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Temps de lecture estimé : 8 mn
27/01/05
Résumé:  Des vacances en France avec ma bru et une nouvelle amie.
Critères:  ff fplusag fagée frousses alliance hotel intermast cunnilingu
Auteur : Julie  (Julie 72 ans lesbienne)            Envoi mini-message

Série : Ma belle fille

Chapitre 03 / 03
Ma belle fille m'a séduite 3

Après notre première nuit d’amour et son installation définitive à la maison, Marjorie et moi décidons de partir en vacances, les enfants étant chez leur père pour la fin d’année.

La France nous parut une bonne idée, et Paris, la Ville Lumière, une évidence pour les fêtes.

Direction donc : Paris ! Paris, non, car avec tous ces touristes (comme nous) plus les festivités, le bruit risquait d’être un peu trop fort à mon goût, et en plus j’avais derrière la tête une petite idée, celle de mettre ma princesse dans un écrin, et où trouver un écrin pour une princesse près de Paris ?

Versailles !!! Bien sûr !

Je réservais donc une petite suite dans un hôtel au nom d’un dieu romain, et qui indique la température (elle allait monter plus haut que je ne le croyais).


Arrivée sur place, Marjorie ouvrit de grands yeux, ignorant tout du lieu de nos vacances, et la surprise fut totale. La suite nous donna l’impression d’être dans un décor de film, où les mousquetaires et Milady de Winter allaient s’affronter ; tout, de la tapisserie à l’ameublement, nous plongeait dans les livres d’Alexandre Dumas.

Toute heureuse, Marjorie me sauta au cou pour un baiser fougueux, sous les yeux ébahis de la femme de chambre ; à peine était-t-elle sortie que Marjorie me déshabilla en me couvrant de baisers ; elle fit tomber mon manteau sur le sol, sa bouche, collée à la mienne me suçait la langue, ses mains déboutonnaient mon chemisier et me caressaient les seins, elle léchait mes tétons au travers de mon body. Je frémissais de plaisir, mon-bas ventre était en feu et mon sexe ruisselait comme une fontaine ; sa tête descendit le long de mon ventre vers la fourche de mes jambes, ses mains me palpaient les fesses ; une main fit sauter les pressions de mon vêtement, dégageant le passage pour sa langue et, tandis que son nez respirait les effluves odorantes de ma vulve, mon clitoris dansait la samba sous sa langue. Des chocs électriques parcouraient mon corps (je ne tiendrai pas longtemps à ce rythme-là !), ses mains me tenaient fermement les hanches afin que je reste debout pour décupler mon plaisir. Je haletais, je ne me contrôlais plus, mes mains agrippaient ses cheveux, je criais « Oh oui ! Vas-y, bouffe ta salope de belle-mère, baise-la ! ».


Elle sentit que j’allais jouir et, pour être sûre de me faire atteindre le septième ciel, elle m’enfonça son majeur dans l’anus. Je partis tout de suite dans un râle digne d’une bête fauve, des mots salaces sortaient de ma bouche : « Petite salope de gouine, tu m’a enculée, je jouis, hrrrrrrrrrg ». Rassasiée et terrassée par la jouissance, je tombais au sol le corps engourdi par le plaisir.

Marjorie vient m’embrasser à pleine bouche, mon jus et sa salive mélangés sont plus doux à mon palais que tous les champagnes de France. Elle me couvre de petits baisers tendres et, tout en me caressent les cheveux, ses grands yeux bleus plongent dans les miens et elle me dit « Je t’aime, Julie ».

Nous restâmes un long moment allongées sur le sol, sans bouger, blotties l’une contre l’autre, un petit sourire par-ci, un petit coup de langue par-là (j’ai toujours aimé ces moments de tendresse après l’amour, surtout avec elle) ; tous ces mamours nous ont fait oublier l’heure.


Vers les 20 heures, la faim nous tenaillait le ventre et nous décidons de dîner en ville ; en vitesse une petite douche, et nous nous habillons pour le dîner ; pour Marjorie : jupe bleu marine courte et moulante avec bas noirs auto-fixants, tanga ouvert blanc, escarpins noirs, chemisier blanc, soutien-gorge en fine dentelle blanche, et pour moi juste une guêpière noire en résille avec les bas assortis sous un tailleur pourpre, et escarpins de même couleur ; en 45 minutes nous fûmes prêtes.

Arrivées dans le hall de l’hôtel, nous nous dirigeons vers le portier afin d’avoir l’adresse d’un restaurent douillet et discret, et où les rations ne sont pas faites pour des assiettes hindoues (après tous nous sommes Belges et chez nous on aime bien manger).


L’adresse dans la poche, nous partons à pied, le restaurant ne se trouvant qu’à 5 minutes de l’hôtel.

Au restaurant, toutes les tables étaient occupées pour un anniversaire, sauf deux, une de 4 personnes et une de 2 assez mal placée ; nous prenons la plus grande et commandons un plateau de fruits de mer avec un excellent vin d’Alsace, et évidemment un petit apéritif pour commencer.

Pendant l’apéro, je rappelai à Marjorie tout le bien qu’elle m’avait fait à l’hôtel, et que je lui rendrais la pareille au centuple. Elle rit et me dit « Quoi ? Là, tout de suite, vicieuse ! ». Je retirai le pied droit de mon escarpin, et le fit glisser entre ses jambes. D’abord je lui caressais les mollets, puis je remontais vers ses cuisses. Dans un premier temps, Marjorie, rouge de gêne et d’excitation, ferma les cuisses, puis les écarta en grand pour me laisser le passage en direction de son sexe ; mon gros orteil entra de suite en contact avec sa vulve déjà toute humide.


Tout à coup elle referma les cuisses sur mon pied, car le serveur arrivait avec nos plats ; le pauvre ! il avait bien du mal à nous servir sans renverser, tant il avait les yeux rivés sur les tétons dressés de ma petite chérie ; ça nous fit rire aux larmes, et nous empêcha de voir une jeune femme seule s’asseoir à la petite table. Le serveur parti, je repris mon massage intime ; sous la pression de mon orteil son sexe s’ouvrit, ce qui me permit de jouer avec son clitoris ; son corps se raidit sous l’onde électrique du plaisir, et des petits gémissements sortaient de sa bouche. Entendant du bruit près de nous, je stoppais mon massage, car le garçon apportait la commande de la jeune femme que nous avions finalement remarquée ; un peu dépitée, je remis ma chaussure pour ne pas attirer l’attention sur nous, mais Marjorie me fis remarquer que la femme ne nous quittait pas des yeux et qu’une de ses mains était sous la table, mais je lui dis qu’elle se faisait des idées.


Nous finissons de dîner en même temps qu’elle et, assez agacées par le bruit des fêtards, nous quittons les lieus. La jeune femme sortit la première et garda la porte ouverte pour nous ; comme je la remerciais de sa gentillesse, elle me répondit dans notre langue que tout le plaisir était pour elle. Stupéfaites, nous restâmes figées sur place.

Je lui demandai si elle parlait le néerlandais, et elle me répondit « Oui, en effet »; elle précisa qu’elle était assistante de direction pour une grosse boîte d’électronique dont les filiales se trouvaient dans le Bénélux, et que donc elle parlait néerlandais, allemand, et anglais. Je réalisais d’un coup que tout ce que j’avais dit à Marjorie sur ce que j’allais lui faire à l’hôtel avait été clairement compris par cette femme ; elle était fort belle : 1,70 m, cheveux châtain en chignon, un bon 90C de poitrine, des yeux noisette qui vous font regretter de ne pas être un écureuil pour pouvoir les croquer, une taille fine, des jambes fuselées, et 25 ans environ. Elle nous dit « Ne vous en faites pas, je suis bi, et j’ai bien aimé ce que j’ai vu quand j’ai déposé mon sac sur le sol ; tu as les pieds agiles, je n’ai pas pu m’empêcher de me masturber en vous voyant, de plus tu lui as promis de lui faire un tas de choses avec vos jouets, et ça m’a donné une folle envie de faire l’amour ». Je fis un petit sourire à Marjorie qui me comprit tout de suite. J’invitais notre nouvelle amie à prendre un verre au bar de l’hôtel, ce qu’elle accepta avec empressement. Sur le chemin nous nous présentâmes ; elle nous dit s’appeler Béatrice, Béa pour nous, qu’elle avait 25 ans, et que notre histoire l’émoustillait beaucoup ; l’idée qu’une belle-mère et sa belle-fille fassent l’amour et finissent par vivre ensemble lui donnait des picotements dans le ventre ; elle nous trouvait très belles et elle avait envie de participer à nos jeux érotiques.


Pour toute réponse, Marjorie la prit dans ses bras et l’embrassa à pleine bouche, puis elle la retourna et me dit « Tiens, goûte sa bouche, elle a une langue qui nous fera du bien » ; je la pris dans mes bras et l’embrassai à mon tour ; le contact de sa langue partie à la recherche de la sienne m’électrisa, elle était incroyablement douce, à peine granuleuse et longue, je la sentais jouer avec ma luette, un vrai délice !…et de bon augure pour le reste de la soirée !


J’ai dû cesser ma douce étreinte à cause les quolibets de deux petits cons, et nous reprîmes le chemin de l’hôtel. Nous prîmes l’ascenseur où Marjorie commença à déboutonner le corsage de Béatrice pour lui malaxer les seins et les embrasser au travers d’un très joli soutien de dentelle noir et bleue. Nous fûmes vite arrivées à notre étage, et quand nous sortîmes de la cage (qui embaumait le sexe féminin !), Béa et Marjorie étaient débraillées, leur chemisier grand ouvert, se palpant mutuellement les seins, ce qui m’excita à un point tel que la cyprine me coulait le long des jambes. Ouvrant notre chambre avec empressement, je me retournai vers elles et leur dit « Entrez, entrez vite, mes belles petites salopes, vous me faites bouillir, je veux vos bouches, vos seins, vos chattes et vos culs ». En passant devant moi, ces deux coquines m’embrassaient et plaquaient leurs mains avec force sur mon sexe ; je refermais la porte en n’oubliant pas de mettre le panneau « ne pas déranger ». Pendant ce temps, Marjorie enlevait la veste et le chemisier de Béa ; je m’approchais d’elle à mon tour, les mains agrippées aux hanches de notre invitée, je me collais à elle pour l’embrasser dans le cou, puis je défis la fermeture éclair de sa jupe que je fis choir d’une main, et de l’autre je lui triturais les fesses au travers de son slip ; je m’accroupis pour embrasser et lécher ses petites fesses bien musclées, pendant que Marjorie lui léchait les seins et mordillait ses tétons à travers le fin tissu de son soutif, ce qui lui arrachait des plaintes de plaisir.


Quand nous voulûmes la dévêtir complètement, elle nous repoussa et dit « Non, pas maintenant, je veux vous voir vous gouiner, je rêve de voir deux femmes mûres se bouffer la chatte et jouer avec des godes ». Marjorie lui dit « Tu veux un show lesbien ? Tu vas en avoir un qui restera gravé dans ton esprit pour longtemps, tu vas voir une belle-mère et sa bru faire l’amour devant toi et rien que pour toi, mais attention !!! Il t’est interdit de te masturber, ou même de te caresser les seins, sinon nous arrêtons et tu passes à la casserole tout de suite, OK ? Installe-toi dans le fauteuil et regarde ». Entre-temps, j’allais chercher la petite mallette où se trouvent nos jouets, et je revins au centre de la pièce, où nous commençâmes notre show. Marjorie ouvrit la veste de mon tailleur et la lança sur le divan à côté de Béa, libérant ainsi ma poitrine gonflée par le désir ; mes tétons passaient à travers ma guêpière résille qui ne cachait pas grand-chose de mon anatomie. Continuant sur sa lancée, Marjorie lâcha les boutons de ma jupe qui tomba sur le sol, m’exposant ainsi, quasi nue, avec juste ce filet sur les seins et les jarretelles pour tenir mes bas, le sexe totalement dénudé devant cette belle inconnue. Ma belle-fille me retourna face à notre nouvelle amie et lui dit « Regarde comme elle est belle ainsi vêtue, regarde ses seins, regarde sa belle chatte grise, elle brille de son jus d’amour ». Passant derrière moi, Marjorie me titillait les tétons en m’embrassent la nuque, puis ses mains descendirent vers mon ventre ; elle fléchit les jambes et son visage arriva à hauteur de mes fesses qu’elle mordilla, lécha, bécota ; une main passa entre mes jambes pour prendre possession de mon sexe, un doigt, puis deux doigts entraient dans ma chatte en feu. Les yeux figés dans ceux de Béa, je me faisais doigter avec délice, mes mains massaient mes seins, je tirais sur mes bouts dressés en passant la langue sur mes lèvres, je gémissais de plaisir ; j’entendis le sac s’ouvrir, la main de mon amante quitta ma chatte en me laissant une sensation de vide, mais pas pour longtemps. Marjorie avait quitté sa minijupe, et s’était harnachée de notre gode-ceinture ; ces 20 cm de long et 4 cm de diamètre allaient bien me remplir ! J’insérai un doigt entre mes lèvres intimes pour branler mon clitoris. Pendant ce temps, Marjorie approcha de Béatrice et lui dit « Tu vas sucer cette belle bite, et la lubrifier pour qu’elle coulisse bien dans sa chatte ».



La suite de l’histoire dans quelques jours, car la nuit fus lonnnnnnnngue…

Enfin… si vous le voulez…


Julie & Marjorie