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n° 08611Fiche technique9052 caractères9052
Temps de lecture estimé : 6 mn
07/02/05
Résumé:  Au cours d'un autre chaud rendez-vous, un de ses collègues nous rejoint...
Critères:  fh fhh collègues fépilée travail fsoumise hdomine fellation cunnilingu préservati pénétratio double sandwich fdanus fsodo ecriv_f
Auteur : Lolo      Envoi mini-message

Série : Mon avocat

Chapitre 02
Deuxième visite chez l'avocat

Aujourd’hui l’hôtesse d’accueil me conduit jusqu’au petit corridor qui mène à son bureau.


C’est en angle droit, je ne le vois qu’à la dernière minute quand je pénètre enfin dans la pièce, mais dès le corridor, je sens l’odeur persistante de son parfum. Il est fort, tenace, sexy… comme lui, comme son membre dont je rêve depuis notre dernière rencontre.


Je me demande comment celle-ci va se dérouler. La dernière fois, était-ce un accident ? Va-t-on déraper à nouveau ?


Je ne gamberge pas longtemps. Je passe le seuil. Il se lève, fait le tour de son bureau et vient m’accueillir. Au lieu de la franche poignée de main comme l’autre fois au début de la visite, c’est une franche main au cul qui m’accueille.


J’ai un pantalon moulant, taille basse. Il joue un instant avec mes fesses, devine la ficelle du string, remonte vers les hanches pour s’en assurer. Sa main se pose ensuite sur mon pubis. Il me caresse à travers le tissu mais très vite sa main s’infiltre et va à la rencontre de ma chatte toute fraîchement épilée. Ça y est, je suis trempée. Et on n’a pas encore échangé une parole…


A mon tour, je caresse son entrejambe à travers le pantalon. Je sens que sa bite est déjà dure et dressée.


Re-mouille. J’ai envie de lui. Il le sent.


Ses doigts, toujours dans ma culotte, viennent d’être baptisés. Il me susurre à l’oreille « vous réglez mes honoraires en liquide ? » Je ne peux répondre que par un petit couinement car ses doigts ont commencé à titiller mon clitoris.


Il s’agenouille, défait les boutons de mon jean, descend le string à mi-mollet et m’embrasse le sexe. Je m’effondre contre le mur derrière moi. Je halète de plaisir contenu. Je me débarrasse d’une chaussure, du pantalon et du string d’un côté pour pouvoir mieux écarter les jambes. Je suis en bas autofixants.


Je pose mon pied sur son épaule et là il se déchaîne, sa langue me rend folle… Ce n’est pas un avocat pour rien, il sait manier sa langue. Elle sait trouver les petits coins, se faufiler entre les lèvres. Je grimpe au plafond tandis qu’il me butine. Je suis toute ouverte, du jus coule et se mêle à sa salive. J’ai du mal à m’empêcher de crier… Je miaule, mon pied toujours sur son épaule. Ses mains me malaxent les fesses.


Il se relève et me retourne sans ménagement contre le mur qui m’accueillait déjà de dos. Me voilà face au mur, croupe offerte. Je me cambre pour lui faciliter la tâche et lui offrir pleine vue sur mon cul et ma chatte béante.


Il écarte mes fesses et reviens me lécher un peu au niveau du périnée. Son doigt se mouille à ma fontaine et vient m’humidifier le trou de balle qui après quelques secondes, se détend et s’entrouvre à son tour.


Je suis dans un tel état d’excitation que je me surprends à chuchoter des insanités. « Oui, vas y. J’ai envie que tu enfonces ta grosse bite dans mon cul. Viens me bourrer la chatte. Viens me remplir avec ta grosse queue. » Ma vulgarité l’excite aussi. Il sort sa verge de son fourreau. Je la sens contre moi. Si ferme, si décidée… Je me penche, je viens à sa rencontre.


Il enfile un préservatif qu’il a sorti de sa poche. Pendant ces quelques secondes mon excitation retombe un peu. C’est alors qu’il s’enfonce en moi sans crier gare, jusqu’à la garde. Il a posé ses doigts sur ma bouche pour étouffer mon cri qu’il a senti venir, ses doigts sentent ma chatte et sont tout mouillés.


Mais moi je n’ai encore rien vu. Il me besogne pendant quelques minutes, tantôt lentement, tantôt vite. J’ondule, j’accompagne ses poussées, je gémis sous ses assauts. J’adore ! Je sens la jouissance monter.


Ses deux mains sont toujours actives, il me caresse le clitoris, le cul, les seins. Je suis en chaleur, ses caresses me brûlent presque. Je suis une zone érogène à moi toute seule, entière.


Mais mon sang se glace quand j’entends sa voix.



Je me raidis. Il le sent.



Il enfile son doigt dans mon cul, y rentre comme dans du beurre. Son mouvement de va et viens me fait du bien. J’ai des petits frissons d’excitation…


Alors il tente un deuxième doigt, puis un troisième. Quand il fait mine de les retirer, mon cul va à leur rencontre. Il me dit « tu vois que tu es une chaude du cul aussi ! » Il sort ses doigts et pose le bout de sa queue contre le trou de mon cul : il frotte doucement et petit à petit le passage se fait, en douceur. Pas de doute, il sait y faire…


Et voilà sa queue qui est engloutie par mon cul pour une belle sodomie… Il est très excité. Je sens sa verge gonflée, il ne tiendra pas longtemps. En effet, il me chuchote « ça vient, je vais te repeindre le cul, ma belle. »


Ce qui fut dit fut fait. Il décharge. Au bout de quelques instants il se retire. Il ôte la capote, et me demande de lui lécher la bite pour bien la nettoyer. Je me baisse et m’exécute. Je n’ai pas eu le temps de me rhabiller. Je suis à 4 pattes par terre, dos à la porte, le cul luisant à l’air. J’ai son sexe en bouche, encore vigoureux, je le lape.


Mais mes poils se hérissent quand j’entends la porte du couloir grincer. Il m’attrape les cheveux et me dis : « continue ! » Je me fais humble et soumise et la perversité de la situation me séduit.


Les pas se rapprochent et s’immobilisent. « Ma cliente vient de régler une partie de ses honoraires » dit-il au visiteur, qui est peut-être une visiteuse ? J’ai le nez dans son pubis et je ne vois rien. Je veux m’arrêter, mais encore il m’ordonne « continue ! » Et à l’intention de l’autre : « sers-toi, je crois que tu m’as donné un coup de main sur ce dossier. Tu peux prendre ta part. »


Je sens des mains froides, inconnues qui se posent sur mes fesses. L’inconnu n’a toujours pas prononcé une parole qui me permette d’identifier son genre ou son âge. Les doigts qui me rentrent dans la chatte sont épais, mais ça ne veut rien dire. Je ne peux retenir un gémissement.


Et mon avocat rebande doucement dans ma bouche. Il fouille dans sa poche et lui tend une capote emballée. J’en déduis que les mains qui me pelotent le cul sont masculines.


Le temps d’enfiler la capote et je sens une petite queue, courte mais épaisse, comme les doigts qui pénetrent ma chatte encore humide. J’ai une bite dans la bouche une autre dans la chatte. Quand je pense que je suis venue négocier mon divorce suite à l’adultère de mon mari !


Mon avocat a repris du poil de la bête, tandis que son acolyte me besogne en répétant « Quelle salope ! Quelle salope ! » Il me tend une nouvelle capote et me dit « habille-moi ! »


Je la lui enfile maladroitement car les coups de boutoir de son congénère me déconcentrent. Je sens la jouissance monter.


L’avocat s’assied sur le tapis élimé où je suis déjà à quatre pattes depuis un moment. Il demande à son copain de me laisser et m’ordonne de venir m’empaler sur lui tandis qu’il s’allonge. Je m’assois face à lui et il m’enfile.


Je le chevauche avec ardeur. Que voulez-vous, il me plait… Je suis une salope, une chaude du cul, mais ce mec là il me plait vraiment avec sa gueule d’amour, ses beaux yeux et sa grosse queue.


Je mouille à nouveau, il me titille le clitoris. Au bout de quelques secondes, j’explose dans un cri que tout l’immeuble a dû entendre.


Son copain est frustré. Il arrive par derrière, me plie le torse vers l’avant, m’écarte les fesses et essaye de m’enfiler. Je n’ai pas envie de lui, surtout pas dans le cul, mais mon avocat me tire vers lui pour faciliter la manœuvre de son copain. Mon regard plonge dans le sien et je fonds, tandis que l’autre m’enfonce !


Une queue dans la chatte, l’autre dans le cul, je les sens qui gigotent. Je perds la tête, je suis au summum de la perversion et ça m’excite à fond. Je déverse des flots de mouille. Il me pince le clitoris. En cinq minutes, je jouis à nouveau suivi de près par l’éjaculation synchrone des deux experts du barreau…


Je sors du bureau dix minutes plus tard, la démarche hésitante, cul nu dans mon jean, ils ont voulu garder le string en souvenir. Je n’ai pas vu la tête du deuxième, il s’est sauvé avant que je ne me retourne. Mais c’est mon avocat aux yeux bleus qui me plait. Qu’il m’encule, qu’il me baise ou qu’il me lèche…


Pourvu que la procédure de divorce traîne en longueur…