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n° 08650Fiche technique15888 caractères15888
Temps de lecture estimé : 10 mn
11/02/05
Résumé:  L'amour au travail avec sa cheffe de service.
Critères:  fh frousses extracon collègues enceinte travail volupté fellation pénétratio fsodo
Auteur : Fred hihic  (Homme, 38 ans, région parisienne.)      
Ma cheffe était enceinte !



Dans le cadre de la restructuration de l’entreprise où je travaillais, mon service fut dissout. Par chance je conservais mon emploi, mais fut muté dans un autre service.


J’arrivais donc un lundi à mon nouveau poste. J’étais accompagné du D.R.H - directeur des ressources humaines, c’est comme ça que s’appelle un directeur du personnel de nos jours à ce qu’il paraît !

Nous entrâmes dans une pièce où se trouvait mon poste de travail. Au fond de cette pièce se trouvait un bureau vitré. Une jeune femme, dont je ne distinguais que la chevelure derrière un écran d’ordinateur, semblait taper une lettre au clavier de celui-ci.



Celle-ci se leva, je l’aperçus enfin. Une jolie rousse aux cheveux mi-longs, environ 1m70 ou 72 tout au plus, la trentaine finissante mais resplendissante, une peau blanche au grain si fin, de grands yeux noisettes, des yeux si expressifs témoignant d’une douceur et d’une paix intérieur. Sous sa robe, un ventre proéminant trahissait une grossesse déjà bien avancée, une très jolie poitrine, ni trop menue, ni trop énorme, mais bien maintenue.


Après son baratin de présentation, le DRH nous laissa seuls. Sandra me proposa de m’installer seul et de disposer mes affaires de travail à ma guise, puis retourna à son ordinateur.


Je trouvais le temps bien long, aucune occupation ne m’était donnée. Mais, dans l’après-midi, Sandra vint me parler en s’excusant de m’avoir "abandonné un peu" le matin.



Je réfléchissais très rapidement, en me disant que vu la restructuration, c’était sûrement ça ou la porte, je mis mon orgueil de côté et acceptais. Toutefois, je mis un bémol en me disant que j’aurais besoin de temps pour me former. Sandra fut très compréhensive et me promit d’y aller en douceur.


Je me retrouvais avec elle au bout de son bureau, où elle me fit de la place. Les jours passaient et je dois dire que sandra ne me bousculait pas trop avec le travail. Nous parlions ensemble parfois, mais elle ne rentrait pas dans les détails de sa vie privée. Néanmoins, une alliance à son doigt m’apprit qu’elle était marriée. Une photo d’un enfant me laissait penser qu’elle en avait déjà un.


Sandra avait un tempéramment peu bavard mais me témoignait une grande douceur. Cette douceur me gênait intérieurement, par moment. Nos regards se croisaient furtivement, mais très souvent. Moi qui n’avais été jusqu’alors habitué qu’à des chefs retors et dominateurs à souhait, je dois dire que cette douceur me décontenançait. De plus, travailler avec une future maman m’attendrissait.


Un après midi, pris d’un accès de tendresse, sans rien dire, je partis à la fontaine à eau et ramenais un gobelet d’eau bien fraîche à Sandra. Je le lui tendis et dis :



Et, comme un crétin, je rougis !


Je crois que c’est là que je commençais à basculer un peu. Et plus tard j’appris que ce fut pour elle ce moment qui declancha tout aussi. Oui, juste sur cette impulsion, ce petit geste sans prétention et dénué de toute arrière-pensée, que les choses se construisirent.


Revenant chez moi, je pensais à Sandra, chose qui ne m’était jamais arrivée auparavant.


Le lendemain matin, j’arrivais au bureau. Un café fumant était posé à côté de mon ordinateur, avec un petit mot de Sandra : "Je suis partie en réunion, je reviendrai vers onze heures. Si vous avez besoin de moi, appelez-moi au 23 12, c’est le poste de la salle de réunion."

Je jouai aux dames ou au solitaire, ou surfai sur internet, comme je n’avais rien à faire. Vers dix heures le téléphone sonna. C’était Sandra, elle voulait savoir comment se passait ma matinée et si tout allait bien.


Sandra ne revint de sa réunion que vers 13h45, sans avoir mangé, le self étant fermé. Je partis précipitamment lui chercher de quoi se restaurer, lui disant que je partais à la machine à café pour qu’elle ne m’interdise pas de m’occuper d’elle.

Je revins avec un énorme sandwich grec et un jus d’orange en canette.

Confuse, elle ne savait comment me remercier et, bien sûr, me dit que si elle avait su que je projetais d’aller chercher un sandwich pour elle, elle me l’aurait purement et simplement interdit.

Le sandwich commençait à dégouliner un peu et, comme de bien entendu, une bonne quantité de mayonnaise tomba sur la robe de Sandra, juste au niveau du ventre. Sandra, confuse, cherchait à nettoyer avec un mouchoir en papier la tache qui s’étalait encore plus. Je courus aux toillettes et ramenai une éponge imbibée d’eau.

Dans un geste naturel je me mis à frotter doucement le tissu de la robe, sentant le ventre dur sous mes doigts. Me rendant compte de ma précipitation, sans avoir demandé si je pouvais avoir ce contact presque intime avec elle, je finis aussi précautionneusement et aussi rapidement que je le pus le débarbouillage de la robe. Nous étions tous les deux le regard baissé, gêné par la presque sensualité de mon élan.


L’eau commençait à sécher, aucune parole ne s’échangeait plus. Chacun faisait semblant de travailler mais les pensées étaient ailleurs. Je repensais à mon geste et à l’émotion qu’il m’avait procuré.

Le temps avait passé sans que nous nous en rendions compte, tout les deux affairés dans notre travail, comme pour nier une certaine évidence de nos désirs cachés qui émergaient avec force, sans que nous puissions y faire obstacle de quelque façon que ce soit. Elle surtout, enceinte et mariée, de désirer un autre homme que le père de l’enfant qu’elle attendait.


La nuit était tombée, l’hiver avait considérablement raccourci les jours. Un silence de tombeau régnait. Nous étions les derniers. Le portable de Sandra sonna. Il était tard, c’était son mari qui s’inquiétait. Elle le rassura et lui dit qu’elle partait sous très peu.

Elle m’enjoignit à faire de même. J’éteignis le PC, elle était déjà sur le pas de la porte du bureau, attendant que j’en sorte pour éteindre la lumière. Le couloir lui aussi était plongé dans l’obscurité.


Nous avancions à tatons. Elle faillit trébucher, je la rattrapais par la taille et ne la lachais plus. Elle se saisit de ma main pour avancer et se libérer de cette étreinte, puis elle s’arrêta brusquement et me dit :



Je me rapprochai d’elle et l’embrassai dans le cou. Elle m’enserra de ses bras, sans mot dire. J’approchai mes lèvres en essayant de deviner les siennes dans la noirceur de ce couloir. Nous échangeâmes un long baiser qui embrasa nos sens.

Je passai mes mains sous sa robe de grossesse, carressai son énorme ventre, remontant mes mains jusqu’à sa poitrine, la massant doucement mais avec force, nos lèvres ne se dessoudant plus les unes des autres.


A mon plus grand étonnement et venant d’une femme qui avait l’air si sérieuse dans son rôle d’épouse modèle et discrète, elle ôta sa robe en plein milieu du couloir ! Je me mis à genoux pour embrasser son ventre ! Comme pour la remercier.



Une fois à l’intérieur de notre petit bureau, nous nous étreignîmes tendrement de nouveau. Nous échangeâmes de langoureux baisers. Je détachai son soutien-gorge, elle le laissa glisser le long de ses bras, puis tomber à terre, comme resignée de succomber à ces désirs pervers et interdits. J’engloutis ses mamelons dans ma bouche, le goût de sa peau m’ennivrait.

Je fis glisser sa culote de grossesse le long de ses jambes. Son corps nu, juste éclairé faiblement par un lampadaire de la rue, révélait toute sa splendeur. Son ventre de future maman de sept mois et demi, ses seins lourds, sa toison rousse peu touffue et coupée court !

Je me déshabillai à mon tour, pris d’un desir fougueux. Mon pénis n’était pas encore en érection, comme par respect, attendant qu’elle m’y autorise.

Nos corps étaient maintenant à touche-touche. Beaucoup de tendresse s’échangeait par des caresses et petits bisous tendres. La main de Sandra commençait à me caresser faiblement le sexe, comme pour me donner le signal de commencer ce voyage sensuel.


Mon sexe commençait à prendre ses dimensions de croisière. Une fois celles-ci atteintes, Sandra s’agenouilla du mieux qu’elle put, embarassée par son ventre.

Elle me prodigua une douce fellation, oscillant entre tendresse et sucette d’amante éprouvant du plaisir en ce qu’elle me faisait des lèvres, sans effleurer mon sexe, ni trop presser dessus.

Je ne pouvais pas décemment la laisser dans cette position aussi inconfortable, à genoux, il fallait quand même prendre soin de la future maman. Je la fis se relever doucement en l’aidant. Les lieux ne se pretant guère aux ébats amoureux, je trouvai une solution. Je m’assis sur le fauteuil de la chef, le sexe pointant vers le ciel. Elle comprit rapidement, et vint délicatement s’assoir sur mon membre. Mon désir le plus profond était de lui procurer le plus de plaisir possible, sans trop penser au mien, dans un premier temps du moins.


Je caressai ses seins, leur imprimant des pressions de plus en plus appuyées. Du petit lait, comme en ont certaines femmes enceintes avant l’enfantement, commançait à couler de ses tétons. Sa poitrine entière, déjà bien raffermie par la grossesse, continua à durcir malgré tout. Je caressai son ventre rond. Son corps, sa peau, dégageaient une douce chaleur. Mes mains frolèrent aussi son doux pubis, ainsi que son clitoris, qui prit une dimension honorable.

Sandra jouissait au rythme de petits sons, qui trahissaient bien plus le plaisir intérieur qu’elle ressentait que des hululement de chienne en chaleur.


Fatiguée de cette position contraignante et ayant doucement joui, Sandra se désaccoupla de moi, se relevant. Bien sûr, elle savait que je n’avais pas encore eu ma part de jouissance. Elle me resuça un peu, puis me dit :



Sans mot dire, je la fis mettre à quatre pattes, l’accompagnant gestuellement. J’écartai ses fesses charnues et lui fit une lubrification anale maison, à base de salive. Une fois assuré que cela devrait suffir et ayant pénetré Sandra de mes doigts,

je m’installai derrière elle et commençai par une pénétration en douceur.

De petits spasmes anaux se faisaient sentir, révélant de petites douleurs auquelles je tentai de mettre fin en me retirant pogressivement. Mais Sandra appuya dans le sens de la pénétration pour me faire comprendre que je ne devais pas abandonner.

Ce langage commun me permit de venir poser mon pubis contre ses fesses, l’ayant pénetrée sur la totalité de ma tige. Des mouvements lents mais rythmés et coordonnés de nos bassins, nous permirent d’atteindre ensemble des crêtes de plaisirs, savoureusement degustés. Sandra murmurait sur le souffle de sa voix des "c’est bon, encore encore" auxquels je répondais "oui ma chérie, moi aussi j’aime".


Je commençai à sentir doucement monter la pression en moi et, préférant plutôt jouir cette fois-ci, du moins dans son antre vaginal, je ressortis rapidement mon pénis d’elle. Elle s’ensaisit rapidement des mains, toute excitée qu’elle était de ces moments de volupté qu’elle venait de vivre, et croyant aussi que je voulais jouir en dehors d’elle.

Sa masturbation m’emmena presque à l’explosion, que je contins avec difficulté. Il fallait que j’agisse, et rapidement.



Elle comprit que cela urgeait et s’exécuta. Je pénétrai sa fente avec vigueur, cherchant néanmoins son point G du bout de ma verge, pour qu’elle parte avec moi ! Nos étreintes durèrent une minute tout au plus, nous emmenant sur des sommets d’où nous ne redescendîmes qu’après avoir joui ensemble.

Par saccades mon jus d’amour sortit pour se répandre en elle. Notre orgasme fut synchrone.


Je me relevait, pendant qu’elle se retournait, toujours à quatre pattes, pour m’aspirer le sexe, qui déjà ramollissait. Puis la lumière jaillit. La lampe principale du bureau s’alluma, la porte s’ouvrit énergiquement, laissant apparaître une femme de ménage encombrée par le tuyau de son aspirateur.

Un étonnement pouvait se lire sur le visage de la femme de ménage. Puis elle s’exclama : "Oh ! Et avec une femme enceinte en plus ! Oh pardon excusez-moi." Puis celle-ci ferma la porte et l’on entendit ses pas s’éloigner dans le couloir.


Sandra se rappocha de moi et me serra comme elle le pouvait dans ses bras, car son ventre la gênait. Nos deux corps nus en contact intime demandaient, malgré la fatigue, d’autres tributs de sensualité. Nous nous rhabillâmes en douceur, continuant à nous bécoter par intermitence.

Sandra exprima, en se mordillant les lèvres, sa crainte de voir colporter ce que la femme de ménage avait vu. Je la rassurais en lui disant qu’elle ne croisait jamais nos collègues dans la journée et qu’il n’y avait aucun risque que des bruits courent auprès d’eux.


Nous sortîmes en douce et Sandra, vu l’heure, me proposa de me racompagner en voiture chez moi. De plus elle me dit, chemin faisant, au creux de l’oreille, que de savoir mon adressse pourrait s’avérer utile pour des "réunions tardives" ou des "séminaires d’entreprise" tombant comme par hasard le week-end !


Notre idylle continua, et nos ébats devinrent de plus en plus torrides. Je la retrouvais même la veille de son accouchement à la maternité, car elle devait subir un déclenchement d’accouchement. J’attendais dans ma voiture son signal. J’arrivais à la limite de l’heure finale des visites, puis nous refîmes l’amour dans les sanitaires de sa chambre individuelle.


Le mois suivant son accouchement, je fut licencié de l’entreprise et elle ne tarda pas à l’être aussi.

Nous nous cotoyâmes encore pendant de nombreuses années, nous revoyant pour ses grossesses afin de redevenir amants, comme avant. C’était notre doux péché, notre doux vice.