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n° 08506Fiche technique9751 caractères9751
Temps de lecture estimé : 6 mn
21/01/05
Résumé:  Vincent évoque certaines pages de son passé ambigu avec sa belle-soeur ainsi que leur complicité
Critères:  h alliance amour lingerie jeu journal
Auteur : Croq  (Moi et ma belle soeur, une série de flashes qui font clic)      

Série : Les délices passés des plus beaux de nos jours

Chapitre 02 / 04
Quatre clics et une petite culotte

Il s’appelle Vincent et il aime bien se souvenir de ces instants, éclairs qui ont illuminé ses plaisirs de jeunesse.

Oh, il n’est plus tout jeune, certes, mais il n’est pas vieux non plus. Enfin, il est plutôt "vieux" pour les jeunes… Il faut bien faire avec.

Vincent est marié et il a un secret : s’il aime sa femme, il aime encore plus sa belle-sœur Valérie, la sœur de sa femme. Rien d’original peut-être, mais depuis vingt ans il se demande si vraiment il ne s’est pas trompé. Question toujours effacée par le rire de ses enfants…


Pourtant, Valérie est là, souvent dans ses pensées, toujours en arrière-plan lorsqu’il fait l’amour, aussi charmante et charmeuse, malgré les enfants qu’elle a eus elle aussi. Valérie connaît bien les sentiments de Vincent. Leur jeu est subtil et codé, leur destin avance en parallèle mais, même si leur route ne s’est réellement jamais croisée dans une étreinte passionnée, une complicité constamment entretenue les a fait, frère et sœur dans les confidences les plus secrètes. Elle les a également fait amants virtuels par ces doux baisers rapidement volés, par ces mains qui se frôlent sans ambiguïté, par cette pointe de sein qui se dévoile si souvent, par cette petite culotte offerte entre deux jambes qui s’écartent, par le tissu tendu du pantalon ou du maillot révélant une érection non dissimulée.


Valérie a dix ans de moins que Vincent. Elle lui est apparue pour la première fois un soir de juillet alors qu’elle revenait d’une promenade à vélo dans la campagne bretonne.



C’est ce qu’avait dit Aude en entraînant son futur mari derrière elle. Vincent voyait effectivement s’approcher à vélo une jeune fille qui grimpait péniblement la côte menant à la maison de sa belle- famille.

Epuisée par ce dernier effort, Valérie laissa tomber son vélo et se redressa. Une jolie robe rouge, très légère, des sandalettes blanches, c’est tout ce que vit d’abord Vincent. De ses mains, la jeune fille rejeta ses cheveux bruns en arrière, dévoilant ainsi son visage. Les yeux couleur noisette se fixèrent sur Vincent.



Le timbre si chaud de cette voix, l’odeur de ce corps encore empreint des effluves d’une eau de toilette discrète, ce visage si fin, le reflet du soleil couchant sur ces épaules dénudées et bronzées, ce sourire un peu coquin et un peu mystérieux, cette pose si particulière…

À cet instant précis, Vincent fut perdu mais il était trop tard. Aude riait en lui prenant la main et en embrassant sa sœur.


Valérie avait tout juste 18 ans.


Tout ce qui se passa après, dans les mois qui suivirent, Vincent ne s’en souvient plus. Il sait seulement que sa passion pour Valérie s’épanouissait à chaque rencontre dans une excitation incontrôlable qu’il ne cherchait pas à lui dissimuler. Quand il lui révéla qu’il se masturbait souvent en pensant à elle, elle ne répondit rien mais le regarda avec un étrange sourire. Peu à peu Valérie se prit au jeu, acceptant d’être la complice discrète et terriblement efficace des masturbations de son beau-frère.

À ces souvenirs et pendant qu’il écrit ces lignes, Vincent a sorti son sexe déjà bien dressé. Il sait qu’il ne pourra pas garder sa pensée très cohérente en se branlant tandis qu’il tape sur les touches du clavier. Les images se précipitent devant ses yeux et se répercutent dans son gland qu’il sent palpiter, elles ont la fulgurance d’un flash qui ne viserait que lui et Valérie, hors du temps et de l’espace.


Clic 1


Aude et lui le matin, couchés sous les draps. Vêtue d’un long tee-shirt, Valérie entre et s’assied près de Vincent. Il sent sa jambe nue et chaude. À travers le drap, il bande contre cette jambe qui l’excite. Valérie discute comme si de rien n’était. Il descend sa main et se branle discrètement. Aude ne se doute de rien. Valérie passe rapidement ses doigts sur la main qui va-et-vient lentement contre sa cuisse, en une sorte d’encouragement muet. Mais il est temps de se lever…


Clic 2


Vincent est momentanément en poste dans la ville où Valérie est en fac. Un soir, pendant que Vincent prépare le repas, Valérie lui demande si elle peut lui emprunter quelques-unes de ses revues de récits érotiques dont il raffole, et qu’il ne lui dissimule pas .Il est stupéfait mais ravi. Il la regarde choisir : il en a tellement.



Valérie ne peut emporter toutes les revues. Son regard se fait soudain sérieux en les parcourant. Elle choisit surtout celles qui ont les pages "collées". Terriblement excité à l’idée que Valérie lirait et toucherait elle-même ces pages sur lesquelles son sperme avait giclé, Vincent lui souhaite une "bonne lecture" en lui conseillant de faire comme lui : de lire d’une seule main…


Clic 3


Valérie ramène les revues. C’était la première fois qu’elle en lisait et ça lui a plu.



Il imagine sa belle-sœur en train de frotter son sexe trempé et de ramener au bout de ses doigts, sur le papier, l’humidité nécessaire pour tourner les pages .

Mais il n’obtient pas de réponse, juste un petit signe de tête et un sourire provocateur. Vincent brûle d’envie de lui demander si elle a bien joui, et combien de fois.

Mais Valérie repart déjà avec le reste des revues. Tout en courant dans les escaliers, elle lui adresse un baiser du bout de ses doigts, comme pour lui montrer qu’il avait bien compris.


Clic 4


Tout à l’heure Valérie est passée demander un service à Vincent. Mission : ramener chez ses parents un peu de linge sale pour qu’il soit lavé. Sans trop attendre la réponse, elle laisse un gros sac en plastique transparent et part en riant.



Sur le coup, Vincent ne comprend pas très bien. Ce n’est que le soir que son regard se pose de nouveau sur le sac. Parmi les pulls et jeans, il y a plein de sous-vêtements. Il n’a jamais fait ça avant : il ouvre le sac et se met à trier. Collants, boléros, slips en dentelle le font bientôt bander et il respire avec délice l’odeur de Valérie dans ses soutiens-gorge, ses chaussettes, ses culottes en tissu si fin. L’une d’elles l’attire plus particulièrement : noire, transparente, si minuscule dans sa main. Vincent imagine la petite chatte de Valérie à travers. Il joue avec le tissu, l’observe avec attention, ne trouvant aucune trace particulière à l’entrejambe. Pourtant il est sûr que Valérie a porté cette culotte récemment car il sent nettement une odeur de sexe.



Vincent comprend subitement les paroles de Valérie. Elle a dû s’inspirer de ses revues, d’une scène qui l’avait sans doute particulièrement excitée. À défaut de son corps, elle lui offrait aujourd’hui ses affaires les plus intimes, celles qui étaient en contact direct avec son corps de jeune femme, avec ses petits seins, avec son sexe, avec ses pieds si mignons. Fou d’excitation, Vincent se déshabille frénétiquement pour bander nu, pour se branler nu dans une exhibition dont seuls quelques sous-vêtements choisis garderaient la trace. À genoux sur le lit, comme entouré par la présence de Valérie, il se masturbe d’une façon incontrôlée, affolé par les odeurs intimes de sa belle-sœur et par l’idée qu’elle savait d’avance ce qu’il ferait. Sur son gland décalotté, Vincent passe et repasse les tissus les plus fins et les plus odorants. Il ne lâche pas la petite culotte noire avec laquelle il s’effleure le bout des seins. Un premier jet s’échappe trop tôt, inattendu, qui frappe à la fois un minuscule soutien-gorge et un collant fin étalés devant lui sur la couette. Vincent n’en peut plus. Si seulement Valérie le regardait là, en ce moment…Que fait-elle en ce moment ?

Il enfile le petit slip transparent sur l’extrémité de son sexe, comme un préservatif. Le tissu est d’ailleurs si fin qu’il voit parfaitement son gland désormais gainé de noir, et qui vient de prendre ainsi la place du sexe de Valérie. Et quand le sperme jaillit enfin, il gicle à travers le tissu en le maculant de traînées blanches et épaisses. Vincent se vide dedans complètement. La force inouïe de l’orgasme le projette en arrière sur le lit, et il se retrouve sur le dos, agité de frissons, la main crispée sur la petite culotte de Valérie trempée de sa semence, le sexe endolori par le frottement.

Avec un regard coquin, Valérie s’est souvent plainte à Vincent de n’avoir pas retrouvé une petite culotte noire…



Clic


Mais c’est une autre histoire, pour une autre fois, si vous voulez.