n° 08663 | Fiche technique | 13797 caractères | 13797Temps de lecture estimé : 8 mn | 12/02/05 |
Résumé: Après avoir découvert et fait découvert à mon copain notre goût mutuel pour le travestissement, nous continuons nos aventures sexuelles | ||||
Critères: hh lingerie travesti fellation ecriv_t | ||||
Auteur : Gainenylon (Travesti amoureux de la lingerie et des vêtements féminins) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Souvenirs de lingerie de dame entre amis Chapitre 02 | Épisode suivant |
En reprenant mes esprits après cette merveilleuse fellation que m’avait procuré mon ami, je lui demandais timidement s’il avait envie que je lui retourne le plaisir.
Je me rendis compte que Marc ne m’avait pas encore montré son clitoris (c’est le terme que les travestis utilisent pour parler de leur sexe), bien que sa petite culotte noire cachait mal son membre dressé depuis qu’il m’était apparu en lingerie.
Marc s’était remis debout et placé collé à côté de moi, devant les tiroirs ouverts de la commode. Son bras droit était passé derrière moi et me caressait doucement les fesses. Je n’ai pu m’empêcher de faire de même. Il explorait avec moi les trésors de nylon et de dentelle de sa maman.
Il me parlait maintenant comme à une fille, ce qui me fit tout d’abord bizarre, puis devint très excitant.
Je vis soudain un genre de porte-jarretelles rose qui m’attira, ce dont Marc s’aperçut car ma main s’était posée dessus. Il le sortit de la pile et le déplia devant moi : il s’agissait d’un très mignon serre-taille en fine tulle rose avec de courtes jarretelles rose et blanc soulignées par des petits noeuds roses.
Marc m’entoura alors la taille de cette sublime lingerie puis l’agrafa dans mon dos. Toute cette excitation m’avait redonné rapidement une érection d’enfer, et maintenant que cette copine m’habillait avec les sous-vêtements de sa mère, j’étais dans un tel état que ma tête commençait à tourner un peu.
En effet, Marc ouvrit un tiroir et en sortit des bas blancs à couture d’une finesse extrême.
Il m’enfila avec application un bas puis l’autre, me fit mettre debout et agrafa les bas aux jarretelles du serre-taille. Puis il fouilla dans la commode et me présenta la mignonne culotte rose assortie. Elle était si diaphane que j’hésitai à l’enfiler de peur de la déchirer. Mais une fois qu’elle fut sur mes hanches et mes fesses, je me sentais si bien que j’eus vite envie de ne jamais m’en séparer. Il faut dire que le tissu était si souple qu’il emmaillotait merveilleusement ma queue raide et mes couilles recroquevillées dans le doux nylon. J’étais encore à apprécier ces sublimes sensations que Marc me tendait un bustier rose assorti encore plus sublime que le serre-taille. Je l’enfilai vite et Marc se mit derrière moi pour fermer toutes les agrafes dans mon dos. Je me sentais vraiment différent dans tous ces frous-frous !
Marc remarqua que nos poitrines étaient bien plates pour des poitrines de fille. On y remédia en glissant à son initiative des culottes roulées en boule dans les bonnets de nos soutiens-gorge.
J’étais évidemment d’accord avec cette suggestion. Marc se dirigea vers un placard qu’il ouvrit pour me montrer une belle collection d’escarpins, bottines, bottes, sandales et autres chaussures. Marc me montra une paire d’escarpins noirs fermés avec une fine bride. La hauteur des talons m’effraya un peu mais dès que je les eus enfilés et que je me mis debout, la sensation d’être en équilibre sur ces fines chaussures de dame me procura un supplément d’excitation. Excitation qui monta encore d’un cran lorsque je vis Marc enfiler une magnifique paire de bottes noires avec des talons si hauts et fins que je vis son fessier se cambrer encore plus, surtout lorsqu’il se mit à marcher comme un mannequin, avec une habitude des talons hauts qui me fit immédiatement penser qu’il n’en était pas du tout à son coup d’essai ! Je le voyais se déhancher en roulant des fesses, une main sur la hanche, l’autre se balançant. Et toujours cette tige de chair dressée dans le fin nylon noir, cette tige que je mourais d’envie de toucher, caresser, lécher …
Je me levai du lit et me dirigeai vers lui en imitant sa démarche. Une fois l’un devant l’autre, nos mains se posèrent sur nos épaules, nos bustes, nos hanches, puis, enlacés, nous nous sommes embrassés langoureusement. Nos bassins étaient collés l’un contre l’autre, nos hanches commençaient à ondoyer et nos sexes raides se frottaient l’un contre l’autre, juste protégés par le fin écrin de nylon de nos culottes de fille. Lorsque notre long baiser prit fin, Marc me dit doucement :
Rapidement, il sortit deux nuisettes assorties à nos tenues, une rose pour moi, une noire pour lui ! Bien sûr, elles ne cachaient strictement rien de nos parures, et les mettaient plutôt en valeur sous leurs voiles arachnéens et leurs dentelles raffinées. Nous avions maintenant des tenues tout à fait dignes de ces dames des maisons d’autrefois !
Marc me prit par la main et m’entraîna sur le lit où nous nous allongeâmes sur le couvre-lit en satin mauve. On se regarda en caressant tendrement nos corps travestis. Enfin, nous osâmes nous intéresser à nos culottes et à ce qu’elles contenaient. Je pris l’initiative en m’approchant de la sienne puis, en la prenant par la ceinture, je la descendis doucement en libérant enfin la bite de mon ami. Elle se redressa fièrement lorsque j’eus ôté son écrin de nylon. Marc avait dit vrai : sa pine était plutôt fine et légèrement courbée avec deux belles couillettes qui ballottaient dessous. Je pris sa tige en main et la flattai doucement en approchant ma bouche du beau gland rose. Je m’apprêtais à prendre en bouche ma première queue. Je commençai en léchant le gland avec amour, puis refermai ma bouche dessus en glissant ma langue pour taquiner le méat. Ensuite, j’enfonçai ma bouche pour prendre entièrement sa tige. Marc gémit sous ma caresse buccale (il m’avoua ensuite que c’était sa première fellation). Je m’activais maintenant sur son chibre en caressant ses testicules et ses jambes gainées de nylon. Marc, qui tenait ma tête pour que je le pipe à son rythme, me repoussa soudain :
Je cessai ma fellation et lui demandai :
J’obéis à mon ami et le vis venir avec un flacon et une boîte de capotes. Il en sortit une, la déplia et l’enfila sur sa bite tendue en me regardant avec gourmandise. Puis je le vis s’enduire la queue avec une crème blanche qu’il avait fait jaillir du flacon.
Je le sentis baisser et enlever ma petite culotte. Il en profita pour branler un peu ma queue raide. Puis je sentis et entendis la crème gicler sur mon anus. Son doigt étala la crème puis pénétra mon intimité en douceur. C’était déjà très troublant et étrange de sentir ce doigt me violer les fesses, mais je commençais à aimer cela et allai au-devant de cette caresse en faisant ondoyer langoureusement mon cul. Marc continuait à doucement m’habituer à la pénétration en enfonçant deux puis trois doigts pour bien m’élargir. Au bout de quelques minutes, je le priai de venir vite en moi :
Marc enleva alors ses doigts puis se plaça derrière moi et bientôt son gland fut contre ma petite rondelle qui frémit en sentant qu’elle allait être déflorée. Je sentais le gland entrer doucement mais sûrement et violer le passage du sphincter. Marc s’arrêta, une fois passé ma rondelle pour m’habituer, puis s’enfonça lentement jusqu’à ce que je sente toute sa bite en moi et son pubis plaqué contre mes fesses. Puis il se mit à sortir et rentrer sa bite en venant chaque fois tout contre mes fesses. Je ne savais plus où j’en étais tellement cette sensation, d’abord légèrement douloureuse, puis envoûtante, me mettait dans un état proche de l’évanouissement. Marc continuait à bien me baiser en me caressant partout : mes jambes gainées, mes fesses, mes hanches. Parfois, Marc se penchait sur mon dos et frottait son buste dans mon dos en prenant mon clitoris pour le branler quelques instants.
En effet, j’ai senti Marc accélérer en feulant comme une femelle en rut. Puis il se figea au fond de mon intestin et râla en jouissant longuement dans mon cul.
Je le sentis ensuite sortir lentement son long clitoris de mon trou. Puis, tendrement enlacées, nous nous allongeâmes sur le lit en nous embrassant longuement.
Comme je bandais encore, je me levai et sortis un préservatif que j’enfilai sur mon clitoris tendu. Puis, je me lubrifiai avec une noix de crème et m’approchai de ma copine. Elle était allongée sur le dos au bord du lit, les jambes ouvertes. Je pris une autre noix de crème puis lui demandai de lever ses jambes pour que je puisse l’appliquer sur sa petite rondelle brune. Je fis avec elle ce qu’elle avait fait avec moi : je la lubrifiai bien. Je rentrai un doigt, puis deux, enfin trois pour bien la préparer à mon clitoris plus épais que le sien mais un peu plus court. Une fois ces préparatifs doucement achevés, je pris ses jambes et les lui fis les poser sur mes épaules.
Je pris ma bite et pressai mon gland contre son anus. Je cherchais à m’enfoncer doucement, mais je sentis très facilement ma queue entrer sans presque aucun effort dans son intestin. Bientôt, j’étais à fond dans ses fesses.
En caressant ses jambes gainées et bottées, je me mis à lui pistonner langoureusement les fesses. Je la vis prendre sa bite en main et se masturber doucement. Elle avait repris sa belle taille de pine raide. Je baisai ma copine en gémissant de plaisir, repassant dans ma tête comme dans un rêve toutes ces choses interdites et scandaleuses que nous avions faites et faisions en ce moment. Pourvu que sa mère ou son père, ou une autre personne ne vienne pas : Quelle honte cela serait pour nous !
J’avais déjà éprouvé pareille sensation lorsque je revêtais et me masturbais dans les affaires de ma mère. C’était à la fois très troublant et terriblement excitant. Tellement excitant aussi de nous voir toutes les deux vêtues de dessous affriolants, que je sentis une jouissance incroyable monter dans mon bas-ventre.
Je la baisais de plus en plus fort, sentant que j’allais juter en elle. Puis je sentis mon foutre éclater en saccades dans la capote et je vis, en même temps, gicler de sa queue de long traits de sperme qui atterrirent sur la nuisette noire. Nous étions toutes les deux en train de nous pâmer comme deux femelles amoureuses, revenant de nos orgasmes fantastiques et simultanés. Sans rien dire d’autre, je me glissai hors d’elle puis vins contre elle. Nous recommençâmes à nous enlacer et à nous bécoter tendrement. Elle baissa alors le couvre-lit, ouvrit le lit et m’invita à m’y glisser dedans avec elle. Là, tendrement enlacées, nous sommes tombées dans un doux sommeil réparateur, les mains posés sur nos corps repus et nos lingeries souillées de notre jouissance de petites cochonnes.
La suite à venir prochainement …
Gainenylon