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Temps de lecture estimé : 9 mn
06/02/05
Résumé:  Laurence est une jeune universitaire timide et discrète. Pourtant, lors d'une soirée étudiante, c'est une toute autre femme qui voit le jour.
Critères:  fh jeunes copains gymnastiqu danser fête douche amour strip lingerie odeurs intermast fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio init
Auteur : Oscelot      
Laurence cachait bien son jeu



Laurence et moi, c’est une longue histoire, une relation un peu bizarre. Nous nous sommes rencontrés sur les bancs de l’université. Au cours de ces années, tout aussi studieuses qu’emplies de légèreté, nous partagions régulièrement quelques moments agréables, sans jamais aller au delà d’une danse, d’un échange de bons mots, d’une sortie au cinéma, au théâtre, … Je pense que nous étions attirés l’un par l’autre, mais que nous étions tout aussi satisfaits de notre complicité. Laurence, une jolie blonde, était également très réservée, presque trop timide. Elle trouvait auprès de moi une oreille, une écoute et surtout quelqu’un qui respectait ses limites. Pour ma part, j’étais plutôt extraverti, démonstratif et très à l’aise au sein de la communauté étudiante. Laurence, elle, se refermait comme une huître dès que le nombre de personnes autour d’elle dépassait le chiffre quatre. Elle avait tendance à s’éclipser ou à se faire si discrète que personne ne la remarquait. D’ailleurs à part moi et quelques amies d’enfance, je pense que son univers relationnel était fort restreint. C’était d’autant plus paradoxal que dès qu’elle se sentait en confiance, elle dévoilait une personnalité attachante. Elle était intelligente, de compagnie très agréable, et, ce qui ne gâche rien, pleine d’humour. Notre connivence ne s’étalait pas au grand jour et sa discrétion était telle que même mes copains ne parvenaient jamais à se remémorer son prénom. Notre sage relation cheminait au gré des réussites, des sorties, des soirées, sans la moindre vague, mais aussi sans dépasser le cadre de l’amitié.


Pourtant, tout cela allait rapidement changé, à ma grande surprise d’ailleurs.


C’est lors d’un stage résidentiel organisé dans un complexe sportif que tout a basculé. La semaine s’était déroulée, sans accroc, l’ambiance au sein du petit groupe que nous formions était agréable. La timidité de Laurence s’était atténuée, mais elle gardait toujours une forte propension à la discrétion. C’était le dernier jour et pour fêter l’événement (les étudiants ont toujours une bonne raison de fêter qoui que ce soit), une petite soirée dansante réunissait l’ensemble des participants. L’alcool coulait à flot, mais Laurence et moi n’étions pas particulièrement preneurs des effets ressentis par l’absorption de ces breuvages. Amusés, nous constations la perte successive de self control, le recul des inhibitions et la chute des dernières barrières de pudeur de nos camarades.


« Regardes comme les couples se forment, comme les masques tombent » me dit Laurence.

« C’est une évidence, pour beaucoup d’entre nous l’alcool est libératoire. Les repères s’estompent, le sentiment de puissance, d’invulnérabilité augmente, et l’insouciance prend le dessus ».

« N’empêche, jamais je n’aurais imaginé qu’on puisse passer aussi vite d’une danse aux baisers et aux caresses, devant tout le monde ».


En effet, les slows s’enchaînaient et certains couples s’en donnaient à cœur joie dans l’art du pelotage et de l’exploration mutuelle des corps.


Je lui pris la main « Tu ne trouves pas que l’on n’est pas tout a fait dans l’ambiance ».


« Si, mais moi je n’ai pas besoin d’alcool pour me laisser aller, viens danser ».


Il s’agissait plus d’un jeu qui nous amusait l’un et l’autre, mais je pense aussi que Laurence voulait se prouver quelque chose, qu’elle, si prude, voulait se dépasser. Elle prit tout d’abord un soin infini à me chuchoter quelques remarques dans le creux de l’oreille, puis ses lèvres sont descendues sur ma joue pour y déposer un baiser, puis un deuxième. Enhardie, Laurence jeta son finalement dévolu sur mes lèvres et m’entraîna dans un fougueux baiser auquel je répondais.


« Il y a trop longtemps que j’en avais envie » me dit-elle.

« Après toutes ces années de complicité, c’est un chouette cadeau que tu m’offres, même si je ne m’y attendais pas ».

« Profites-en de ce cadeau, embrasses-moi encore ».


A l’image des autres danseurs, nos mains ne servaient pas uniquement à guider notre partenaire. Au fil des explorations, j’avais perçu que, sous le fin tissu de son chemisier, ses petits seins fermes appréciaient mes attentions répétées. Sa jupe, toute stricte, recouvrait sans doute un joli trésor car j’avais cru deviner un string lors d’une prise en main plus appuyée. Laurence s’attardait souvent sur mes fesses, elle semblait adorer passer de l’une à l’autre. Plutôt sage, elle ne les quittait que pour remettre nos cheveux en place après l’un ou l’autre baiser. Autour de nous, quelques audacieux désertaient la salle discrètement, pressés, sans doute, d’aller approfondir cette petite leçon d’anatomie.


Les caresses commençaient à susciter leurs petits effets, sans cesse plus précises, plus douces, plus sensuelles, elles titillaient nos envies.


Laurence me prit de cours « Une petite douche nous fera le plus grand bien » et elle m’entraîna vers la salle de gym.


« Tu veux refroidir nos ardeurs ».

« Tu te trompes, je n’ai qu’une envie, celle de les attiser, et pour cela je compte bien t’épater ».

« Laurence, tu es bien délurée ce soir ».

« Je crois que c’est aujourd’hui ou jamais. À la vue des autres, j’ai ressenti de la gêne, mais aussi beaucoup d’excitation, alors j’ai senti que j’étais prête, que moi aussi je pouvais franchir un cap ».

« De quel cap parles-tu, tu n’est quand même pas … ».

« Mais non, il y a longtemps que j’ai abandonné ma virginité. Ce que je veux dire, c’est que jamais je n’ai pris les devants, jamais je n’ai ressenti une telle envie, un tel désir, en fait je crois que jamais je n’ai été attirée par un homme comme ce soir ».

« Je te découvres une personnalité que je n’imaginais pas ».

« Et encore, je crois que tu n’es pas au bout de tes surprises ».


Sur le chemin menant au gymnase, nous avions croisé quelques couples qui s’embrassaient plus que de raison, quelques seins apparaissaient et les caresses s’orientaient définitivement sous la ceinture. Mais au bout de notre parcours, le silence, la salle de gym, les vestiaires, les douches baignaient dans une semi-obscurité et dans le calme le plus parfait. Nous étions seuls dans ce banal vestiaire qui, en quelques minutes, allait devenir un lieu magique.


Laurence semblait au comble de l’excitation « Embrasses-moi, dévores-moi, j’en ai besoin ».


Patiemment je couvrais son visage de baisers tout en entreprenant un lent déshabillage, son chemisier ne résista pas longtemps. Je dévorais des yeux deux jolis petits seins enserrés dans un soutien-gorge floral de couleur bleue. Délicatement, mes mains découvrirent les petites poires et j’y déposais mes lèvres. Sous mes baisers, le corps de Laurence se contorsionnait et ses bras me plaquaient contre sa poitrine. Elle relâcha subitement l’étreinte pour s’éloigner de quelques pas. « Regardes bien, je m’offre en spectacle, rien que pour le plaisir de tes yeux ».


Elle entama alors un strip-tease, digne des plus grands cabarets du genre, il ne manquait que la musique. Sous la lumière tamisée diffusée par l’indicateur de sortie de secours, la mutine savait y faire. Avec un brin de provocation, de coquinerie, toujours attentive à mon regard, elle s’effeuillait en se déhanchant sensuellement. Je découvrais, au rythme des vêtements qui se retrouvaient sur le sol, un corps de femme particulièrement bien proportionné. Sous son string (mon intuition se trouvait confirmée), un petit duvet blond, bien taillé, surplombait ses lèvres. En se retournant, elle offrait à ma vue une belle paire de fesses.


« Laisses-moi de déshabiller, j’ai envie de voir si je te fais de l’effet ».

« Rassures-toi, mon boxer est déjà trop petit ! ».

« Vérifions cela immédiatement ».


Laurence allait beaucoup plus vite pour m’effeuiller que lors de son numéro éblouissant. En quelques secondes, je me retrouvais nu comme un ver.


« Je vois que tu n’es pas resté insensible, tu me sembles même très excité ».

« On ne peut rien te cacher, je crois que tu m’as allumé comme jamais, vraiment, tu es très douée ».

« C’est le privilège des jeunes filles sages, elles surprennent bien plus ».

« On dirait que tu as des talents cachés ».

« Je m’entraînais depuis quelques mois, seule dans ma chambre, mais avec de la musique. Je ne sais pas pourquoi, ça m’a pris comme ça, un soir, j’avais l’impression d’offrir mon corps aux regards de tous, alors que j’étais la seule à le voir ».

« On est bien loin des jeunes filles modèles, tu es une belle coquine, et, en plus, tu es vraiment au point ».

« C’est une question d’entraînement ! Mais arrêtes tes compliments, je vais rougir, et en plus j’ai envie de toi ».


Nos bouches se sont trouvées rapidement, nos langues mêlées entamaient un délicieux ballet qu’accompagnaient nos mains lancées dans de douces caresses. L’excitation remontait de plus belle. Quittant ses lèvres, j’entrepris de couvrir son corps de baisers. Je la couchais sur un grand banc de bois pour entamer mon périple. Du cou en passant par les seins et les cuisses, ma langue s’attardait sur certaines partie de son corps. Très vite, l’odeur de son sexe, l’humidité de sa chatte envahissait mes narines. Très lentement, je partais en reconnaissance de ce petit trésor. J’embrassait tendrement les petites et les grandes lèvres et sous mes coups répétés, sa fente s’écartait pour me permettre d’atteindre sa féminité. C’était doux, chaud, ruisselant, mes lèvres découvraient enfin son clitoris. À cet instant, mon menton était particulièrement humide, Laurence gémissait, m’encourageait, m’invitait à ralentir, à accélérer. Mais je ne tenais plus compte de ses remarques, ma langue fouillait son intimité, s’y promenait avec le plus grand des bonheurs. Le corps de Laurence était parcouru par de petites vibrations, le plaisir semblait la submerger, elle respirait de plus en plus vite, elle retenait difficilement un cri avant d’exploser. Elle enserrait alors ma tête entre ses cuisses, comme si elle voulait que je dévore sa vulve. Lentement, elle finit par desserrer son étreinte.


« Et bien, mon cochon, tu es très habile de tes lèvres »

« Tu y es pour beaucoup, la vue de cette petite chatte, de ces lèvres si douces, si roses, ton odeur, ton excitation, ça m’inspire »

« Et cela ne te laisse pas de marbre, tu es toujours au garde à vous ! Viens ici que je m’occupe de ce bel objet, trop tendu»


Laurence commença par de petits baisers sur mes cuisses, mon ventre, se rapprochant malicieusement de mon sexe. Elle engloutit ma bite d’un habile mouvement et s’acharnait à la pomper. Ensuite, tenant mes couilles d’une main, caressant ma hampe de l’autre, elle léchait mon gland. Elle reprit alors ses rapides mouvements, faisant entrer et ressortir mon sexe de sa bouche, m’amenant plusieurs fois au bord du plaisir. Ce traitement de faveur, cette langue humide et chaude, l’excitation était trop forte, je me laissais aller. Elle ne voulait rien perdre de ma semence et elle garda mon sexe en bouche pendant plusieurs minutes.


« Je t’avais dit qu’une petite douche nous ferait du bien ».

« Effectivement, ça va nous requinquer ».


Sous les jets de la douche, nos corps retrouvaient rapidement leur vigueur, l’idée de se savonner mutuellement tourna très vite aux caresses intimes, les doigts, les mains fouillaient allègrement les sexes, les seins.


« Prends moi par derrière, j’ai envie de sentir tes couilles s’écraser contre mes fesses ».

« Tu es inspirée ce soir ».

« Je sais, mais c’est tellement agréable que j’ai peur de passer à côté d’un grand moment ».


Elle prit appui sur le mur, me tendit sa croupe en écartant outrageusement les jambes. Même si la position n’était pas des plus confortable, je m’introduis sans trop de difficultés dans son intimité. Celle-ci était encore toute moite et toujours aussi accueillante. Mes mouvements de va-et-vient pilonnaient son sexe, mes testicules rebondissant sur son cul. Laurence ne restait pas inactive, poussant magistralement ses fesses vers l’arrière afin de profiter pleinement de ma bite. J’avais encore envie d’elle et je ne voulais pas jouir tout de suite. Je la couchais sur le carrelage des douches, sur le dos. Dévorant de nouveau son sexe, elle happa littéralement mon gland et soumis mon anus aux délices de ses caresses buccales. Je repris mes esprits et je l’emmenais de nouveau vers le vestiaire. Je la couchais à l’extrémité du banc et m’introduis rapidement en elle. Nos mouvements saccadés nous procuraient bien des sensations. Laurence était proche de l’orgasme mais souhaitait y parvenir autrement. Je m’assis sur le banc et elle me chevaucha rageusement. Son sexe, tel un fourreau, montait et descendait autour de ma queue. Elle augmenta le rythme et sa manœuvre réussit pleinement. Elle parvenait à l’orgasme en sentant mon sperme s’écouler en longs jets dans sa chatte. Repus, nous sommes restés collés l’un à l’autre pendant de longues minutes.


« Quelle aventure, jamais je n’aurais cru cela de toi, tu es si entreprenante ».

« Ne te biles pas, il y longtemps que je t’apprécies et je te connais bien, j’ai simplement voulu que notre relation débouche sur autre chose ».

« En tout cas, c’est réussi, j’ai passé une soirée de folie ».

« Maintenant, que nous nous sommes découverts, on va pouvoir en profiter pleinement ».


L’avenir se dessinait sous les meilleurs auspices. Cette soirée avait été révélatrice de nos sentiments, si bien cachés. Laurence m’avait prouvé qu’elle avait d’énormes capacités et un potentiel que je n’avais fait que découvrir. Nous n’avions qu’une envie, recommencer.


Une nouvelle douche s’avérait nécessaire !


Oscelot