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Temps de lecture estimé : 22 mn
20/01/05
Résumé:  A la suite de son anniversaire (récit 8240), Gaëlle se rend chaque semaine chez Abdel et sa petite amie Coralie. A ma demande, elle accepte de me faire inviter incognito
Critères:  ff grp couleurs cocus fellation pénétratio double fsodo partouze
Auteur : David 1  (David)
Gaëlle et Coralie

Note : cette histoire fait suite à « L’anniversaire de Gaëlle », histoire publiée sur ce site (numéro 8240)


Résumé de l’épisode précédent : ma femme Gaëlle et moi formions un jeune couple très heureux. Tout récemment, pour son anniversaire, je consentis à son fantasme, qui était de se livrer à un beau black s’appelant Abdel. En fait, ce dernier vint avec son frère. Le récit que Gaëlle me fit après une après-midi torride me bouleversa. Après l’amour, elle m’avoua qu’Abdel l’avait invitée à venir le voir la semaine suivante, il aurait tous ses amis avec lui.






Une semaine s’était écoulée depuis l’anniversaire mémorable de ma femme. Une semaine d’ailleurs bien banale. Notre vie de couple avait repris sa tranquillité et sa tendresse – sa merveilleuse tendresse – antérieure. Bien sûr, quand nous faisions l’amour, je ne pouvais totalement oublier ce qui s’était produit, et d’ailleurs, je ne le désirais pas, tant au fond de moi-même, la nouvelle personnalité que venait de me dévoiler ma femme me plaisait, et pour être tout à fait exact, m’excitait. Je gardais en mémoire l’invitation qu’Abdel lui avait faite, sans oser la lui rappeler, ne sachant pas très bien si je préférais qu’elle y renonçât, et qu’elle restât la nuit de samedi à dimanche simplement près de moi, ou si j’avais envie qu’elle y allât et m’en revint troublante, fascinante, si désirable car si pleine de la semence d’autres hommes, à laquelle je jouirais tant d’y mêler la mienne.

Ce fut Gaëlle qui en parla la première, le samedi après le déjeuner.



Elle me disait cela très simplement, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, comme s’il s’agissait de rendre visite à une amie ou à ses parents. L’expérience de son anniversaire l’avait totalement libérée de ses inhibitions, avoir des relations sexuelles avec Abdel ou avec d’autres que moi, non pour accomplir un acte d’amour mais seulement pour le plaisir de son corps, avait cessé d’être pour elle quelque chose d’interdit, pour lequel il fallait supplier une autorisation lors d’un événement tel un anniversaire, pour devenir une activité ordinaire, aussi évidente, et peut-être aussi nécessaire, que de manger ou de dormir. Je ne pouvais aller contre sa nature, je tenais tant à elle ! Et elle me troublait tant ! Jamais je ne m’étais senti aussi amoureux.



Un bon livre, mais je n’y croyais guère, et Gaëlle, pas dupe, préféra en rire. Elle m’embrassa langoureusement.



Elle partit en début de soirée, guillerette, me laissant seul dans mes réflexions. Ce qu’elle était en train de faire me débridait l’imagination, nourrissait mes fantasmes les plus secrets révélés par le récit de son anniversaire. Je voulais la connaître telle qu’elle était en ces instants avec Abdel et Mourad, je la désirais dans la transe sexuelle qu’elle m’avait décrite, en plus de l’aimer comme la femme tendre et douce qu’elle avait toujours été moi, et qu’elle ne serait jamais, je le savais au plus profond de moi, et elle le savait aussi, pour d’autres. Je n’étais pas vraiment trompé au fond, et d’ailleurs j’étais consentant. Mais cette autre femme dont elle m’avait parlé avec tant de passion, qui s’appelait aussi Gaëlle, qui avait le même corps qu’Abdel et Mourad avait possédé et auquel je ne pouvais que rêver, m’obsédait et me rendait fou de désir.

Comme Gaëlle l’avait deviné, et peut-être espéré, j’étais trop absorbé par ces pensées pour lire, j’égrenais les secondes, dans mon lit, solitaire. Enfin, très avant dans la nuit, j’entendis son pas dans l’escalier, le bruit de la serrure, et elle vint me trouver, visiblement épuisée, mais radieuse. Avec le même sourire angélique que la semaine précédente, elle me regarda, et, en quelques gestes, se dépouilla de ses vêtements. Nue, frémissante, elle était tellement belle ! Elle me dévoila son corps rose, parcouru de tâches de sperme séché qui se densifiaient autour de son sexe encore rougi, et toujours aussi soigneusement épilé.



Elle se blottit près de moi en ronronnant. Ma main caressa ses joues, puis glissa lentement vers ses seins, puis son sexe encore moite. Elle soupira en fermant les yeux lorsque mon doigt alla recueillir un peu de liquide dans son vagin. Me prenant la main, elle le porta à ses lèvres, et me le fit goûter.



Je m’allongeai sur elle, et l’embrassai. Son vagin s’entrouvrit de lui-même lorsque mon gland l’effleura, et je la pénétrai lentement. Divin bonheur ! Quel délice d’être en elle, sa chatte était si douce, si humide, si ferme ! Sa respiration se fit haletante. Elle jouit longuement, sereinement, elle m’embrassa quand enfin j’éjaculai à mon tour en elle.



« Abdel habite un appartement plutôt cossu au centre ville. En fait, il appartient à son père, qui a une grosse situation dans une entreprise de prospection pétrolière, et qui est en Afrique la plupart du temps. Il organise très régulièrement pour lui, des amis et des invités par recommandation des soirées très spéciales. Ce soir, j’étais l’invitée d’honneur, c’est-à-dire que j’allais être testée pour savoir si je pourrai ou nous continuer à venir, mais cela je ne l’ai pas compris tout de suite. C’est Abdel qui m’a ouvert la porte, il était entièrement nu et terriblement excitant. Il m’a fait rentrer dans le vestibule, entièrement fermé. Après un baiser, il m’a demandé de me déshabiller complètement. Une fois à poil, je lui ai tourné le dos pour suspendre mes affaires dans la penderie. C’est alors qu’il m’a attrapée par les hanches, et avant que j’ai eu le temps de dire ouf, il m’avait enculée à sec ! C’est pour ça que j’ai un peu mal ce soir, car sans lubrifiant et vu le calibre de sa bitte, j’ai d’abord dégusté ! Mais mon Abdel sait tellement bien se servir de son engin, et il sait tellement bien comment me faire jouir, que je n’ai pas tardé à crier mon bonheur. Il a éjaculé dans mon cul, et m’a conduit dans le salon. Là stupeur ! tout le monde était déjà là. Abdel me dit que, pour ne pas me brusquer la première fois, il n’y avait qu’un petit comité, en l’occurrence cinq mecs, dont Mourad, plus la petite amie d’Abdel, une renversante et sculpturale blonde s’appelant Coralie. Les présentations sont courtoises, bourgeoises presque, mais tu imagines, je suis à poil devant ces inconnus, il y a du foutre qui me coule du fion sur mes cuisses, ils m’ont entendu jouir dans le vestibule ! Mais l’ambiance s’est vite détendue après quelques verres de champagne, et ma timidité tomba complètement quand les hommes se déshabillèrent, me montrant impudemment leurs bittes en érection. Sur ce, d’ailleurs, Abdel me dit :



Je m’agenouillai, et les hommes firent cercle autour de moi après avoir défait leur braguette. Hmm, cinq belles pièces pour moi toute seule ! Je les suçais tous, tour à tour, avec application. Les commentaires sur ma prestation étaient plutôt élogieux… L’un d’eux, n’en pouvant plus, éjacula dans ma bouche. Ce fut un tonnerre d’applaudissement quand les autres se rendirent compte que j’avais tout avalé. Il faut dire qu’il avait plutôt bon goût ! Aussitôt, un beau blond me fit relever, et m’enfila par la chatte qui commençait à en avoir assez de gémir et de couler toute seule. C’est te dire que j’ai tout de suite pris mon pied ! Et tous y sont passés, uniquement par ma chatte, ce soir mon cul était réservé à Abdel qui s’y est d’ailleurs soulagé plusieurs fois. Coralie me regardait intensément, mais n’a pas participé, Abdel m’a dit pendant une pause qu’elle était bisexuelle, mais bon, ça ne m’intéresse pas, j’aime trop les hommes. Et puis voilà, que te dire, une super soirée de baise, il m’a bien fallu tout ce temps pour vider les couilles de tous ces messieurs, enfin j’y suis arrivée, j’espère que tu es fière de ta petite salope de femme ! En tout cas, je leur ai beaucoup plus, je remets ça la semaine prochaine ! »


Et effectivement, Gaëlle prit l’habitude d’aller presque chaque semaine chez Abdel. Il a bien fallu que je m’en accommode, elle ne me demandait pas mon avis ! Cela se fit cependant sans grande difficulté, et à vrai dire, moi aussi j’attendais le samedi avec impatience que je ne cherchais d’ailleurs pas à lui dissimuler, tant il me semblait que cela ajoutait à son excitation. Je continuais d’attendre ma femme toute la nuit, mais il n’y avait plus dans mon esprit trouble ou inquiétude, mais une grande fièvre qui me tenait éveillé. Car Gaëlle n’omettait jamais de me raconter par le menu tout ce qu’elle avait fait. En général, il y avait rarement moins d’une vingtaine d’hommes, des habitués, généralement les meilleurs amants, et qui donnaient le plaisir de torrides retrouvailles hebdomadaires, des petits nouveaux qu’il fallait de suite tester, des occasionnels, de passage dans la région, et qui étaient pour ma femme autant d’occasions de plaisir à saisir impérativement de peur qu’ils ne reviennent plus. Car Gaëlle s’offrait à tous, sans restriction, et sans tabous, même si Abdel restait son amant préféré. De fait, elle était devenue la plus populaire, la tête d’affiche, celle dont Abdel vantait inlassablement les mérites sexuels à ses amis éloignés pour les faire venir les en faire profiter, d’autant qu’elle était la seule femme à venir seule. Et ses récits m’excitaient au plus au point, et ils constituaient immanquablement les préliminaires à des étreintes passionnées entre nous. Car, en dépit de ses nombreux amants de passage, la libido de Gaëlle à mon endroit n’avait pas décru, au contraire ! Elle me réservait toute sa tendresse, sans compter le surplus que ses soirées baise n’écoulaient pas, car il était clair que son appétit sexuel, loin d’être repu par cette nouvelle vie qu’elle menait depuis son anniversaire, croissait de semaine en semaine.


A la longue, cependant, ma fièvre à l’attendre fit place à un désir différent, celui de l’accompagner. Je voulais savoir, je voulais la connaître, la posséder toute entière, sans part d’ombre, sans jardin secret. Bientôt, cette envie fut telle que je m’en ouvris à ma femme.



Elle me regarda, pas du tout choquée ou gênée, mais simplement surprise, comme si l’idée que je venais de lui soumettre ne lui était jamais venue à l’esprit, mais qu’elle lui semblait à présent si évidente qu’elle était étonnée de ne pas y avoir pensé avant moi. Elle resta un instant sans voix, puis elle me répondit en souriant :



Elle ne mentait pas, l’idée semblait à présent l’exciter au plus haut point. Elle riait aux éclats, me détaillant tous les plaisirs qui s’offriraient à nous. Elle me parla de Coralie, « celle-là, il faudrait être homo pour ne pas avoir envie de la baiser », des autres habituées, et des occasionnelles, « les plus craquantes, car ça les intimide au début de se faire niquer devant tout le monde ».




Le soir venu, Gaëlle partit une heure avant moi, comme convenu. Une heure bien longue, durant laquelle mes fantasmes soufflaient en tempête dans mon imagination ! Enfin, j’arrivai à la bonne adresse, un immeuble bourgeois du centre-ville, quelconque, anonyme. Dans un étage, probablement celui d’Abdel, il y avait de la lumière et des sons de fête qui seuls, à cette heure pourtant peu tardive, trahissaient une activité humaine.

Je donnai le mot de passe à l’interphone. Arrivé devant la porte de l’appartement d’Abdel, je sonnai, le cœur battant. La porte s’ouvrit, et je la vis.

Sans la connaître, je pus la nommer. Impossible de se tromper, c’était Coralie, simplement vêtue d’un peignoir de bain. Une blonde sculpturale, en effet, au sens qu’elle aurait pu servir de modèle d’une statuaire grec pour Aphrodite, mais il aurait fallu un génie du ciseau pour traduire dans le marbre figé la grâce du moindre de ses mouvements. Ses yeux océans, harmonieusement enchâssés dans une chevelure blonde qui coulait telle une rivière d’or sur ses épaules légèrement découvertes, ses yeux dans lesquels, en cet instant magique, j’aurais souhaité me noyer, me regardaient avec douceur, et me signifiaient par anticipation ce que ses charmantes lèvres vermeilles me dirent :



C’était si simple, mais j’étais transporté au paradis. Sa voix sortait de sa bouche tel le doux murmure d’une source. Comme pour m’inviter encore à me mettre nu, elle-même ôta son peignoir, d’un geste, avec une grâce, une élégance, une liberté qui à elles seules suscitaient le désir. Elle réarrangea ses cheveux, qui tombèrent en pluie sur sa poitrine, où triomphaient sereinement des seins fermes et nacrés. Elle se cambra légèrement, mettant en valeur l’admirable proportion de son buste, de ses hanches, et de ses jambes fines et galbées, et mon montrant, sans gêne aucune, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, un sexe soigneusement épilé dont la fine division était une irrésistible invitation à la volupté. Pendant que je me déshabillais à mon tour, elle me regarda avec un sourire qui se transforma en rire argenté lorsque je découvris ma verge déjà en érection.



Elle se tourna, et s’éloigna devant moi, d’une démarche irréelle, comme un cygne glisserait immaculé sur l’onde, le balancement idéal de ses hanches, le modelé de ses fesses à la raie idéalement dessinée, l’harmonie du mouvement de ses genoux et de ses chevilles, formaient une sublime symphonie pour les yeux. Encore transporté par cette vision de nirvana, je la suivis dans le salon.


C’était une pièce assez grande, dans laquelle se trouvait une trentaine de personnes dispersées en petits groupes et devisant tranquillement, assis sur l’un des trois canapés en cuir disposés en cercle autour d’un tapis central, ou près du buffet sur un côté. La musique, les boissons alcoolisées qui circulaient de main et main, l’âge des participants faisaient penser à une simple fête d’étudiants, plutôt de filière scientifique compte tenu de la proportion d’une femme pour deux ou trois hommes environ. Une simple fête, sauf que tout le monde était intégralement nu. En outre, toutes les femmes avaient le sexe soigneusement épilé. Gaëlle était là, assise au milieu d’un des canapés, une flûte à champagne à la main. Je la regardai un instant. Elle était si belle, si désirable, nue comme tout le monde ici, mais ayant gardé ses bijoux et surtout, ce qui me troublait au plus haut point, son alliance. Elle était entourée de deux blonds athlétiques, ainsi que d’Abdel et Mourad, avec qui elle bavardait en riant aux éclats. Coralie les rejoignit.



Gaëlle me vit, mais comme convenu son regard glissa sur moi comme sur un parfait inconnu. Je me dirigeai vers le buffet pour prendre un verre. On sonna à la porte, Coralie alla ouvrir et revint bientôt, accompagnée d’un jeune couple. Sa voix claire s’éleva alors au-dessus du brouhaha.



Ce fut le signal de départ. Dans chacun des groupes, les femmes s’abandonnèrent aux caresses et aux baisers. Gaëlle posa sa flûte par terre, et se pencha sur la verge de son voisin de droite pour débuter une fellation avec force bruits de langue et de succion. Dans le même mouvement, elle releva son bassin, tendant impudiquement son bassin dans ma direction. Le deuxième blond lui flatta un instant la croupe, puis, se levant, lui saisit les hanches et lui effleura avec son gland l’entrée de sa chatte, visiblement déjà bien trempée de cyprine. D’un coup, il la pénétra, et entama derechef une série de va-et-vient rapides.



Gaëlle reprit sa fellation, ce qui étouffa les cris de plaisir qui déjà montaient en elle, et en partie couverts par les feulements des autres femmes qui, à leur tour, s’adonnaient à la copulation la plus frénétique.



C’était une jolie petite blonde qui venait de m’aborder ainsi, tenant par la main un autre homme, affichant ainsi une ingénuité de collégienne à la fois fière et intimidée par son premier flirt qui contrastait avec la crudité de ses propos. Elle n’attendit d’ailleurs pas ma réponse, et se pencha de suite sur ma queue qu’elle avala avec voracité. Excité comme je l’étais, je ne tardai pas à bander comme un cerf, d’autant que la demoiselle s’y prenait fort bien. Son compagnon n’était pas en reste, il lui releva le bassin et la pénétra d’un coup de rein si brusque que j’en ressentis le contrecoup. Mais Marie-Laure ne fut pas décontenancée, elle devait avoir l’habitude, et continua de me sucer avec application en poussant des gémissements sourds. Je ne perdais cependant pas de vue Gaëlle, qui elle ne gémissait plus, mais poussait des cris sonores qui résonnaient comme un orgue de cathédrale. Son premier baiseur venait d’éjaculer en elle, mais à peine se fut-il retiré que son alter ego le remplaça en glissant sur le sperme chaud. Cette vue me stimula encore, et je demandai au compagnon de Marie-Laure d’intervertir nos rôles. J’investis avec plaisir sa petite chatte étroite et juteuse, et je me mis à la limer furieusement sans cesser de mater ma femme en train de se faire prendre. J’éjaculai assez vite, mais j’étais tellement excité, et le vagin de Marie-Laure se contractait tellement bien autour de ma queue, que je ne débandai pas tout de suite et que je pus continuer à la pénétrer un moment. Puis, je laissai ma place, et Marie-Laure me reprit dans sa bouche et ne tarda pas à me rendre ma vigueur.


Gaëlle enchaînait à présent les amants sans discontinuer, dans une véritable frénésie de plaisir, offrant indifféremment son cul ou sa chatte à tous ceux, assez nombreux maintenant, qui l’entouraient en attendant de pouvoir investir le premier orifice à se libérer pour s’y vider les couilles. Mais cela ne suffisait plus à calmer sa transe. Elle allongea Mourad sur le canapé, s’empala derechef sur son pieu, et d’un geste indiqua à l’un des hommes autour d’elle de l’enculer. Mon fantasme se réalisait, je voyais ma femme prise en sandwich et hurler son plaisir, en redemander encore. Je laissai Marie-Laure à son compagnon, et m’approchai pour mieux voir l’arrière-train de Gaëlle transpercé en cadence par deux belles bittes qui glissaient dans la cyprine et le sperme déjà déposé avec un rythme endiablé. Soudain son enculeur se figea en grognant, et se retira, laissant derrière lui un long filet argenté qui coula de l’anus grand ouvert de ma femme sur la bitte de Mourad qui la pilonnait de plus belle. À cette vue, je n’y tins plus. Je pris de vitesse le type qui s’apprêtait à s’emparer de ce trou laissé vide, et y enfournai ma verge. Quel délice ! Le cul de Gaëlle était merveilleusement brûlant, étroit, humide. À chaque coup de rein, ma bitte s’enrobait du sperme encore chaud laissé par mon prédécesseur, et devait lutter à qui donnerait le plus de plaisir avec celle de Mourad, que je sentais à travers la fine cloison batailler dans la chatte de ma femme. Mais ce n’était plus ma femme en ce moment. C’était une femme avide de se donner au plaisir, totalement vouée au sexe. Et je l’enculai comme telle, fou de la découvrir ainsi, oubliant qui elle était, qui j’étais. Ce sentiment, elle le partagea : elle me dit après ne pas s’être rendu compte que je l’avais prise à ce moment, elle était trop occupée à jouir, elle m’avait offert son cul à moi comme aux autres. Après un bon moment d’extase, je jouis longuement dans ses entrailles, en longs jets qui rendirent les cris de Gaëlle encore plus perçants.



Je fus aussitôt remplacé. Je me mis un peu à l’écart, vidé et encore secoué par l’expérience que je venais de vivre. Il me semblait que je venais de sodomiser cette femme pour la première fois, cette femme qui était par ailleurs la mienne. La nouvelle facette de sa personnalité, que je n’avais découverte depuis son anniversaire que par ses récits, et qui de ce fait était restée dans les limbes de mes fantasmes, s’était matérialisée brutalement. J’étais le mari heureux et comblé d’une femme aimante, je venais de devenir un des nombreux amants de passage d’une femelle déchaînée, qui ne semblait en cet instant ne plus vivre que pour le sexe.

Les groupes se faisaient et se défaisaient sous mes yeux. À vrai dire, les femmes ne changeaient pas de groupe, elles en étaient les centres, et attiraient les hommes qui venaient leur rendre hommage. La musique de fond était couverte par les cris d’orgasme qui se mêlaient et s’élevaient en une splendide symphonie du plaisir. Et de cette symphonie, je m’en rendais compte à présent, Gaëlle était l’inspiratrice. Elle trônait, au centre de la pièce, gardait près d’elle les hommes les mieux bâtis, qui enfournaient leurs bittes qui dans sa bouche, qui dans sa chatte, qui dans son cul, avec une fougue insatiable. Quand elle jouissait, elle était la plus belle. Ce soir, pour tous ces hommes, pour toutes ces femmes, et pour moi aussi, Gaëlle était la déesse du sexe.

La symphonie cependant allait diminuendo, la plupart des hommes, épuisés, m’avait rejoint en spectateurs. Nous nous rendîmes alors au buffet, une petite collation étant la bienvenue pour reconstituer ses forces et continuer la soirée. Tout le monde était de très bonne humeur, et, champagne aidant, les femmes riaient aux éclats. Elles étaient belles, ainsi, nues, les seins et les cuisses maculés de sperme. Mon regard croisa celui de Gaëlle, qui me sourit en se caressant le bas-ventre.



De la jalousie, ou de l’envie ? Mais Gaëlle ne put entendre ces réflexions. Elle s’était dirigée vers Coralie, qui ne lui cédait d’ailleurs que de peu à Gaëlle en termes de popularité masculine. Et féminine aussi, d’ailleurs. Tout au plus pouvait-on dire, au vu du liseré argenté qui cerclait l’entrée de leurs sexes, qui si Gaëlle s’était montrée vorace, Coralie s’était contentée d’être gourmande. Je m’approchai pour entendre. Les deux femmes papotaient comme de bonnes amies qu’elles étaient devenues, puis le ton de Gaëlle se fit plus tendre.



Coralie attira Gaëlle au centre de la pièce, et commença à la caresser doucement, sans appuyer, frôlant seulement la pointe de ses seins, effleurant du bout des doigts ses fesses. Les autres invités, délaissant le buffet, firent cercle autour des deux femmes. Ce qui était le plus troublant, et surtout pour moi, c’est que Gaëlle, encore à l’instant avide de sexe, avec du sperme qui coulait le long de ses cuisses, semblait en ce moment timide comme une vierge. Peu à peu, les caresses de Coralie se firent plus insistantes, plus sensuelles, sa main abandonna les seins pour descendre lentement sur le ventre de son amie. Gaëlle, frémissante, commençait à réagir, son souffle se faisait de plus en plus lourd, et se mua lorsque les doigts de Coralie parvinrent à l’entrée de son vagin en une douce et enivrante mélodie. Comme pour mieux l’entendre, comme pour mieux s’abandonner aux signaux de plaisir que toutes les parties de son corps lui envoyaient, elle ferma les yeux en souriant avec béatitude. C’est cet instant que Coralie choisit pour l’embrasser tendrement. Gaëlle n’eut aucun mouvement de recul, au contraire, elle reçut ce baiser en le savourant comme un plat rare et raffiné. Il semblait que ses dernières appréhensions venaient de s’évanouir, elle rendait à présent ses baisers, ses caresses, à Coralie dont les feulements s’élevaient en contrepoint des soupirs de contentement de Gaëlle. Cette musique céleste gagna graduellement en force, alors que les caresses se firent plus appuyées, les attouchements plus décidés, les baisers plus passionnés. Les deux femmes, submergées par l’émotion et le désir, fléchirent des genoux et s’allongèrent sur le tapis, Coralie sur le dos, sans cesser de s’embrasser. Gaëlle, prenant l’initiative, descendait ses lèvres le long du corps de son amie, mordillait ses tétons, massait son ventre. Puis, d’une simple poussée de la main, elle lui fit écarter les jambes.

La chatte de Coralie s’ouvrit alors comme une fleur dans un matin de printemps. Comme pour en humer le parfum, Gaëlle en approcha son visage, nettoyant méticuleusement les traces de sperme qui la souillaient, par d’habiles coups de langues en faisait jaillir un nectar de cyprine qu’elle buvait avec délectation. Les gémissements de Coralie emplissaient la pièce, bientôt rejoints par ceux que Gaëlle poussa lorsque son amie, pour lui rendre le plaisir qu’elle venait de lui donner, lui avait écarté les fesses pour lui glisser sa langue dans le sexe, puis dans alternativement dans son œillet. Cette volupté si communicative, si enivrante, s’était propagée aux autres invités, qui avaient reformé des petits groupes, toujours entourant le tapis central, se livraient à la copulation avec des cris soutenus qui ne faisaient que souligner la pureté du concert de Gaëlle et Coralie, en qui toute notion du monde semblait s’être abolie, pour ne plus laisser que le bonheur d’être à deux, seules malgré la foule. Avec Abdel et Mourad, j’étais resté près d’elles, fasciné. Le corps de Gaëlle était parcouru de frissons, elle se cabrait, essayait de retenir les flots de mouille que la langue expérimentée de Coralie puisait de son vagin, puis, n’y tenant plus, elle s’abandonna.



Son orgasme fut long, intense, issu des profondeurs de son être, émerveillé de la nouvelle dimension de sa sensualité que Coralie venait de faire naître en elle. Après un langoureux diminuendo, les deux femmes s’enlacèrent et s’embrassèrent, emmêlant leurs langues.



Un regard suffit en cet instant à Gaëlle pour m’exprimer ce qu’elle attendait de moi. Ma main remonta le long de la cuisse de Coralie, toujours allongée sur le dos, et bientôt mes doigts se glissèrent dans sa chatte divinement béante. Nous nous embrassâmes, et je reconnais dans son baiser la saveur de cyprine de Gaëlle.



Je m’étendis sur elle, elle passa ses jambes sublimes autour de mon dos. Ses pieds délicats appuyèrent sur mes fesses pour me pousser en elle. Je la pénétrai longuement, lentement, me délectant de chaque millimètre de ce vagin délicieusement doux, qui palpait chacune de veines de ma verge et semblait vouloir m’engloutir entier. Quand mon gland toucha le fond de son sexe, elle poussa dans le creux de mon oreille un petit gémissement plaintif :



J’augmentai peu à peu le rythme, Coralie mouilla encore pour m’y encourager. Sa poitrine se soulevait à chaque pénétration pour s’exhaler dans des cris ininterrompus de plaisir qui me rendaient fou.

De son côté, Gaëlle avait couché Mourad sur le dos, et le chevauchait furieusement tout en suçant avec gourmandise la queue d’Abdel qui prit vite une taille impressionnante. Au bout d’un moment, alors que Gaëlle commençait à jouir sous l’effet des coups de boutoir de son frère, il vint se placer derrière elle et appuya son gland contre son anus. Je crois que jamais je n’oublierai cet instant. Le visage de Gaëlle était tout près du mien, elle me regardait amoureusement, droit dans les yeux, exactement comme à la maison. Elle me regardait faire l’amour avec Coralie. Je la regardais faire l’amour avec Mourad, et se préparer à une double pénétration avec son frère. D’elles-mêmes, nos bouches allèrent l’une vers l’autre, et son baiser avait pour moi le même goût que ceux de notre nuit de noces. En cet instant, son visage se tordit de plaisir, sa langue se raidit dans ma bouche. Abdel, d’un grand coup de rein, venait d’investir son intestin. Elle poussa un hurlement sauvage, et m’embrassa de plus belle. Et je sentais dans ma bouche chacun des coups de bitte qu’elle recevait dans son corps.

Puis, au bout d’un moment, elle me regarda encore, puis regarda Mourad sous elle. Elle avait le pouvoir de commander aux hommes d’un regard qui vous fouillait l’âme, pour la pleine satisfaction de ses plaisirs. Mourad se dégagea, et me remplaça dans le vagin de Coralie, presque trop occupée à jouir, à emplir l’espace du chant extatique cette copulation frénétique, pour se rendre compte du changement de partenaire, j’allais dire, d’interprète. Je m’étendis sous Gaëlle. Elle m’embrassa, alors que ma queue, distendant ses chairs, disputant la place à Abdel qui avait envahi son cul, s’enfonça complètement dans son vagin. Mais nous ne restâmes pas très longtemps ainsi. Gaëlle embrassa Abdel, et, encore d’un regard, lui indiqua de se retirer de son cul. À mon tour elle m’embrassa, et je m’immobilisai en elle. Je sentis la bitte d’Abdel s’appuyer sur la mienne, le vagin de Gaëlle se dilater autour de mon sexe, tandis que son visage s’illuminait d’un plaisir nouveau.



Très vite, Abdel et moi coulissions sans difficulté dans ce sexe anormalement agrandi et lubrifié. Gaëlle jouissait à en perdre haleine, comme jamais au cours de cette soirée pourtant riche en amants, battant même à ce jeu Coralie que Mourad inondait en cet instant de son jus. Mais chose étrange, il me semblait que Gaëlle assumait conjointement à présent sa double identité sexuelle : femme aimante et tendre pour moi, femelle en rut pour Abdel. Pour la première fois de la soirée, je reconnaissais mon épouse, c’était bien son sexe que je pénétrai, malgré la présence d’Abdel qui la ramonait comme lui en avait l’habitude. Comme je me sentais amoureux d’elle ! Et plus je l’aimais, plus je la pénétrais avec enthousiasme. Abdel, avec un rugissement terrible, lâcha de puissants jets de sperme brûlant, que ma propre bitte étala furieusement sur toute la surface du vagin de Gaëlle. Pour nous trois, ce fut l’extase. Abdel se retira, et aussitôt ma bitte se retrouva enserrée dans un délicieux étau de chair. Je retournai ma femme sur le dos, et guerroyais un moment dans son vagin divinement soyeux et chaud. Elle m’embrassait passionnément, et à ma grande fierté sa jouissance n’avait pas décru. Enfin, ivre d’amour pour elle, j’éjaculai à mon tour en elle. Nous nous enlaçâmes tendrement, laissant lentement retomber toute la passion accumulée, redescendant comme à regrets les marches du paradis.


Des applaudissements crépitèrent autour de nous. C’est alors que je me rendis compte que nous étions le dernier couple en activité. Tout le monde nous avait regardé faire l’amour, avec envie et admiration, sans savoir que nous étions mariés, mais se doutant peut-être qu’une telle complicité sexuelle ne pouvait être atteinte entre deux amants d’un soir. Gaëlle et moi nous nous regardons encore en souriant. Quelle femme merveilleuse ! Elle rit de bon cœur alors qu’une jolie métisse m’aida à me relever et me serra contre elle. Au moment de l’embrasser, du coin de l’œil j’aperçus Gaëlle dans les bras d’un beau rouquin. La nuit continua…


Pour préserver mon incognito, je pris congé un peu avant Gaëlle. Je sortis l’attendre un peu plus loin dans la rue, épuisé, mais comblé. Dehors, c’était l’aube, la température était douce. Le ciel d’un bleu immaculé rosissait dans l’attente de l’arrivée imminente du lever du soleil. En ce dimanche matin, la ville était encore assoupie, et les quelques bruits de voiture de noctambules attardés ne troublaient pas la douce quiétude qui m’envahissait. Et lorsque Gaëlle sortit à son tour, ce fut la béatitude. Je mesurai combien elle m’était précieuse, et combien elle m’était encore apparue nouvelle, différente, fascinante lors de cette nuit inoubliable. Seul, j’avais pu connaître les deux facettes de sa sexualité, la douce, la pure, la sauvage, l’infidèle, l’une après l’autre, l’une et l’autre mélangées. Elle me vit, et avec un cri de joie, elle courut se pendre à mon cou pour m’embrasser comme une jeune fille.



Je la serrai tendrement contre moi. Elle blottit sa tête contre ma poitrine en fermant les yeux. Nous restâmes là un moment, seuls au monde dans la ville qui s’éveillait. Puis, nous rentrâmes tranquillement chez nous, ivres de bonheur partagé, avant de se laisser glisser, une fois au lit, dans d’ineffables rêves…