit en expédition sur ses cuisses. Je remontai sa jupe. Elle écartait pudiquement ses cuisses sans trop en dévoiler à la fois. Délaissant ses seins je vins admirer le bas. Une jolie culotte en dentelle assortie se dévoila à mon regard. Ma main frotta sur sa culotte que je sentais déjà humide. Ma langue lécha le tissu pour faire monter le plaisir, puis je lui ôtai son dernier rempart. Là, surpris, je me rendis compte qu’elle s’était épilée depuis la veille et son sexe m’apparut sous un jour nouveau. Ses lèvres brunes étaient légèrement gonflées. Son clitoris se faisait discret, invisible au premier coup d’œil. J’entrepris de la lécher, elle assise sur le rebord de son bureau. Ma langue faisait de lents va-et-vient le long de sa fente, puis avec mes doigts j’écartais ses grandes lèvres. Alors je pus atteindre son clitoris et le lécher. Elle eut des spasmes de plaisir, ses gémissements devinrent plus accentués. Son bassin ondulait fortement sous l’action de mes coups de langue. Tout en continuant mes jeux de langues je lui rentrai l’index dans le vagin. L’action conjuguée de mon doigt et de ma langue en elle la firent s’envoler dans les hauteurs du plaisir. Cela continua des minutes entières jusqu’au moment où elle me réclama en elle.


Je libérai alors mon sexe gonflé comme jamais, et vins le placer devant sa vulve déjà bien ouverte.


Je la lui rentrais bien profondément, en douceur. J’arrivais à tout rentrer, après quoi je commençais un mouvement de va-et-vient qui s’accéléra au fil des minutes. Camille, si discrète en temps normal, hurlait littéralement de plaisir, me demandant de la défoncer. Sa chatte était trempée, mon sexe glissait avec une grande facilité en elle, mes couilles s’écrasaient contre ses fesses. Tout en continuant mon va-et-vient dans son puits d’amour, je malaxais ses seins ; elle, yeux fermés, bouche ouverte, ne cachait pas son plaisir. Je sentais le plaisir monter en moi à chaque coup de rein. Sa vue m’excitait ; elle, allongée sur le bureau, jambes écartées, la jupe remontée à la taille, jouissait sans aucune retenue. Le plaisir devenant trop fort, je jouis en elle de plusieurs jets puissants qui la firent tressaillir. Puis, m’étant retiré, je m’activais de nouveau sur son clitoris avec ma langue pour lui faire atteindre l’orgasme. Ce fut chose faite à peine quelques minutes après, quand sa chatte explosa sur mon visage d’une manière que je n’avais jamais vue auparavant. Elle avait hurlé de plaisir ; ses cuisses étaient maculées du liquide qu’elle venait d’expulser avec une force inouïe. Je me nettoyai, l’embrassai, et rentrai chez moi.