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n° 08534Fiche technique8382 caractères8382
Temps de lecture estimé : 6 mn
26/01/05
Résumé:  Je rencontre une copine et... ben oui...
Critères:  fh collègues gros(ses) fépilée fellation pénétratio
Auteur : Jean L  (Un homme, 40 ans)
Une surprise



Je connaissais Lina depuis longtemps, c’était une copine de bureau, une secrétaire âgée de 30 ans environ. Nous n’avions jamais travaillé ensemble, mais nous avions souvent discuté de choses et d’autres. Elle parlait beaucoup et facilement, il suffisait de la brancher sur un sujet et à la limite, il n’y avait rien d’autre à faire qu’à l’écouter. Bavarde comme elle était elle cassait vite les pieds aux gens ! Pourtant un jour, sans préméditation j’avais lancé la conversation sur le sexe. Juste une allusion et cela avait suffit à Lina pour partir !

J’avais ainsi appris qu’elle adorait baiser, qu’elle aimer sucer, se faire enculer, qu’elle avait participé à des partouzes etc.

J’avais été un peu surpris et j’avais pensé qu’elle me racontait des salades. Il faut dire qu’elle était plutôt grosse, assez grande, charpentée, le visage rond sans grâce, de gros yeux bleus et surtout elle était habillé n’importe comment. Toujours des robes sans forme qui lui descendaient jusqu’aux chevilles. En fait on ne pouvait guère se faire d’idée précise quant à son physique. Elle était très blonde et ses cheveux auraient été jolis si elle avait pris le soin de les peigner un minimum. Vraiment je ne l’imaginais pas faire des folies de son corps !

Et puis un jour, un bel après midi d’été, très chaud alors que j’allais récupérer ma voiture sur un parking pour rentrer chez moi, j’eus la surprise de m’entendre appeler :



Alors là, surprise, c’était Lina, mais alors une Lina tout à fait différente de celle que je voyais au bureau, bien peignée, une jolie petite robe bleue clair sans manche boutonnée devant et super moulante ! Sûr, Lina n’était pas mince, loin de là, probablement 80 kg pour 1,70, mais disons qu’elle le portait bien et puis une poitrine waouhhhh, je me demande où elle la cachait d’habitude !! J’en étais sidéré !



En plus elle sentait bon, c’était la première fois que je la rencontrais parfumée. Dans l’auto, je lorgnais ses cuisses, plutôt rondes, mais lisses et probablement agréables à toucher. Mais je ne pouvais tout de même pas me mettre à la peloter comme ça. Elle ne s’occupait pas de moi, comme à son habitude elle causait, me racontait ce qu’elle avait fait en ville et que ça l’arrangeait bien que je la ramène en voiture, qu’il faisait chaud etc….

Elle m’indiqua où elle habitait, effectivement, il fallait bien 20 minutes à pied, en voiture en 5 minute on y était.



Je dois dire qu’à partir de ce moment je n’avais qu’une idée, me la faire ! Son appart était au quatrième étage avec une jolie vue sur la campagne. Mais elle avait laissé ses fenêtres ouvertes et il faisait chaud à crever.



Elle apporta deux bières bien fraîches et me fit asseoir sur un canapé. Elle avait déboutonné sa robe jusque haut sur ses cuisses et une fois assise son vêtement remontait jusqu’à son slip. Elle avait aussi fait sauter deux boutons en haut laissant voir son soutif. J’étais super excité et je bandais comme un âne.



Et elle se leva, finit de déboutonner sa robe, retira son soutif et son slip en deux secondes. J’était tellement sidéré qu’elle se mit à rigoler



Elle était devant moi, nue comme ma main, plus encore, car elle n’avait pas un poil sur le corps, complètement épilé. Elle avait un corps superbe, enfin pour celui qui aime les femmes bien en chair. Toute en rondeur, toute rose, des seins voluptueux, ronds, sans faiblesse. Des seins qui tenaient bien, pas besoin de soutien-gorge ! Des fesses… oh la la !! Des cuisses…. J’en avais des fourmis dans les doigts à force de vouloir toucher cette peau, cette chair, de vouloir caresser ce cul, ces seins, enfin tout…

Je me levai et la pris dans mes bras, il m’aurait fallu dix mains, cent mains pour tout caresser, tout tripoter, tout posséder comme un avare de son trésor. Sa bouche était douce, sa langue savante, j’en avais la tête qui tournait.



Ce que je fis en vitesse.



Elle avait ma queue dans sa main et la caressait vigoureusement.



Je n’en pouvais plus, j’allais décharger..

Mais à son tour elle caressait ma peau, moi, je lui triturais le cul, puis la chatte, une chatte toute nue, imberbe, toute douce, toute humide



Elle attrape ma queue, me tire vers elle et me conduit comme ça dans sa chambre.



Je la pénètre, du beurre, rien que de la douceur, un sexe d’amour, je vais doucement, elle gémit, moi aussi… elle caresse mes fesses, enfonce un doigt dans mon cul… je me retiens, elle serre ma taille entre ses jambes, me bloque contre elle, nous bougeons ensemble, doucement, ma queue durcit encore, je vais… pas encore… oh, rester comme ça, longtemps, toujours…. un grand coup de rein… elle crie, je vois des éclairs, un arc en ciel, des couleurs… j’éjacule… elle crie, elle ondule, sa tête va de droite à gauche, ses yeux se révulsent….



Petit à petit je sors de ma torpeur, elle m’embrasse…



Nous sommes complètement trempés, les draps sont à tordre. Nous passons sous la douche nous rafraîchir un peu. Nous buvons une nouvelle bière… sans rien dire, encore plein de notre plaisir.



Elle glisse vers mon ventre, prend mon sexe dans sa bouche, elle lèche le gland comme une sucette, je bande à nouveau, elle suce, elle aspire, avec sa main elle me branle tout doucement. Elle suce bien, je me laisse aller, je ne bouge pas, je suis tout à elle, ma queue est à elle, je caresse ses cheveux, elle accélère le va-et-vient de ses lèvres, j’ai l’impression qu’elle va aspirer tout mon corps… elle va de plus en plus vite…. elle se caresse en même temps, elle gémit en me suçant… je vais…. oui, je part, elle avale mon foutre… je crie.

Elle me regarde, appuyée sur ses bras au-dessus de moi, sa bouche est poisseuse de mon foutre. Elle prend mes lèvres… j’avale mon jus en l’embrassant….


J’ai passé la nuit avec elle… puis le jour suivant… et je suis toujours chez elle maintenant.