Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 08560Fiche technique13553 caractères13553
Temps de lecture estimé : 8 mn
29/01/05
Résumé:  Les vacances d'un jeune homme à la campagne. A côté du gîte qu'il a loué, demeurent deux femmes avides de plaisirs érotiques.
Critères:  fhh nympho exhib noculotte intermast fellation pénétratio
Auteur : Everly  (Homme cinquantaine aimant la vie et ses plaisirs)      
Vacances insolites



La maison que j’avais louée pour cette semaine était à l’entrée d’un village fleuri. Celle qui était à côté était occupée par une femme de quarante-six ans et sa fille de vingt-huit ans. Toutes deux vivaient seules et un peu en marge de la vie locale. En effet, à mon arrivée, la veille, lorsque j’avais demandé mon chemin, on les avait qualifiées de nymphomanes. En les croisant ce jour-là, j’avais eu droit à un sourire enjôleur de la part de la mère, sortie pendre du linge dans le jardin. Je m’étais retiré seul dans cette maisonnette afin de me ressourcer. J’avais de la lecture et je comptais visiter les environs, mais la présence de ces deux femmes atypiques excita mon imagination. Je reconsidérais alors un peu différemment ma retraite, estimant que, n’étant pas connu dans la région, je n’étais pas obligé d’adopter l’attitude réprobatrice des autochtones. J’avais envie de me laisser entraîner dans leur jeu, de les laisser prendre les initiatives. Pour me montrer docile à leur point de vue, je répondis un «bonjour Madame» chaleureux au salut de la mère, lorsque je quittais la maison pour faire quelques courses.



Il était dix heures et je fis mes courses tranquillement et, de retour vers midi, je me rendis chez les voisines.

Mère et fille étaient présentes et m’accueillirent de manière avenante. Le sourire était de mise. Averti sur les intentions probables des deux femmes, j’avais mis de côté la réserve qu’imposent les relations habituelles et n’hésitais pas à contempler sans la moindre gène les silhouettes de mes voisines, qui en semblaient ravies. La mère comme la fille était assez mince , de taille moyenne, et de morphologie semblable à celle d’adolescentes. Leur visage était agréable sous des traits qui exprimaient leur tempérament voué à l’érotisme. Une table basse et quatre fauteuils de même hauteur étaient disposés sur la terrasse et je fus invité à m’y installer. Marie, la mère, disposa les verres sur la table et à cette occasion me fit découvrir les charmes de sa gorge. Elle était vêtue d’un chemisier rouge et d’une jupe noire qui lui arrivait au-dessus des genoux. En se baissant pour servir, le chemisier, qui n’était pas boutonné jusqu’en haut, s’entrouvrit, m’ouvrant un panorama aphrodisiaque sur un soutien-gorge mal ajusté sur des seins en forme de poire dont les tétons était à moitié cachés. Heureuse de l’émoi qu ’elle avait provoquée, Marie eut un large sourire et alla s’asseoir en face de moi. Fanny, la fille, qui était en short et en tee-shirt moulant, apporta les amuse-gueule et vint s’asseoir à son tour. Ses petits seins se dessinaient sous le fin tissu et leurs pointes avaient du mal à se discipliner, à rester sages. Le short en mousse épousait tant les formes de la jeune femme que j’eus du mal à contenir un début d’érection lorsque mes yeux se posèrent sur le bas de son ventre. Une partie du tissu s’insérait, formant un sillon vertical qui me fit penser qu’elle ne portait pas de culotte.

Nous portâmes un toast en l’honneur de notre rencontre et à mon séjour dans la contrée, et chacun entreprit de se faire connaître. Très vite, Marie s’était montrée aguicheuse, car elle s’était placée de telle sorte que de ma place j’aie une vue directe sur ses jambes, qu’elle avait délibérément entrouvertes avec un air coquin. Avec une mine approbatrice, je plongeai mon regard dans son entrejambe ainsi offert, l’œil attiré par une fine culotte rouge translucide qui eut pour effet d’augmenter mon érection. Mon visage illuminé induit immédiatement l’accroissement de l’ouverture des cuisses de ma voisine qui ne se sentait nullement gênée par la présence de sa fille. À présent, je pouvais distinguer quelques détails tels que la forme estompée de sa fente avec, au-dessus, une petite masse sombre qui correspondait aux poils pubiens. Ravi de son initiative, je lui souris silencieusement. Fanny, qui avait assisté à ce petit jeu, regardait alternativement l’attitude de sa mère et mes réactions, et semblait à la fois amusée et intéressée. Continuant son cinéma, Marie s’était affaissée dans son fauteuil, obligeant sa jupe à remonter jusqu’à la hauteur de sa culotte. Ses cuisses étaient à présent ouvertes sans pudeur et elle ondulait lascivement avec un plaisir manifeste de s’exhiber. Je devenais spectateur d’une sorte de mise en scène érotique absolument grisante. Le pied gauche posé sur le fauteuil, l’autre restant à terre, Marie me montrait sa culotte qui m’apparaissait sous toutes les coutures, épousant la forme de ses grandes lèvres, laissant voir en son centre une auréole d’humidité. Puis, habilement, Marie se trémoussait pour faire remonter encore sa jupe de sorte qu’elle puisse faire glisser le tissu de sa culotte de côté et dégager sa vulve. Alors apparurent au grand jour les petites lèvres délicatement écartées. Ma queue était à présent tendue à l’extrême et formait un bourrelet bien visible à hauteur de la braguette de mon bermuda. Ayant constaté mon état d’excitation, Fanny avait rapproché son fauteuil du mien et, la tête entre les mains, regardait ostensiblement l’excroissance de mon bermuda. Après quelques hésitations, elle osa poser un doigt dessus, ce qui me fit tressaillir ; elle le retira, revint me taquiner la hampe au-dessus du tissu, effectua de légers pincements de mon gland, tritura mes couilles du bout des doigts. Ces attouchements de mes parties génitales à travers mes vêtements me rendaient sensible, et j’éprouvais le besoin impérieux d’être branlé. Mais plutôt que de l’avouer, je laissais Fanny décider. Sa mère avait, à force de contorsions, fait descendre sa culotte sur ses cuisses sans y mettre les mains, et s’évertuait à présent à la faire tomber par terre. Dès que la petite pièce rouge eut atteint le sol, Marie écarta au plus grand ses cuisses, exposant sans la moindre pudeur sa chatte luisante d’humidité, et dont les lèvres battaient sous les effets de l’excitation. Excité et en rut, je m’agitais aussi sur mon fauteuil et Fanny, voyant qu’il était temps, déboutonna mon bermuda et baissa ma fermeture. Ma bite se dressa hors de mon slip et, plutôt que de la saisir, Fanny pensa à me donner de l’aisance en tirant sur mon bermuda pour le faire descendre sur mes mollets. Je l’aidais en soulevant les fesses. Dès lors, s’emparant de mon chibre, elle commença doucement à me branler, faisant s’écouler de grosses gouttes de sécrétion qu’elle reprenait avec son pouce, afin de les étaler comme une huile de massage. Mon corps était tendu, ma bite toute droite réclamant ses stimulations. En face, Marie s’était mis deux doigts dans le vagin et se branlait vigoureusement en poussant de petits grognements. Fanny qui m’astiquait passionnément commençait à se laisser saisir par ses propres envies. Tout en me masturbant, elle finit par glisser son autre main dans son short et s’agita en gémissant. Au bout de quelques minutes, la tension étant à son comble, je ressentis un besoin impérieux de me soulager, et plusieurs giclées de sperme aboutirent sur le chemisier de Marie qui en eut un orgasme bruyant. Sa fille, satisfaite de son œuvre, se termina en se frottant le short sur mon épaule. Chacun de nous, repu, s’effondra dans son fauteuil.

Un peu plus tard, je finis mon verre, remontai slip et bermuda et saluai mes voisines en les remerciant pour cet apéritif si agréable.

Deux heures plus tard, ayant déjeuné et m’étant reposé lors d’une petite sieste, je décidais de retourner les voir car il manquait quelque chose à mon apéritif. J’entrai dans le jardin sans sonner et trouvais Marie allongée sur une serviette sur un bain de soleil, tandis que Fanny, en robe courte, était en train de dépendre le linge. Je me dirigeai vers elle et, arrivé face à elle, lui ayant dit de continuer son occupation, je soulevai sa robe, en accrochai les pans à sa ceinture, et saisis l’élastique de sa culotte afin de la faire descendre. Sa petite chatte m’apparut alors et je pus la contempler longuement. Je glissai ensuite mon majeur dans sa fente, fis quelques mouvements de rotation et palpai la muqueuse sur toute sa surface pour m’imprégner de son anatomie. Je remis la culotte en place (malgré l’humidité des lieux) et dégrafai le haut de sa robe ; puis je dégageai les épaules et fis apparaître ses seins délicats. Les bouts, déjà fermes, se tendirent encore sous l’effet des roulements que leur imprimaient mes index et mes pouces. Fanny se laissait faire, fermant seulement les yeux sous mes gestes adroits. La laissant se rajuster, je rejoignis alors Marie qui avait assisté à la scène. Accroupi auprès d’elle, je plongeais la main dans le décolleté de son chemisier auquel je retirais quelques boutons de l’autre main, et dévoilais ses seins dont les petites aréoles roses entouraient des tétons fins et pointus. Par petites pressions, je les titillais pendant que, sensible, Marie s’agitait dans tous les sens. Avant de la quitter, je laissais une main descendre le long de son ventre jusqu’à son pubis que je caressais au travers de l’étoffe, avant de trousser la jupe et écarter sa petite culotte rouge encore tâchée, afin de lui témoigner de ma langue vorace les plus douces congratulations. Après les quelques sursauts attendus témoignant d’un orgasme effectif, je laissais Marie et Fanny à leurs songes dans l’attente de nouvelles aventures.

Le soir, Fanny vint me chercher, toute fraîche, dans le même short que celui qu’elle portait à midi. Elle était jolie et désirable. Alors qu’elle s’apprêtait à franchir le seuil de la porte d’entrée en me demandant de la suivre, voir son beau petit cul tout rond se dandiner devant moi me donna une poussée libidinale que je n’eus même pas l’idée de retenir. Je l’attrapai aux hanches et vins me plaquer contre ses fesses. Je bandais. Je ne pus empêcher quelques mouvements de bassin alors que ma bite coulissait dans la raie de ses fesses. Je dirigeai Fanny vers la fenêtre ouverte et l’obligeai à prendre appui en la penchant. Elle se laissa faire, je lui retirai le short, descendis mon bermuda et mon slip, et lui enfournai directement ma bite dans son vagin déjà détrempé. Tout en lui assénant de profonds coups de boutoir et en lui pelotant les seins sous son tee-shirt, je lui susurrais à l’oreille :



Tu es bonne à baiser aussi, ma bite et mes couilles sont aux anges !


En entendant ces paroles, Fanny se mit à grommeler des mots qui n’étaient que des gémissements de plaisir.



Et bientôt je sentis son vagin se contracter en spasmes autour de ma verge. Fanny jouissait. Quant à moi, je me contentais de la percuter en veillant à me retenir pour la suite. Je profitais que Fanny se relâche pour retirer mon pénis de son vagin. Doucement je lui remis son short et me rhabillai.



Elle m’emmena dans une ancienne grange au fond du jardin. Il faisait encore chaud et le ciel était toujours clair. Marie était là, vêtue d’une robe boutonnée de haut en bas et qui lui arrivait aux mollets. Sur une espèce d’établi, se trouvait des cordes et des lanières de cuir.



Je contournais Marie ; mes doigts frôlaient ses épaules étroites, parcouraient ses fins bras, s’attardaient sur ses hanches, remontaient effleurer son ventre. Étant derrière elle, je lui saisissais un poignet que j’entourais d’une cordelette de chanvre. Dans le hangar, deux poteaux se prêtaient bien à la fixation des cordes car ils comportaient de gros clous recourbés. C’est à l’un de ces endroits que je fixais ma première corde. Marie avait un bras levé et tendu, tenu par la cordelette. Je lui attrapais le second poignet et lui faisais la même chose.

La situation mettait Marie dans un état de dépendance. Fanny était restée sur le côté et je décidais de lui faire subir le même sort. Les deux femmes étaient à présent sans défense, attendant la suite. Je retournais au pas de course dans la maison pour y emprunter deux foulards dont je me servais pour bander leurs yeux.


A suivre….