Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 08524Fiche technique12011 caractères12011
Temps de lecture estimé : 8 mn
25/01/05
Résumé:  Losqu'une nouvelle collègue de ma mère est invitée à la maison et que je dois la raccompagner, il se passe la plus belle chose que j'aurais pu imaginer.
Critères:  fh fplusag fagée poilu(e)s odeurs fellation hdanus
Auteur : Enzolitto  (Jeune artiste)      

Série : La copine de ma mère

Chapitre 01 / 02
La copine de ma mère



Tout d’abord je vais me présenter : je m’appelle Enzo, j’ai 25 ans, d’origine italienne, yeux verts, musclé car je fais pas mal de sport. Je suis en train de finir mes études et je vis encore chez ma mère. Bien que ce ne soit pas l’idéal, j’ai tout de même mon petit confort et ma mère est là pour me mijoter des petits plats, faire ma lessive, le ménage et tout ce qu’un jeune homme n’a pas le temps de faire lorsqu’il sort souvent, voit des amis et ne passe pas beaucoup de temps chez lui.

Un jour où je rentrais chez moi d’une journée de cours, je trouvai ma mère en pleine discussion avec une de ses nouvelles collègues de travail. Je fus tout de suite attiré par le merveilleux regard de cette femme. Ma mère me présenta rapidement et comme toute bonne maman en profita pour glisser quelques compliments sur moi. J’allais tout de suite dans ma chambre pour réviser un partiel du lendemain mais c’était impossible, je n’arrêtais pas de penser à la collègue de ma mère qui était décidément une femme très charmante. Je dois avouer que je n’avais jamais été attiré par une femme mûre et que jusque là je m’étais contenté de filles de mon âge, rencontrées à la fac, en boîte ou dans la rue. Mais cette fois-ci je sentais envers elle une attirance très grande. J’essayais tout de même de me raisonner : "ce n’est pas possible, c’est la copine de ma mère, elle ne voudrait certainement pas" et de toute façon je ne voyais vraiment pas comment arriver à mes fins, ni dans quel endroit….

Je me contentais donc de penser encore un petit peu à elle : elle avait la quarantaine, de longs cheveux bruns, des yeux en amande, plutôt ronde avec des seins qui avaient l’air d’être encore assez appétissants.

Après ce moment de rêverie, je me replongeai dans mes cours lorsque j’entendis ma mère qui m’appelait.



Une grande joie m’envahit à ce moment-là ! Ça y est ! J’avais ma chance de pouvoir passer un petit moment en tête-à-tête avec elle, il fallait que j’en profite pour lui montrer qu’elle me plaisaitt et au moins essayer une petite ouverture.



Une fois sorti de la maison, je dois dire que je faisais un petit peu moins le malin parce que se retrouver seul avec une femme de quarante ans lorsqu’on a juste l’habitude des petites discussions sans intérêt avec des jeunettes, c’est beaucoup moins facile. Enfin, pour commencer, j’entrepris une discussion toute simple tout en comptant dévier par la suite.



Par cette dernière phrase j’essayais de dévier un peu le sujet sur mon objectif, car le trajet était court et je craignais vraiment de ne pas être dans les temps.



Ça y est ! J’avais enfin lâché ma phrase ! Tout allait se jouer sur sa réponse : soit ça allait être complètement catastrophique, soit au contraire ça allait être magnifique.



Une fois la voiture garée, nous nous dirigeons vers son appartement au 4ème étage. Elle n’avait pas d’ascenseur, et pendant 5 minutes d’efforts dans les escaliers, je pus admirer son joli postérieur qui se contractait à chaque marche.

Une fois arrivés en haut, bien qu’essoufflé et en sueur, j’avais une forme d’enfer. Je savais que cette invitation après ma petite déclaration n’avait rien d’innocent et qu’il allait peut-être se passer une chose merveilleuse.



Elle arriva près de moi avec deux verres et une bouteille.



Une fois les verres de vin servis, j’attendais et je me faisais plein de films dans la tête quand tout à coup elle apparu, vêtue d’une nuisette très courte mettant en valeur ses cuisses un peu épaissies par l’âge.

Mon sang ne fit qu’un tour et mon sexe se dressa quasiment instantanément dans mon pantalon. Je la félicitai sur sa généreuse plastique, et quand elle se pencha pour saisir son verre de vin, elle ne put pas ne pas voir une très grosse bosse se former dans mon pantalon. Je vis son regard et je fus tout de suite content de la voir déstabilisée par cette vision. Ma main en profita pour passer dans son dos et caresser lentement sa nuque. Je guettais le moindre de ses mouvements, ne voulant surtout pas brusquer les choses et tout faire louper. Mais elle ne bougeait pas, regardant la télé qu’elle avait allumée avant d’aller se changer et elle ne disait absolument rien.

Je continuais donc de lui masser la nuque de la main quand je la sentis se détendre et venir s’appuyer un peu plus contre moi. L’occasion étant vraiment trop bonne pour la louper, je passai donc une de mes mains sur sa cuisse nue et ferme. Sa tête se posa de suite contre mon épaule mais elle ne fit aucun autre geste, comme si elle ne voulait pas prendre d’initiatives, de peur de ce qui pourrait se passer. Elle ne voulait rien avoir à se reprocher.

Moi, tant qu’elle ne me repoussait pas, ça m’allait, et je continuai ma lente traversée de sa jambe jusqu’en haut de ses cuisses, et j’atteignis bientôt sa petit culotte de coton. Ma main passa en dessous et je fus surpris de trouver une sacré touffe. La plupart des filles avec qui je sors se rasent entièrement le pubis. Ce n’est pas ça qui m’arrêta ou qui calma mon excitation, au contraire. Ces poils étaient pleins de mouille et étaient tous collés les uns aux autres. J’arrivais néanmoins à lui en tirer un et c’est à ce moment-là, après un petit gémissement, qu’elle tourna la tête et m’embrassa. Mes doigts s’activaient de plus en plus dans son sexe, je faisais des boucles à l’intérieur afin de toucher toutes les parties de son vagin. Ma bouche descendait lentement vers ses seins qui, bien que tombants, étaient vraiment gros et excitants. Je saisis son mamelon entre mes lèvres et je le fis rouler en passant ma langue dessus, je la sentais gémir sous ma langue et sous mes doigts. Je ne tenais plus et je me mis entre ses cuisses. Son sexe dégageait une très forte odeur, elle n’avait certainement pas eu le temps de prendre une douche depuis le matin, et après une journée de transpiration et une soirée plein d’excitation, de fortes odeurs se libéraient de sa chatte.


Cette odeur m’excitait au plus haut point et je ne me lassais pas de la lécher de bas en haut, en revenant sur son clito et en lui enfonçant ma langue dans son trou déjà bien ouvert.

La bouche pleine de mouille et de poils, je remontai vers son visage et l’embrassai à pleine bouche. Mon sexe frottait le bas de son ventre, j’avais envie de la posséder et d’entrer complètement en elle. Seulement je n’avais pas de préservatifs sur moi, et autant vous dire que, même si c’est une copine de ma mère, je préférais prendre mes précautions. Elle comprit rapidement la situation et, elle-même n’en n’ayant pas, me fit mettre sur le dos et promena sa bouche sur mon torse, puis descendit jusqu’à mon sexe qu’elle prit en bouche. Cette sensation était vraiment trop bonne : je voyais la copine de ma mère en train de me sucer. Pendant que je prenais mon pied dans sa bouche, je sentis sa main descendre le long de mes fesses et, une fois mouillé par sa salive, son doigt vint me masser l’anus. Je me sentis tout honteux sur le moment, on ne m’avait jamais touché cette partie de mon corps. Je ne sais pas si c’est le fait que je me sente humilié par ce toucher rectal, mais cela m’excita au plus haut point, si bien qu’elle interrompit sa fellation, sentant que mon orgasme était imminent.

Elle descendit sa bouche et vint me lécher les couilles pendant que ce doigt qui me massait l’anus il y a encore quelques minutes était cette fois carrément en train de me pénétrer les fesses. Cette situation était nouvelle pour moi et j’étais étonné de prendre beaucoup de plaisir à ce genre de pratique que je croyais jusque-là réservé aux homosexuels.


Sa bouche vint rejoindre son doigt et je sentis sa langue venir à son tour s’occuper de mon petit trou. Je devenais complètement fou, d’autant plus que de sa main libre elle continuait de me branler.

Puis, après m’avoir bien léché, elle se remit à me sucer mais cette fois-ci avec plus de rapidité et de pression dans la bouche. Elle voulait me faire jouir avec un doigt dans le cul. En quelques minutes ce fut réussi et mon sperme vint inonder sa bouche. Ella avala tout. C’était la première fois que je jouissais dans la bouche d’une femme ; c’était réellement trop bon.

Après cet instant de bonheur, une certaine gène s’installa lorsque la réalité revint au galop après cette heure de plaisir intense. Le vin et la fatigue aidant, je lui dis que j’allais rentrer ; nous nous promîmes de garder cela pour nous et, bien sûr, de ne rien dire à ma mère.

Le lendemain matin ma mère s’étonna de ne pas m’avoir entendu rentrer la nuit dernière, et je dus lui inventer que j’avais été rejoindre un ami à une soirée.

Nous nous sommes revus, et les jeux sont devenus de plus en plus hard ; je vous raconterai ça si vous en manifestez l’envie ; j’attends vos messages ;-)


Merci de votre lecture et à bientôt !


Enzolitto