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Temps de lecture estimé : 8 mn
12/02/05
Résumé:  Soeur Gertrude ne se confie pas à son confesseur et est en marche vers de nouvelles aventures.
Critères:  grp fplusag jeunes profélève religion amour volupté
Auteur : Bodding            Envoi mini-message

Série : Soeur Gertrude

Chapitre 04 / 05
Soeur Gertrude 4



SŒUR GERTRUDE (4)


L’histoire n° 3 constituait la fin de la narration de mes aventures érotiques de religieuse devenue la proie du sexe, mais plusieurs lecteurs m’ont posé la question : « Et que s’est-il passé après ? » Alors voici ce qui s’est passé après ce mémorable samedi après midi où j’ai abandonné mon corps aux caresses d’un de mes élèves et ainsi bafoué tous les prescrits de mon ordre religieux, en ce y compris mes voeux de chasteté.


Le dimanche, j’ai beaucoup réfléchit à ce qui s’était passé la veille et je me suis dit que j’étais à un tournant de mon existence. J’aurais pu, sans la motiver, demander ma mutation vers un autre établissement de notre ordre, j’aurais pu tout avouer à mon confesseur et faire abstinence sexuelle totale et j’aurais pu voir venir … c’est-à-dire ne rien faire et me laisser conduire par les évènements.


J’ai longuement prié à la chapelle, attendant que le Seigneur ne m’éclaire mais je n’ai reçu aucun signe, aucune lumière.


Je me suis remémorée des conversations que j’ai eue avec certaines de mes consoeurs qui, placées sous un autre éclairage que celui de ma naïveté de l’époque, me laissait croire que la vie sexuelle du couvent était bien plus active que je ne le croyais. Lesbianisme, introductions diverses, voyeurisme, masturbations et actes avec des visiteurs, élèves ou membres du personnel masculin, tout était au rendez-vous tout comme dans le monde hors religion.


Je me suis demandée avec curiosité quel pouvait être le vice de la sœur Supérieure qui me semblait être une sainte femme. Je ne l’ai jamais su mais je la voyais mal se faire jouir avec le manche de sa brosse à cheveux !.


J’étais assez inquiète quant à la reprise des cours lundi matin. Quelle sera l’attitude de Paul, se sera-t-il vanté de son exploit et de mon abandon.


Par gros effort de volonté et avec l’appui d’une méditation intense, j’ai réussit à ne pas me « toucher » pendant ces deux nuits d’attentes. Mon esprit réussissait chaque fois à repousser les tentations que ma main voulait faire naître.


Mon premier cours du lundi était dans l’autre classe, celle où se trouvait le copain de Paul. Tout s’est passé très normalement, Jacques (c’est le prénom de l’autre élève) n’avait pas de sourire narquois, pas de regard appuyé et pas de remarque tendancieuse. J’étais rassérénée, Paul ne s’était pas confié à son copain.


La seconde heure allait être plus cruciale car j’allais rencontrer à nouveau Paul, mais cette fois comme élève au milieu d’une vingtaine d’autres élèves. Comment allait-il réagir ? Il était encore bien jeune pour se dire que le silence était de rigueur.


Derrière mon bureau j’ai dit bonjour à tous, tentant de sentir un frémissement quelconque, des murmures… mais rien. Paul avait le regard souriant comme tous, ni plus ni moins et m’a saluée comme tous ses condisciples. J’ai poussé un ouf de soulagement car ce serait ainsi plus facile à gérer.


Paul a été impeccable. En fin de cours, avant la pause, il s’est proposé pour ranger la classe. Cela n’avait rien d’étrange car il le faisait assez souvent, mais cette fois cela lui donnait la possibilité de partager quelques moments d’intimité avec moi.


Cela me donnait la chair de poule !!


Seul avec moi Paul m’a dit : « Alors, as-tu passé un bon dimanche. Moi j’ai beaucoup pensé à toi et je te remercie encore de tout ce que tu m’as donné. Quand nous revoyons-nous ? »


Comment répondre avec fermeté à tant de gentillesse ? J’ai entrepris de tenter de rejeter tout :


« Non Paul, nous ne devons plus nous revoir. Ce que nous avons fait est un délicieux accident de parcours mais nous ne devons pas ruiner deux vies. »


Le coquin s’était mis près de moi et m’enlaçant la taille, il a mis ses lèvres sur les miennes pour un baiser très rapide… trop rapide, qui a réussit à enflammer tout mon corps. Oui, je voulais le revoir, oui, je voulais encore son sexe dans ma bouche, oui je voulais encore communier de sa semence, oui, je voulais encore sentir sa semence se répandre en moi… oui , je voulais encore être salope avec lui… il pouvait tout me faire, j’accepterais tout. Je n’ai pas osé le lui dire. !!


Au fil des jours, c’était devenu une habitude que Paul range la classe, ce qui nous donnait 15 minutes d’intimité. Nous devions être d’une prudence extrême car la porte pouvait s’ouvrir sous la poussée d’un élève, d’un professeur, d’une nettoyeuse et être surprise en train de caresser un élève aurait fait, pour le moins, mauvais genre.


Nous étions cependant hardis et nous ne nous privions pas d’un baiser prolongé, d’une caresse de mes seins et, moi j’ai même osé porter la main au sexe de Paul, sur son pantalon. Nous étions imprudent.


Le vendredi matin, Paul me dit qu’il voulait me parler. Il me raconta que sa mère resterait probablement à leur seconde résidence pour au moins trois mois et que son père y allait tous les week-end. Il disposait donc de toute la maison pour lui seul. C’était l’occasion de trouver un nid d’amour sur pour notre liaison. Avec un peu de gène, il me dit que je n’étais pas la première femme mature avec laquelle il prenait (et donnait) du plaisir. Depuis deux mois, il rencontrait de temps en temps une amie de sa mère. C’était elle qui l’avait déniaisé une première fois alors qu’il était bien jeune encore. Il en avait conservé un excellent souvenir de douceur et de volupté et avait repris avec elle tout naturellement des relations assez torrides. Elle l’avait relancé et, au courant de l’absence des parents, lui avait demandé de pouvoir venir chez lui samedi pour .. ce que vous savez, son mari étant en voyage d’affaires.


Paul, à ma stupeur, continua : Tu sais, c’est une bonne baiseuse comme toi. Elle veut tout et en redemande encore. Mais, je n’ai pas envie de me retrouver au pieu avec deux gourmandes comme vous. Viens samedi et je demanderai à mon copain Jacques d’être là, comme cela on se partagera pour vous deux. Tu verras, c’est marrant à quatre !!


Je n’en ai pas cru mes oreilles ! Ce sale gamin me proposait une partouze avec un autre élève et une amie de sa mère !! Suis-je donc tombée aussi bas !


Très habilement, Paul ne me força pas et me dit simplement que si cela me plaisait, je n’avais qu’à venir samedi vers 15.00. Il ne dirait rien à Jacques, ce serait une surprise pour lui. Si je ne venais pas, et bien tant pis, la copine de sa mère aura droit à deux belles queues au lieu d’une seule !!


J’étais troublée jusqu’au tréfonds de moi-même et ne savais que faire.


Le samedi soir, j’ai croisée la Sœur supérieure dans les couloirs. Elle m’interpella :


« Eh bien , ma fille, vous voilà bien songeuse. Avez-vous un problème ? Vous pouvez vous confier à moi »


J’ai répondu, faisant un choix :


« Non, non, ma mère. Je n’ai pas de problème, sauf que Paul a de nouveau insisté pour que je rende visite à sa mère demain après midi. Je trouve que c’est un peu abuser. »


La supérieure me rétorqua : « Mais non, mais non, c’est au contraire faire œuvre de charité que de rendre visite à cette parente d’un de nos élève parmi les plus brillants. Je ne vous y oblige évidemment pas mais c’est bien d’ainsi consacrer un peu de notre temps à des malades. Allez-y franchement, vous avez ma bénédiction et saluez bien cette dame de ma part.

Si je ne vous vois pas rentrer demain soir, ce sera que vous aurez décidé de passer la nuit au chevet de cette brave dame. Cela permettra peut-être à Paul et à son père de prendre un peu de repos. Faites pour un mieux. »


Voila que la Sœur supérieure m’autorisait à découcher !! La pauvre, merci mon Dieu.


La nuit du vendredi au samedi se passa pour moi mi-en prière, mi en pensées lubriques. J’ai cependant pu résister aux appels de mon corps et ne pas glisser ma main entre mes cuisses pour y trouver le centre de ma jouissance. C’est cependant bien humide que je me suis levée… j’avais besoin.


L’heure venue, j’ai sonné au domicile de Paul, maison que je connaissais bien maintenant pour m’y être livrée, le samedi précédent, à une honteuse débauche… que je ne regrettais pas.


La porte n’était pas encore ouverte que j’ai vu surgir Jacques à mes côtés, sautant de sa mobylette. Eh bien sœur Gertrude, en voilà une surprise ! Que venez-vous faire ici ?


Que répondre ? il ne savait visiblement rien, Paul ayant respecté le secret.


« Tiens, bonjour Jacques. Tu viens voir Paul ? Moi je rends visite à sa maman malade »

Sur ce la porte s’est ouverte et Paul nous a fait rentrer. Dans le salon, il nous a présenté une jolie petite dame dans la bonne quarantaine bien conservée, au prénom d’Odette. Longs cheveux dénoués, tailleur chic chemisier organdi, bas noir, escarpins, très bien maquillée sans trop s’en faut et avec juste ce qu’il faut de bijoux pour faire « classe » et avec juste ce qu’il faut de rebondis où il faut pour être désirable.


Elle me salua d’un respectueux : « Bonjour ma sœur, je suis honorée de faire votre connaissance. Paul m’a déjà parlé de vos capacités d’enseignante et vous a en haute estime ».


A Jacques, elle s’est contenté d’un plus sec : « bonjour jeune homme »


Sous les regards ébahis et un peu incrédules des deux autres, Paul m’a embrassé vivement sur la bouche après m’avoir dit : « salut ma belle nonne, content que tu te sois décidée à venir ».


C’était quatre soucoupes oculaires qui nous scrutaient ….. !


Je me suis vite débarrassée de mon voile et bandeau et me suis assise dans le divan à côté de Jacques qui n’en menait pas large.


Nous étions là tous quatre ne sachant pas bien quoi faire et pourquoi nous étions si nombreux. Odette était là pour satisfaire ses appétits d’un mâle, Jacques venait passer l’après midi chez son copain et se retrouvait en présence de deux femmes mures dont l’une n’était pas moins que la religieuse qui lui donnait cours de sciences naturelles.

Seuls Paul et moi savions que nous étions là pour une petite orgie de derrière les fagots.


Comme à son habitude pleine de délicatesse, mon coquin avait préparé du café et des biscuits et il nous servait en parfait gentleman.


Je regardais Odette du coin de l’œil. Visiblement elle se demandait dans quelle pièce elle jouait. Je me demande si surtout elle ne craignait pas que, vu ma présence religieuse, sa petite partie de jambe en l’air ne serait pas remise à plus tard !! Dommage car elle en avait besoin et envie.


Jacques était toujours coincé dans le canapé à mes côtés et n’en menait pas large.


Il fallait commencer les hostilités… on n’était pas ici pour rigoler ou prendre le café un petit doigt en l’air. Les choses sérieuses devaient commencer…


Paul s’est assis à côté d’Odette et, à pleines mains, s’est mis à lui caresser les seins sur son chemisier et à l’embrasser à pleine bouche.


De mon côté, j’ai mis la main très haut sur la cuisse de Jacques, dont j’ai senti le muscle se tétaniser sous mes doigts.


J’ai eu un serrement au cœur de jalousie mais je me suis dit que Jacques était là, tout neuf pour moi…


Dans le suivant épisode, je vous conterai mon après midi torride et ma nuit plus calme avec Paul tout seul. Car, vous vous en doutiez, je n’ai pas su résister à user de la permission implicite de ma Supérieure et j’ai vécu là ce que je ne revivrai peut-être jamais dans ma vie : me réveiller avec un amant à mes côtés.


Bodding