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n° 08600Fiche technique18785 caractères18785
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Temps de lecture estimé : 14 mn
06/02/05
Résumé:  Homo Sapiens, dans ses déplacements et ses migrations, découvre d'autres paysages, d'autres latitudes, et d'autres habitants. Il découvre et il apprend...
Critères:  #historique fh hmast intermast fellation pénétratio
Auteur : Méline  (Florence Sinclair)            Envoi mini-message
Homo Sapiens



Après plusieurs semaines de marche, le clan s’était installé dans cette nouvelle vallée. Le climat était beaucoup plus clément. Il faisait même chaud pendant la journée.

Aujourd’hui, Dunar choisit de partir explorer les environs, et surtout d’aller vers la rivière qu’il avait aperçue de loin, hier, en s’installant. Il s’absente facilement du groupe qui n’est encore pas réveillé, trop occupé à panser les plaies et à reposer les corps endoloris.

Il se fraie un passage entre les hautes herbes et les buissons, sans un bruit, comme pour ne pas effrayer la nature sous le soleil à peine levé. Il marche doucement, en tentant de trouver des appuis solides dans la descente vers l’eau. Il l’entend en contrebas et sa marche assez longue le rend joyeux. Il entrevoit les premiers éclats de lumière de l’eau qui joue avec le soleil. Il fait déjà chaud quand il arrive à atteindre la berge, en passant par un sol mou, un peu boueux, pour rejoindre un gros rocher plat. Il y a beaucoup de rochers dans le lit de cette rivière majestueuse et calme. Ils sont tous arrondis par les crues probables.


Dunar s’approche doucement du bord, se montrant à découvert. Il est heureux de contempler ce cours d’eau d’une limpidité extraordinaire, d’un calme serein, avec les méandres étincelants serpentant entre les cailloux, les rochers érodés, formant des bassins, de petites chutes. Il tend sa main pour boire une gorgée. Il a même envie d’aller se baigner. Il sait qu’il ne va pas être dérangé et il a bien envie de profiter pleinement de sa découverte magnifique.

Il ne porte plus qu’une peau de bête fine autour de la taille, qui lui arrive à peine en haut des cuisses. Au fur et à mesure du voyage, il a abandonné ses fourrures très épaisses qu’il s’attachait sur les épaules, autour de l’abdomen et qui pendaient presque par terre. Dans cette nouvelle région qu’il ne connaissait pas, il apprécie ce temps chaud, même si parfois le soleil est aride. Il a vite fait de délacer la peau qui lui entoure les hanches pour la poser à plat sur le rocher, à côté de lui. Il se gratte un peu le corps, en ressentant un étrange bien-être. Puis il descend doucement dans l’eau.

Elle n’est pas glaciale, comme dans les dernières contrées qu’il avait habitées, où se laver était un supplice continu. Non, là, la rivière est d’une douceur remarquable, il voit ses pieds, au fond, zébrés par le soleil. Il s’immerge d’un seul coup en grognant de plaisir.


Il avait oublié cette sensation de liberté, du corps sans entrave, de caresse sur toute sa peau nue. Il bouge lentement dans l’eau, avec retenue, pour sentir le courant le chatouiller, parcourir ses jambes, remonter entre ses fesses et contre son ventre. Il respire fort. Il se frotte le dos contre un rocher, délicatement, se débarrassant des saletés qu’il avait gardées des jours durant. Il passe ses mains sur tout son corps. Il sent qu’entre ses cuisses, son sexe se gonfle. Il revit.




Après quelques minutes de jeux dans l’eau, il remonte sur le grand rocher plat pour se faire sécher. L’eau ruisselle sur tous ses poils et s’égoutte sur la pierre. Il reçoit le soleil en plein sur le corps et cette autre sensation est encore un grand plaisir. Il s’accroupit sur ses talons pour se reposer un peu. Il scrute tous les alentours pour regarder ce nouveau paysage. Il fixe la berge en face, écoutant le moindre bruit, reniflant les odeurs. Le soleil chaud le détend et continue de bien le sécher. Son corps se relâche. Il regarde en riant son bas-ventre qui chancelle. Son scrotum complètement distendu touche le rocher, entre ses pieds.


Dunar écarte machinalement les jambes, comme pour offrir à l’air et au soleil son entrecuisse. Sa verge se gonfle et commence à se tendre. Il écarte encore un peu plus les genoux pour mieux l’admirer. Le sol effleure la peau de ses testicules et il en ressent un étrange plaisir. Comme par réflexe, il fait de très lents mouvements du bassin, pour se caresser au rocher. Son sexe est maintenant tendu en avant. Il le prend un peu maladroitement à deux mains pour tirer légèrement la peau en arrière. Le gland rouge et gonflé apparaît pleinement et Dunar commence à gémir.

Avec les mouvements lents de son bassin pour frotter son scrotum sur le rocher, Dunar remet le prépuce avec ses deux mains, pour tirer de nouveau en arrière. Son sexe arqué est tendu au maximum et le fait soupirer. Il poursuit son va-et-vient de plus en plus appuyé. Puis il bascule en avant sur les genoux, pour pousser un râle profond et sentir entre ses doigts sa verge devenir extrêmement dure et gicler en jets interminables et épais. Il grogne jusqu’à la dernière goutte pour s’écrouler sur le côté, repu.


Au bout d’un moment, il se relève, satisfait, le sexe encore gonflé et repart en direction du talus, sa peau de bête à la main. Il rentre au camp par la forêt. Il remet son pagne de peau en chemin et va rejoindre le reste du clan pour partir à la chasse ou confectionner des huttes et des abris. Demain, il retournera à la rivière.




Le lendemain, Dunar repart avant le lever du soleil, pour aller faire ses ablutions à la rivière. Il emprunte le même passage, à travers les arbres et les buissons et se retrouve au même endroit, sur le grand rocher plat au bord de l’eau. Son pagne est légèrement relevé en bas de son ventre et il s’amuse de ressentir un si grand plaisir de se mettre nu dans l’eau. Il défait le morceau de cuir autour de ses reins et s’étire de tout son long, face au soleil qui se lève. Il est heureux de pouvoir profiter de ce moment si particulier de calme et de sérénité.

Il descend dans l’eau, en exagérant ses gestes et en regardant sa verge, tendue vers le ciel.

Il va marcher un peu, entre les cailloux, plonge dans l’eau, se caresse et s’aventure un peu plus loin, en amont de la rivière. Il grimpe, franchit, escalade, saute, avec la joie de sentir l’eau qui glisse sur son corps et le soleil qui le chauffe.


Puis soudain, il entend un bruit étrange qui le stoppe dans son avancée. Il tend l’oreille, renifle l’air. C’est comme un chant d’oiseau, mais en continu, assez proche. Il rampe sur un gros rocher pour s’approcher plus près.

Et là, il découvre, de l’autre côté, tout proche de lui, dans une vasque naturelle de la rivière, une femme ! Elle est en train de se laver. Dunar l’observe attentivement. Elle n’est pas du clan. C’est une femme à la peau cuivrée. Ses cheveux sont longs et lisses, bruns. Elle est grande et fine, beaucoup moins trapue que celles de son clan. Dunar la détaille de tous les côtés. Elle se passe de la boue sur tout le corps, avec de l’eau, en chantant. Sa peau brille. Ses seins sont bien ronds et fermes, elle n’a pas de poils sur le corps comme les femmes du clan, à peine même entre les cuisses. Dunar sent que sa poitrine bat, ses muscles se tendent. Cette femme n’est peut-être pas seule à la rivière et il scrute les alentours à la recherche d’un indice.

Il la trouve belle. Il n’a jamais vu d’aussi belle femme et si différente de celles qu’il connaissait jusqu’à maintenant. Il sent son sexe pointer sous son ventre, contre le rocher. Il se laisse descendre doucement en arrière pour tenter de passer par l’eau. Il contourne le gros caillou où il était perché pour passer par le lit de la rivière et arriver face à la femme. Il avance doucement, très craintif. Quand il est à une dizaine de mètres d’elle, elle pousse un cri et s’enfuit sur la berge. Il la poursuit rapidement et ne la lâche pas des yeux. Il bondit sur un rocher affleurant et à peine pose-t-il le pied dessus que la pierre bascule et le fait tomber dans l’eau. Il a perdu l’avance qu’il avait sur la femme mais il a bien repéré la trajectoire qu’elle a empruntée.


Il suit ses traces dans la terre en restant sur ses gardes. Il arrive dans un sous-bois, sous une paroi rocheuse. Il doit s’agir d’un campement et il redouble de prudence, de peur d’avoir à affronter des guerriers. Il s’approche de ce qui semblerait être un foyer presque éteint. Puis il voit la femme, un peu plus haut, sous la paroi, tenant une lance et une sorte de gourdin de bois à moitié brûlé. Elle lui crie des choses qu’il ne comprend, dans un autre langage, comme pour le chasser. Il s’avance doucement vers elle en murmurant des choses, mais qu’elle ne peut pas comprendre non plus. Elle le dévisage, l’air apeuré, puis fixe son bas ventre, toujours dénudé. Elle semble surprise. Dunar regarde aussi et voit que sa verge est toujours droite, dans le même état que lors de son observation, tout à l’heure, du haut de son rocher. Il s’approche encore, pour faire comprendre à la femme qu’il la trouve belle, qu’il a envie d’elle. À quelques mètres, il grogne un peu, en prenant son sexe d’une main et en le tendant vers la femme. Il l’appelle. Elle s’interroge et baisse un peu ses armes. Il s’approche encore plus, très excité et démonstratif, en émettant des gémissements.


La femme le sent, le regarde dans tous les sens. Dunar n’est plus qu’à quelques centimètres. La femme ne semble pas offrir de résistance. Puis il pose sa main sur la hanche de la femme, comme pour l’attirer vers lui. Il pose son autre main sur l’autre hanche et s’approche délicatement, en soupirant. La jeune femme gémit. Il lui prend la taille de ses deux mains et attire ses fesses vers son propre bassin. Il applique la pointe de son sexe tendu au creux des fesses, à la naissance des cuisses et commence une longue poussée, quand la femme le déstabilise un peu pour passer sa jambe de l’autre côté et se retourner face à lui. Il insère sa verge arquée entre les cuisses de la femme et râle de plaisir. Il continue sa poussée en gémissant. Il donne des coups en avant, très excité. Puis son bassin s’accélère d’avant en arrière, pour pénétrer la femme qui s’est allongée sur le côté. Il lui tient la cuisse contre son thorax à lui, de ses deux mains, en donnant des coups de plus en plus rapides. Puis il se tend en gémissant très fort et sent le liquide chaud s’échapper en saccades.

Il reste quelques instants sans respirer et s’écroule sur le côté.




Quand il retrouve ses esprits, la belle femme est toujours là, à le regarder. Elle a la peau lisse, douce, sans poils. Alors que dans son clan, les individus sont plus trapus, le visage carré, le corps couvert de pilosité drue, la peau assez claire. Il renifle vers la femme. Il sent que son ventre se réveille encore à la vue de belle créature si différente. Tous les deux regardent son sexe qui est train de gonfler par saccades. Dunar se rapproche de la femme, l’effleure de ses mains, grogne un peu, touche son visage avec sa joue. Elle s’accroupit sur ses talons. Lui la contourne pour se coller à son dos et lui prendre la taille. Il s’excite de plus en plus et présente de nouveaux son sexe entre les fesses de la jeune femme. Celle-ci se dégage en poussant un petit grognement. Dunar est désemparé et sent que la femme ne veut pas de lui une seconde fois. Pourtant, elle revient vers lui et en lui faisant face, elle lui pousse les épaules en arrière, pour qu’il s’asseye. Dunar se laisse faire. Une fois assis, elle lui pousse encore les épaules en arrière pour qu’il s’allonge complètement sur le dos. Il se méfie un peu.


La femme passe ensuite une jambe de chaque côté de son bassin. Dunar a un peu peur que la femme le maltraite. Mais à la place de ça elle se penche un peu en avant, lui prend sa verge et la guide sous elle, pour l’introduire en elle. Elle gémit et se replace un peu en arrière en s’asseyant complètement sur Dunar. Celui-ci grogne de plaisir en sentant son sexe totalement rentrer dans le ventre de la femme. Il a envie de s’agiter d’avant en arrière, mais sa partenaire le maintient en plaçant ses deux mains sur ses pectoraux. Puis elle entame de longs mouvements de haut en bas, en faisant presque ressortir le sexe tendu de Dunar pour s’empaler ensuite entièrement. Elle commence à gémir très fort et accélère ses ondulations. Dunar grogne et sent que son plaisir est tout proche. Il râle et se cambre pour se relâcher en spasmes violents.


La femme continue ses mouvements de plus en plus frénétiques en criant de façon très aiguë. Elle s’écroule sur Dunar quand celui-ci a déjà presque récupéré. Ils s’endorment quelques instants, exténués.




Quand Dunar ouvre les yeux, il voit la femme assise, un peu plus loin, mangeant un fruit. Il se lève pour aller manger aussi. Ils échangent des regards, des borborygmes. Puis Dunar dit son nom, en montrant son poitrail. Il le répète, plusieurs fois, distinctement. La femme le regarde et essaie de répéter ce qu’il vient de dire :



A son tour à elle de prononcer un son :



Dunar n’a jamais entendu ce son très doux, aux sonorités particulières. Il le répète et montre la femme. Elle l’encourage et il comprend que c’est ainsi qu’elle se nomme.

Ils s’apprécient.


La femme le prend par la main et le fait descendre du talus. Ils retournent à la rivière. Ils retrouvent le bassin où il a surpris Tisla tout à l’heure. Elle l’entraîne dans l’eau. Dunar se laisse faire avec plaisir. Elle lui passe de la boue sur le dos, puis dans les cheveux, lui frotte les bras. Puis elle l’asperge d’eau. À son tour, Dunar, lui passe délicatement de l’eau sur tout le corps. Tisla regarde sa verge qui se raidit. Ils se serrent tous les deux dans la vasque et se jette de l’eau partout. Puis Tisla l’entraîne à côté sur une dalle de rocher au bord de l’eau. Là, elle l’allonge pour qu’il se sèche au soleil. Dunar aime ça, sentir les rayons chauds sur sa peau encore humide. Puis Tisla vient se placer au-dessus de lui, un pied de chaque côté de sa tête. Puis elle se baisse pour s’accroupir et poser ses fesses sur le visage de Dunar, délicatement. Celui-ci sent une douce moiteur sur sa bouche et son nez et ne sait pas quoi faire. Il pense soudain que Tisla veut l’étouffer car il respire difficilement. Il grogne et se débat. Tisla se relève et lui explique. Elle vient vers lui entre ses jambes et lui montre :


Elle prend sa verge encore turgescente et la conduit à sa bouche. Dunar, agréablement surpris se laisse faire. Elle engloutit totalement le membre gonflé. Dunar gémit. Puis elle le recrache et montre Dunar puis son entrecuisse à elle. Elle fait mine de lécher. Elle écarte ses quelques poils et fait apparaître deux lèvres brunes et brillantes. Toujours en sortant sa langue, elle invite Dunar à mettre sa langue à cet endroit. Dunar reste perplexe. Elle rallonge Dunar sur le dos et reprend sa position de tout à l’heure. Elle se pose à califourchon sur le visage de Dunar en écartant très largement les cuisses. Puis elle se penche en avant pour saisir l’énorme sexe et le porter à sa bouche. Dunar glisse sa langue dans l’intimité de Tisla qui gémit déjà.


Puis il lèche tout ce qu’il peut, avec le plaisir qu’il ressent dans la bouche de Tisla. Celle-ci l’aspire de toutes ses forces, en faisant des va-et-vient avec sa bouche, le long de ce sexe tendu. Rapidement, tous les deux se tendent et explosent dans un cri.




Après un court repos, ils retournent au campement. Dunar s’est remis un peu dans l’eau avant de rejoindre Tisla autour du foyer qui chauffe déjà. Il n’a pas repris le pagne de peau qui ceignait ses reins et préfère déambuler dans le plus simple appareil. Après le bain, son sexe s’est dégonflé et pend maintenant entre ses jambes.

Tisla le voit et l’attire vers elle pour lui montrer quelque chose. Elle non plus n’a pas remis son pagne de peau, ses ornements, ses bijoux. Elle fait asseoir Dunar près d’elle. Elle prend une sorte d’anneau en os sculpté et le montre à Dunar. Il l’observe attentivement. C’est un os sculpté très lisse, avec trois petites boules protubérantes sur le haut. Tisla lui reprend. Elle attrape sa verge toute dégonflée par le prépuce et la tire en avant. Elle passe ensuite l’anneau autour assez rapidement. Dunar est très intrigué. Puis Tisla pousse l’anneau jusqu’à la base du pénis, le plus loin possible. Ce mouvement procure bientôt de petites sensations à Dunar et constate que sa verge est train de s’ériger. L’anneau commence à se bloquer à la base contre le pubis, alors que Tisla entame un massage des cuisses de Dunar.


Tisla attire Dunar vers elle. Son sexe est érigé au maximum, enserré dans l’anneau en os. Tisla s’allonge sur le dos et replie ses jambes contre son ventre. Dunar remarque que ses cuisses offertes sont largement ouvertes et que son sexe à elle l’attend. Il s’agenouille et présente sa verge fièrement dressée devant la vulve de Tisla qui gémit. Il n’a pas de mal à s’introduire d’un seul coup jusqu’au fond. Tous les deux poussent des cris et Dunar entame de longs va-et-vient. L’anneau en os touche la chair molle de Tisla en haut des lèvres, ce qui la fait geindre. Dunar sent qu’il peut continuer encore à ce rythme, avec beaucoup de plaisir, sans gicler en spasmes chauds dans le ventre de Tisla. Alors il continue, dans des mouvements très longs, en ressortant presque pour avancer complètement. Il voit Tisla qui s’agite dans tous les sens, qui hurle. Puis il remarque que celle-ci prend quelque chose près d’elle et le porte à sa bouche. Il s’agit d’un os. Un os sculpté, très lisse, long et légèrement arqué, qui a la forme de sa verge en érection. Tisla la porte doucement à sa bouche et la suce. Puis il sent qu’elle met l’os entre ses fesses à elle. Il sent qu’elle l’introduit doucement dans son anus, alors que lui continue ses coups de boutoir. Ce deuxième sexe entre les fesses de Tisla a donné encore plus de plaisir à Dunar, mais il a l’impression que l’anneau l’empêche d’éclater en saccades.


Il continue frénétiquement sa pénétration, alors que la main de Tisla s’agite aussi en elle. Puis elle ressort l’os de son anus dans un son rauque. Et elle le dirige vers les fesses de Dunar qui perd la tête de plaisir. Elle applique la pointe de la verge en os sur l’anus de Dunar et appuie en continu. Dunar pousse un râle entre le plaisir et la douleur. Il ressent quelque chose d’inouï. Il agite le bassin dans tous les sens pour pénétrer Tisla au plus profond mais aussi pour ressentir cet autre sexe en lui. Il fait des mouvements de plus en plus imprécis, de plus en plus intenses pour finalement éclater en râle puissant, en répandant toute sa semence dans le ventre de Tisla, de façon interminable.

Tous les deux s’écroulent dans des soupirs démesurés, sans connaissance.




Puis Tisla le réveille soudainement. Elle lui secoue les épaules et lui montre l’horizon, au loin, en mimant des chasseurs.

Dunar a comprit. Les autres membres du clan doivent être en train de revenir. Il se relève et quitte rapidement le camp, en passant par la rivière. Il a mal par tout et à des difficultés à trouver son équilibre entre les branches. Il revient vers les siens. Il sait qu’il ne reverra probablement pas Tisla. Il n’a même pas retrouvé son pagne de peau. Mais il gardé l’anneau en os, à la base de son sexe encore à peine dégonflé.