n° 08581 | Fiche technique | 23137 caractères | 23137Temps de lecture estimé : 14 mn | 02/02/05 |
Résumé: La suite et la fin des aventures de Vincent à la recherche de sa première fille. | ||||
Critères: fh jeunes amour fellation | ||||
Auteur : Vincent T Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : La première fille Chapitre 04 / 04 | FIN de la série |
Vincent retourne alors à ses maths, avec cependant l’esprit tourmenté, d’un côté tout enjoué d’avoir fait la connaissance de Marie, mais d’un autre côté un peu inquiet qu’elle ne le rappelle pas, et aussi un peu envieux de ses meilleurs copains qui ont réussi à se trouver de quoi assouvir leurs pulsions sexuelles. Petit à petit, il parvient cependant à s’immerger dans son problème d’algèbre, jusqu’à ce qu’un coup de sonnette strident vienne interrompre sa concentration. Surpris, il se dirige d’un pas lent vers la porte, en maudissant déjà Frédéric de venir l’interrompre pour lui raconter sa folle soirée.
Aussi surpris que ravi de cette visite pour le moins inattendue, Vincent n’ose détacher son regard de sa tasse pour affronter le regard vert émeraude de son interlocutrice que les cheveux noirs, sa peau mate et les rayons du soleil rasant de cette fin d’après-midi rendent encore plus éclatant. À peine ose-t-il quelques furtifs coups d’œil sur le décolleté prononcé du débardeur à bretelles de son invitée, laissant apparaître les bretelles turquoises de son soutien-gorge. Et, si en apparence Vincent semble calme et attentif aux paroles de Marie, en revanche son cerveau bouillonne d’images qu’il aimerait bien réelles dans quelques minutes : le débardeur n’est plus qu’un mauvais souvenir ; le soutien-gorge, décoratif, mais n’ayant aucune fonctionnalité pratique étant donnée la fermeté de la poitrine de sa propriétaire, disparaît à son tour, laissant apparaître deux belles pommes qu’il tâte et croque goulûment ; la fine robe, qui pourtant mettait en valeur une magnifique paire de jambes, s’envole elle aussi, permettant par là même de répondre à cette énigme qui le taraude depuis quelques minutes déjà : cette charmante demoiselle, avec la distinction qui la caractérise, a bien pris soin de mettre un string, qui plus est – raffinement ultime – assorti au soutien-gorge. Mais à peine Vincent a-t-il eu le temps d’admirer le minuscule bout d’étoffe que déjà ses mains se laissent glisser le long du corps de sa partenaire pour définitivement le mettre à nu. Le string s’enroule lentement autour des cuisses de la jeune femme, mettant à jour une fine toison. Alors, écartant lentement les jambes pour s’offrir totalement à sa vue, Marie entreprend de se caresser et…
Remettant ses fantasmes lubriques au fond de son cerveau, Vincent s’efforce de diminuer le plus possible son érection, bien aidé en cela par le trac qui le gagne à l’idée de jouer pour la fille qu’il désire à présent le plus au monde. Cependant, il a tôt fait de faire abstraction de tout cet environnement défavorable, et après quelques minutes, ses doigts courent sans complexe sur sa guitare comme s’il était seul, et après un long moment de concert acoustique live, le public, bien que peu nombreux, semble conquis. Pourtant, bien que visiblement ravie et pas avare de louanges, Marie retourne peu de temps après chez elle, non sans avoir accepté cependant une dernière tasse de café. Vincent, bien que ravi d’avoir enthousiasmé sa visiteuse, se trouve néanmoins quelque peu désappointé de n’avoir en échange obtenu aucun remerciement "en nature". Malgré cela, la journée est plutôt positive, puisqu’il a pu montrer ses talents à la fille de ses rêves, qui a semble-t-il apprécié, et qui en plus lui a promis une nouvelle visite très prochainement. Alors, pour fêter cette bonne nouvelle, et aussi pour offrir à son corps ce qu’il réclame, ou du moins lui proposer un palliatif, et ainsi réparer les dégâts causés (presque) involontairement par le passage de Marie, Vincent se dirige vers son ordinateur et, après quelques instants, il peut s’imaginer à la place de l’étalon dont le sexe érigé et imposant monopolise l’écran, se faisant sucer par une délicieuse brune aux yeux verts qui plante son regard amoureux au plus profond du sien…
Cependant, après plusieurs visites infructueuses (dans le sens où elles n’ont pas abouti à un baiser langoureux de sa belle Marie), Vincent croit de plus en plus en ses chances de conclure, aidé en cela par les signes semble-t-il explicites de Marie, qui, honneur suprême, l’invite même chez elle au retour d’une escapade en bord de mer, qui bien que se voulant seulement amicale, n’en fut pas moins romantique à souhait. Rassasiés par un repas pris plus tôt dans la soirée dans un restaurant avec vue sur la mer, les deux "amis" s’installent directement sur le canapé du salon, accompagnés chacun d’un verre de whisky. Vincent profite de ce moment de répit pour rassembler tout son courage afin d’aller croquer les lèvres féminines qui lui semblent promises, mais Marie l’interrompt avant qu’il ne tente quoi que ce soit :
À genoux au pied du meuble de sa télé, Marie énumère la liste des cassettes vidéos à sa disposition, tandis que Vincent, quelque peu distrait par la croupe incendiaire qui se tient face à lui, écoute d’une oreille très distraite.
Puis, après avoir éteint la lumière, elle rejoint Vincent sur le canapé et s’asseoit à côté de lui. Après quelques minutes où il essaye de se concentrer uniquement sur le film, Vincent est troublé par le chuchotement de Marie :
Aussitôt dit, aussitôt fait, Vincent se retrouve avec la tête de Marie à quelques centimètres de son membre viril, qui pour le coup ne reste pas insensible à la position équivoque, bien que relativement sage, de son hôtesse. Maintenant quelques instants sa main en suspens, Vincent ose la poser sur les hanches de Marie, pour satisfaire ses instincts, mais aussi il faut bien l’avouer pour éviter une crampe. C’est d’ailleurs cette excuse plausible qui l’incite à faire ce geste de bravoure, se disant avec raison qu’en cas de mécontentement il pourrait se justifier efficacement. Marie ne trouve d’ailleurs rien à redire, feignant de ne rien sentir. Pourtant, Vincent ne pousse pas plus loin son audace et attend sagement la suite des événements, déjà tout fier d’en être arrivé là, et confiant quant à la suite de la soirée, voire même de la nuit.
Sa patience est mise à rude épreuve car le film, bien qu’assez sage, se révèle être présentement un puissant stimulant pour ses ardeurs sexuelles, et c’est à grand-peine qu’il tente de dissimuler ses érections successives. Pourtant, il parvient à se contrôler jusqu’à la fin du film, qu’il accueille cependant avec satisfaction.
Vincent, n’osant pas affirmer le fond de sa pensée, se contente de rester stoïque, et c’est presque surpris qu’il sent les lèvres de Marie se poser sur les siennes. Après quelques secondes d’étonnement, il répond favorablement à son baiser, sentant le rouge lui monter au front et le sang affluer dans le corps caverneux de son pénis. Comme libérés d’une trop longue attente, les désormais anciens amis et nouveaux amants s’en donnent à cœur joie et à langue déployée avec une frénésie non contenue, à laquelle succèdent cependant quelques baisers plus tendres où chacun reprend son souffle. Ces embrassades durent une bonne demi-heure, durant laquelle Marie, inondant de plus en plus sa culotte, attend désespérément une prise d’initiative de son partenaire, tandis que Vincent, tiraillé par la douleur de son sexe dans son caleçon, n’ose pas aller plus loin de peur d’un geste déplacé qui pour un premier soir pourrait choquer la demoiselle.
Lasse d’attendre en vain un élan de bravoure de son jeune amant, Marie se décide alors à guider la main de Vincent vers des endroits plus osés de son anatomie afin de chasser le doute encore présent dans l’esprit du jeune homme. Celui-ci, comprenant enfin le message, ne se fait plus prier et peut à loisir caresser les seins et les fesses de sa partenaire à travers ses vêtements, avant de glisser une main sous le top afin de rentrer directement en contact avec sa peau, puis avec la dentelle de son soutien-gorge. Rassurée par les prises d’initiatives de son homme, Marie peut à son tour laisser glisser sa main sous sa chemise et caresser avec ravissement le torse musculeux à peine velu et les abdominaux saillants de Vincent, qui déjà s’interroge avec anxiété sur la suite des événements. Après quelques instants de caresses sous la chemise, Marie descend la main sur la braguette masculine, constatant avec joie que le matériel à sa disposition, en plus d’être de qualité très satisfaisante, semble en parfait état de marche.
Cependant, peu à l’aise dans cette position sur le flanc, Marie se redresse et monte à califourchon sur les cuisses du jeune homme, en profitant au passage pour lui retirer sa chemise et dévoiler son torse qu’elle ne peut toutefois admirer à sa convenance dans la quasi-obscurité de la pièce. Elle reprend alors son jeu de langue avec celle de son amant, tandis que ce dernier profite de sa position favorable pour pétrir avec plus de conviction les fesses fermes de la jeune femme. Puis, prenant de plus en plus d’assurance, il retire en un éclair le top de la jeune femme, suivi par le soutien-gorge, qui lui oppose une résistance farouche du fait de l’inexpérience du jeune homme dans le "dégrafage", qui nécessite une technique avérée. Après quelques caresses sur cette poitrine ainsi libérée de toute protection, Vincent peut à loisir pétrir, sucer et lécher ces seins bien fermes et découvrir avec amusement la dureté et l’érectilité d’un téton féminin convenablement stimulé.
Après quelques minutes pourtant délicieuses pour les deux amants, Marie, intriguée par ce membre viril qui en frottant contre son pubis ne cesse de l’interpeller, se laisse doucement glisser le long du corps musclé de Vincent en l’embrassant avec douceur. Ses lèvres et sa langue font des merveilles sur les tétons du jeune homme qui se dressent et durcissent en quelques secondes. Puis Marie descend encore : sa bouche continue de baiser tendrement le torse et le ventre de Vincent tandis que son corps s’efforce de coller au plus près du sexe masculin et que ses longs cheveux caressent involontairement la peau douce et chaude du jeune homme. Vincent, lui, ne bouge plus ; il reste totalement passif face au savoir-faire de sa partenaire de près de dix ans son aînée. Il se contente de fermer les yeux et de ne pas s’emballer afin d’éviter le pire.
Une fois à genoux entre les jambes de Vincent, elle embrasse le jeans à un endroit stratégique. Le jeune homme frissonne et gémit. Marie s’amuse un peu à caresser sa braguette mais, devant l’impatience et la souffrance visible de Vincent coincé dans son pantalon, auxquelles s’ajoute l’impatience légitime de la jeune femme, elle décide de le délivrer de sa prison de tissu. Elle déboucle sa ceinture et déboutonne lentement la braguette. Elle sent son vit se trémousser d’impatience. À peine a-t-elle le temps de baisser quelque peu le jeans et le caleçon qu’un phallus en est éjecté, prenant sa position verticale privilégiée tout en palpitant à la recherche d’un contact humain. Après avoir descendu les habits jusqu’aux chevilles, Marie se saisit de ce phallus et le branle avec douceur afin d’en jauger la prestance qu’elle estime tout à fait admirable. Puis, après quelques instants de branlette qui finissent de l’étirer et de le grandir, elle dépose quelques baisers sur le gland complètement humide, tout en continuant sa branlette. Retrouvant après quelques mois de disette le goût si savoureux d’un gland bien juteux, elle le lèche avec toute sa gourmandise et son savoir-faire. Après quelques secondes de succion, plusieurs secousses contractent l’objet de sa convoitise, laissant échapper sans puissance quelques gouttes blanchâtres qui, après un passage rapide dans l’antre buccal féminin qui se retire prestement, dégoulinent sur la verge puis sur les doigts de la fautive.
Quelques secondes après, elle revient effectivement, avec un paquet de mouchoirs en papier.
L’air penaud, Vincent accepte de suivre les conseils de Marie, avant d’ajouter, l’air grave :
Sans plus attendre, Vincent et Marie se retrouvent dans le lit, et cette nuit-là, comme beaucoup d’autres nuits après, Marie avait effectivement beaucoup de choses à apprendre à Vincent, qui se montra un élève assidu, attentif et plutôt doué…
Et malgré les aléas de la vie qui ont fini par séparer les deux amants, Vincent repense souvent à cette fille en arrachant quelques accords à sa guitare et en chantonnant ces quelques vers de Maître Georges :
Toi qui m’as donné le baptême
D’amour et de septième ciel
Moi je te garde et moi je t’aime,
Dernier cadeau du Père Noël.
Jamais de la vie on ne l’oubliera
La première fille qu’on a pris dans ses bras
On a beau fair’ le brave
Quand ell’ s’est mise nue
Mon cœur t’en souviens-tu
On n’en menait pas large.
Bien d’autres sans doute depuis sont venues
Oui mais entre tout’s celles qu’on a connues
Elle est la dernière que l’on oubliera
La première fille qu’on a pris dans ses bras.