n° 08554 | Fiche technique | 21277 caractères | 21277Temps de lecture estimé : 13 mn | 28/01/05 |
Résumé: Toujours sur son initiative, je suis ma chère épouse dans une nouvelle expérience érotique à deux, et nous allons partager des plaisirs insolites | ||||
Critères: fh couple amour hsoumis fdomine lingerie fellation anulingus 69 fdanus hdanus hgode init | ||||
Auteur : Frallem (Mari et femme) |
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Et j’y ai pris goût…
Depuis cette soirée où ma tendre épouse s’était ouverte à des fantaisies sodomites, il me tardait de découvrir la prochaine surprise, qui promettait d’être à la hauteur de cette extraordinaire initiation, mais elle ne fit pas la moindre révélation sur ce sujet.
Bien que légèrement troublée lorsque j’évoquais notre récente incartade, elle ne trahissait aucune excitation à l’idée de la prochaine, et je n’ai rien pu savoir, pas même deviner la date de ce dimanche fatidique.
Comme beaucoup de couples envahis d’une progéniture joyeuse, nous n’avons pas souvent le privilège d’une vraie grasse matinée les jours de congé, et ce dimanche de juillet, où les enfants barbotent loin de nous sur les plages de l’Atlantique en compagnie de leurs grands-parents, est accueilli comme un événement rare à savourer lentement, comme une sieste…crapuleuse.
Je n’ai donc rien d’autre à faire aujourd’hui que de m’occuper de ma moitié, dès le réveil, alors que le sommeil réparateur laisse la place à une ardeur très virile que j’entends lui faire partager aussitôt. Lové contre elle en cuiller, je lui communique ma vigueur en essayant d’en glisser quelques centimètres entre ses fesses, mais elle ne se laisse pas faire et réagit en m’envoyant promener, à la douche dans un premier temps, à la cuisine ensuite, pour lui préparer son petit déjeuner, un thé vraiment infusé dans de l’eau vraiment chaude, des biscottes et de la marmelade, et une petite fleur dans un vase, pour une fois.
Autant dire que j’y suis pour un moment, et que mes projets libidineux sont remis à plus tard.
Je l’aime aussi quand elle m’envoie sur les roses, et je suis ravi à l’idée de lui faire ce petit déjeuner au lit, même si c’est sans grand espoir de contrepartie immédiate.
La suite va me prouver que je me trompe lourdement.
Alors que j’attends patiemment dans la cuisine l’infusion complète de son thé, j’aperçois, pendu sur la porte du placard, le petit tablier blanc garni de dentelle, offert en manière de farce lors de son dernier anniversaire, pour la féliciter de ses talents de cuisinière.
La semaine d’avant, elle avait perdu un repas de famille entier en se trompant sur la programmation de son four. En recevant cet accessoire, elle avait ri avec nous de ses malheurs culinaires et nous avait assuré que ce petit tablier la garantissait désormais contre la maladresse. Je le regarde un instant : il évoque la soubrette de vaudeville qui hante le théâtre de boulevard et les fantasmes de vieux messieurs. L’idée me vient de m’en revêtir, alors que je n’ai rien sur moi, et de jouer devant elle à la servante un peu godiche.
Lorsque j’arrive dans la chambre avec mon plateau et mon accoutrement ridicule, elle éclate de rire, mais je manque laisser tomber mon chargement, tellement ma surprise est immense.
Si je me suis habillé en improvisant, elle, de son côté, a préparé le choc le plus intense qui me soit jamais arrivé en la regardant.
Je la reconnais à peine et pourtant c’est bien elle qui me toise en riant.
Elle porte un corset de latex noir ouvert à la poitrine, laissant darder ses seins tels des obus, maintenant par quatre jarretelles des bas de la même matière troublante et lisse, et ses bras sont revêtus de gants remontant jusqu’à ses aisselles.
Le tout la transforme en une diablesse d’un genre gothique qu’un maquillage soigné souligne bien, mais le plus spectaculaire se trouve entre ses jambes. Elle ne porte pas de culotte, mais une sorte de harnais passant autour de sa taille et entre ses jambes, garnie d’un impressionnant godemiché en latex noir, dressé à l’horizontale dans ma direction.
Avec mon tablier de bonniche, je ne sais plus où me cacher quand elle me déclare sur un ton aussi tendre que déterminé :
Mes hésitations n’ont pas empêché mon sexe de se redresser à la verticale, libre qu’il est derrière ce pauvre tablier de soubrette, et mon épouse s’en aperçoit immédiatement. Confortée dans ses intentions malicieuses, elle me demande d’approcher et de constater par le toucher qu’elle n’est pas une apparition fantasmatique. Je pose mon plateau et j’obtempère.
Debout sur le lit, elle me domine d’une tête et en profite pour me poser la main sur la nuque et me forcer à respirer son parfum, la tête calée entre ses seins pointant hors de sa gaine de latex.
L’odeur puissante de cette matière est nouvelle pour moi, mais le contact en est encore plus excitant que la vue.
Je bande cette fois comme un taureau, posant mes mains sur son ventre lisse et brillant, ses hanches sublimées par cette deuxième peau, ses fesses nues étroitement encadrées par la matière élastique, mais je ne peux vraiment l’approcher, puisque son énorme pénis factice me tient à bonne distance.
De la main droite, elle attrape ma verge et commence à me branler de ses doigts gantés. La sensation est nouvelle et délicieuse, le frottement de la peau est remplacé par une pression plus intense de ses phalanges. De son autre main elle parcourt mon dos, se rapprochant chaque fois un peu plus de mes fesses, et de sa cible. J’ose à peine bouger, je suis devenu sa chose, et même si cela ne doit durer qu’un instant, le sentiment en est affolant. Elle lâche mon sexe et m’appuie maintenant des deux mains sur la nuque, m’obligeant à poser mes lèvres sur son pénis artificiel.
Je ne réponds rien, j’ai déjà la bouche pleine. C’est tout nouveau pour moi, qui n’ai jamais envisagé de fellation dans ce sens, le goût est neutre mais le volume impressionnant et je me félicite de ne pas avoir à en faire trop. Ma femme relâche sa pression et m’invite à m’allonger en délaçant le tablier blanc :
Sur ces mots elle entreprend de me chevaucher. Allongé sur le dos, les bras en croix, je la regarde se frotter sur mon sexe en appuyant de tout son poids sur mes épaules. Je ferais volontiers une incursion dans son intimité, et même un peu plus, tant la vue de cette vénus en latex me trouble. Elle refuse catégoriquement, et m’explique devoir donner de la vigueur à mon pénis, mais pas trop de plaisir, en prévision de la séance à venir. Je n’ai pas le droit de protester.
Elle s’interrompt brutalement, s’avance sans me libérer et vient peser de ses cuisses sur mes épaules, pour mieux me montrer son hermaphrodisme. Son appendice de caoutchouc reste pointé en avant assez haut sur son abdomen, tandis que sa vulve encerclé par deux lanières paraît quelques centimètres en dessous, humide et déjà enflée. Bien que solidement sanglée, elle reste bien ouverte à la caresse de ma langue et se laisse aller un instant à ses va-et-vient. Je crois alors la tenir et pouvoir renverser la situation, mais elle reprend le dessus l’instant d’après et abandonne son étreinte, en me demandant de me retourner sur le ventre, puis se rassoit sur mes cuisses.
C’est une position en principe dévolue, pour elle ou pour moi, à de voluptueux massages, et c’est sur ce mode qu’elle recommence ses frottements lascifs, serrant mon bassin entre ses cuisses, passant partout ses mains dans mon dos, mon cou, mes épaules et jusque sur ma bouche, me faisant sentir jusqu’à mes lèvres le contact lisse de sa nouvelle peau.
Je sens un instant dans le sillon de mes reins son godemiché, mais elle ne s’en sert pas, et descend ses doigts sur mon fessier qu’elle investit délicatement, rassurant par de nombreux baisers les incursions maintenant plus constantes autour de mon anus.
Se relevant un instant, elle change de position, écarte mes jambes d’un mouvement péremptoire et s’agenouille dans le triangle de mes cuisses : je suis maintenant encore plus à sa merci, et je devine qu’elle entame cette fois les préparatifs de ma première sodomie. Je m’inquiète soudain de la taille de son engin, de la présence de l’indispensable gel, de l’étroitesse de mon fondement, de mon absence totale de préparation, alors qu’elle même s’était bien ouverte avec un accessoire lors de son initiation…
A toutes mes questions elle ne fait qu’une réponse, de la langue pointée sur mon œillet, et je fonds littéralement de désir. Entre mon abdomen et le lit, ma queue manque d’exploser. Cette caresse est la plus étrange qu’elle m’ait jamais faite, toute ma sensibilité, tout mon plaisir se concentrent peu à peu autour de mon anus, qu’elle pénètre une première fois, délicatement, du bout de la langue. Je m’abandonne et me soumets complètement à elle ; de sa main gauche je la vois attraper le pot de gel, celui qui lui avait si bien réussi, et y tremper largement ses doigts gantés, qu’elle ramène aussitôt vers sa cible.
Je sens à peine la première incursion de son index, tellement je suis lubrifié et ouvert. Changeant de doigt, elle m’inflige alors quelques va-et-vient de son majeur et recourbe celui-ci, appuyant la pulpe en direction de ma prostate. Cette caresse me fait l’effet d’une contraction éjaculatoire, mais je reste pourtant bien bandé, entre mon ventre et le matelas.
Elle sort un instant, et revient mieux armée, de deux doigts maintenant. Je m’élargis du mieux que je peux, poussant de tous mes muscles comme si j’allais évacuer. Ses doigts sont les plus forts, ils vont et viennent dans mon rectum, repoussant toute résistance. Je soupçonne pourtant qu’il reste beaucoup à faire, la différence de volume entre ce qui est entré et ce qui devra me pénétrer reste énorme, et je brûle d’envie à l’idée de la suite.
Ma femme me demande alors de me placer à genoux, les bras sur l’oreiller, le bassin tendu en arrière, et je crois alors à un autre jeu, car elle attrape ma queue et me branle, alternant ses mouvements avec deux doigts dans mon postérieur. Deux doigts s’en vont, et elle se présente derrière moi, nous voici dans la position de la levrette, qui est aussi ma préférée, mais dans une autre distribution des rôles, habituellement. Je mesure alors ce que la domination signifie, et aussi l’envie de se faire prendre.
Elle pose son pénis noir devant ma rondelle et me prévient :
Sur ces paroles prononcées d’un ton ferme, elle appuie tout aussi fermement sur mon anus encore vierge, en me maintenant par les hanches…
Ça rentre…
Je sens mon anneau s’ouvrir, puis s’écarter, puis s’élargir, puis se distendre, puis parvenir à la limite de la souffrance, et le premier coulissement, timide, quelques millimètres pour assurer le passage du gland de latex.
Il est passé…
La première surprise de l’écartement n’est pas encore dissipée, qu’il faut se faire à la sensation inédite d’être rempli, investi, fouillé, envahi, presque violé, mais avec tendresse, et par la femme que j’aime.
A chaque instant elle me demande si je supporte, et je n’ose pas l’encourager, et encore moins la dissuader, tant cette sodomie est déroutante, nouvelle et… agréable.
Avec mon consentement muet, elle reprend sa pénétration, millimètre par millimètre, et c’est un bonheur de ressentir le frottement dans l’anus, la progression dans le rectum, et la pression sur la prostate. Elle continue sans reculer, sans s’arrêter, me procurant un plaisir multiple et interminable.
Tout est là maintenant…
Il a fallu qu’elle s’arrête, limitée par la longueur pourtant impressionnante de son godemiché, et je me sens cette fois rempli à fond, prêt à jouir sans me toucher, et peut-être même sans éjaculer. Jetant un œil vers mon sexe, je le vois au repos, comme vidé, alors que je ressens encore la sensation d’une forte érection. Etonné de ne plus bander dans un moment aussi chargé d’érotisme, je porte la main sur ma queue et tente de la masturber, mais mes sensations sont ailleurs, plus diffuses et plus troubles.
Ma femme s’aperçoit de mon manège et, collée à moi dans cette profonde sodomie, elle tend sa main, constate une impuissance inhabituelle, et me rassure :
Et elle prend la chose en main, délicatement d’abord, comme il sied à un pauvre pénis mou, puis vigoureusement, quand elle sent revenir ma virilité.
Les sensations reviennent en même temps que ma force, et je commence à soupirer, lorsqu’elle entame dans mon derrière un mouvement de recul, tout en frottant mon sexe d’avant en arrière. Je suis alors persuadé que je vais tout évacuer si elle quitte mon boyau maintenant, et cette crainte me fait serrer convulsivement l’anus autour du pénis de ma femme. Elle n’en a cure, et continue son retrait en me branlant. Arrivée à la couronne du gland de latex, elle hésite un instant à sortir, et je m’apprête à perdre ma dignité dans un épanchement incontrôlé, mais elle revient à la charge, plus vite cette fois, et je fonds à nouveau du plaisir d’être pénétré. Mon appréhension précédente s’envole au mouvement suivant, je comprends alors que je ne dois pas y associer la sensation de déféquer.
Cette ombre dissipée, je profite intensément de ma situation passive, à l’écoute des nouvelles impressions que procurent une masturbation menée d’une main ferme, et une sodomie menée d’une queue non moins ferme, toutes deux habillées de caoutchouc et dirigées par ma tendre épouse.
Elle me gamahuche maintenant sans plus de précaution, sa main monte et descend le long de ma verge en la serrant de tous ses doigts, au même rythme que son attribut factice, que je sens coulisser sans effort et sans pause, d’avant en arrière, et d’arrière en avant dans mon boyau culier. Fière de sa maîtrise toute neuve de la pénétration, elle se donne du courage en me provoquant :
Je n’arrive pas à prononcer un mot, tellement j’ai le souffle coupé par son aplomb, et surtout sa forte présence dans mon fondement. Je réalise alors pleinement la situation : je me fais enculer par ma femme, je suis complètement pris, par derrière, au plus profond de mon intestin, elle me tient, me serre la queue dans un gant de latex, et elle continue ses imprécations auxquelles je ne réponds que des onomatopées :
Elle a encore accéléré son rythme, sans diminuer l’ampleur de ses mouvements. Je ne contrôle plus rien, pas même la montée ma jouissance, que je sens arriver des deux côtés à la fois. Mon sexe me brûle, promesse d’un orgasme imminent, autant que mon anus qui ne compte plus les aller-retours de ma maîtresse.
De son côté, elle ressent également des spasmes de plus en plus forts, mais ne parvient pas à se masturber, harnachée dans son attirail de dominatrice.
Elle n’y tient plus et stoppe un instant sa course dans mon intestin pour détacher la ceinture de sa taille, son gode toujours planté entre mes fesses. Elle se glisse alors sous moi pour attraper mon sexe dans sa bouche, et me tendre sa vulve enfin libérée, dans un 69 où j’ai enfin l’impression de reprendre le dessus.
Un court instant seulement, car elle a repris la base de son outil dans la main et recommence aussitôt à me pilonner, tout en me suçant activement.
Avec la plus grande difficulté, je surmonte l’envie de m’abandonner complètement à mon plaisir pour me consacrer au sien. La tête enfoncée entre ses cuisses, je fouille de toute ma langue son intimité déjà trempée, j’y joins un doigt, puis deux, pour approfondir ma recherche, et je rythme mes mouvements dans son vagin, sur les siens dans mon rectum.
Ma main gauche alterne les caresses sur ses seins et ses fesses, seules parties laissés nues par son costume de fétichiste, puis je trouve le chemin déjà familier de sa voie étroite, et j’y insère sans mal un doigt inquisiteur, qui rejoint sans les toucher ceux de ma main droite, à travers la fine paroi séparant son vagin de son rectum.
Elle atteint maintenant le sommet de son excitation, mais ne reste pas inactive : sa main droite ne lâche pas le gode, et de sa langue elle poursuit sa fellation, remonte jusqu’aux bourses chaque fois qu’elle me pénètre de sa queue de latex, et redescend gober le gland quand elle décule.
Son orgasme survient brutalement, elle se cramponne des deux mains autour de mon fessier, appuyant plus fort que jamais sur son deuxième sexe, l’enfonçant au plus profond de mes entrailles. Serrant ma tête entre ses cuisses elle m’immobilise complètement et je pars à mon tour dans une jouissance fabuleuse. Je me vide en un flot bouillonnant dans sa bouche, des torrents de sperme se déversent à chaque contraction tandis que mon anus se resserre comme un étau autour de son instrument de sodomite.
Le calme après la tempête nous recueille dans un état d’épuisement proportionnel au déchaînement de nos sens. Toujours l’un sur l’autre, tête-bêche, nous nous enlaçons tendrement, en remerciement réciproque pour le plaisir échangé, la communion de nos corps, la fusion charnelle passée et celle à venir. Rarement je me suis senti aussi proche de ma chère épouse, après ce qu’elle vient de me faire si gentiment expérimenter ; plutôt que d’avoir subi une humiliation, j’ai le sentiment de m’être offert complètement à sa lubricité. J’ai encore un dernier écho du plaisir ressenti quand elle dégage tout doucement son engin de mon anus écartelé. Je m’allonge alors près d’elle en m’approchant de son visage pour l’embrasser tendrement et lui murmurer :
Elle me fait part de son excitation lors de ses préparatifs, et de son empressement à se harnacher de tout son attirail avant mon retour.
Je jette un regard sur l’instrument de ma première sodomie, et je constate qu’elle a raison.