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n° 08686Fiche technique19217 caractères19217
Temps de lecture estimé : 12 mn
14/02/05
Résumé:  Pas d'histoire, pas de résumé, si je ne m'étais pas caché dans le vestibule
Critères:  fhhh amour volupté voir
Auteur : Bleuvanille      
Vestibule.. une femme épanouie et toujours amoureuse




Je vous confie ce récit pour que vous m’expliquiez O., une femme épanouie et toujours amoureuse.


O. habite une belle maison de ville, dont on a découpé les grands appartements d’antan en petits studios bien mal découpés : La plus grande pièce est le vestibule d’entrée qu’O. a divisé à l’aide d’une grande tenture : la plus grande partie derrière le rideau sert d’armoire et de remise. La salle de bain – qui n’a pas toujours été une salle de bain, est immense. La petite pièce du fond est à la fois séjour, pièce de travail et chambre à coucher.



Les protagonistes :


· O., 26 ans, étudiante, belle brune, grande bouche sensuelle, - dont je suis éperdument amoureux depuis quelques mois.


· Moi, M., qui aurai la drôle d’idée de me cacher derrière le rideau du vestibule.


· Sad, un ancien voisin, qui a habité l’appartement du dessus.


· Pedro, un étudiant chilien qui donne des cours d’espagnol à O.


· Le Prof., qui est vraiment son professeur à la fac.



O. et moi nous sommes promenés dans le parc à l’ombre des grand arbres, avons mangé une glace et regardé des photos sur le balcon jusqu’à ce que le soleil disparaisse derrière les toits. Je suis allé chercher deux verres d’eau. O. vient de mettre un concerto pour piano et orchestre.

Elle s’est assise au beau milieu de la pièce à même le sol sur le parquet de bois, les jambes un peu écartée, le dos bien cambré, la petite robe à fleur en coton retroussée juste au-dessus du genou, pieds nus. Je viens m’asseoir derrière elle, je mordille les bretelles de sa robe, j’effleure des lèvres ses épaules dorées. Ces cheveux sentent si bon.

Est-elle amoureuse elle aussi ? Elle dit parfois qu’elle m’aime bien.


Nous n’écoutons que le premier mouvement, O. m’a offert son après-midi mais il faut qu’elle se mette au boulot. Elle me dit de revenir bientôt, qu’elle aura bientôt plus de temps. Je lui frôle l’avant bras, lui dépose un petit bisou sur la joue et lui dit « à bientôt …». Elle reste à son bureau, je traverse seul le vestibule. Je l’aime.


Si j’avais crié « SA-LUT » et j’étais sorti, cette histoire pourrait s’arrêter là.


J’ai crié « SA-LUT », j’ai fait claquer la porte - comme si j’étais sorti - et me suis caché derrière la tenture installée dans le vestibule pour faire d’un recoin une espèce d’immense armoire et débarras où s’entassent des manteaux d’hiver, une raquette de tennis, une caisse à outil…


Sad


On frappe à la porte. Je vois une ombre à travers la vitre cathédrale. J’entend les pas de O. qui vient de la pièce du fond. Je n’ose plus respirer.


Elle ouvre la porte.


« Bonjour O. , Tu as le temps ? J’avais envie de passer,.. »


C’est Sad, le voisin du dessus, ou plutôt l’ancien voisin, je le connais un peu.


« .. Non,… tu peux entrer si tu veux mais juste 2 minutes:

M. vient juste de partir, Fernando va arriver pour mon cours d’espagnol, et après mon prof. veut passer récupérer un chapitre de ma thèse et ce soir j’ai une répétition de danse et je n’ai rien de prêt,… »


Elle repart vers le fond sans attendre, il la suit, pousse la porte derrière lui, - et dans la fente du rideau je vois comment en deux pas il la rattrape, se colle derrière elle, il l’arrête en l’entourant de son bras gauche et la plaque contre lui. Elle ne dit rien, semble retenir son souffle.


Avec la main droite il commence à lui masser les épaules, lentement, puis la pousse en avant. Elle se penche, se tient d’abord les chevilles puis prend appui au sol, ses cheveux balaient le sol. Ils n’ont pas échangé un mot.


La main de Sad descend puis remonte le long des jambes en retroussant la robe de coton. Ce sont mes rêves, mes phantasmes, mon innocence que l’on viole en quelques minutes dans le vestibule.


Il lui masse les fesses, tire sur la petite culotte noire qui glisse sur ses jambes. Elle est pliée en deux, la robe est retroussée sur son dos. Ces fesses sont offertes à ce type.

Dans la pénombre de l’entrée je reconnais la marque de la trace de son maillot de bain. Je l’avais déjà souvent reluqué son petit slip de bain bleu marine à poix blanc, un bikini qu’elle avait du déjà porter à 16-17 ans. À 26 ans, avec un corps parfait – le bikini lui allait toujours bien mais était un peu étriqué. Ce n’est plus la position si humiliante qui m’apparaît obscène mais la marque de bronzage. La ligne est bien nette et le triangle blanc m’apparaît très petit, je n’avais pas réalisé qu’au bord du lac elle refusait d’enlever le haut mais exhibait beaucoup de ses fesses.


Tout cela me fait bander mais je pressens l’horreur :

Ce type au jeans usé, les cheveux un peu crade, va enculer cette fille si fragile que j’ai tant désiré, et dont j’ai parfois caresser la main quand nous étions en confiance.


Il la fait se relever et la retourne vers lui. Elle se tient debout devant lui comme une petite fille que l’on va gronder. Elle sourit, elle a l’air désolée. Il fait glisser les bretelles vers l’extérieur, la robe glisse, le sein gauche est maintenant découvert : ferme, d’une forme si douce, d’un teint si pâle. Je retrouve le trait de la marque de bronzage, si net, si fin sous la bretelle, comme si le tissus n’avait jamais glissé pendant les séances de bronzage. C’est elle qui de la main fait glisser la robe restée accrochée au téton de son sein droit. Le tissus tombe au sol, elle fait glisser la robe sur le coté. Il la prend par les épaules et la retourne, son dos est superbe, j’aimerais toucher et sentir ces boucles qui lui descendent jusque dans le creux des reins.


A nouveau il la pousse en avant et docile, elle se plie en deux. Il lui caresse l’intérieur des cuisses, lui écarte les jambes. Je vois les larges épaules de Sad, il est en veste, elle est nue. D’une main il la tient à la hanche, je vois la pression de ses doigts sur la hanche, je devine que sa main droite plonge entre les jambes d’O.


Elle pousse un petit cri, un râle. Il se baisse – je l’entend cracher entre les fesses d’O., j’ai juste le temps d’apercevoir que tout son pouce est enfoncé dans le petit trou d’O tandis que ses autres doigts ont disparu dans la touffe de poils.


Elle crie : Sad ! arrête !, arrête ! je conviens que le ton pourrait vouloir dire « oui ! prend moi !.. », Sad ralenti ses mouvements, se penche vers elle, elle geint, elle crie, elle est au bord de l’orgasme, elle explique que Pedro va arriver, qu’elle doit encore corriger un texte,…

Sad la laisse se relever, réajuste sa veste. Il prend le visage d’O. entre ses mains, lui donne un baiser sonore sur la bouche et la laisse plantée là, dans l’entrée, complètement nue.


Pedro


A peine Sad est il sorti, qu’à nouveau on sonne. O. disparaît dans le fond du studio et revient immédiatement avec ce fameux bikini bleu marine à poix blancs à la main. Elle enfile le bas et déjà je vois l’ombre de Pedro à travers la vitre cathédrale. Elle entrouvre la porte, Pedro entre tandis qu’elle finit d’emballer ses petits seins dans le soutien-gorge (ce sont juste deux petits triangles et un bazar de ficelles). Pedro regarde sans rien dire.



Pedro est planté au milieu du vestibule, regarde cette fille superbe en petit bikini bleu à poix blanc en train de se faire couler un bain. Elle ressort et va aux toilettes, Pedro entre dans la salle de bain avec sa sacoche en cuir et une chaise de cuisine.


Derrière ma tenture je ne vois plus ce qui se passe dans la salle de bain :


Je doute qu’elle entre dans l’eau en bikini mais je ne veux pas non plus croire qu’elle s’offre aux regards de Pedro. Clapotis d’eau, j’essaie de reconstituer, de compter les secondes, a-t-elle eu le temps de se déshabiller. Pedro a un bouquin de Garcia Marquez, il dit que c’est au moins aussi torride que cette fin de journée et lui propose de lire et qu’elle l’interrompe si elle ne comprend pas. Je ne comprend rien mais la voix de Pedro semble est chaude et douce. Que fait-elle ?


Le vestibule est sombre, la salle de bain bien éclairée, j’enlève mes mocassins et traverse le vestibule sans bruit pour aller regarder dans la fente de la porte.


O. est complètement allongée sous la mousse. La tête légèrement tournée sur le côté est calée sur une serviette de bain en guise de coussin. Elle lit avec un regard attendri sur les lèvres de Pedro qui ronronne son Garcia-Marquez.


La mousse me semble épaisse, ses épaules, ses bras sont sous l’eau. Je ne devine que les genoux juste à la surface de l’eau. Les genoux sont presque contre le bord de la baignoire, les jambes sont donc bien écartées. Je prie qu’elle ait gardé le bikini, si elle devait être nue je n’aimerais pas que la mousse de dissipe car Pedro serait au première loge.


« La vraie question est maintenant de savoir si je me lave les cheveux ou non ? j’en aurais bien envie mais je n’aurai pas vraiment le temps de les sécher… ??? … je retraverse le vestibule et vient regarder dans la fente. O. est maintenant sur le ventre – mais toujours sous la mousse, les épaules sortent un peu de l’eau. La brettelle du bikini est peut-être cachée sous les cheveux.


« Bien sur, c’est très volontiers que je te mets le shampoing,, » dit Pedro. Tandis qu’il ouvre la bouteille, elle glisse plus en avant dans la baignoire, renverse sa tête en arrière et plonge la chevelure dans l’eau.


Le visage émerge de l’eau, et aussi les tétons roses tout en érection au sommets de deux petites îles au profil très doux et une touffe de poil tout noir et tout mouillé. Pedro est un peu embarrassé.


Elle se met à genoux dans l’eau, lui prend la bouteille : « Vas-y ! et que ça mousse ! ». Pedro assis sur le rebord de la baignoire lui masse la chevelure. Elle a de l’eau jusqu’au nombril, Pedro est assis derrière elle sur le rebord de la baignoire et je me console en me disant qu’il voit moins biens que moi.


Elle se lève, Pedro est resté assis à côté d’elle, à quelques centimètres.

Elle est superbe. Elle prend la pomme de douche : « à ta place je reculerais mon ami, lui recommande-t-elle…


Elle se rince les cheveux puis dirige le jet vers son cou, vers ses seins, le ventre,…

Elle se tourne vers le mur, passe la pomme de douche au-dessus de son épaule :

« J’ai de la mousse dans le dos encore ? »

« Non, c’est bon, dit Pedro. »

Pedro la voit de dos, je l’admire de profil : forme douce des seins, cambrure régulière de la chute de rein, galbe parfait des fesses, …

Le jet de douche revient vers ses seins qu’elle pétrit gentiment, puis ses doigts glissent entre les jambes pour bien rincer chaque pli, elle se retourne vers l’intérieur de la pièce.


Pedro ramasse sa sacoche et en sort son téléphone portable – avec un appareil photo intégré qu’il pointe vers elle :



Je suis fou de colère, toute la colonie étudiante espagnole de l’université verra tôt ou tard ces photos. Toujours debout dans la baignoire elle se retourne vers Pedro, une main cache plus ou moins son sexe, elle sourit, rougit un peu, ses seins durcissent encore, elle s’en rend compte et entreprend de cacher un sein de la main. Pedro photographie. Pip-Pip, Pip-Pip.


Elle est sortie de la baignoire, se sèche énergiquement, notre malheureux photographe n’a plus le recul nécessaire. « Je peux te mettre dehors ? Mon Prof. va arriver d’une minute à l’autre et il faut encore que je classe tout un chapitre. »


Pedro lui fait un petit bisou dans le cou,… et disparaît avec les photos.


Le prof


Elle n’a eu que quelques minutes pour enfiler une robe toute simple mais élégante, peut-être un peu moulante. Je devine sa culotte, je vois le contour des mamelons,… moi.


Le prof s’est installé au bureau, je l’entends tourner les pages. Il pose quelques questions. Je peux voir O. qui s’est assise sur le canapé-lit juste en face de la porte dans le prolongement du couloir.


Le Prof. a finit et va nous quitter avec quelques formules d’encouragement. Il semble attendre qu’elle lui tende la main pour partir. Il semble maintenant vouloir se pencher en avant pour lui faire la bise ( ???) Elle s’appuie plus en arrière sur les deux coudes.


Le prof. hésite un instant puis se penche plus en avant au-dessus d’elle, jusqu’à devoir prendre appui sur le canapé, elle est maintenant allongée sur le dos, il lui dépose une bise – je crois sur le nez. Il lui caresse le visage, sa main passe sur l’oreille, descend le long du cou. Ses doigts s’accroche dans le décolleté et il profite de ce que la robe est élastique pour tirer vers le bas et lui mettre les seins à l’air.


Elle se redresse un peu et lève les yeux vers le prof planté devant elle. Sa poitrine est superbe. Elle se cambre encore un peu, veut se donner l’air de celle qui n’est pas du tout impressionnée par la tournure que prennent les événement mais sa voix trahit l’émotion :



Il ne répond pas, il reprend le tissus et tire plus bas. La robe se roule jusqu’aux hanches, à hauteur du nombril. Cour instant d’hésitation puis la robe passe sous les fesses d’O. et le prof s’accroupit pour faire passer la robe autour des sandalettes.



O. se redresse, assise sur le bord du lit, elle ne porte plus qu’une culotte dont l’élastique sur le côté est aussi fin que les lanières des sandales.


Indifférent, il dégrafe et enlève son ceinturon qu’il pose sur le lit, il se déchausse puis enlève son pantalon. Les joues d’O. rosissent, son ventre se contracte, le halètement qu’elle a du mal à contenir donne aux seins un petit ballottement . Elle observe le boxer-short du prof sans rien dire.


Il s’avance, la prend aux épaules et la pousse lentement en arrière. Dès qu’elle repose sur le dos il s’agenouille entre ses jambes et tire vigoureusement sur la petite culotte qui est maintenant au- dessus des genoux. O. garde les jambes légèrement écartées pour empêcher que la culotte ne descende plus bas.


Le Prof découvre un duvet très fin, une vulve parfaite : La saillie est très longue, les grandes lèvres ne sont pas très charnues mais parfaitement formée et généreusement ouvertes. O. encore un peu réticente lui présente un superbe clitoris.


Plutôt que de tirer en force sur la culotte le prof s’agenouille et commence à lui chatouiller le ventre de la langue, il est parti du nombril et descend lentement, lui mordille le mont de Vénus, suçote,… O. émet un gémissement et referme les jambes. Il lui enlève le slip avec précaution.


Elle pourrait se lever, dire que cela suffit mais elle reste sur le dos. Le prof. la prend à pleine mains sous les fesses pour la faire glisser plus en arrière. Il monte s’agenouiller sur le divan au-dessus de la jambe d’O. . Son genou gauche est bien encastré entre les cuisses d’O. , il repose sur la jambe d’O. qui est immobilisée.


Il prend à sa gauche et à a deux mains l’autre genou d’O., lève la jambe et la bascule vers la droite. La jambe est un formidable levier qu’il manœuvre jusqu’à trouver la plus jolie position :


Cette pauvre O. est dans une position plutôt instable mais le galbe de ces fesses sont un spectacle merveilleux. Le spectacle de ce cul est obscène et excitant. Il laisse glisser son doigt depuis le bas du dos, suis la raie des fesses, tourne au tour du trou. Il change de doigt, c’est son pouce qui suit la ligne jusqu’à l’échancrure de la vulve. Il masse gentiment la base du clitoris.


Le prof est plutôt vaginal : il porte la jambe à mi-hauteur et la pousse en avant sur O. dont la vulve s’ouvre en beauté comme une fleur à maturité.

Comment en vouloir au Prof. qui devant ce sexe béant et luisant laisse son membre sortir du caleçon, regarde O. dans les yeux en venant se placer… – puis pousse en un coup jusqu’à la garde.


O. est perdue. Je suis le manant amoureux et jaloux d’une princesse qui vient de trouver son prince : Elle lui sourit, rayonne, geint, crie, l’encourage, j’entends le clapotis des deux sexes qui s’entremêlent.

O. prend les mains du Prof. et l’invite à inverser les rôles. Il s’allonge à son tour sur le canapé et elle vient à califourchon sur son ventre, elle l’embrasse à pleine bouche, lui mordille les lèvres. Elle se soulève un peu pour venir se placer juste au-dessus de la colonne en pleine érection. C’est maintenant elle qui décide, elle se caresse avec la pointe de l’asperge, elle prend le sexe à pleine main pour pouvoir le guider, elle danse, se contorsionne au-dessus du sexe puis se laisse descendre tout doucement. Elle repose de tout son poids sur le prof qu’elle ne peut plus s’enfoncer plus profond.



Voulez vous que je vous raconte qu’O. ne manquait ni de créativité ni de bonne humeur, que ce soir-là derrière mon rideau de penderie, j’ai eu des larmes dans les yeux, - et pas seulement dans les yeux, et qu’elle n’a jamais su que j’avais été derrière le rideau, nous n’en avons jamais parlé. Nous nous sommes mariés, elle m’a offert beaucoup d’enfants et de nombreuses récidives. Je l’aurai beaucoup aimé. Elle non plus.