n° 08486 | Fiche technique | 18545 caractères | 18545 3031 Temps de lecture estimé : 11 mn |
18/01/05 |
Résumé: Un bal, des photos de danseurs, une femme, des envies, excitation, première rencontre, déshabillage, photos érotiques puis masturbation | ||||
Critères: fh inconnu danser fête voir photofilm hmast init | ||||
Auteur : Petar (Petit auteur titillé par le sexe) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Photographe amateur Chapitre 01 / 07 | Épisode suivant |
La fête bat son plein, je photographie les danseurs qui se déhanchent sur la piste. Je saisis un sourire, une complicité, un œil noir et m’intéresse particulièrement aux femmes. Leur élégance, pour certaines, leur sans-gêne, me fascinent. Certaines se frottent à leur cavalier, d’autres se tiennent à distance avec des sourires enjôleurs. Certains danseurs laissent leur main descendre au bas du dos de leur cavalière. Un, particulièrement, met carrément sa main sur les fesses de sa compagne, j’en fait une photo.
L’habillement est, lui aussi, très intéressant, de la mini jupe à la robe longue, chacune possède son charme. Imaginer celles qui sont sans soutien-gorge, ou même observer le mouvement trépidant du bout des seins de celles qui, ostensiblement, montrent à chacun qu’elles n’ont rien mis. Slip, string ou rien du tout, l’imagination, mise à rude épreuve, nous réserve des tours. Cette jolie blonde me semble nue sous sa robe, mais lors de l’élévation de ses bras apparaît un joli slip blanc très bien ajusté. Une photo immortalisera cette constatation.
Je m’intéresse particulièrement à un couple formé d’une jolie brune plantureuse et d’un cadre « moyen-supérieur » en complet cravate qui virevoltent gracieusement sur le pont de danse.
Elle, peut-être 35 ans, bien en chair, sans trop, visage ovale, joues légèrement rosées et bien rondes, lèvres pulpeuses accentuées par un rouge à lèvres ocre foncé contenant quelques paillettes argentées, avec un corps élancé, des seins que l’on eut qualifier de « solides » et un fessier légèrement proéminent. Sa lascivité et sa façon de suivre instinctivement et sans effort son danseur sont fascinants.
Lui, grand, mince, légèrement voûté, un peu plus âgé qu’elle, habillé « classique » avec un port relativement jeune, peut-être est-ce la coupe de son paletot ou le fait qu’il soit ouvert, qui, en dansant, fait voir un léger ventre rond. Son pantalon, bien coupé laisse apparaître, au gré des mouvements de la danse, une légère proéminence au niveau de son sexe, indiquant le port d’un slip très serré ou d’un string, ce qui ne cadre pas avec le reste de son style.
Mes photos, réalisées avec un appareil numérique, permettent de figer dans la mémoire, un regard langoureux, un sourire complice lorsque la jambe du danseur s’infiltre quelque peu entre les jambe de la femme, une main qui frôle le sexe de l’homme à travers le pantalon. Elle virevolte, découvre ses jambes galbées, lève les bras pour montrer ses cuisses fermes et soyeuses, se penche pour que l’on puisse voir ses seins enserrés par un soutien-gorge noir à balconnets bordé de dentelle.
Oh, elle trébuche, son pied est libre, le soulier gît à côté d’elle. Elle lâche son cavalier, retrousse franchement sa robe, se penche dans ma direction, remet son soulier, se relève et continue à danser. Elle jette un regard dans ma direction. Regard enjôleur ? Clin d’œil ? Ai-je bien vu ? Oui, c’est cela, elle me toise, sourire complice par dessus l’épaule de son danseur. Elle a fait exprès, son soulier perdu n’était qu’un prétexte à me tester, voir si mon réflexe de photographe était bon.
Je me retourne et regarde les dernières photos réalisées. Surprise, deux des photos montrent qu’en se baissant pour ramasser son soulier, elle a franchement regardé en direction de l’objectif, sourire frondeur, mis en évidence une poitrine opulente presque libérée du soutien-gorge, et écarté suffisamment les jambes pour faire voir son slip rouge ajouré laissant pointer sa toison abondante. Je lève fébrilement les yeux dans sa direction et croise son regard inquisiteur. Elle vérifie si les photos sont réussies. Son sourire m’indique qu’elle a compris, les photos sont parfaites. Je ne peut que m’incliner, elle possède une maîtrise particulièrement grande de ses gestes et de son pouvoir. Elle est certainement capable d’emmener son cavalier par le bout de son nez, je dirais même par le bout de sa verge, jusqu’où elle le désire.
Je reste troublé par tant d’intelligence perverse et n’ose plus photographier. Je vais chercher une boisson et m’assied un peu à l’écart. Je tente un regard vers la piste de danse, elle me regarde. Je baisse les yeux, les relève, elle rit franchement. Est-ce de la provocation, veut-elle m’humilier ? Elle désire que je sois complice. Pourquoi pas, je lui rends son sourire. Ses yeux se plissent, elle me regarde avec tendresse. C’est fou ! La quantité de choses qui passent par un regard.
Je n’ai pas le temps de me remettre de ma surprise qu’elle se trouve à côté de moi, debout, les seins provocants, la croupe arrogante et le sourire engageant.
C’est elle qui prend l’initiative, je pense qu’elle ne supporte pas d’être en infériorité. Je vais donc lui laisser guider notre rencontre.
Les danses se suivent, comme dans un rêve. Elle est sublime, son corps se laisse guider, par mes mains, nos mouvements se synchronisent. Bizarrement, en dansant, elle ne prend pas d’initiative, mais se plie à tous mes caprices. Eloignement, rapprochement, petite caresse sur les reins, elle plante franchement ses seins contre ma poitrine lorsque je la tiens serrée. Je la surprends même, lors d’une danse particulièrement langoureuse, à esquisser une caresse sur la bosse de mon pantalon. Mon pénis grossit quelque peu, le slip se tend. Elle n’insiste pas. Elle en a profité pour vérifier mon état d’excitation.
Son sourire est mutin avec deux jolies fossettes aux creux des joues. Ses yeux marrons foncés, sont pétillants, pleins d’intelligence et de malice. Elle parle peu, son corps en dit beaucoup plus. On sent qu’elle est instinctive. Elle s’appelle Roberta. Son danseur de tout à l’heure n’était qu’un cavalier de passage. Ils paraissaient pourtant si complices…! Elle me dit que tous les hommes, en dansant, sont charmants et pleins d’égards. C’est aussi valable pour moi !
A la fin du bal, je lui propose de la reconduire, elle accepte. Je la ramène chez elle. Elle donne un baiser furtif sur mes lèvres en feu et elle s’en va. Je reste là, interdit, sans voix, à regarder le vide qu’elle me laisse… Son image trotte sans fin dans ma tête. J’aurais dû lui proposer de monter… Je rentre chez moi un peu dépité. Il me reste les photos. En dansant, elle ne m’en a pas parlé, je ne lui ai rien dit non plus. C’est comme si le fait de danser ensemble avait effacé le passé, escamoté les idées. Sa lascivité, pourtant, reste imprégnée dans mon corps. Ses mouvements émeuvent encore mes sens. Quelle belle soirée ! Toutes les histoire finissent-elle inexorablement tristement ?
Je transferts les photographies sur mon ordinateur et le projette une à une sur l’écran grand format de mon téléviseur. En regardant les photos de Roberta je me surprends à commencer de caresser la bosse de mon pantalon. Une érection se dessine, j’ouvre la braguette et triture mon sexe à travers le slip. Je m’imagine en train de peloter ses seins à travers la robe, lui descendre la fermeture éclair dans le dos. La robe tombe à terre, Roberta me fait un sourire. Elle tourne sur elle-même pour me montrer ses charmes et s’arrête avec ma main à la hauteur de la fermeture de son soutien-gorge. Elle veut que je le dégrafe. Ses seins fermes et lourd sont libérés, il retombent un peu et oscillent sur leur position. Mon pantalon se retrouve à mes pieds, bientôt rejoint par mon slip. Mes mains baladeuses arrivent sur ses hanches, accrochent le mini-slip rouge et descendent lentement. Son pubis me fascine. Sa toison m’appelle, je suis aux anges…! Elle est nue devant moi, belle et désirable. Mon érection me fait mal. Je me déshabille aussi complètement. Je deviens fou, me branle avec frénésie pensant défoncer son con. Rapidement, j’éjacule longuement sur mon ventre. La tension de la soirée entière est contenue dans mon sperme…
Un peu honteux, malgré tout, je prends le temps d’examiner en détails les photos de Roberta. Elle est belle, pulpeuse, allumeuse, désirable et malgré tout un peu ténébreuse et hautaine… Il faut vraiment que je la revoie…
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Les sensations, les images, l’odeur de Roberta restent imprégnés dans mon corps. Les danses que nous avons partagées hier soir laissent flotter un désir, un amour, intellectuel et physique, dans le sens d’une tendresse, de caresses, de respect l’un de l’autre et aussi d’un plaisir intense. Un titillement subsiste au niveau de mon sexe, qui, régulièrement, se met en semi-érection en pensant à elle.
Je décide donc de chercher le nom de ma belle. Son prénom est connu et je sais où elle habite l’ayant raccompagnée chez elle hier soir. Son nom est inscrit sur la boîte à lettres de son immeuble, elle vit seule. Est-elle divorcée, ou n’a-t-elle jamais trouvé l’âme sœur ? J’opte pour la première solution, sans conviction. Rentré chez moi, je cherche sur Internet et trouve son numéro de téléphone et son adresse Email. Expédition d’un message électronique avec les photos prises lors du bal d’hier soir, puis essai de lui téléphoner, sans succès. Au troisième appel infructueux, je laisse un message sur son répondeur : « Hello Roberta, je me languis de vous, je suis imprégné des sensations partagées hier, peut-on se voir ? Je vous invite à dîner ce soir, rappelez-moi vite !» et lui transmets mon numéro.
Mon téléphone reste muet la journée entière. Je décide de sortir 15 minutes pour acheter le journal et boire un verre. C’est le moment qu’elle choisit pour me rappeler. Elle laisse un message sur mon répondeur : « Vous ne précisez pas où vous m’invitez, je vous attends donc chez moi à 19h00, salut ! ». Voix chaude, sans affectation, mais ferme et décidée, aucune émotion ne transparaît dans ces paroles qui auraient pu être prononcées par une guide s’adressant à un groupe de touristes perdus dans une ville inconnue.
Dix-neuf heures précises, je sonne à sa porte, elle s’ouvre immédiatement. Elle attendait avec impatience, est-ce un signe ?
Sa fébrilité cache-t-elle un sentiment pour ma personne, ou bien a-t-elle peur que quelqu’un ne remarque mon entrée chez elle ? Avec une femme seule, on peut s’attendre à de l’insolite, peurs, angoisses, mais aussi des habitudes et des manières de faire un peu intransigeantes.
L’intérieur est cossu, fauteuils profonds, modernes, en alcantara bleu. Bibliothèque bien remplie, lumières indirectes assez violentes éclairant une reproduction de Paul Klee et un tableau inconnu, musique de jazz en sourdine, peut-être le Modern Jazz Quartet, l’accueil est des plus chaleureux.
Son sourire et un geste de la main me proposent de m’asseoir. Rapidement, je lui tends une bouteille de Bordeaux sortie de mon sac et vais m’asseoir.
« Que puis-je vous offrir ? », me dit-elle, dans un souffle.
Nous sommes émus, sans l’admettre, essayant de paraître…
Nous trinquons, relativement imperturbables. Nous nous sourions, les yeux dans les yeux. C’est vrai qu’elle est jolie, l’air mutin, ses fossettes au bas des joues, de petites rides joyeuses au coin des yeux marrons surlignés par de longs cils arqués, des joues rondes, légèrement rosées. Elle est à croquer. Nous ne savons quoi dire. C’est elle qui commence:
« Vos photos d’hier au soir sont belles, certaines un peu osées, d’autres impertinentes. Celles qui me concernent sont particulièrement réussies, ce sont les meilleures. Je pense que déjà je vous intéressais, vous en avez été stimulé… Il faut toujours une muse à un artiste, j’ai été celle-là, l’espace de quelques heures…J’en suis heureuse et vous voilà maintenant près de moi… », dit-elle, très engageante.
« Il ne tient qu’à vous de continuer à être ma muse », je réponds plus fermement, presque professionnellement, « est-ce que je peux me permettre de faire quelques photos, ici, dans votre intérieur, vous n’en serez que mieux mise en valeur ».
Elle se lève brusquement et prend automatiquement une pose, on dirait un mannequin de magazine.
« Non, pas comme cela, peut-être plus tard, pour l’instant, simplement en bavardant, j’aimerais saisir sur l’image la profondeur de vos yeux, la beauté de votre visage, de vos expressions, de votre bouche… ».
Je sors l’appareil numérique de mon sac et la photographie en train de porter le verre à sa bouche, goulûment. Je filme sa main qui prend une olive, ses doigts longs et gracieux, les ongles peints soigneusement en ocre foncée, un petit duvet poilu sur son avant-bras. L’olive passe entre ses lèvres, s’y arrête presque, se pose sur la langue rose qui s’est avancée et disparaît dans le trou béant de la bouche. Dans un mouvement de succion les joues se rapprochent et mettent en valeur les lèvres charnues. Je photographie ses yeux, la pupille qui se dilate lorsqu’elle se rend compte de mon intérêt presque malsain pour ses attitudes. Elle sent que j’entre dans ses secrets intérieurs, que je l’explore profondément et parfois même la déshabille du regard.
« Je désirerais, pour le repas, que vous revêtiez la longue robe que vous aviez mise pour le bal d’hier soir. est-ce possible ? », lui proposai-je
« Vos désirs sont des ordres », me répondit-elle mutine
Et elle se change. L’excellent repas fut ponctué de pauses photos. Je la pris, les plats à la main, en train de servir, se léchant les doigts malencontreusement trempés dans la sauce, se penchant pour manger. Elle fit le service de face, pour que je puisse plonger photographiquement dans son décolleté et mettre en valeur ses magnifiques seins dans un mini soutien-gorge noir.
« J’aimerais, pour qu’aucune marque ne transparaisse sur le tissus de votre robe, que vous enleviez tout ce que vous avez en dessous, est-ce encore possible ? », dis-je, les joues en feu.
« Tout est possible, lorsque c’est demandé gentiment », dit-elle, l’air coquin et rieur.
Elle se tourne, se baisse, mettant en évidence son fessier rond et charnu, relève le bas de sa robe et fait tomber un petit slip rouge ajouré ridicule, celui du bal ! Elle se tourne ensuite dans ma direction, le regard enjoué, plonge les mains dans son décolleté, décroche le soutien-gorge par l’avant, le glisse par-dessus une épaule en dégageant un bras et le passe par la manche de l’autre bras. Il rejoint le slip parterre, je suis émoustillé et la bosse de mon pantalon grossit. Elle se penche par-dessus la table, les deux bras posés assez écartés et dit:
« Je suis prête pour le dessert et pour les photos suivantes »
Ses seins se balancent librement devant mes yeux dans l’échancrure de son décolleté. J’exulte, remet ma verge durcie à sa place dans le slip, et mitraille. Elle sourit, à l’aise. Le repas se termine chaudement, pour moi, du moins.
Le café rapidement terminé, elle m’avoue naïvement:
« Je ne suis pas prête à me mettre nue devant vous, que me proposez-vous ? »
« Allez dans vos armoires et habillez-vous de toutes les façons possibles, comme pour aller au bureau, faire votre jogging, aller en vacance, recevoir du monde… Et revenez ici pour prendre quelques poses. Cela vous va-t-il ? » dis-je, détaché.
Alors commence un festival de tenues, jupes, pantalons, blouses, pulls moulants, robes, training de sport, culotte de jogging, pyjama d’intérieur, souliers vernis, bottes, pantoufles d’intérieur, savates de gymnastique…Je remarque pourtant qu’elle ne remet jamais de dessous, elle est chaque fois nue sous son déguisement du moment..
« Et maintenant, je mets quoi ? » me demande-t-elle ingénument
J’avais envie de lui répondre. « Mets-toi à poil ! », mais lui dit:
« Habillez-vous de votre manteau de fourrure »
A cet instant son attitude change radicalement, en prenant les poses, son regard devient lubrique, elle écarte les pans de son manteau pour que je photographie ses jambes jusqu’en haut, descend son manteau de fourrure en -dessous de ses seins, remonte l’arrière du manteau pour me faire voir ses fesses. Brusquement elle passe dans sa chambre à coucher et revient en déshabillé transparent, prend des poses de plus en plus lascives, se caresse l’entrejambe en me regardant. Elle enlève la nuisette et tritures ses merveilleux seins, se penche, les balance devant mon objectif, retire sa petite culotte transparente, me fait voir son triangle pubien presque noir, virevolte, tourne, et s’arrête nue, une main sur son sexe, l’autre sur ses seins et me dit, de sa voix hautaine :
« Il est très tard, je dois me lever tôt demain matin. Vous voudrez bien me laisser »
Rapidement, je prends mes affaires et m’en vais, l’entrejambe au paroxysme de l’excitation. Je vais à ma voiture, m’installe au volant, sors ma bite et lui fait subir un traitement de choc pour la faire éjaculer longuement sur le tapis. Je rentre en conduisant, le sexe à l’air, toujours excité au maximum. La nuit ne fut qu’une suite de visionnement de photos et de masturbations.
Imaginez l’état dans lequel je suis pour recommencer le travail ce matin !
(à suivre)
Petar