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Temps de lecture estimé : 8 mn
28/01/05
Résumé:  Vincent, jeune homme célibataire de 19 ans, évacue seul son trop plein d'amour avec les moyens dont il dispose.
Critères:  h fh ffh jeunes grossexe grosseins fépilée hdomine
Auteur : Vincent T      Envoi mini-message

Série : La première fille

Chapitre 02 / 04
La première fille - Chapitre II



La femme s’avance vers l’homme, sûre d’elle, seulement vêtue d’une robe ultra-moulante et au décolleté vertigineux qui la rend indécente. De ses lèvres gonflées au collagène, elle l’embrasse avidement, leurs langues s’entremêlent, leurs lèvres se sucent. L’homme, d’un geste expert, fait tomber sa robe sur les chaussures à talons de la jeune femme, talons qui la rehaussent de dix bons centimètres. Seul un string noir minimaliste ménage encore un peu le suspense, mais le corps de la femme est à présent largement exhibé : une sorte de clone de Pamela Anderson qui aurait troqué son maillot de bain rouge contre un string noir minuscule. L’homme laisse flâner quelques secondes ses mains sur les fesses rebondies de la femme, mais se jette bien vite sur ses gros seins siliconés qu’il malaxe, mord et suce avec frénésie. La femme gémit déjà de bon coeur.


Puis l’homme aux formes bodybuildées se retrouve en une fraction de secondes entièrement nu, tandis que la femme est à genoux et suce avidement la bite démesurée de son partenaire au sexe entièrement rasé ; elle semble d’ailleurs y prendre beaucoup de plaisir, si l’on en juge par ses longs soupirs de contentement qui ponctuent chacune de ses succions buccales. L’homme n’est pas en reste et, entre deux râles, trouve le temps d’apostropher la divine suceuse de quelques mots d’amour qui remplissent sa bienfaitrice de bonheur : "Oui, vas-y, suce-moi, continue, ma belle, t’es trop bonne!", ou le classique "T’aimes la bite, hein, salope ?". "Mmmmm, oui!", répond la bimbo en branlant le sexe de son partenaire avant de reprendre le gland en bouche.



Alors, la fausse blonde aux faux seins, fausses lèvres et faux ongles s’exécute sans rechigner, démontrant à son partenaire ses talents de suceuse, bien réels ceux-là, sûrement acquis grâce à de nombreuses années de pratique malgré son jeune âge. L’homme est mis à rude épreuve, sa bite est soumise à l’entrain de la jeune fille, à ses lèvres gonflées artificiellement, à sa langue, à ses mains… Ses couilles aussi ont droit à un traitement de choc ! Heureusement, il ne craque pas et, pendant de longues minutes, il accepte sans broncher le traitement plutôt énergique de sa partenaire.


Devant son écran d’ordinateur, Vincent ne peut contenir une érection devant le spectacle de cette femme aux formes opulentes quoique artificielles. Entre deux mouvements de langue de la blonde pulpeuse, il retire son tee-shirt et son caleçon, et de sa main droite commence une timide branlette sur sa verge en partie bandée. Son petit plaisir solitaire du samedi matin commence bien : l’actrice met du coeur à l’ouvrage et semble peu farouche. Il ne quitte en tout cas pas l’écran des yeux, ni sa bite de sa main. À la force du poignet, il est maintenant parvenu à la taille maximale que son sexe peut atteindre, certes en deçà de celle de l’acteur, mais d’une taille fort correcte tout de même. L’ayant mesuré et comparé aux statistiques que l’on peut trouver dans n’importe quel magazine pour adolescents digne de ce nom, il est d’ailleurs assez fier de son phallus, même si aucune fille ne l’a jamais complimenté, et pour cause ! … aucune fille ne l’a jamais touché, ni même vu. À 19 ans, ce n’est certes pas une tare, mais ça commence à le travailler sérieusement. En attendant, il en est réduit à regarder des vidéos pour évacuer son trop plein d’hormones et se "documenter", en attendant un jour la pratique.


Pamela bis suce toujours avec frénésie, engloutissant sans effort une bonne partie du gourdin qui lui est proposé. Cependant, grâce à la magie du septième art et du montage, elle se retrouve sans transition allongée sur le bureau, string évaporé, sexe entièrement épilé, jambes repliées au niveau des oreilles, mais avec encore les talons aux pieds, et c’est maintenant au tour de la femme d’avoir les faveurs buccales de l’homme. "Un cunnilingus ! C’est assez rare pour être souligné… décidément cette vidéo est de toute première qualité !" se réjouit Vincent. Il se concentre alors attentivement pour observer moins l’anatomie intime féminine - qui n’a en théorie presque plus de secret pour lui - que la technique de l’homme. Il l’a déjà lu dans un livre de médecine, le petit organe situé au-dessus du vagin, et communément appelé clitoris, est très sensible. Il peut encore le remarquer : la femme, bien qu’ayant une certaine tendance à sur-jouer un tout petit peu, se tord de plaisir à chaque coup de langue. Tantôt rapide, tantôt plus lente et goulue, la langue de l’homme sait y faire. Ses lèvres sont aussi de la partie et pincent, sucent et aspirent ce petit bout de chair à l’air pourtant insignifiant. Puis, comme trop attiré par le vagin béant tout proche, l’homme se redresse et y fourre deux doigts, arrachant un cri aigu - un de plus - à la belle. Sans s’en émouvoir plus que ça, l’homme fait aller ses doigts avec vivacité. Les cris redoublent d’intensité et la femme se trémousse sur le bureau avec ostentation. Comme si le plaisir que provoquait cette intromission soudaine n’était pas suffisant, l’homme rajoute sa langue sur le clitoris déjà fort bien traité quelques secondes auparavant. Consciente qu’elle est censée prendre encore plus de plaisir, Pamela se met à hurler à s’en arracher les cordes vocales, feignant un orgasme de premier plan. Vincent, quand même pas dupe du jeu pourtant époustouflant de l’actrice, note pourtant que cette technique des doigts dans le vagin associés à la langue sur le clitoris pourrait faire des merveilles. Il faudra qu’il s’en souvienne le moment venu !


Mais, déjà, le cunnilingus est terminé, l’homme présente son sexe monstrueux - non recouvert d’un préservatif, ça va de soi - à l’entrée du vagin, et d’un coup sec, s’enfonce dans ce dernier. "Ahhh!" s’écrit sèchement la fille, dont le cri, se rapprochant davantage de la douleur que du plaisir, n’est peut-être pas simulé cette fois-ci. Pas le temps de s’en émouvoir, elle se fait déjà ramoner avec force et sans tendresse aucune.


Encore une surprise : cette fois-ci, une autre jeune femme fait son apparition, complètement nue comme ses collègues, mais avec elle aussi de haut talons. Elle aussi a des seins trop ronds, trop gros et trop fermes pour être vrais, mais son visage fin, son corps menu et ses longs cheveux noirs lui donnent un air moins sophistiqué que l’autre. Vincent la trouve elle aussi à son goût, mais il faut dire qu’il n’est pas difficile. Il n’a pas le temps d’analyser plus en détail la nouvelle participante que déjà celle-ci se jette sur la bouche et les seins de la blonde. La brune, visiblement affamée, ne s’en contente pas et retire avec autorité le sexe de l’homme pour le sucer quelques instants. Puis, repoussant d’un geste le corps entier du mâle, elle lèche à son tour la chatte ouverte et offerte de la blonde, toujours allongée sur le bureau. Profitant de l’aubaine, l’homme se place alors derrière la brune et la pénètre à son tour sans autre forme de procès. Toujours un gémissement, puis l’étalon reprend sa cadence insensée. Les gestes de la brune se font difficiles, et le cunnilingus tourne court, d’autant plus qu’elle est trop occupée à gémir, même si quelques coups de langue non perdus atteignent quand même le clitoris. Qu’importe, la blonde semble en profiter pour récupérer un peu tandis que sa collègue n’en finit pas de se faire littéralement défoncer pendant quelques minutes qui doivent lui sembler interminables.


Nouveau bond dans le temps : la blonde, qui jusque-là avait été peu éprouvée par le dard de l’homme, sent le vent tourner. Toujours allongée sur le bureau, et toujours sur le dos et les jambes largement en arrière, elle offre son anus aux doigts inquisiteurs de Monsieur Muscle, tandis que son clitoris, décidément très apprécié, reçoit encore quelques léchouilles. La brune profite alors de ce petit moment de répit pour s’accroupir sous le bureau et sucer la bite momentanément inactive, sûrement pour maintenir une érection convenable avant l’assaut anal.


Après quelques secondes de préparation, le cul de la blonde semble en état (du moins l’espère-t-elle) de recevoir le phallus imposant qu’elle a sucé tout à l’heure. Alors, sur ordre de l’homme, elle se retourne, et ayant retrouvé le plancher des vaches, pose ses coudes sur le bureau et présente sa croupe, dont le petit trou est aussitôt envahi par un pieu qui l’écartèle. Hurlements d’usage, puis va-et-vient en cadence soutenue. Solidement accroché aux reins et aux épaules de sa partenaire, le mâle saillit la femelle avec tout ce que ses gènes ont conservé d’instinct primaire. Vincent, quelque peu impressionné par la violence du rapport, se demande tout en se branlant si une telle agressivité vis-à-vis de la femme est bien nécessaire (même si celle-ci semble apprécier) et il sent au fond de lui qu’un peu de tendresse ne serait pas de trop. Justement, c’est la brune qui, sûrement par compassion (ou par ordre du metteur en scène), vient se poser à côté de la malheureuse pour lui prodiguer quelques caresses et baisers réconfortants et remplis de compassion.


Cette brutale pénétration se poursuit pendant quelques minutes, rendant Vincent de plus en plus inquiet sur la résistance que doit avoir un homme durant les rapports, avant que, visiblement à bout, l’étalon de ces dames mette fin au coït en disséminant à grand fracas son foutre sur le dos et les fesses de la blonde, tandis que la brune s’approche pour recevoir, avec une joie trop démonstrative pour être sincère, sa giclée faciale.


Très excité par cette vidéo, Vincent se branle quelques instants à fond puis enchaîne directement sur une autre vidéo : dès les premières secondes, une jeune femme, complètement nue, et ressemblant étrangement à la blonde de la première vidéo mais avec des cheveux plus raides et surtout des seins plus volumineux - si, si ça se peut, les chirurgiens font des miracles -, se retrouve entourée de trois bites d’un fort beau calibre, sans que le cadrage permette d’en discerner les heureux propriétaires. Manifestement désorientée par un tel concentré de virilité masculine, la jeune demoiselle suce et branle à qui mieux mieux sous les encouragements salaces et les mains baladeuses de ses partenaires. Lui aussi désorienté par l’érotisme - pornographie conviendrait peut-être mieux - d’une telle scène, Vincent se fait surprendre et sent monter la sève en lui, à son grand regret. Alors, se levant d’un bond, il approche sa queue du mouchoir posé sur le coin de son bureau, et se vide en se masturbant énergiquement, tout en regardant cette fille peu farouche sucer toutes ces belles bites.



Cette petite séance du samedi matin était devenue un rituel dont il ne pouvait plus se passer. Puis il part jeter son mouchoir gluant dans les toilettes qui sont un véritable cimetière à spermatozoïdes. Toute preuve de son forfait éliminée, il file à la salle de bains pour se préparer, avant d’aller déjeuner comme convenu avec Stéphane, son meilleur ami…




A suivre…