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n° 08579Fiche technique8135 caractères8135
Temps de lecture estimé : 5 mn
02/02/05
Résumé:  Sonia découvre les plaisirs en compagnie de Marie, une inconnue
Critères:  ff ffh jeunes inconnu nympho fsoumise humilié(e) exhib odeurs intermast facial fellation jeu
Auteur : Helios
Sonia où l'apprentissage de la vie



La rue était sombre, le temps glacial et seuls quelques passants égarés venaient troubler la quiétude d’un quartier à la réputation bien fondée. C’étaient ce quartier, cette rue, le cadre de vie de Sonia, une jeune fille qui n’avait pas été gâtée lors des 18 premières années de sa vie. Pourtant, Sonia espérait, encore et encore, qu’au détour d’un chemin quelqu’un vienne la sortir de cette vie morne et sans avenir. Cette dernière n’allait pas tarder à prendre une tournure assez particulière…


En plein mois de janvier, alors que la glace avait envahi les quelques trous présents sur les trottoirs, Sonia marchait la tête ailleurs, dans ses pensées de jeune fille rêveuse quand elle aperçut dans une embrasure de porte un homme allongé lui tournant le dos. Etait-ce un sans abri comme on en voit des centaines dans les rues de la ville en cette période de l’année, un vieil homme qui n’attendait plus rien de la vie ? Tout cela à la fois ; mais Sonia pût également apercevoir un deuxième corps allongé derrière cet homme, dans la pénombre du hall de l’immeuble. Elle ne pût en fait apercevoir que les pieds de ce qu’elle pensait être le compagnon du vieil homme, le reste du corps étant enfoui sous une couverture de laine. Subitement, l’homme se mit à gémir de façon répétée, fût pris de soubressauts… Il était en train de jouir et Sonia recula d’un pas quand elle pût finalement déceler dans cette pénombre la chevelure d’or d’une jeune femme dont la tête demeurait collée à son entrejambes pendant que le vieil homme donnait les dernière secousses signe qu’il avait fini d’inonder la jeune femme de sa semence chaude.


Sonia en restait stupéfaite… Comment un couple pouvait-il agir ainsi en plein milieu de la rue, dans le passage ? Etait-ce d’ailleurs un couple ou la femme n’était-elle qu’une prostituée ? Mais comment le vieil homme dans la rue pouvait-il la payer dans ce cas ? Toutes ces questions laissaient Sonia dans un état second, déconnectée du réel quand la jeune femme releva la tête, la bouche encore dégoulinante de sperme chaud qu’elle ne pris même pas le soin d’essuyer. Elle semblait goûter avec plaisir à ce jus salé. Lorsqu’elle vit Sonia à quelques mètres devant elle, elle se releva subitement et fit signe à la jeune femme d’approcher.



La blonde, dont Sonia apprendra plus tard qu’elle s’appelle Marie, prit le doigt de Sonia, le porta à son visage et essuya le sperme qui commençait à couler le long de ses joues.



Et Sonia s’exécuta. Elle porta son doigt à ses lèvres et le nettoya entièrement, jusqu’à la dernière goutte.



Sonia et Marie marchèrent alors quelques instants, quand Marie aperçut un autre homme en train de téléphoner dans sa voiture, arrêtée le long du trottoir.



Sonia ouvrit la portière du passager, rentra à genoux dans la voiture, prit soin de ne pas fermer la porte et approcha sa tête de la queue de l’inconnu au téléphone qui n’en croyait pas ses oreilles. Mais comment résister à une jeune fille tout juste sortie de l’adolescence, belle, très belle et qui était prête à vous faire du bien sans rien en retour ?


Sonia commença alors son oeuvre, de plus en plus vite, jouant avec sa langue, remontant le long de la hampe de bonne taille qui lui était offerte. Marie disposait ainsi d’un spectacle hors du commun : une jeune fille en train de sucer un inconnu, le cul relevé dont elle pouvait deviner tous les contours… Elle n’en pouvait plus. Une main dans la fermeture éclair de son jean, elle tira violemment de l’autre main sur le pantalon de Sonia, qui descendit jusqu’au milieu des cuisses. La vue de Marie s’était dégagée. Elle pouvait maintenant apercevoir le string de Sonia, dont l’auréole entre les jambes traduisait une excitation que confirmaient les mouvements de plus en plus rapides de sa tête. L’homme à la voiture était prêt à décharger.



Et Marie léchait maintenant ce string qu’elle écarta ensuite à l’aide de ses doigts plein de mouille, sa propre mouille qui se mêlait à celle de Sonia. Sa langue fouillait son petit trou, sa fente bien humide puis remontait vers ses fesses. Marie introduisit alors un doigt dans le cul de la jeune fille, puis un autre dans sa fente. Sonia était en train de se branler sur les doigts de Marie alors qu’elle avalait le foutre de cet homme. Quand il eut fini d’éjaculer dans la bouche de Sonia, celle-ci se retourna puis embrassa vigoureusement Marie, lui donnant un peu de cette substance chaude qu’elle aime tant. Les deux jeunes femmes recommencèrent alors à marcher, s’éloignant sans dire un mot à l’inconnu.



Marie porta alors sa main entre les cuisses de Sonia.



Sonia était de nouveau embarrassée. Elle était effectivement très excitée, autant par la queue de l’inconnu que par les caresses de sa compagne.



Les deux jeunes femmes rentrèrent dans le premier hall d’immeuble venu. Marie redescendit le pantalon trempé de Sonia, descendit le sien et força la jeune femme à s’agenouiller.



Sonia n’en demandait pas tant… Elle mis sa tête entre les jambes de Marie, lécha sa fente, son cul, enfonça sa langue dans son petit trou puis nettoya consciencieusement Marie tout en la masturbant avec l’index de sa main droite. Quand elle eu finit de nettoyer jusqu’à la dernière goutte du liquide suintant de la fente de la jeune femme blonde, Sonia se releva puis embrassa Marie, la bouche désormais pleine de mouille, dont l’odeur se mélangeait avec celle du sperme de l’inconnu.



Et Sonia rentra chez elle, la tête pleine de souvenirs, la bouche pleine de mouille et la chatte encore emprunte de l’odeur de son excitation.