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n° 08494Fiche technique12364 caractères12364
Temps de lecture estimé : 8 mn
19/01/05
Résumé:  Une viste qui ne se déroule pas comme prévu
Critères:  fh intermast fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Lacducoucou            Envoi mini-message
Visite




Lorsque elle sonna à ma porte, je fus surpris. Je ne m’attendais pas du tout à sa visite. Elle, de son côté, ignorait que je serais seul. Je la débarrassai de sa veste et de son sac à main, les posant sur la commode du couloir. Je la précédai vers le salon. Une brusque inspiration me saisit. Je m’arrêtai, sans lui laisser franchir le seuil.


La paume de ma main se posa sur sa poitrine, lui barrant le passage. Elle fut interloquée. Jamais, pensa-t-elle, je ne me fusse permis de porter la main sur elle, et pire, de toucher sa poitrine. Pour ajouter à son étonnement, je lui pris les mains et les posai de part et d’autre de l’encadrement de la porte.


Je lui ordonnai avec gentillesse de garder cette position. Elle resta ainsi, bras en croix, ahurie. Je répétai mon ordre d’une voix douce en stipulant que, quoiqu’il arrive, ses mains ne devraient quitter leur appui, qu’elle devait rester debout, immobile et impassible, avec interdiction absolue de manifester la moindre réaction. Comme une statue… Intriguée, elle obtempéra et attendit la suite.


Ma main monta vers ton visage et lui caressa la joue.. Mon index passa sur ses lèvres, en suivant leur contour. Sa tête bougea un peu. Je répétai mon ordre. Je lui indiquai qu’elle allait être ma chose et qu’en conséquence, j’userai d’elle selon mon bon plaisir. Alors elle réalisa la situation. Je la sentis disposée à jouer ce jeu par curiosité amusée et… inavouable. Cette prise de conscience forgea sans doute son abandon. Son esprit anticipa trop. Une étrange faiblesse l’envahit tandis que le délicieux aveu de la soumission monta de son bas-ventre comme une chaleur insidieuse.


Je défis le bouton métallique de son jean puis j’ouvris la fermeture éclair. Elle m’observa, les yeux brillants, plantés dans les miens. Mes doigts saisirent son pantalon sur les côtés et le tirèrent vers les cuisses. Je posai ensuite mes mains sur ses hanches puis je fis doucement glisser ton slip de coton blanc à mi-cuisse. Bras en croix, figée sur le seuil de la porte, fascinée et muette, elle se laissa faire…


Mon regard savoura le spectacle de sa chatte libérée du rempart de tissu, déjà humide et gonflée par l’émotion de l’instant. Une chatte splendide, dont j’avais rêvé depuis longtemps, une chatte faite pour un membre viril, une magnifique motte de plaisir. Le mont de vénus, d’une courbe opulente, était magnifiquement dessiné. Je le perçus ferme, chaud et plein de douceur. Ma main lui caressa le long l’intérieur des cuisses puis remonta jusqu’à sa motte en effleurant les lèvres accueillantes. Cet attouchement l’électrisa. Mon index se fraya un chemin dans cette richesse de chair puis doucement, conquit le clitoris. Ce fut pour elle le début d’un délicieux calvaire…


Je savais où, et comment caresser. Lentement puis, sans transition, avec une vivacité frénétique… À nouveau lentement, longuement et savamment. Mon doigt glissait sur le bouton humide et durci. Prise au jeu, elle lutta de toutes tes forces pour garder son impassibilité.


Je la sentis tout à la fois crispée et abandonnée, volontaire et défaite. L’incendie qui embrasait sa superbe chatte poussait son ventre en avant, le mont de vénus provocateur avidement tendu vers le doigt et la main. Elle avait peine à se contrôler tant la caresse la faisait vibrer. Ses genoux fléchirent légèrement. Je lui réitérai l’ordre de rester immobile sur le ton d’une pseudo colère. Je lui demandai de reconnaître que, pour avoir désobéi, elle était une vilaine et méchante fille, et qu’elle méritait punition.


Sa voix trembla en le reconnaissant. Les yeux clos, affolée par la masturbation impitoyable, elle se mit à bafouiller. Elle demanda la punition….


Eperdue, elle bredouilla qu’il fallait absolument que sa chatte la subisse sans tarder. Pour ajouter à sa contrition, j’arrêtai de la branler et la contraignis à répéter encore. Le clitoris frustré et fou de caresses, elle répéta avec fébrilité. J’en profitai pour lui susurrer à l’oreille que si la punition était cent fois méritée, seul une vraie baiseuse pouvait espérer le pardon. Elle m’assura avec précipitation vouloir être une baiseuse. Une baiseuse qui adore se faire branler et défoncer la connasse à coups de queue.


Le retour de mon doigt sur son clitoris provoqua des frémissements nerveux le long de ses cuisses. Je m’agenouillai et passai l’autre main entre celles-ci. Mes deux doigts solidaires trouvèrent rapidement leur cible. Ils s’enfoncèrent lentement dans son anus puis opèrent une doux mouvement vertical de va-et-vient. Cela la tétanisa. Le sphincter se contracta et se relâcha sur un rythme frénétique. Elle fut prise de tremblements incontrôlables. Enfin, un liquide chaud et abondant dégoulina de sa chatte sur mes doigts. Désormais incapable de la retenir. Elle poussa des plaintes sourdes. Sa tête roula de tous côtés tandis que son bassin s’agita d’avant en arrière en mouvements saccadés. Ses yeux exorbités fixaient le vide; son corps se crispa puis se relâcha totalement. Elle s’effondra sur le tapis comme une poupée de chiffons.


Je savourai le spectacle. À quatre pattes, prostrée, soumise, qu’elle était belle ! Son cul splendide s’offrait à mon vouloir. Ce cul ! Magnifique ! … La fourche de ses jambes livrait à la convoitise du regard l’ineffable douceur de sa chatte. Un plaisir pour l’œil et la main, un plaisir pour la bite. J’avais la queue aussi dure que du bois lorsque j’ouvris ma braguette.


Je m’agenouillai derrière elle, et d’un mouvement lent de la main, effleurai avec le bout de mon dard la raie de ses fesses. Elle poussa un gémissement sourd. Elle se cambra . Ses doigts se crispèrent. Je frottai le chemin des trésors du bout de mon gland en un long va-et-vient bien appuyé. À chaque passage, je m’arrêtai contre son anus pour pousser le gland, comme si j’allai forcer le délicieux passage. Elle laissa échapper un souffle rauque et son cul impatient chercha à s’empaler sur l’agresseur de chair. Mais ce n’était pas encore mon propos. Je la retournai sur le dos et, la saisissant derrière la tête, amenai sa bouche vers mon membre. Elle l’englouti spontanément et le suça avec avidité, les deux mains rivées à la hampe de chair. Nous adoptâmes la position du soixante-neuf.


Ma bouche partit à la conquête de son entrejambe. Je léchai le fente sur sa longueur, sans y faire pénétrer la langue, mais en malaxant doucement les grandes lèvres entre mes doigts pour pincer avec fermeté ton clitoris pris au piège. Je sentis sa respiration ralentir et gagner en profondeur. Ses cuisses se resserrèrent comme un étau. je savais que cette caresse l’excitait au plus haut point.


L’an passé, dans la propriété de campagne où toute la famille se réunissait souvent le week-end, j’avais surpris une scène dont, jamais, je n’aurais pensé être témoin. Il faisait un temps splendide, nous mangions dehors, dans le pré ombragé a côté de la piscine. Au cours de l’apéritif, mon briquet tomba dans le gazon; me penchant, je le cherchai sous la table. C’est là, dans la semi pénombre, que je vis la main de Fabien, le mari de sa sœur, dissimulée par l’ample nappe, lui prodiguer la même caresse à travers le tissu de son short. Ses cuisses s’écartaient puis se refermaient en mouvements lents et contenus sous l’effet de l’audacieuse agression.


Comme une petite souris dans son trou, j’observai et savourai le spectacle en espérant que rien ne viendrait contrarier leur manège et qu’il pût être mené à son terme. Sous le vêtement, sa chatte flambait de plaisir, excitée par le piment de l’interdit et fouettée par le danger. Je sentis que cette main allait vaincre et me suis alors redressé pour observer son visage. Il paraissait figé. Elle ne participait à la conversation familiale que par monosyllabes, au milieu des cris et des rires. Ses traits, brusquement, se crispèrent, ses yeux parurent s’exorbiter. Elle jouit en silence, tétanisée. Personne ne remarqua rien ; personne n’eut le moindre soupçon de ce qui venait de se passer sous la table.


Elle se détendit. Puis se tournant vers son complice comme si elle venait de découvrir sa présence, elle lui demanda d’une voix claire et posée de lui servir à boire, ce que le beau-frère s’empressa de faire, en remplissant le verre avec la main coupable. J’étais convaincu qu’elle avait du jouir comme rarement et que l’intensité de son plaisir fut à la mesure du marbre de son impassibilité.


Lorsque je sentis sous mes doigts, au travers de ses chairs, son clitoris durci trempé, j’écartai les grandes lèvres et attaquai le fabuleux bouton avec l’extrémité de ma langue, le léchant savoureusement dans tous les sens. J’introduisis également trois doigts solidarisés dans son vagin et, la plaquant au sol de tout mon poids, je leur imprimai un mouvement de va-et-vient rapide et brutal, comme si je voulus violer son intimité.


Elle devint folle. Sa bouche, sa langue et ses dents s’acharnèrent sur ma queue. Son corps se tendit, se crispa puis s’agita en tous sens. Ses ongles griffèrent mon dos. Ma tête fut écrasée dans l’étau de ses cuisses. Mais je prolongeai l’impitoyable et violente caresse dans son vagin tout en mordillant et léchant ton clitoris. J’accentuai encore ma pression sur elle. C’est ma langue qui la vainquit. L’orgasme se déclencha avec une violence inouïe, la chavirant complètement. Ses poumons se vidèrent en une longue plainte. Quelques spasmes l’agitèrent encore. Puis elle se calma. Un sourire béat apparut sur ses lèvres. Elle ferma les yeux comme pour revivre l’intensité de l’orgasme.


Je libérai ses jambes encore engoncées dans le jeans, je la relevai et l’emmenai vers le canapé du salon. Maintenant, c’est moi qui n’en pouvais plus. Je la précipitai sur les coussins, lui ouvris les cuisses. Je lui remontai les genoux contre les épaules, l’enroulai dans mes bras et m’enfonçai en elle comme dans le bonheur. Je n’avais plus qu’une idée fixe : lui défoncer la chatte sans le moindre ménagement. À grands coups de boutoir, je pris possession de sa chatte, et ses chairs tendres, soumises de mon membre dur, firent corps avec lui. Sa respiration sifflante se transforma en halètement rythmé, suivi bientôt de gémissements. Enfin, elle cria, proféra des mots sans suite et des obscénités. Ses paroles sont encore dans ma tête :



J’ activai encore le rythme et la violence de l’assaut tout en accentuant ma pression sur elle. Mes mains malaxèrent ses seins tandis que ma langue lui titilla le lobe de l’oreille. Ses jambes, contre mes épaules, voulurent se rebeller. C’est à ce moment-là que je lâchai la longue giclée de sperme chaud dans le ventre. Elle se tétanisa et cria encore. Puis elle se relâcha, anéantie. Je savourai cette victoire avec une joie indicible, comme elle-même savoura sa défaite au prix du plaisir qu’elle en avait tiré……


Une demi-heure plus tard, douchée, rhabillée, coiffée et pomponnée de frais, sur le départ, elle m’apprit le motif de sa visite. Pierre, son mari, partait pour le week-end avec les enfants chez leurs grands-parents pendant qu’elle resterait à se reposer dans la maison de campagne. Comme elle passait dans mon quartier, l’idée lui était venue de m’inviter à y faire une visite. Elle me précisa encore que son beau-frère Fabien passerait sans doute aussi… Si nous le souhaitions, nous pourrions venir dès le samedi… Ravi, je m’empressai d’accepter cette invitation pour un week-end que j’allais l’attendre avec impatience…