n° 08669 | Fiche technique | 11919 caractères | 11919Temps de lecture estimé : 8 mn | 13/02/05 |
Résumé: En tout cas, maintenant je sais ce qui se cache sous un clown ! | ||||
Critères: fh jeunes copains uniforme fête odeurs intermast facial fellation pénétratio humour | ||||
Auteur : Sofie (Jeune femme essayant l'écriture) Envoi mini-message |
Avec la fac, j’avais la possibilité de faire du sport et l’une des activités proposées étaient une initiation au cirque. Emballée par l’idée, je me suis inscrite à ce cours optionnel. Toutes les semaines, je me rends donc dans un mini-chapiteau école où l’on m’apprend les balbutiements du jonglage, de l’équilibrisme et nombreuses autres disciplines du cirque. C’est vraiment retourner dans le monde de l’enfance, du rêve et du bonheur. D’autant plus, que j’ai rencontré un charmant jeune garçon. Il s’appelle Tudorin, c’est un beau garçon musclé, d’origine d’Europe de l’Est. Ses yeux noirs sont en harmonies avec ses cheveux très courts noirs aussi. Sa peau est légèrement mate. Il est assez grand, genre 1m80m (je ne fais qu’1m58). Ce charmant garçon est l’un de nos mono, il est très doué concernant l’équilibrisme, le jonglage et surtout c’est un désopilant clown avec ou sans son costume.
Nous sommes à la toute fin de du semestre et pour fêter cette occasion nous avons tous organisé (les monos et nous) une petite représentation finale sous un chapiteau. Nous sommes tous réunis et le spectacle commence et va durer toute l’après-midi. L’ambiance est excellente, tout le monde rie, s’amuse et s’extasie devant les nombreux numéros que chacun de nous tour à tour exécute. Mon numéro est un numéro de jonglerie et d’un peu d’équilibrisme. Et croyez-moi lorsque l’on fait 1m58 pour 50kg l’équilibrisme est plus délicat. Quant à jongler, sachant que je suis une blonde à forte poitrine (95C), la synchronisation n’est pas un don !!! Néanmoins, tout se passe à merveille. La musique résonne en fond, les lumières et les couleurs du cirque incitent à la bonne humeur et à l’humeur festive, d’autant que les examens sont terminés. Bref, tout le monde veut se lâcher et s’amuser. Justement, au moment où les rires sont de plus en plus nombreux, voici le moment de voir apparaître le clown qui n’est autre que mon beau Tudorin ! Ce qui pour moi est en quelque sorte le clown du spectacle (pardonnez ce jeu de mot) .
En effet, c’est mon beau Tudorin qui se cache sous les vives couleurs de clown. Tout le chapiteau rie, moi je rêve. Je trouve tous ces gestes si parfaits mêlant à la fois douceur et précision. Malgré, son maquillage je perçois ses yeux qui s’illuminent dès qu’il rentre en scène. Il est irrésistible et craquant. À la fin, de son numéro, tout le monde est debout, les larmes aux bords des yeux en raison des nombreux éclats de rire. Tudorin quitte la piste et disparaît derrière le rideau. Je m’éclipse du chapiteau pour le retrouver afin de lui dire que son numéro était super et aussi pour tenter tout simplement de lui adresser quelques mots. Mon regard se pose sur ses fesses et il remonte lentement sur son dos puis sa perruque rouge de clown ! Tudorin se désaltère, j’en profite pour le rejoindre et m’empare à mon tour d’un verre à la buvette. Il me regarde, on se sourit et je lui dis :
La-dessus, nous partons bras-dessus bras-dessous, en direction de sa roulotte. Cette même roulotte s’avère en fait très petite et constituée principalement d’une petite table avec un miroir afin de se maquiller et d’un lit étroit ainsi que de deux chaises. Tudorin s’assied sur la première chaise et déboutonne les premiers boutons du haut de son costume, laissant dévoiler un pan de son torse à priori mate, musclé et légèrement velu. Il prend un coton démaquillant et après l’avoir imbibé d’un lait il commence à frotter son maquillage blanc en commençant par le contour de ses yeux. Debout, dans son dos je le regarde captivée par ses gestes précis et rapides. Et alors, qu’il commence à démaquiller le bord de ses lèvres, je me lance dans une tirade qui va bouleverser à la fois mon coeur et plus tard notre relation jusqu’alors amicale :
Tudorin se retrouve face à moi. Les yeux dans les yeux. Je commence à démaquiller légèrement son front puis le bord de ses lèvres fermes et fines. Nos visages se rapprochent. Ses lèvres sont à quelques centimètres des miennes puis elles se touchent… Nous commençons par un long baiser langoureux et profond. Ses mains prennent mon visage. Je ressens un courant électrique le long de mon échine. Je commence à déboutonner son costume et j’entrevois son torse. Ma bouche caresse sa peau, son cou, son buste. Il sent bon un mélange à la fois de virilité et de sueur. Mes lèvres se posent sur son cou, le haut de ses épaules, sa poitrine. Je déboutonne mon chemisier, laissant apparaître ma poitrine enveloppée dans un soutien-gorge rouge en dentelle. Nos mains, nos langues s’unissent. Tudorin dégrafe mon sous-tif et empoigne mes seins. Il les serre puis y plonge sa tête. Mes tétons aux contacts de sa langue durcissent et je ressens mille fourmillements de plaisir. Ensuite, il me prend dans ses bras et m’emmène sur le lit. Il est au-dessus de moi. On se caresse mutuellement et dans ces mouvements interdits ma jupe tombe, je me retrouve à sa guise (et à mon grand plaisir) en string rouge au niveau de mes genoux puis très vite à terre…
Je suis nue face à lui, à son ardeur. Ses doigts atteignent malicieusement mon petit trésor à la toison brune et humide par l’excitation. Il me caresse doucement, commençant par mes lèvres, puis son majeur imprégné par ma liqueur se fraie un chemin lent et agréable jusqu’au plus profond de mon être. Ses doigts jouent avec mes parois secrètes. Quant à mes mains, après avoir ouvert sa combinaison de clown, elles cajolent son sexe dressé, de taille fort raisonnable. On se masturbe tout en finesse et en doigté ( c’est le cas de le dire) ! Mon amant se redresse et debout, il ôte ce vêtement multicolore bien encombrant pour ce genre de spectacle. Nu, debout, face à moi, le corps musclé et les muscles tendus ; il m’excite. Toujours assise sur le lit étroit, je m’empare de son sexe et le décalotte découvrant un gland rouge, accompagnée de sa petite goutte d’excitation. Je titille son frein de petits coups de langue. Puis, je tombe à genoux et avale sa bite. Elle a une légère odeur de sueur, en raison sans doute du spectacle donné précédemment. Cela me la rend encore plus irrésistible, ma bouche s’active le long de son engin. Sa main caresse ma nuque et mes cheveux, il m’invite à l’aspirer, le gober plus fort, plus profond. Ma langue s’enroule autour de son délicieux pieu. Parfois, je donne un petit coup de poignet pour soulager ma mâchoire puis très vite je reviens à ma tâche favorite. Je n’oublie pas de malaxer ses tendres testicules et mes mains enserrent ses fesses musclées et parfois l’un de mes doigts se perd le long de son petit trou que je caresse subtilement. J’aime le goût de sa chair, ses soupirs de satisfaction. Je prends un grand plaisir à sucer, à lécher son sexe chaud et dur, son gland est un vrai délice. « Viens en moi, je veux te sentir en moi… » Je lui miaule cette demande accompagnée d’un regard coquin et d’un coup de langue malicieux tout le long de sa bite.
Je m’allonge sur le lit et écarte mes jambes dévoilant mon intimité lasse de ne pas être victime de sa belle queue. Tudorin s’allonge sur moi, de tout son poids il m’enserre : je suis sa proie… Enfin, il me foudroie d’un mouvement de bassin. Mon clown se transforme en amant. Son sexe s’acharne dans ma petite chatte, de plus en plus détrempée. Ses bourses claquent à chaque va-et-vient. Tudorin me secoue de spasmes, mon entrejambe fourmille de plaisirs. Parfois, sa tête se love entre mes seins, sa langue échauffe mes tétons, ses dents pincent légèrement mes mamelons. Je prends un pied pas possible. Ses coups de reins ne cessent de s’amplifier tant en intensité qu’en vitesse. Je le veux plus fort, plus mâle… Son sexe me rend dingue, je griffe son dos, lui serre les fesses. Son étreinte se fait plus forte, vigoureuse. Soudain, sa main agrippe sa perruque qu’il gardait jusque là. Il l’arrache et je distingue ses cheveux courts et quelques perles de sueur sur son front. Puis, il tente d’enlever son nez rouge mais ma main attrape son bras « gardes-le, ça m’excite ! » Il n’en faut pas plus pour que mon clown se déchaîne ; ses hanches s’affolent, son bassin accélère son mouvement, déclenchant en moi des cris d’extase. Mon clown se transforme en dompteur, je suis sa bête puis sa proie… Tudorin ramène mes jambes autour de sa taille, sa pénétration prend de plus en plus d’amplitude au grand bonheur de mon sexe. J’ai du mal à respirer normalement. Le lit tremble, mes bras tombent en croix. Je ne réussis qu’à gémir, totalement soumise à sa bite qui brûle en moi. Je sens bien que mon amant va craquer bientôt et d’un dernier coup mémorable, il jouit dans un profond râle de soulagement. Ensuite, il s’effondre sur le côté, le souffle court.
Je suis également épanouie de plaisir mais j’ai encore envie de sa verge, j’en ai besoin. Lui, allongé sur le dos maintenant, c’est parfait pour que je lui fasse une petite séance de remise en forme. Je descends avec milles bises sur son torse, ses abdos, lèche son nombril, puis enfin atteint la base de son pénis retombé après un tel effort. Je le prends et le réconforte dans ma bouche, sa bite a encore un léger goût de sa semence. Ma langue câline son gland, puis, je lèche ses boules tout en le branlant. Mon compagnon, réagit par de petites complaintes de plus en plus fréquentes. Sans doute le signe qu’il reprend des forces tout comme son sexe qui peu à peu reprend une vigueur intéressante. Je sens son sexe grossir dans ma bouche et bientôt il devient trop grand pour pouvoir le contenir en son entier. Je le suce avec ardeur tout en profondeur. J’ai la bouche sèche à force d’user toute ma salive sur sa bite fièrement dressée. Ma bouche se transforme en vagin qui monte et descend le long de sa queue. Le rythme de ma gâterie monte tout comme les gémissements de mon partenaire. L’un de mes index titille le bord de son sphincter puis peu à peu la caresse se fait plus audacieuse. Parfois, mon poignet remplace ma bouche. Je le pompe sans relâche, je veux qu’il jouisse à l’instant que tout son corps se relâche. Tudorin tremble, ses abdos sursautent à chaque lapement sur son sexe. Puis un long râle plus profond m’avertit de son futur orgasme. J’en profite pour accélérer la cadence de ma pipe endiablée. Il ne tarde pas à jouir en plusieurs giclées. La première atterrit tout droit au fond de ma gorge, les autres sur mon visage. Je suis surprise par la force de son éjaculation !
Je remonte le long de son corps encore pris de spasmes. Je le regarde, il a l’air ravi. Je lui fais un clin d’oeil et lui dépose un dernier baiser sur ses lèvres. Puis j’emprunte son nez rouge toujours en place et le met sur mon nez. « A ton tour de me démaquiller !!! »