n° 08535 | Fiche technique | 9789 caractères | 9789Temps de lecture estimé : 7 mn | 26/01/05 |
Résumé: Je venais d'avoir dix-huit ans et j'étais encore pucelle. Le désir de faire l'amour s'exacerbait en moi et, bien que je me branle tous les soirs, ces jeux solitaires ne me suffisent plus. | ||||
Critères: fh voir intermast cunnilingu pénétratio init ecriv_c | ||||
Auteur : Shali |
Je venais d’avoir dix-huit ans et j’étais encore pucelle. Le désir de faire l’amour s’exacerbait en moi ; je me branlais tous les soirs, mais ces jeux solitaires ne me suffisaient plus. J’avais bien essayé d’introduire mon doigt dans mon vagin, mais je sentais une résistance. Comme cela me faisait mal, je n’osais pas insister, de peur de me blesser, et je remontais jusqu’au bouton pour me masturber comme d’habitude.
Un soir, je me trouvais en vacances chez des amis de mes parents ; quand je les entendis rire et s’embrasser, je me levai sans bruit et allai regarder à la porte de leur chambre, qui était entrouverte. Je vis alors le couple s’embrasser sur la bouche pendant qu’elle lui caressait son machin, qui devenait énorme. Il se mit tête-bêche au-dessus d’elle, et enfouit sa tête entre ses jambes pendant qu’elle prenait sa bite dans la bouche et le suçait avec amour comme une grosse sucette.
Elle se trémoussait, gloussait de plaisir et finit par râler :
Alors, il rentra sa grosse queue dans sa chatte et commença un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide, jusqu’à ce qu’il détende ses jambes en criant :
Elle, à son tour, faisait des soubresauts et jouissait comme une possédée.
Je ne vous dis pas dans quel état je me trouvais, je me suis branlée comme une folle une partie de la nuit dans ma chambre, tout en ayant des idées plus dingues les unes que les autres.
Je pourrais peut-être me faire baiser, moi aussi, me faire rentrer sa grosse bite dans ma petite chatte, et prendre autant de plaisir qu’elle ! Cette idée s’imposa de plus en plus toute la journée, mon corps le réclame, je le sens, il me faut trouver l’occasion, je pourrais draguer, mais, après ce que j’ai vu, je n’ai plus envie d’un jeune, c’est de lui que j’ai envie, de sa queue, je suis un peu salope je sais mais l’envie est la plus forte.
Comme le hasard fait parfois bien les choses, un soir, ayant un besoin de faire pipi, je sortis de ma chambre pour aller aux toilettes, tout en faisant très attention de ne pas faire de bruit pour ne réveiller personne.
Je remarquais que la seule lumière du salon provenait de la télévision ; de l’endroit où je me trouvais, je pouvais voir le dos du canapé qui faisait face à l’écran. Un film porno était en train de passer, sans le son, uniquement l’image ; sur le canapé je ne voyais personne, mais j’entendis un petit frottement rythmé.
J’allai faire mes besoins et, en ressortant, intriguée et déjà un peu excitée par les quelques scènes du film, je décidais de m’approcher doucement du dossier du canapé.
SURPRISE !!!
Il était allongé, son slip était baissé sur ses cuisses. La bite à la main, il regardait les jeunes femmes qui baisaient à la télé ; il se branlait doucement pour faire durer le plaisir et, tout à son affaire, il ne m’avait pas remarquée.
La nuit était chaude, une bouffée de chaleur me monta à la tête.
Je sentais des sensations dans mon bas-ventre ; je ne portais qu’un tee-shirt assez long que je m’empressai de retrousser jusqu’aux épaules ; d’une main je me caressai les seins, tandis que l’autre commença à branler mon petit bouton ; étant donné la situation je ne tardai pas à jouir en silence.
Mes projets me revinrent à l’esprit : j’avais envie qu’il me surprenne ! Je fermai les yeux et continuai à me caresser de plus en plus fort ; en rouvrant les paupières, je m’aperçus qu’il détournait la tête, que sa main s’activait plus vite sur sa longue et grosse queue ; finalement un jet blanc atterrit sur son ventre et moi, du même coup, je jouis de plus belle.
Je sais qu’il a feint de ne pas remarquer ma présence, peut-être de peur de ma réaction, mais peu importe ! je pense que c’était super excitant de faire comme si l’autre ne voyait rien. Je me suis retirée dans ma chambre sans faire de bruit, pour ne pas réveiller sa femme, mais avec des pensées plus cochonnes les unes que les autres.
Le lendemain, il fit comme si rien ne s’était passé.
Je remarquais quand même un changement : il portait à plusieurs reprises un regard insistant à la hauteur de ma chatte, surtout quand nous étions assis au salon ; je dois avouer que je porte souvent des mini et que je le provoquais exprès ; c’était mon plan d’attaque ! Assise en face de lui, je tenais mes cuisses légèrement écartées pour qu’il puisse avoir une jolie vue sur ma petite culotte et la forme de ma chatte ; je remarquais qu’il n’était pas du tout indifférent, surtout après notre petite soirée de branlettes. La journée me parut longue, et j’attendais le soir avec impatience pour mettre mes projets à profit.
Le moment arriva enfin ; il regardait la télé, rien de dingue, sa femme et moi étions allées nous coucher et, sachant qu’elle avait le sommeil lourd, je me glissai au salon et vins m’asseoir sur ses genoux ; il parut surpris et gêné tout à la fois.
Mais, sans l’écouter, je commençais à bouger mon cul et au fur et à mesure je sentais sa bite durcir sous mes fesses ; son visage était tout congestionné et sa voix devint rauque.
Sa bite était devenue énorme et il était tout troublé.
Je penchai mon visage vers son oreille.
Mais déjà ma bouche se collait à la sienne.
J’étais comme folle, mon cerveau était en ébullition ; me soulevant légèrement, je cherchais à toucher sa bite avec ma main. Comprenant mon désir, il tira sur la fermeture éclair de sa braguette, et fit jaillir sa verge, grosse, longue et gorgée de sang, avec un bout énorme. Je la pris dans la main et commençai à la décalotter, pour son plus grand plaisir.
Il me prit dans ses bras et me bascula sur le canapé, m’enlevant mon tee-shirt et ma culotte.
Je me trouvai devant lui, toute nue et toute excitée.
Comme il était torse nu, il fit descendre d’un seul coup son froc et le slip pour se retrouver nu, avec son beau sexe bien dressé, et il se coucha près de moi.
Nous commençâmes à nous faire des patins et, tandis qu’avec sa main droite il me caressait la chatte qui était déjà dégoulinante, je lui faisais maladroitement une branlette pour lui rendre la politesse.
Je ne tardais pas à jouir dans sa main. Il m’écarta les cuisses, plaça sa tête entre mes jambes, et se mit à me sucer la chatte avec une science diabolique, pas comme les jeunes de mon âge avec qui j’avais un peu essayé ; avec eux, j’avais surtout ressenti comme un "manque de quelque chose", je ne savais pas quoi, à présent je sais, l’expérience…
Sa langue allait et venait dans mon sexe, prenait de la mouille dans l’orifice du vagin, le reportait sur mon bouton qu’elle titillait avec une douceur subtile, puis descendait jusqu’aux fesses pour plonger dans mon petit trou du cul, et remontait ensuite au clitoris.
Je fus soudain secouée de spasmes et je me mis à lâcher mon foutre. Alors il plaqua sa bouche contre l’orifice de mon vagin et aspira avec délice cette liqueur d’amour.
Quand il eut dégusté mon jus jusqu’à la dernière goutte, il se retourna, se mit entre mes cuisses et dirigea le bout de sa grosse queue vers l’entrée de mon sexe en écartant les petites lèvres.
Mon rêve allait se réaliser ! Je lui dis que c’était la première fois mais, tremblante de désir, j’ouvrais bien mes cuisses ; j’étais toute offerte…
Sans un mot, il commença à enduire le bout de sa bite avec mon foutre, et petit à petit à rentrer la grosse tête de sa verge dans mon minet. Cela forçait un peu, il poussa encore, et le gland disparut entièrement dans ma chatte. Encore un coup !…et je poussai un cri ! Alors sa grosse bite s’enfonça jusqu’au fond et resta un moment sans bouger ; je sentais mes muscles du vagin commencer à bouger, à tripoter cette queue, ce qui me surexcita, le mal laissant peu à peu la place au plaisir.
Il commença un va-et-vient et je sentis ses couilles frotter contre le bas des lèvres de ma vulve. Le mouvement devint petit à petit très agréable.
Nous nous embrassâmes à nouveau sur la bouche. Je ne tardai pas à connaître l’orgasme et à jouir pour la première fois sur un sexe d’homme en l’inondant de mon foutre.
Il augmenta le rythme… je sentais sa bite devenir encore plus dure et tout à coup je sentis son jus chaud m’envahir jusqu’au plus profond de mon con ; ah ! ce que c’était bon ! Je ne pus me retenir de jouir une nouvelle fois.
Il resta enfoncé en moi un long moment, mon sexe enserrant le sien que je sentis ramollir petit à petit ; enfin, la queue toute molle, il se laissa aller sur le côté… mais moi je sentais que j’en avais encore envie !
Je l’embrassai tendrement sur la bouche.
Depuis, je me suis pas mal dévergondée…