n° 08471 | Fiche technique | 25225 caractères | 25225Temps de lecture estimé : 15 mn | 14/01/05 |
Résumé: Une expédition qui n'a pas conquis que la montagne | ||||
Critères: f fh hplusag jeunes copains sport volupté odeurs fmast cunnilingu anulingus | ||||
Auteur : Prepuce (Homme 30 ans papillonant) |
Il était environ 15 heure lorsque nous sommes arrivés à la cabane, la «hütte« comme ils disent par ici. Malgré l’altitude et la raréfaction de l’air qui en découle, les filles avaient bien marché. Irène, la plus petite, la plus fine aussi, avait bien eu un peu de peine à nous suivre vers la fin, heureusement, sa fierté est telle qu’elle aurait difficilement admis arriver après nous, Christelle avait quant à elle parfaitement tenu le rythme. Ma première «grande« expédition en compagnie de ces deux filles s’annonçaient sous les meilleurs hospices. La cabane, équivalent suisse du refuge français, était vide, à l’exception du gardien qui, bien que nous ayant chaleureusement accueilli, semblait nous éviter un peu. Il faut dire que les filles babillaient pas mal malgré l’altitude, et qu’il me semble qu’il faut être plutôt solitaire et taciturne pour rester cloîtré trois ou quatre mois à près de 3000 mètres d’altitude, par tout les temps, comme un moderne gardien de phare.
Afin de fêter dignement notre arrivée à la cabane, j’avais emporté avec moi une petite bouteille d’absinthe, de distillation autant locale qu’illégale, mais tellement délicieuse bien fraîche. Nous prîmes donc l’apéritif sur la petite terrasse aménagée devant la cabane, goûtant à la magnifique vue et appréciant la température clémente dispensée par un généreux soleil. Le gardien apparût et tenta de me parler. Le niveau catastrophique de mon allemand obligea cependant le gardien à s’adresser finalement à Christelle, ce qu’il fît avec une certaine réticence. Les deux interlocuteurs parlèrent deux minutes et le gardien disparût à nouveau.
Le gardien réapparût, équipé d’un sac à dos vide, probablement destiné à ramener des provisions. Je lui offris le fond d’absinthe qu’il me restait «pour la route« qu’il accepta volontiers, la bût sec, sans eau et partît, nous laissant seuls dans la cabane.
J’avais rencontré ces deux filles environ deux mois auparavant. J’avais pris congé en semaine, comme je le fais souvent, pour aller en montagne. Ce jour là j’avais exceptionnellement pris le funiculaire afin de gagner une heure et demie sur mon programme, étant arrivé un peu tard à cause d’un malheureux contretemps. L’utilisation du funiculaire était la seule chance qu’il me restait d’arriver au sommet prévu ce jour là. C’est dans ce moyen de transport rudimentaire que je les ai rencontrées. Christelle, étudiante en géologie, racontait les paysages à Irène, étudiante en psychologie. Passionné, en amateur, de géologie, je m’étais approché pour écouter, d’abord discrètement puis ouvertement, les deux filles étant d’un abord plutôt sympathique. La conversation s’engagea et le petit sommet du jour fût vaincu par trois nouveaux amis. Depuis ce jour, les vacances universitaires pour les filles, et le ralentissement estival des commandes pour moi nous permirent deux ou trois autres journées de randonnées. Bien qu’étant plus âgé d’une bonne douzaine d’années qu’elles, notre amour de la montagne et de la nature en général nous autorisa quelques belles émotions, dénuées d’ambiguïté, du moins me semblait-il. Une envie commune de vaincre deux sommets un peu plus difficiles nous amena à nous retrouver dans cette cabane où nous devions passer deux ou trois nuits.
Une vingtaine de minutes après le départ du gardien, il fallut se mettre à l’ouvrage. La fatigue de la montée, l’apéro et peut-être l’altitude nous avaient plus fatigué que nous voulions bien l’admettre et nous étions en train de nous endormir. Il fallait encore faire à manger, préparer nos sacs pour le lendemain et nous coucher. En effet, le sommet prévu pour le lendemain nous imposait de nous lever vers trois heures du matin. Vu la nécessité d’emmagasiner de l’énergie, le menu n’était pas trop compliqué à composer : spaghettis, et en nombre. Pendant que l’eau cuisait, nous organisâmes nos sacs, afin de les alléger au maximum. Habits chauds, couvertures de survie, provisions et beaucoup de boissons.
Une gigantesque platée de pâtes, accompagnées de deux bouteilles de vin rouges, dont nous escomptions un effet somnifère, nous amenèrent passablement souls et hilares aux alentours de 21 heures. Laver la vaisselle, une toilette sommaire due à l’eau glaciale, et nous nous couchâmes dans le dortoir vide. La fatigue accumulée, l’ivresse capiteuse du vin rouge ne m’empêchèrent pas de jeter un coup d’œil appréciateurs sur les jambes des deux filles en culotte et tee-shirt en train de «s’ensarcophager« dans leur sacs de couchage. Christelle, la brune, fille saine, rigolarde, presque carrée d’épaule, a des jambes magnifiques, solides, musclées, bronzées. Ce n’était pas la première fois que je les admirais, en effet autant Christelle qu’Irène adoptaient le bermuda des randonneurs pour aller en montagne. Mais une culotte est quand même beaucoup plus courte qu’un bermuda, me laissant libre d’admirer les magnifiques cuisses de Christelle. C’est pourtant tout à fait involontairement que j’avais pausé une torche électrique sur un lit, la cabane étant dépourvue d’électricité, pour faire un peu de lumière. Probablement totalement inconsciente de l’effet produit, Christelle s’installa devant quelques secondes, tout en enlevant son soutien-gorge sous son tee-shirt. J’ai toujours trouvé ce geste particulièrement émouvant. Les contorsions auxquelles se livrent les filles qui ôtent leur soutien-gorge tout en voulant nous priver de la vision de leurs seins ont sur moi un léger effet aphrodisiaque. Mais doublé de la vision de la culotte blanche et sage de Christelle, de laquelle s’échappaient quelques poils fous de sa toison que je devinais abondante et de la vision de l’émouvante bosse de son pubis, m’excita et je me mis immédiatement à bander. Zut, il faudra encore que j’enlève mon pantalon, et mon caleçon ne m’assure pas la bandaison discrète…
En même temps que Christelle disparaissait dans son sarcophage, Irène revînt des toilettes et j’eu aussi la chance de contempler les jambes et les cuisses extrêmement fine, laiteuse de la petite Irène. Châtain clair, presque blonde elle ne doit pas beaucoup bronzer. Plus rapide que Christelle, ayant probablement retiré son soutien-gorge aux wc, l’émouvant spectacle que m’offrit Irène fut plus court, et si je n’eu pas le temps d’admirer la bosse de son sexe, j’eu toutefois la chance de contempler ses toutes petites fesses de gamine moulées par une émouvante petite culotte blanche. Heureusement pour moi, une fois les filles couchées, je récupérai la lampe torche, évitant ainsi d’éclairer mon entrejambe toujours bandé alors que je me couchais. Rapidement, le bruit de respirations régulières envahit la pièce, le vin et la fatigue ont finalement raison de mon érection, et je finis par m’endormir.
Pas pour longtemps. Quelque chose vient rapidement déranger mon léger sommeil, un mouvement, un bruit ? La très faible pénombre qui passe au travers des petites fenêtres de la cabane ne m’est d’aucun secours, je dresse l’oreille et me rend compte qu’un léger bruit provient du lit d’Irène, qui dort à côté de moi. Son sac de couchage émet un très léger bruit de frottement. Je retiens mon souffle, une écoute attentive me permet de discerner au travers de la respiration régulière de Christelle celle, saccadée, d’Irène. Un très léger gémissement s’échappe de son sac. Il me faut un certain temps pour comprendre, incroyable ! Irène se masturbe, là juste à côté de moi. Mon érection oubliée se rappelle immédiatement à mon souvenir. Que faire ? L’imiter ? Jouer l’indifférence et me rendormir ? Impossible, mon érection devient douloureuse ! Toutefois, la relation que j’ai développé avec ces deux filles est tellement «copain-nature« que je n’ose pas trop m’astiquer à côté de ces deux filles, d’un autre côté, Irène ne se gêne pas, elle. En plus, la différence d’âge me gêne, me bloque un peu. Finalement, arrêtant là mes réflexions, je me lance dans le vide, tente le coup de poker. Je tente d’enlever toute trace de sarcasme de ma voix, d’y mettre le maximum de douceur.
Bien que j’aie chuchoté, afin de ne pas réveiller Christelle qui dort aux côtés d’Irène, ma voix me semble un véritable coup de canon dans le silence de la cabane. Elle doit faire le même effet à Irène qui se fige pendant une bonne minute. Déjà je culpabilise, me traite de pourri, m’accuse d’avoir bloqué la jouissance d’Irène, d’avoir brisé une belle amitié, puis elle me répond, sur le même ton.
Sans un mot, elle sort de son sarcophage, et se dirige vers la cuisine. Sans bien réfléchir, un peu comme un zombie, j’emporte mon sac de couchage afin de servir de litière de fortune et je la suis.
Ce qu’on appelle la cuisine est en fait la salle commune de la cabane. Deux tablées, un coin cuisine avec un fourneau au gaz et deux petites armoires en constituent l’ameublement sommaire. Comme nous n’avons pas fermé les volets, une pâle lueur lunaire entre par la petite fenêtre, suffisante pour nos yeux habitués à l’obscurité. Il fait froid, les murs ont beau être épais, nous sommes en altitude. Mais, pour l’instant, l’excitation relègue ce problème loin derrière.
Irène se retourne, elle est toujours vêtue de son tee-shirt et d’une culotte, elle est ébouriffée par son morceau de nuit passé dans son sac. Un instant de gêne passe, on ne sait pas par où commencer. À par les bises d’usage, et les quelques fois où je lui ai donné la main pour un passage difficile, on ne s’est jamais touché, et maintenant… On va baiser ! Ce moment est magique, mais il peut vite basculer dans la gêne. Il me faut prendre l’initiative, surtout que je ne suis pas sûr d’être très sexy, avec mon caleçon duquel mon sexe tendu sort à moitié, mon vieux tee-shirt pourri et les bras encombrés par mon sac de couchage.
Arbitrairement, je décide que l’on peut se passer de préliminaires, Irène s’en étant chargé seule. Je pose mon sac à l’extrémité d’une des tables, soulève Irène, la couche dessus. Elle ne réagit pas, attend la suite de mes initiatives. Je pose une main légère sur son sein menu, la promène, effleurant cette bosse tellement émouvante. Je sens sa peau frémir au travers de la légère étoffe de son tee-shirt. Je me penche, embrasse le grain parfait de son cou, pose mon autre main sur son autre sein, sa poitrine est menue mais tellement ferme, elle paraît taillée dans le marbre. Elle frémit lorsque j’effleure de mes lèvres son oreille, ma main gauche continue de frôler son sein, alors que ma droite empoigne l’autre un peu plus franchement. Passive jusque là, elle bouge, presque brutalement, son tee-shirt disparaît, m’offrant ainsi le loisir d’admirer son torse fin, donc l’aspect laiteux est encore accentué par la lumière de la lune, son ventre parfait sur lequel apparaît les bosses de ses abdominaux, et ses magnifiques seins.
Cette offrande de son corps m’émeut, m’oblige à lui rendre l’hommage qu’il mérite. Je m’empare à nouveau de ses seins, effleurant la peau de l’un du bout de mes doigts, alors que la paume de mon autre main agace le téton de l’autre. Elle frémit, son corps se tend, la lumière de la lune accentue le jeu de ses muscles qui courent sous sa peau et donne un aspect irréel à toute cette scène. Ma main droite quitte son sein, descend doucement en effleurant la peau de son ventre qui me fait tant envie, que je voudrais goûter, manger. Un désir brutal me prend, un désir douloureux de ce ventre si parfait, tellement lisse, orné en son centre par le nombril délicatement ourlé qui me fait un clin d’œil, qui semble narguer le douloureux désir inassouvissable de cet abdomen auquel jamais je ne pourrai faire l’amour, que jamais je ne pourrai transpercer du dard qui me brûle.
Ce désir me fait trop mal, brutalement ma main abandonne le ventre d’Irène et vient se poser sur son sexe, adoptant sa forme. Je sens sous mes doigts le renflement des lèvres, et leur séparation, objet de ma convoitise. Tandis que je prends entre mes lèvres le téton délaissé quelques minutes auparavant, j’amorce un très léger mouvement de la main qui couvre son sexe, mon majeur explorant au travers de l’étoffe humide de sa culotte les replis de son sexe. La respiration d’Irène accélère imperceptiblement, laissant parfois échapper un petit gémissement incontrôlé alors que je torture doucement de ma bouche ses tétons, les mordillant doucement ou les étirant. Peu à peu, je précise mes caresses, mon doigt se fait plus insistant, longeant lentement le sexe d’Irène, sur toute sa longueur. Elle écarte un peu ses jambes, s’offrant un peu plus à mes caresses. Ma main quitte son sexe un instant, s’aventure sur ses cuisses, à l’intérieur là où la peau est tellement douce. Irène tente de me rappeler à l’ordre, en grognant, je fais la sourde oreille un instant, alors elle remonte ses jambes, très vite, prends appui sur ses pieds, soulève son bassin et sa culotte disparaît encore plus rapidement que son soutien-gorge. Cette fille a trouvé les gestes pour me faire bander encore plus. L’apparition brutale de son sexe me fascine, l’offrande sous-jacente m’excite au plus haut point et je dois faire appel au peu de volonté qui me reste afin de ne pas l’embrocher brutalement, à la soudard. Je passe à nouveau mes doigts entre ses cuisses, éprouvant encore une fois la sublime douceur de sa peau, jouissant des contorsions d’Irène qui souhaite me faire comprendre qu’elle désire des caresses plus précises, maintenant qu’elle est totalement nue. Mes doigts doigt effleurent sa toison, bousculent ses poils, puis recommencent doucement à caresser les grandes lèvres de son sexe, se promènent sur une, puis sur l’autre. Irène gémit doucement, le rythme de sa respiration se calque inconsciemment sur celui de mes caresses. Mes lèvres reprennent contact avec ses tétons pendant que mes doigts se font de plus en plus précis, longeant la fente de son sexe, s’aventurant à l’entrée de cette grotte de plus en plus humide, une phalange impertinente se permet même d’en franchir le seuil pour un instant de désir pur, presque de félicitée.
Je me relève, tire sur le sac de couchage qui glisse facilement sur le bois verni de la table et me déplace. Le cul d’Irène se retrouve au bord de la table, je me positionne entre ses jambes et me baisse. Comme la fenêtre se retrouve maintenant dans mon dos, une vision extraordinaire sur son sexe humide s’offre à moi. Cette vue qui peut être tellement vulgaire sur papier glacé est, dans cette situation, purement magique. Je marque un instant de silence, me perd dans la contemplation des multiples replis, de la toison qui les couvre et des odeurs tellement envoûtantes qui s’en échappent.
L’envie me prend de m’enivrer de cette odeur, de l’absorber totalement, de la respirer encore et encore jusqu’à en connaître toutes les subtilités, tout les détails, étonné de l’ivresse qui suit cette «dégustation«, ivresse du désir qui semble croître à jamais, qui durcit mon sexe mais qui tord aussi mes entrailles, qui dévore tout mon corps, m’envahi totalement, me faisant oublier à tout jamais la paix, tant que n’aura pas eu lieu l’éjaculation libératrice.
Je frôle les lèvres de son sexe à l’aide de mon nez, aspirant profondément le filtre libéré par les muqueuses intime d’Irène, n’expirant qu’à regret, tant est grande mon envie de dissoudre mon plaisirs dans cette éther qui ravît mon esprit.
Totalement inconsciemment, je passe à l’étape suivante, celle de goûter la sublime liqueur à sa source. Ma langue sort de ma bouche et va doucement, de sa pointe agacer les grandes lèvres d’Irène, monte le long de ce mont de Venus en longe une lèvre, puis après avoir évité le clitoris, redescend par l’autre rive de la source jusque tout en bas, là où se terminent les lèvres, là où commencent les fesses. À nouveau, la respiration d’Irène qui se calque immédiatement sur les passages de ma langue m’indique que mon plaisir n’est pas qu’égoïste. Incroyable, je pilote le système respiratoire de cette fille à l’aide de ma seule langue. Les sucs intimes d’Irène me soule encore plus, le goût est âcre, presque trop fort, sublime. Il est vrai que personne ne s’est douché aujourd’hui pour cause d’eau glacée… Afin d’avoir le meilleur accès possible au sexe d’Irène, je soulève ses jambes et pose ses pieds sur mes épaules disposant ainsi du meilleur accès possible à la source de mon ivresse.
Ma langue se fait plus précise, se promène entre les lèvres, s’introduit, se gavant des sécrétions de plus en plus abondantes d’Irène qui gémit presque sans discontinuer. Je taquine parfois son clitoris puis revient entre ses lèvres. J’empoigne de mes deux mains le petit cul d’Irène, parcourant les formes de ce petit cul musclé, éprouvant le satiné de sa peau. Ma langue s’aventure jusqu’au périnée, cette étroite bande de chair qui sépare l’anus du vagin, le titille, excitée par les nouvelles saveurs, plus âcres, plus en adéquation avec mon excitation qui devient de plus en plus animale, qui s’en dégagent puis remonte continuer de faire gémir Irène. Elle a perdu toute mesure, j’espère que sa copine qui dort dans la pièce à côté a vraiment le sommeil profond. Dans le silence de la montagne ses gémissements résonnent étrangement, curieusement obscène. Curieuse de nouveaux goûts, de nouvelles formes, ma langue redescend doucement entre les lèvres pendant que mes mains écartent un peu les fesses d’Irène. Ma langue titille son sexe, ses petites lèvres, cherche à s’introduire, à pénétrer ce sexe, comme le ferait une bite, puis s’aventure de plus en plus bas, explore à nouveau le périnée, en éprouve le petit bourrelet de chair qui le marque, comme une cicatrice, puis plonge jusqu’à l’anus, en fait le tour, timidement puis se décide, plonge au centre essayant dérisoirement de le forcer, en éprouve les plis qui en font le tour. Le goût tellement âcre de l’œillet me tourne la tête alors que j’entends un son étrange. C’est Irène, qui aspire brutalement, produisant un son bizarre comme une tuyauterie. Il faut croire que ma caresse inquisitrice lui plaît. Encouragé, je continue. Doucement j’introduis la première phalange de mon pouce dans son sexe tandis que l’index de la même main agace son clitoris. Irène gémit encore, halète. Lorsque je recommence le ballet de ma langue sur sa petite pastille sombre, son corps se tend, se lève à mon encontre, prenant appui sur ses pieds toujours posés sur mes épaules. Je continue mes caresses quelques instants avant d’inverser les rôles.
Mon pouce quitte sa grotte, vient directement se poser sur l’anus d’Irène et commence un lent mouvement circulaire, faisant parfois mine de vouloir en forcer l’entrée en augmentant un peu la pression exercée, il me semble d’ailleurs qu’il ne faudrait pas grand-chose pour que cet orifice si convivial se plie à mes désirs. En même temps, ma langue caresse à nouveau le sexe trempé d’Irène, se concentrant principalement sur le clitoris. Irène semble perdre la tête, elle se tortille de plus en plus, ses pieds écrasent mes épaules alors que de longs gémissements lui échappent, entrecoupés de syllabes plutôt dépourvues de sens, bien qu’il me semble reconnaître, là au milieu, un véritable chapelet de vulgarités. Mon pouce délaisse son anus un instant pour son sexe, une dernière tension saisi Irène et elle jouit, longuement, puissamment.
Son orgasme semble ne jamais vouloir finir, je me démène au milieu de l’incroyable tension musculaire exprimée par son corps pour continuer à caresser son clitoris, espérant ainsi prolonger encore un peu l’orgasme qui foudroie ma belle amante. Elle finit par s’apaiser, son corps est encore traversé par les derniers soubresauts de la jouissance puis plus rien, juste une trop grande immobilité.
Je me relève lentement, en essayant de ne pas trop contrarier mon corps ankylosé, Irène ne bouge toujours pas. Incroyable, ses pieds sont toujours posés sur mes épaules. J’ôte mon caleçon, la saisit aux hanches et, de tout mon long, lentement, la pénètre. Je ne pouvais plus attendre. Je débute un va-et-vient, aussi lent que les quelques grammes de volonté qu’il me reste le permettent. Irène ne bouge toujours pas, sa tête est toujours inclinée sur le côté mais un changement de rythme dans sa respiration me révèle qu’elle n’est pas totalement insensible au dernier acte de cette nuit de folie. Après cette longue érection, la douceur, le soulagement apporté par mon insertion dans cette indescriptible douceur est presque infini. Les jambes toujours relevées d’Irène m’offrent une vue dégagée sur nos sexes, le mien, avalé par la toison foncée d’Irène, alors que le sien s’écarte, se dilate pour me recevoir. Puis la main fine d’Irène qui vient, passe si près de nos sexes, puis s’attarde sur le clitoris, agitée d’imperceptibles mouvements. Je quitte des yeux cette vision afin de prolonger mon plaisir de quelques minutes. Mais le plaisir monte, inexorablement. Je crochète mes doigts dans les hanches d’Irène, et accélère encore le rythme. Au moment où je perds contrôle, un éclair de lucidité me traverse, et je sors mon sexe. J’en caresse quelques secondes la peau si douce des cuisses d’Irène. Un éblouissement me traverse, suivi d’un long frisson qui parcourt tout mon corps, se terminant dans mon sexe duquel ma jouissance sort enfin avant de s’étaler à longs traits sur le ventre d’Irène. L’orgasme me foudroie littéralement. Je m’accroche à nouveau au bassin d’Irène, mais cette fois uniquement parce que mes jambes ne me portent plus très bien, je vais tomber. Quand je reprends un peu mes esprits, je remarque une vibration, une houle qui parcourt Irène, se transmet jusque dans mes mains, elle jouit à nouveau, silencieusement, intimement. Si je n’avais pas tenu ses hanches, je n’aurais peut-être rien remarqué. Je profite des quelques bribes de spectacle qu’il me reste, en savoure la discrétion. Que c’est beau une fille qui jouit. Enfin, sa main quitte son mont de Vénus, mes mains lâchent son bassin. Irène a alors une parole qui me sidère :
Doucement, ma main s’est remise à caresser le ventre d’Irène, toujours couchée sur la table, les jambes pendantes, écartées, impudiques. J’ôte le vieux tee-shirt que je porte encore et l’utilise pour nettoyer les traces de ma semence qui maculent ce fabuleux ventre. Puis, presque simultanément, nous allons nous coucher. Lorsque nous entrons dans le dortoir, le bruit de la respiration régulière de Christelle nous rassure, elle semble ne s’être rendu compte de rien. C’est seulement devant nos lits, avant de nous enfiler dans nos sacs que nous nous embrassons, pour la première fois.
A suivre