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n° 08615Fiche technique26006 caractères26006
Temps de lecture estimé : 15 mn
07/02/05
corrigé 30/05/21
Résumé:  Un jeune homme découvre les charmes de sa tante lors d'un réveillon de Noël.
Critères:  h fh fplusag oncletante grosseins fête voir hmast intermast facial fellation pénétratio fsodo init
Auteur : Laurent Lorrain  (Bonjour à tous!)      
Les seins de Tante Karine




A Noël, toute la famille se réunissait à la maison de mes parents pour la soirée. J’avais dix-huit ans et, comme tout bon adolescent, je me masturbais deux à trois fois par jour. Mes attouchements étaient dédiés aux filles de revues, à ma voisine… mais ce 24 décembre je les dédiais tous à ma tante Karine.


Je me souviens parfaitement. Aux environs de midi, j’étais dans ma chambre, jouant aux jeux vidéo. Déjà, je souffrais de penser que j’aurai à passer Noël avec mes proches. Mes cousins ,qui ont mon âge, ne venaient pas cette année ; ils allaient chez leur père. Mais leur mère venait avec sa fille de 8 ans et sa sœur, agée de 20 ans, la tante Karine.



Et je descendais de mauvaise humeur au salon. En premier, je vis ma vieille tante qui me salua avec un baiser qui me fit presque frissonner l’échine, une de ses habitudes dégoûtantes. Puis ce fut ma cousine Marie qui me salua avec un ’bonjour’ timide et s’en alla en courant.


Enfin je vis Karine…. Waouh… Je ne l’avais pas vu depuis quelques années. Comme elle était splendide ! Ma tante était une bombe de sexe, brune aux yeux bleus, des lèvres épaisses, de celles créées pour une bonne pipe. Elle est grande, avec un corps ferme, un cul à tomber par terre, rond, grand et dur. Ce jour là, elle portait un débardeur blanc qui laissait entrevoir sa taille fine. Et le mieux, ses seins étaient énormes. Je ne me souvenais pas qu’ils étaient si gros, ils paraissaient bondir hors de ses vêtements.



Comme je suis plus petit qu’elle, elle s’inclina me dévoilant ainsi son décolleté. Je suis aussitôt retourné dans ma chambre, la verge en érection, et sans y penser deux fois, je me suis masturbé, finissant abondamment en moins d’une minute.


Ainsi apaisé, je descendis manger avec la famille. Le soir, d’autres oncles ainsi que mes grands-parents arrivèrent. Ma jeune cousine était tranquille et ne me dérangeait pas. Quant à Tante Karine, je n’arrêtais pas de la reluquer. Mais elle me regardait souvent, et mon sourire de circonstance ne pouvait dissimuler le fait que je commençais à rougir.

A table, ils discutèrent de tout et de rien. J’appris que Tante Karine avait rompu trois mois plus tôt. Cette relation avait duré trois ans. Cette année, et pour la première fois depuis bien longtemps, elle avait préféré venir ici en famille au lieu de sortir avec ses amies.

Je n’avais pas le courage d’être à côté de ma tante et je l’esquivais ainsi toute la soirée. Pire, je l’espionnais depuis la fenêtre ou l’escalier. Elle était sortie avec mes parents dans le parc situé derrière la maison. Caché derrière la fenêtre, je la regardais pendant que je soulevais ma verge dans mon pantalon. Ses seins me rendaient fous. Je me rendis compte qu’ils ne laissaient pas non plus mon père indifférent. Il n’arrêtait pas de les regarder.


De ma chambre, j’entendis mon vieux commençer à faire l’abruti, comme chaque nuit de Noël. Afin de rompre mon ennui, je descendis . Je ne pus éviter Tante Karine qui vint me parler.



Je m’accoutumais d’être aux côtés d’une femme aussi magnifique. Elle me demanda comment allait l’école, comment étaient mes amis… Je la questionnais sur son petit ami et elle me dit :



Je n’osais lui avouer que je n’avais même pas encore embrassé une fille. Tante Karine rit et nous continuâmes à parler de films, de télé. Ce fut un moment très agréable… Elle me donnait des conseils, me dit de ne pas passer autant de temps avec ma famille et mes amis…


Il était presque minuit. Je m’étais changé avec mes meilleurs habits, un jean bleu et une chemise noire. Ma cousine portait un ensemble rouge. Puis arriva tante Karine… Mon dieu…Je suis resté bouche bée à la contempler. Elle avait attaché ses longs cheveux bruns. Elle portait des bottes de cuir noir à talons. Sa jupe marron laissait voir toutes ses jambes quand elle marchait. Elles me semblaient interminables. Mon père et moi profitions de la vue. Mai l’apogée était la chemise blanche ajustée au corps qui faisait ressortir incroyablement ses seins. De plus, les quelques boutons ouverts en hauts laissaient voir un grand sillon qui me laissait bêta à le regarder



Les autres me saluèrent à leur tour. Nous trinquions avec du champagne. Nous tirâmes des feux d’artifice et nous restâmes tous dehors dans le parc, fêtant et mangeant comme il se doit.



Nous en bûmes quatre ensemble et elle commençait à rire bêtement. Vers deux heures du matin, mes oncles s’éloignèrent. Je me souviens du sourire de Karine à ce moment là. Je bus aussi du vin et de la liqueur… chose qui m’a rendu à moitié saoul. Je riais de n’importe quoi.

Il devait être trois heures du matin lorsque mes parents et mes oncles allèrent prendre un café à la cuisine. Tante Karine me dit alors :



Elle me donna un baiser sur la joue, près de mes lèvres et s’en alla en titubant. Mes parents et mes oncles partirent dormir un moment et je restais seul.


Prenant une bouteille de champagne à moitié remplie, je partis regarder la télé au salon. Je me suis assis sur un fauteuil pendant je buvais dans une coupe. Rien à la télé : films de Jésus, de papa Noël et fêtes dans d’autres pays.



Je la sentis derrière mon dos. C’était tante Karine. Elle s’assit à mes côtés pendant que je la servais prestement de champagne.



Elle but d’un trait sa coupe. Il faisait noir mais je pouvais observer son nez rosé d’ébriété. Moi aussi j’étais moitié fait. Tante Karine s’allongea contre une de mes épaules sur le sofa. Je me sentais très bien jusqu’au moment où, à la sentir si proche, sa chaleur, son arôme, son décolleté me firent perdre tout contrôle et ma verge commença à palpiter sous mon jean.



Sa tête était sur mon ventre et je me dis au fond de moi qu’elle allait se rendre compte de mon état. Ma verge n’arrêtait pas de croître.


Pendant que nous regardions la télé, tante Karine me demandait des choses sans aucun sens, si je faisais du sport, si j’appréciais les films d’horreur. Pendant qu’elle parlait, elle jouait avec ses doigts, faisant des cercles sur ma jambe. Ma verge était à son azimut et réclamait sa liberté



J’essayais tant bien que mal de regarder son décolleté était grand ouvert et je ne désirais pas qu’elle me surprenne à contempler sa poitrine proéminente. Mais mes yeux me trahirent.



Puis elle me regarda et dit :



Je ris bêtement.



Puis, lentement, elle me prit le visage entre ses mains, ce qui me fit trembler d’émotion.



Je fermai les yeux et nos lèvres se touchèrent. Je me sentis au septième ciel, elle m’embrassait d’une manière sensuelle. Nos bouches s’ouvrirent et elle introduisit sa langue au fond de ma bouche. Je ne savais pas quoi faire, alors je fis de même et ce fût merveilleux. Ma verge allait éclater. Tante Karine m’embrassait chaque fois de plus en plus passionnément. Je ne savais pas où placer mes mains. Instinctivement, elles se posèrent sur sa taille puis remontèrent sur sa poitrine, que je malaxais un peu. Immédiatement, Karine nous sépara.



Elle commença à se déboutonner. Chaque bouton était comme une bout d’éternité pour moi. Bientôt, il n’en restait plus que quatre à enlever. Mais d’un seul coup, elle fit jaillir ses seins. Je restais bouche bée sans pouvoir le croire. J’avais devant moi deux globes, les deux seins les plus merveilleux que je pouvais imaginer.



Ma verge pouvait éclater à tout moment. Tante Karine regarda sur les côtés et dans un murmure me dit :



Sans hésiter, j’approchais mes mains et prit un sein dans chaque main.



Ils étaient si gros. Je les comprimais, les massais. Je commencais même à jouer avec les tétons qui étaient durs comme des épines



Elle semblait apprécier que je lui titille les mamelons doucement.



Elle respirait à chaque fois plus fort. Je commençais à approcher ma bouche. Il fallait que je goûte à ces seins.



Et j’enfouis ma tête entre ses seins. Je les léchais, suçais les mamelons. Ma langue parcourait toute cette chair.



Mais elle coinçait ma tête encore plus profondément entre ses seins. Je ne pouvais pas arrêter de les sucer, je passais d’un téton à l’autre et les massais à chaque fois. Tante Karine commençait à gémir et continuait à susurrer, me demandant d’arrêter. Elle mit ses mains sur mon dos, me le griffant. Je crois qu’elle ne savait pas ce qu’elle faisait ou bien qu’elle n’agissait plus qu’instinctivement parce qu’une main arriva sur mon entrejambe. Et d’un mouvement rapide et expert, ma verge sortit hors de mon pantalon



Je gémis de sentir sa main chaude agrippée à ma hampe. Mais je ne pus m’empêcher de venir, éjaculant dans sa main. Elle n’arrêta pas de la tenir et me branlais jusqu’à l’ultime goutte de sperme, laissant sa main engluée. Je jouissais les yeux fermés. J’avais cessé de lui sucer la poitrine.


Quand j’ouvris enfin les yeux, tante Karine regardait sa main pleine de sperme. Puis elle l’approcha de sa boucha lentement, et en hésitant un peu, commença à la lécher. Je ne pouvais le croire. Ma tante engloutissait ma semence et ma verge recouvrait sa taille optimale. Des bruits de succion obscènes émanait de sa bouche tandis qu’elle suçait ses doigts. Je me masturbais en la regardant. Quand elle eut fini, ma tante me regarda dans les yeux. Puis son regard dévia.



Elle s’inclina alors sur mon sexe, le prit d’une main et sans plus attendre se l’enfonça jusqu’au fond du palais. Je tremblais un peu en sentant ses lèvres autour de mon pénis. Puis elle le sortit de sa bouche lentement. Je n’oublierais jamais l’image de ces lèvres remontant peu à peu le long de ma hampe.



Je gémissais et la laissais faire ce qu’elle voulait. Elle lécha le bout de ma verge, suçait mes couilles et commençait à la pomper d’une manière qui me rendait fou. Elle se mettait mes 18 cm au fond de la gorge, montait et descendait sa tête rapidement. Je frôlais plus d’une fois l’extase. J’avais à ma disposition une déesse de la beauté qui me taillait une pipe et ce n’était rien de moins que ma tante d’une vingtaine d’années. Un instant plus tard, je lui tenais la tête d’une main et l’épaule de l’autre pour ne pas la déranger. Elle me la suçait si vite que je commençais à éjaculer de nouveau.



Mais elle ne retira pas sa bouche et pompa chaque goutte de sperme qui disparut ainsi dans sa gorge. Elle ne perdit rien et me la pompa un peu plus, me la rendant brillante et propre.



Je la regardais. Elle était magnifique, un peu décoiffée, ses seins lourds à l’air libre. Puis elle me fixa et nous éclatâmes de rire.



Ma verge restait ferme, dure et palpitante. Je remarquais qu’elle ne voulait pas la regarder. Mais son regard trouble la trahissait. D’autant plus qu’elle avait entrepris de me masturber.



Elle s’arrêta et retira le string qu’elle portait. Ma tante allait me baiser et je suais nerveusement.



J’étais assis sur le sofa et elle, plaçant ses mains sur mes épaules, accommoda ses jambes autour de ma taille et s’assit. Elle prit ma verge et commençait à la frotter sur son vagin.



Elle se laissa tomber d’un seul coup, plaçant toute ma verge en elle. Je poussais un gémissement et la prit par la taille. La sensation était indescriptible.



Et lentement, elle commença à onduler, levant son cul d’enfer et le descendant plus profondément sur ma pine.



J’enterrais ma tête entre ses globes majestueux les suçant comme elle me le demandait. Tante Karine descendait et montait sur ma verge, profitant de chaque pénétration. Mes mains massaient ses fesses parfaites et rondes, l’aidant dans ses mouvements.



Elle me mordillait le lobe de l’oreille. Je ne pouvais pas parler, j’étais trop occupé avec ses seins dans ma bouche.



Elle terminait sur un incroyable orgasme. Puis, elle continua à me chevaucher. Ce fut à mon tour de la prendre de plus en plus vite.



Et tante Karine descendit d’un coup et s’agenouillant entre mes jambes, prit ma verge mais ne parvint pas à la mettre dans sa bouche que déjà sortirent les gouttes de semence. Elle me nettoya la queue et lava son visage de la main. Je la contemplais respirer fortement. Elle me regarda souriante et dit :



Elle rangea ses seins dans sa chemise et monta rapidement les escaliers jusqu’à la chambre d’amis où dormait ma jeune cousine Marie.


Je me rhabillais et m’en allais dans ma chambre. J’avais le corps brûlant. Je ne savais si ce qui venait de se dérouler était un rêve ou non. Je dus me pincerpour m’assurer de la réalité de ces événements. Je restais seul, en caleçon, éteignis la lumière et me mis au lit. Qu’allait-t-il se passer le lendemain ? Et si tante Karine se fâchait après moi ? Mais le souvenir de ses seins dans ma bouche, de ma verge entrant et sortant d’elle me mit dans une érection terrible. Je décidais cependant de ne pas me masturber, préférant garder mon sperme pour ma tante, si elle le désirait évidemment. Pendant que je regardais le plafond, parce que je ne pouvais pas dormir, la porte s’ouvrit et tante Karine entra.



Il faisait sombre mais je pouvais la voir vêtue seulement d’une chemise et d’un joli string transparent.



Tante Karine ferma la porte et se mit dans le lit. Je n’espérais pas cela.



Elle se couvrit et me tourna le dos. Je ne savais que faire. Elle venait de me dire de tout oublier, mais, malgré cela, elle était dans mon lit.



Sans attendre ma réponse, elle prit mon bras, le plaça sur un de ses seins comme cela pourrait se passer dans un couple d’amoureux.



Elle sentit mon sexe contre ses jambes.



Elle le caressa de sa main. Je ne bougeais pas, craignant de l’importuner. Mais Tante Karine ne l’entendait pas ainsi. Elle plaça son cul et ma verge frôla sa chatte humide.



Elle recula alors son postérieur et enterra mon sexe au fond de sa grotte magique.



Elle recommençait à gémir de plaisir. Je la pris par la taille et commença à la bourrer de toutes mes forces.



Elle gémissait, mordait l’oreiller. Je la possédais comme un diable, maintenant oui, cela ressemblait à un rêve. Je faisais l’amour à ma tante dans mon lit ! Elle me dit entre deux halètements :



Je ne comprenais pas pourquoi, mais sortis tout de même ma pine. Elle se mit à genoux, positionna les oreillers sous elle, laissant ses fesses à l’air.



Ce que je fis ardemment. La verge à la main, je la pointai vers sa chatte.



Je compris immédiatement. Tante Karine voulait se faire sodomiser. Mon dieu, j’allais pénétrer ce cul merveilleux. Je n’en croyais pas mes yeux. Je plaçai ma verge sur son petit trou, et quand j’appuyai, elle me dit :



Je suivis ses instructions, elle s’ouvrit les fesses de ses deux mains. Puis je mis ma main, saliva sur ma verge et appuyai celle-ci dans son anus et poussai.



Je me retins, j’étais super excité et commençais à appuyer, prêt à faire disparaître mon sexe en elle.



Lentement je commençais à l’enculer. Ma verge entrait parfaitement, elle ne me serrait pas trop, tout était parfait. Tante Karine ronronnait comme une chatte. Elle paraissait satisfaite de la sodomie que je lui prodiguais.



Ses gémissements étaient doux. Mes mains cherchèrent ses seins, les empoignèrent pour les masser.



Je mis ma tête contre son dos, profitant du moment présent.



Je la pénétrais toujours plus fort, toujours plus vite. Tante Karine mordait les couvertures pour ne pas crier. Ma verge entrait et sortait inlassablement sans aucune pitié. Je sentais l’orgasme monter, mon corps tremblait de partout. Tante Karine s’accrocha aux couvertures et arqua le dos.



J’éjaculais dans ses entrailles, malaxant ses seins. Tante Karine aussi jouissait, retenant ses cris en serrant les dents. Deux estocades plus tard, je terminais de lui décharger dans le cul, et restais fatigué sur elle. Tante Karine aussi respirait fortement avec les cheveux sur la figure, toute dégoulinante. Ainsi, nous nous sommes endormis, moi sur elle, avec mon sexe à l’intérieur.


Le lendemain matin, je me suis réveillé seul au lit, nu. En descendant déjeuner, Tante Karine me salua joyeusement d’un baiser sur la joue et me regarda en souriant. Elle remit ses cheveux en arrière et me dit à l’oreille :




Voilà ! Mon deuxième récit s’achève. Il est long mais j’espère qu’il vous a plu et qu’il est meilleur que le premier, « Veuve Amoureuse ». Vos suggestions et remarques sont toujours les bienvenues. De même, si vous voulez me contacter, écrivez-moi. Je me ferai un plaisir de vous répondre. Carpe diem et carpe noctem !