n° 08610 | Fiche technique | 6639 caractères | 6639Temps de lecture estimé : 4 mn | 07/02/05 |
Résumé: Un train, des pensées... Elle est dans le train, et ne cesse de réflechir. | ||||
Critères: fh train fdomine hdomine facial fellation cunnilingu 69 pénétratio yeuxbandés ecriv_f | ||||
Auteur : Lety (Jeune étudiante attirée par les histoires érotiques.) |
Le 9 février. Le train, l’attente. Elle, assise sur une banquette, se laissant guider par ses envies. Elle ferme les yeux et s’assoupit.
Son regard à lui. Son sourire. Il la fixe et l’entraîne en lui prenant la main. Où vont-ils ?
Ses yeux se rouvrent. Elle sourit bêtement à la vieille octogénaire qui ne cesse de la regarder depuis le début du voyage. Miss Elle finit par feuilleter son magazine « 20 ans » et s’assoupit de nouveau.
Hôtel. Début d’après midi. La porte se referme sur eux. Leurs langues se rencontrent. Il l’appuie contre la porte, fait glisser ses mains sur le corps qu’il a désiré et qu’il désire encore plus aujourd’hui
Qu’il est fatiguant de voyager en train. Elle ne sait que faire pour se tenir éveillée. Ecouter de la musique, lire, écrire, réviser ses cours ? Elle décide d’examiner le paysage qui défile devant ses yeux.
Quelle frénésie ! Quelle effervescence ! Les caresses se font de plus en plus précises, les soupirs deviennent perceptibles. Elle se glisse devant lui, prends ses mains qu’elle dispose négligemment sur ses seins, et commence à se déhancher langoureusement au rythme qu’elle gère. C’est elle qui décide !
Mamie a l’air de s’ennuyer. Certes ! Elle n’est pas la seule. Pourquoi Miss est-elle dans ce train ? N’est-ce pas une mauvaise idée ? Elle est perdue dans ses réflexions lorsque son téléphone se met à vibrer. Sa voix, son rire.
Elle s’allonge sur le lit et le laisse faire. Entre baisers, caresses et coups de langue, elle décide de reprendre la situation en main.
Communication coupée.
Le wagon est en plein courant d’air, elle frissonne. Elle réajuste son foulard.
Elle lui ajuste son foulard sur les yeux, lui enlève ses vêtements. Elle cajole son corps et déguste sa peau. Elle s’amuse beaucoup à jouer avec lui, à le mouiller de sa salive et le surprenant par les endroits qu’elle savoure. Il semblerait qu’elle évite de toucher son sexe tendu.
Elle a encore du temps devant elle. Elle se décide donc à relire la nouvelle érotique « Paris Bruxelles ». Mamie semble indisposée face à la première de couverture. Elle se déplace vers l’arrière du wagon.
Lui toujours soumis avec son foulard, elle se retourne et se place sur lui. Ses cuisses enserrent sa tête, et sa tete à elle plonge entre ses cuisses à lui. Enfin, elle s’occupe entièrement de Lui. Il l’a compris et semble la remercier d’un hochement. Leur langue respective se découvre entièrement. Elle se sent fouillée, examinée, redevenir femme grâce à sa langue, alors elle le lèche, elle le suce, elle le pompe, elle le titille, elle le fait aller et venir avec douceur puis avec envie. Il la sent frémir sous sa langue, sous ses dents qui s’amusent à la mordiller. Elle n’en peut plus.
Elle se lève, le voyage commence à être long pour elle. Envie pressante, elle se rend aux WC. Bonne mamie semble s’être assoupie, elle sourit bêtement.
« Je veux que tu me baises » dit-elle alors. Elle s’allonge sur le dos, lui retire son foulard et le guide dans sa chatte trempée. La plénitude, le bien-être, enfin il la remplit, enfin il la prend, enfin elle l’a pour elle seule. Ses mouvements sont profonds mais cette position ne l’intéresse déjà plus. D’un mouvement de reins, elle s’échappe, l’allonge sur le lit et se laisse guider par ses envies. Elle s’empale sur son sexe, de haut en bas, de bas en haut. Souvent femme varie, ses mouvements aussi, elle tourne, va-et-vient. Elle rit. C’est toujours comme ça quand elle prend du plaisir. Elle s’arrête soudainement.
Le train s’arrête, tout le monde est interloqué. Mamie a rouvert les yeux et s’interroge.
Miss Elle reprend son portable.
Le train est de nouveau en marche et la communication est coupée.
Elle s’allonge sur le ventre et soupire.
Il la prend alors, comme ça, en levrette.
Ses coups de reins ressemblent à des coups de butoir.
Elle est pivoine, elle gémit de plus en plus fort alors que d’elle-même, elle se met à quatre pattes. Il la prend avec force, il la sent venir, elle jouit tellement fort qu’elle s’oblige à mettre sa tête dans l’oreiller pour étouffer ses plaintes. Leur jouissance monte crescendo. Alors il s’arrête, et réclame son dû. Il veut être sucé jusqu’à l’extase et elle le fait. Ses pupilles sont dilatées, elle ne semble plus maîtresse de sa bouche, elle l’avale complètement. Et son visage à lui, crispé par la jouissance, par l’orgasme, est son plus beau cadeau, c’est pour cela qu’elle l’avale entièrement. Tout son sperme est à elle désormais et gît sur sa langue et autour de sa bouche. Elle s’en lèche les lèvres.
Arrivée à Paris, miss Elle retrouve son futur amant. Son regard à lui. Son sourire. Il la fixe et l’entraîne en lui prenant la main. Où vont-ils ?
Tandis que mamie encore sous le choc de ses souvenirs s’essuie la bouche en repensant à Lui.