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Temps de lecture estimé : 40 mn
17/02/05
Résumé:  Jeune mariée, ma femme évoque une attirance bizarre pour les hommes mûrs, et je me suis pris au jeu.
Critères:  fh hplusag extracon cocus inconnu oncletante prost enceinte poilu(e)s amour cérébral revede voir jeu journal
Auteur : Loic d'Angers  (Homme, 25 ans)      
Étranges premières années de mariage



Lorsque je croise un couple dont l’homme est nettement plus mûr que la femme l’accompagnant, je ne peux m’empêcher de penser à notre première année de mariage datant d’un peu plus trois ans, en décembre 2001, lorsque Elodie et moi Loïc avions emménagé dans un petit appartement intégré dans une maison individuelle, à Angers. Le propriétaire, un veuf de 51 ans, fut d’abord très réservé lorsque j’avais visité l’appartement qu’il proposait en location car il exigeait des ressources financières élevées, alors que Elodie et moi, bien que très correctement diplômés, gagnions encore peu à l’époque où chacun débutait. J’avais insisté en lui promettant un règlement régulier et lui demandais d’être sympa pour un couple de jeunes mariés. Il a répondu qu’il faudrait que la jeune mariée soit très jolie pour qu’il accepte de nous le louer.


Je me doutais bien qu’un veuf relativement âgé, même s’il portait beau, était du genre vieux cochon, et je savais Elodie si belle qu’il ne pourrait qu’accepter. Après tout, me disais-je, si cela lui fait du bien de regarder ma belle épouse, il n’y avait pas de mal à cela. Elodie que j’avais mise au courant s’était habillée très courte, ravie et amusée, et a visité avec moi le logement. Henri, c’est ainsi qu’il s’appelait, avait été subjugué et nous avons signé le bail, la vue des jolies cuisses de ma petite femme ayant produit son effet.


Il s’était montré discret au début et nous avons vécu là avec Elodie la folie des premières semaines d’un mariage pétillant. Nous faisions l’amour comme des fous, jusqu’à épuisement. Elle découvrait vraiment le sexe, après nos trois années d’étude trop studieuses pour nous lâcher, elle aimait cela, était toujours partante et m’excitait violemment car elle ne parlait que de cela, de vive voix, sur nos portables ou dans ses SMS. J’aimais la masturber avec un gros gode en caoutchouc, très veiné et ressemblant, et on délirait sur des folies, des fantasmes tout en s’adonnant sans retenue à notre occupation favorite. Elle entrait dans mon jeu en se disant être ma petite putain personnelle, prête à tout.



*****



Petit à petit, Henri se fit plus présent, venant nous saluer le soir en nous apportant notre courrier, discutant un peu autour d’un café. Il n’avait d’yeux que pour elle et cette adorable coquine adorait me piquer en s’habillant courte dès qu’elle rentrait du travail, pour le recevoir craquante à souhait. Il ne cessait de la complimenter, puis s’enhardit en disant en plaisantant qu’en cas de difficultés de paiement de notre loyer, il se payerait en nature sur elle, ce qui la faisait glousser. Dès que la porte se refermait sur lui, je me jetais sur elle, et je la traitais volontairement de tous les noms : elle riait, adorant que parfois je lui parle crûment. On faisait alors l’amour avec fougue, et mon gode que j’appelais à la rescousse devint dans nos fantasmes le pieu d’Henri venant se payer en nature. Ce jeu avait visiblement le don de beaucoup l’exciter, bien plus que lorsque j’attribuais le gode à tel ou tel de nos amis, pourtant à mes yeux mille fois plus sexy que ce presque retraité, même s’il n’avait rien d’un vieillard. Elle me disait souvent que ce fantasme sur nos amis ne la faisait pas vibrer, n’imaginant pas goûter à d’autres hommes comme moi car elle avait épousé le plus beau et le meilleur amant du monde (que ça faisait du bien d’entendre ça !).


Manifestement, le gode Henri l’excitait et elle le reconnut volontiers. Elle m’avoua que depuis qu’elle s’asseyait systématiquement sur le canapé à côté de lui, Henri profitait toujours que j’aille en cuisine chercher le café (eh oui, je faisais le service) pour effleurer ses cuisses, jusqu’à les palper ouvertement. Elle me dit avec sa spontanéité naturelle qu’il n’y avait pas de mal à lui offrir quelques secondes de bonheur, et me demanda si je lui en voulais. Au contraire ! Je comprenais mieux pourquoi elle mouillait tant quand je la prenais dès son départ. Je l’ai traitée de perverse attirée par les vieux messieurs et elle me rappela qu’elle était ma petite putain. Je crois que si cela avait concerné un de mes amis comme Thierry, un homme jeune qui me ressemblerait donc, j’aurais été jaloux, mais curieusement son étonnante attirance pour Henri n’en faisait pas pour moi un rival, et cela m’excita beaucoup.


Dès lors, ce jeu nous excita si violemment que Elodie ne cacha plus son véritable fantasme. Elle m’avoua sans gêne, droit dans les yeux, s’imaginer se pervertir avec lui, car il lui rappelait un oncle qui n’avait cessé, lorsqu’elle était adolescente, de la peloter. J’en découvrais des choses ! Elle était bien plus coquine que je ne l’avais imaginée, et j’adorais, car loin de la choquer, ce jeu malsain l’avait excitée et elle me dit avoir longuement rêvé être violée par cet oncle qu’elle imaginait velu, viril et très cochon. Je lui ai alors demandé ouvertement si elle désirait réaliser ce fantasme avec Henri. Elle sembla choquée par l’évocation d’un passage d’un fantasme à la réalité crue et garda un temps le silence. J’ai regretté d’avoir exprimé brutalement ce désir, et d’avoir peut-être brisé le charme. Puis son visage s’éclaircit lentement avec l’apparition d’un sourire malicieux :



Elle me regarda avec intensité et ses yeux brillèrent. Je la connaissais, elle était excitée. Je l’ai serrée contre moi et l’ai embrassée. Pendue à mon cou, elle me toisa d’un air coquin :



Elle ne me laissa pas répondre, m’embrassa et sa main glissa dans mon caleçon. Nous avons fait immédiatement l’amour, mais après nous être embrasés, elle me dit ne pas être sûre d’oser cela.



*****



Depuis cet échange, je m’arrangeais pour les laisser seuls plus longtemps, et Elodie me confia qu’il en profitait pour caresser fugitivement son sexe par dessus sa culotte, et palper ses seins. Elle retenait sa main, pour le principe, mais n’empêchait rien. Quand je lui ai demandé de le recevoir sans culotte, elle s’est raidie, a hésité, puis a décidé d’en rester à ce jeu coquin et brûlant, sans aller jusqu’à une caresse intime. Elle n’était pas prête et je n’ai pas insisté.


J’adorais son corps, et je ne pouvais m’empêcher en le regardant de l’imaginer nue aux côtés d’Henri : c’est le contraste, type Belle et la Bête, qui m’excitait le plus, et d’ailleurs c’est aussi ce qui visiblement l’excitait, car il n’avait rien de vraiment attirant, en tout cas pour une belle jeune femme de 23 ans et je me croyais plus viril que lui, tout en étant aimé d’elle. Ses cheveux noirs mi-longs et épais, légèrement ondulés, ses yeux marrons foncés, ses seins fermes aux aréoles sombres, son épaisse toison noire, son sexe joliment dessiné et souligné par un fin duvet sur ses lèvres charnues, ses fesses rondes et fermes, tout cela m’affolait. Ajoutons à cela un beau visage aux traits fins, un sourire désarmant et une expression constante de fausse timidité qui lui donnait avec ses fines lunettes qu’elle portait trop rarement à mon goût un air très sage contrastant avec son appétit sexuel, ses fantasmes crus te sa désarmante franchise.


Plus le jeu se prolongeait, plus elle évoquait son oncle Daniel dans nos délires, disant regretter qu’il ne se soit rien passé d’autres que des attouchements, surtout quand elle eut 18 ans (je l’ai connue à 19, étudiante). C’est là que j’ai su que le soir même de notre mariage, en pleine fête, alors que son oncle la faisait danser et qu’elle était éblouissante de beauté, il lui a dit qu’elle était si jolie qu’il aurait du aller au delà de ses gestes, qu’il aurait du lui faire l’amour alors que désormais c’est moi qui avais cette chance. J’ai ainsi appris qu’il me détestait et aussi que l’aveu de l’oncle avait violemment excité ma petite femme, le soir de ses noces. Il l’avait alors serré très fort, elle l’avait senti bander et elle lui a dit qu’il aurait du oser, car elle en avait rêvé, et qu’elle en rêvait encore mais qu’il était trop tard. Cet aveu bouleversa l’oncle, se traitant d’imbécile, qui lui promit de lui faire l’amour bientôt, malgré ce mariage qu’il maudit. Cela me glaça.



Elle était magnifique. Elle me regardait avec intensité, cherchant à deviner mes pensées. Allongé nu contre elle, j’ai tendu mon bras et j’ai recommencé à caresser son sexe englué de sperme. Elle ferma un instant les yeux et me sourit.



Elle tendit la main et se saisit de mon membre dressé.



Elle sourit.



Elle parlait vite, les questions succédant aux questions. Je ne savais pas quoi répondre. J’avais très envie qu’on corse notre sexualité, qu’elle joue avec ces hommes. Peut-être le fait qu’ils soient vieux ne me gênait pas, alors que j’aurais été écarlate de jalousie avec des jeunes ? Elle attendait une réponse. J’étais persuadé qu’elle en avait envie, même inconsciemment, ces fantasmes étaient forts, constant et elle en parlait. J’ai poussé ma caresse et mon doigt glissait contre son sexe délicieusement inondé.



Une fois encore, elle me cloua le bec en m’embrassant goulûment. On tournait autour du pot depuis un moment, mais là, elle venait de se dire prête à franchir le pas si je le voulais. Pour échapper à une réponse qui me faisait peur, je l’ai prise avec vigueur, et on s’est étourdis.


J’avais conscience d’être lâche, de ne pas assumer mes désirs fous. Nous continuâmes nos jeux coquins, nos délires sans revenir trop près en parole d’un passage à la réalité pour ne pas avoir à nous retrouver à nouveau devant une décision. Henri venait chaque soir, et lorsqu’il pleuvait et que nous ne sortions pas le week-end, il passait désormais une heure l’après-midi pour boire un café disait-il, peloter Elodie traduisais-je. Il devenait de plus en plus audacieux lorsque je m’éclipsais. Elodie continuait à le retenir sans vraiment le repousser. Elle m’a dit avoir été enlacée à plusieurs reprises et avoir nettement senti son érection.



*****



Lorsque soudain la boîte de Elodie la licencia en raison d’une restructuration, ce fut d’abord pour moi une catastrophe. Très affectée, elle promit de s’activer pour chercher un nouveau job, et je la savais compétente, débrouillarde, mais je savais surtout qu’elle allait être plus présente chez nous, donc sans moi, à la merci d’un vieux cochon opportuniste, et elle aimait les vieux cochons. Henri feignit d’être affecté, certainement ravi au fond de lui, et dit de ne pas nous inquiéter pour le loyer. Ses propos me revenait en mémoire… En y réfléchissant, cette catastrophe n’était pour moi que matérielle. J’avais envisagé d’économiser pour nous construire au plus vite une maison, et la perte du salaire de Elodie ne contrariait en fait que cela. On avait le temps finalement, et j’ai relativisé. Pour le reste, je me surpris à penser qu’il allait enfin se passer quelque chose à laquelle je n’avais pas osé dire oui, mais que je souhaitais au fond de moi. Bizarrement, bêtement peut-être en raison du risque de corrompre ma jeune mariée adorée, mais cela m’excitait, je devais me l’admettre.


Elodie consacra sa première semaine de chômage à démarcher les entreprises locales, et profita de sa présence en ville pour venir me chercher au travail. On rentrait ensemble et Henri n’eut pas le loisir d’en profiter pour se manifester. Je le fis remarquer un soir à Elodie.



Elle eut une expression très coquine.



A nouveau son regard de braise me transperça. Ce qui me plaisait en elle, c’est qu’il n’y avait jamais de faux semblant. Elle était nature, directe, franche. J’imaginais ma jolie et jeune épouse écrasée sous le poids du propriétaire, à recevoir son sperme en paiement d’un loyer qu’on ne pouvait plus payer. Et je bandais !



J’ai retiré sa petite culotte, et j’ai palpé ses fesses comme Henri aimerait le faire.



Là, c’est moi qui perdais les pédales, j’allais trop loin, je disais n’importe quoi, j’allais tout foutre en l’air en la choquant, et je l’ai embrassée longuement.



*****



Le week-end venu, nous sommes allés chez ses parents à Tours. Nous y avons vu Daniel, le frère de son père, qui la dévorait des yeux le salaud. Ce n’était pas prévu et cette confrontation me glaça. Il avait de la chance me dis-je, alors qu’il était persuadé que c’était l’inverse. De retour dimanche, nous avons déliré sur la route sur cet oncle charmeur de 45 ans, bel homme, qui avait bêtement ignoré que la petite victime qu’il avait allumée sans vraiment le savoir était devenue une jeune femme épanouie et gourmande, même de lui au moins en rêve.


Henri, bien sûr, vint. Il est venu une demi-heure après notre arrivée. Elodie, émoustillée par sa rencontre avec son oncle et nos propos croustillants sur la route avait cette fois accepté de retirer sa culotte. Ce fut pour moi à la fois un soulagement et une terrible angoisse, sentiment paradoxal fait d’excitation et de crainte. Fuite en avant. J’ai servi le café et ai prétexté devoir compléter le niveau d’huile dans la voiture pour les laisser. Je suis remonté une bonne demi-heure après, en faisant beaucoup de bruit. Elodie avait le regard brillant des moments de grande excitation. Henri était rouge… Je me doutais bien qu’ils n’étaient pas passés à l’acte, mais ils avaient du se caresser, s’embrasser. Ils auraient tout le temps le lendemain, et tous les jours qui allaient suivre. Qu’avais-je fait, qu’avais-je osé ? Je me pris pour un fou, un fou qui pourtant bandait fort. Paradoxe encore. Terrible paradoxe d’une envie hors norme, excitante parce qu’elle était hors norme, et angoissante aussi pour cela.


Quand Henri fut parti, je me suis précipité sur elle pour caresser son sexe velu. Plein de sève, naturellement, mais apparemment rien d’autre.



Elle m’embrassa, comme toujours quand elle était embarrassée.



Elle ne répondit pas. Je caressai avidement son sexe humide et surmontait péniblement mon angoisse. L’excitation se fit enfin la plus forte, et je me sentis libéré, surexcité.



Elle fouilla dans mon pantalon et saisit ma queue, dure comme du bois.



Elle se recula, bras tendus autour de mon cou.



C’est à ce moment que j’ai remarqué que son chemisier était taché. Cela m’a fouetté, et a définitivement dissipé toute cette angoisse paradoxale qui étouffait une fois encore mon excitation. Je l’ai prise le soir, et surtout le matin avant de partir. Elle allait juste après faire l’amour avec Henri qui piaffait d’impatience en attendant de prendre ma place toute chaude, le salaud, et je voulais qu’elle garde les traces de moi. C’était stupide, mais je l’ai voulu comme ça.


Ce fut la semaine la plus étrange de ma vie. Je vivais un peu cela comme un rêve. Elodie a reçu Henri chaque matin, et deux après-midi juste avant que je ne rentre. Moi qui croyais qu’à partir de quarante ans on ne pouvait plus souvent ! Chaque midi, elle me téléphonait et me racontait ce que je voulais qu’elle raconte, pudiquement ou crûment selon mon degré d’excitation, c’est moi qui décidais.


Le lundi soir, elle était venue me chercher au travail après son entretien. Elle m’a serrée fortement et j’ai éprouvé un sentiment très étrange de sentir ce corps si connu et si adoré, que je savais avoir été possédé la matin même, pour la première fois, par un quinquagénaire viril qui l’avait souillée. Elle serrait tendrement son cocu de mari et j’ai eu terriblement envie d’elle.



*****



Le plus bizarre fut le premier soir où je rentrai juste après qu’Henri ait regagné son appartement. Il m’évitait alors que Elodie lui avait dit dimanche que j’étais d’accord et que cela m’excitait qu’elle me fasse cocu avec lui. Elle était encore au lit, nue, une énorme tache s’étalant sur le drap entre ses cuisses ouvertes et me tendait les bras. Son sexe velu, sa belle toison noire était totalement englués d’un sperme épais qui continuait lentement à s’échapper d’entre ses lèvres. Même dans les films X, je n’avais jamais vu ça. Cela aurait du me dégoûter, mais c’était là le même cadeau que j’avais fait lundi matin à Henri, que cela n’avait visiblement pas gêné. Ça m’a violemment excité. Je me suis allongé sur elle, nous nous sommes longuement câlinés, puis je l’ai fait parler pour faire taire cette angoisse stupide qui à nouveau m’envahissait et affectait mon érection. Enfin, n’en pouvant plus, je l’ai pénétrée, souillée, inondée et l’ai pistonnée comme un fou. Elle gémissait vivement, ses doux gémissements émis au rythme du bruit de clapotis que faisait mon membre dans son vagin plein de sperme. J’y ai ajouté le mien, puis suis allé me doucher, en proie à ces vifs sentiments paradoxaux qui ne m’ont pas vraiment quitté de la semaine.


Elodie m’a fait rire en m’exhibant en fin de semaine l’épaisse serviette qu’elle n’oubliait plus d’utiliser pour mettre sous elle, pour éviter de changer chaque jour les draps, toujours son sens pratique. Elle est vite devenue la « serviette d’Henri ».


Je n’ai vu Henri que le dimanche matin suivant, en lui rendant visite. Un peu inquiet de m’apercevoir en ouvrant sa porte, je l’ai rassuré d’un sourire et lui ai dit que j’allais faire un peu de vélo, pour m’entretenir, jusqu’à midi, que la place était libre, chaude, et qu’Elodie l’attendait. Dès lors, il ne se cacha plus, ne se gêna plus. Elle eut ses règles et se refusa à l’un comme à l’autre, comme d’habitude, pour se rattraper ensuite avec ferveur. Elle aimait ça, ne s’en cachait pas, et convainquit Henri, réticent au départ, de me laisser parfois les regarder quand vraiment j’en avais envie. Ce fut plus torride que tout ce que j’avais imaginé. Ma belle petite jeune femme nue contre cet homme un peu ventru, bien conservé à part cela, aux étonnantes couilles velues pendantes qui produisaient en quantité industrielle un sperme épais que le vagin étroit de Elodie, saturé, expulsait rapidement et abondamment, et qui se répandait sur la serviette sous ses fesses. Elle était excitée, jouissait à répétition, bien plus qu’avec moi je devais bien me l’avouer. J’étais fasciné par son sexe pénétré, ses lèvres velues dessinant un O autour de la grosse bite d’Henri dont les grosses couilles balançaient lourdement sous lui. Tous mes sens étaient à la fête, la vue bien sûr, même l’odeur si délicieusement musquée de l’amour, et plus encore l’ouïe enchantée par les sons qu’elle produisait en faisant l’amour : elle respirait fort, bruyamment au rythme où on la prenait. À chaque expiration, un petit son plaintif et parfois un « oui » murmuré. Quand son plaisir montait, des gémissements brefs accompagnaient le rythme jusqu’à un plainte continue annonçant son orgasme couronné d’une longue plainte aiguë, accompagnée de spasmes et de tremblements de son menton. Elle préférait de loin la position du missionnaire, lui permettant son jeu favori d’embrasser à pleine bouche. En levrette, elle lançait souvent une main cherchant à toucher celles posées sur ses flancs ou ses hanches.


J’aimais la prendre ensuite, souillée, et laissait la place à Henri quand il en voulait encore. Elodie était aux anges : être prise ainsi plusieurs fois de suite lui procurait des orgasmes à répétition. La serviette était parfois à tordre et… nous ne payions plus de loyer. Après trois mois de chômage, elle retrouva un emploi de comptable, bien payé, dans un grand magasin. Notre vie sexuelle ne s’assagit pas pour autant. Ce qu’elle ne pouvait plus faire le matin, elle le refaisait au moins deux soirs par semaine, parfois avec nous deux, à la file. Elodie n’avait pourtant pas changé. Elle restait cette adorable épouse, tendre, affectueuse, complice, pleine d’humour et adorant le mien.



*****



C’est alors qu’un soir où exceptionnellement elle avait repoussé Henri venus nous rejoindre dès notre arrivée en lui demandant de nous laisser seuls, elle me reparla de son oncle Daniel… J’ai eu un pincement au cœur, une bouffée de jalousie. Il l’avait contactée par téléphone, l’avait invitée à passer seule un week-end chez lui, disant s’être séparé de sa femme, la tante Nicole, pourtant si gentille. Elodie m’avoua avoir été vivement excitée par cet appel mais avoir été très déçu par les propos qu’il lui avait tenus à mon endroit. S’il avait envie d’elle, il jouissait surtout par avance de me cocufier, disant que je ne la méritais pas, qu’ils allaient s’éclater dans mon dos alors que je resterais seul chez nous, et d’autres méchancetés. Elle avait failli lui répondre que j’étais un cocu heureux et excité, mais se reprit. C’était trop personnel. Elle avait conscience qu’il me voulait du mal, et cela a cassé son désir. Elle déclina l’invitation en lui disant que c’était trop tard, qu’il aurait du le lui proposer avant son mariage, et qu’elle m’adorait. Puis elle m’embrassa amoureusement.



Ce soir-là, nous avons fait l’amour tendrement, en amoureux, poussant nos confidences, nos désirs. Elle me parla du bébé qu’elle voulait de moi. Elle me demanda si je n’éprouvais vraiment aucune jalousie vis à vis d’Henri.



Je jouais avec ses poils, palpait ses seins fermes.



Je réalisais que la platitude d’une vie sexuelle conformiste n’allait pas être vraiment facile à accepter. Quand on a l’habitude de manger épicé, un plat sans sel…



Etait-ce parce qu’elle savait qu’elle allait s’assagir, mais jusqu’à ses règles, elle fit preuve d’un appétit féroce. Henri y trouva son compte quotidien, mais moi, elle m’épuisa. C’est à ce moment là, en l’imaginant sans protection, qu’une idée tout aussi bizarre que les autres me trotta dans la tête. Avec le recul, ce fut sans doute malsain, mais notre couple était hors norme et l’avenir me montra qu’il résista à tout. Elle prévint Henri, effondré, et arrêta la pilule. Je la pris tous les jours la première semaine. Si j’avais oublié (et comment aurais-je pu oublier !) elle m’aurait violé. La posséder ainsi, arroser ainsi son ventre sans protection décuplait mon désir.



*****



C’est là que j’ai reçu au travail un appel de mon frère qui allait tout précipiter. Nous sommes rentrés ce soir-là ensemble, et au fond du bus nous échangions à voix basse.



Elle me fixa intensément.



Elle baissa la tête et leva les yeux vers moi pour continuer à me regarder.



Le soir venu, elle fut particulièrement excitée. J’avais changé de sujet dans le bus, ce n’était pas le lieu, et l’idée audacieuse et perverse avait du faire son chemin.



Il fallu trois jours pour vaincre ses dernières réticences. Elle était très excitée à l’idée de jouer à se prostituer, avec deux ou trois clients qu’elle choisirait comme elle les aimait, mûrs, ni jeunes, ni noirs ou exotiques comme certaines en ont le fantasme. Elle m’affola à essayer ses tenues. Elle opta pour une tenue sage et courte, ouverte sur un imperméable, elle n’aimait pas l’outrance, toujours ses dehors sages même dans ces circonstances, et un petit sac rouge pour lever le doute des clients potentiels. Nous avons choisi un soir de semaine, pas question de croiser le week-end des gens d’Angers en visite ou en shopping ! Sur la route, en tenue, Elodie était fébrile, le sexe saturé de sève. Et tout se réalisa comme dans un rêve. L’appartement, la rue pas trop animée, piétonne, Elodie éblouissante de beauté qui s’est fait accoster dans les cinq premières minutes, les refus discrets en série, les hommes repoussés croyant sans doute s’être trompés sur son personnage ambigu. Mon cœur battit à tout rompre lorsque je la vis traverser accompagnée d’un homme d’une bonne quarantaine d’année, genre militaire à la retraite, tout à fait dans son genre. Bouffée d’excitation, paralysie de l’acte irréversible. Où en était elle dans son cycle ? Elle ne devait pas être loin, si elle n’y était pas en plein dedans, de son sommet. Comment avait-elle pu me croire quand je disais cela sans risque ? Elle était éduquée pourtant. Et que faisais-je là, à vouloir faire engrosser ma femme, pourquoi ces outrances ? Je me suis ressaisi et me suis caché comme prévu dans le placard du couloir faisant face à la porte de la chambre de Benoît (s’il savait à quoi on l’utilisait !). Je voyais mal, mais j’entendais bien, et cela suffit pour vivre là, dans l’ombre, le moment sans doute le plus intense de ma vie. L’argent qui change de main, les compliments du gars, son étonnement en voyant son alliance, l’histoire inventée en réponse d’un mari aimé et criblé de dettes. Elle se déshabilla rapidement, l’homme aussi, et ils s’allongèrent. Ce fut rapide, en missionnaire. Peu de caresses, mais d’étonnants baisers à pleine bouche dont Elodie ne savait se passer pendant l’amour. L’homme devait être ravi et il le lui dit. Il l’a possédée avec fougue, ignorant que son ventre était fertile. Comme il n’a pas été étonné de l’absence de préservatif, j’ai pensé qu’elle avait du conditionner son accord à cela lorsqu’il l’avait abordée, avançant son allergie, réelle. Il ahanait et elle gémissait sous lui, ses bras serrant son large dos, ses cuisses relevées et ses jambes serrées sur ses reins. Ouverte, offerte, elle fut prise à la hussarde et jouit un peu avant lui. Il se libéra en rugissant, expulsant son sperme dans le vagin étroit de cette jeune prostituée qui l’affolait, puis s’affala sur elle. J’ai serré dans ma poche sa plaquette de pilules devenues inutiles. Une minute après, le temps pour lui de reprendre son souffle, il se retira et sans même s’essuyer le membre que je voyais pendre luisant et encore gonflé, s’habilla et disparut. Je me suis précipité et elle me tendit les bras.



Paradoxe là encore.



Elle m’embrassa, puis soudain me repoussa et se leva. Je l’ai entendue se laver rapidement, puis elle est revenue prendre son petit sac, m’a sourit avec des lueurs dans les yeux, a déposé une bise rapide sur ma bouche.



Elle savait que ce mot me fouettait. Elle disparut avant que je la rattrape pour la prendre sur place. Elle monta encore deux fois, toujours avec le même type d’homme, naturellement. Elle jouait divinement la comédie. Si elle était sincère en se disant inexpérimentée et en demandant de ne pas être brutal avec elle, elle varia sa justification vis à vis d’un mari criblé de dettes, et réclama ne grande discrétion car elle n’était pas chez elle mais chez un ami en vacances dont elle avait subtilisé la clé. Qu’elle était convaincante ! Les hommes, attendries par cette débutante belle comme un ange, semblaient convaincue par son histoire.


Après le dernier, elle me dit qu’elle n’en pouvait plus. Je me suis déshabillée et me suis allongé contre elle, ma tête posée sur son ventre. Des tas de pensées perverses s’entrechoquaient. Avec mes doigts, je jouais à étaler le sperme abondant qui coulait de son vagin sur ses poils. J’adorais la sentir souillée, engluée sous mes doigts. Elle m’a ce soir-là dit les mots les plus tendres, les plus doux, un contraste étonnant par rapport à ce qu’elle venait de faire. Puis elle me dit :



J’ai mis mon doigt sur sa bouche, lui ai souri et l’ai embrassée. Après une courte nuit de sommeil, nous avons repris la route le lendemain très tôt pour arriver, épuisés, à notre travail. Sur la route, elle était radieuse, enjouée, n’en revenait pas de son audace, me piquait avec des mots crus, plaisantait en disant avoir trouvé là un nouveau job agréable et bien payé, en exhibant les 300 euros gagnés. En arrivant, j’ai réalisé avoir oublié de donner à manger aux poissons rouges… Ils allaient crever d’ici le retour de Benoît. J’ai pensé avec ma bite, pas avec ma tête, m’étais-je dit. Quand je le lui ai téléphoné au bureau, elle a rit en m’accusant de l’avoir fait exprès pour avoir un prétexte d’y retourner. C’était faux, mais elle ne m’a jamais cru. Nous y sommes retournés le dimanche suivant, le soir. Là, mon adorable petite femme s’est à nouveau prostituée et a monté trois clients pour 300 euros. L’extase, pour elle, comme pour moi dans un rôle étrange de voyeur en état de surexcitation.


Les quinze jours qui suivirent, Elodie fut comme à son habitude la parfaite épouse, tendre, attentionnée. Il est vrai que je le lui rendais au centuple. Si elle a beaucoup commenté ses six passes, comme elle les appelait, elle ajoutait chaque fois que désormais on allait devoir être sages. Elle a abordé plusieurs fois sa grossesse à venir, le bébé à recevoir, en me regardant étrangement, cherchant à susciter une réaction de ma part. Elle finit par l’évoquer plus ouvertement, alors que nous étions tendrement enlacés après l’amour (nous faisions beaucoup plus souvent l’amour tendrement que comme des fous).



Elle a posé sa main sur ma joue.



Le week-end se passa, elle n’eut pas ses règles. Elle fut soucieuse toute la semaine, se retenant de m’en parler, se tranquillisant devant ma sérénité affichée. Je faisais comme si de rien n’était. En fin de semaine, nous nous sommes rendus ensemble à la pharmacie pour acheter un test de grossesse. Je la tenais par la main, qu’elle serrait très fort. Je lui dis que peut-être « mon » bébé encore minuscule s’agitait dans son ventre, et quand le test fut positif, elle fut vraiment soulagée par mon attitude, et laissa éclater sa joie.



Je les connaissais encore par cœur… mais ne lui dis pas.



*****



Les deux premiers mois, elle fut comme à son habitude. Henri ne venait plus, en tout cas plus pour la même chose. Son petit ventre se bomba légèrement, ses seins gonflèrent un peu, elle était plus belle que jamais. Puis sa libido s’activa au troisième mois, elle devint bien plus gourmande encore que d’habitude.



Henri redevint son amant, un amant assidu. Il devint cette fois un peu plus complice avec moi et nous nous entendions bien pour la faire jouir. Il ne venait plus de lui-même, c’est moi qui allais le chercher. Il ne sut rien de nos jeux à Nantes, c’était une bulle secrète entre Elodie et moi, rien qu’à nous deux. Son ventre enfla, elle se fit plus tendre encore qu’elle ne l’avait jamais été, et je ne peux pas décrire l’état d’excitation, moi qui suis si cérébral, qui s’emparait de moi quand je la voyais enceinte (peut-être !) d’un homme racolé sur le trottoir de Nantes, gémir en se faisant prendre en levrette par notre propriétaire devant son mari, sur la serviette d’Henri absorbant les inévitables débordements de ce gros producteur de sperme. Le souvenir de nos jeux nantais était permanent dans ses délires, donc dans les nôtres, mais jamais elle ne fit allusion à la paternité. Elle aimait quand je fatiguais fouetter ma libido (je peux souvent, mais pas tout le temps quand même…) en utilisant les mots qui m’excitaient. Lorsqu’elle demandait à son mari cocu de se venger d’avoir eu des clients, elle savait ce qui allait advenir. Quand elle me menaçait d’aller seule à Nantes assouvir des besoins que son mari cocu ne pouvait satisfaire, ma bite se dressait toute seule, même si mes bourses étaient sèches (je n’avais pas celles d’Henri). Au sixième mois, grâce à la gentillesse de son gynécologue, elle fut en congé de maternité. Seule chez nous jusqu’au terme, elle s’adonna jusqu’au huitième mois à son passe-temps favori avec Henri qui s’épuisait, comme moi. Le neuvième, son mal de dos la rendit plus sage. Elle n’avait pris que de la poitrine, et du ventre, rien ailleurs.


Elle donna naissance à Céline, en février 2003, après quatorze mois de mariage… animés. J’ai adopté cette petite dans tous le sens du terme, tant elle était adorable, même si elle ne me ressemblait pas vraiment…. Elodie fut bonne mère, et son accouchement sans problème la rendit rapidement « opérationnelle ». Elle me l’a tout de suite fait comprendre. Mais dur dur d’être obligé de se retirer pour éviter une seconde grossesse dans la foulée. Le gode Henri reprit du service. Elodie et moi avions décidé d’avoir un second enfant deux ans après Céline, puis un troisième encore deux ans après. Une idée à elle, que j’ai faite mienne car je n’avais rien contre. Je ne l’avais pas réalisé sur le coup, mais en y rependant un peu plus tard, j’ai remarqué que cela coïncidait avec les voyages annuels de Benoît, et tout de suite mes idées perverses s’installèrent. Des jeux nantais au moment où elle sera à nouveau féconde… J’ai conscience d’être anormal, mais je suis ainsi fait, une sorte de transfert ou quelque chose comme ça. Notre vie fut chamboulée par Céline, mais elle était sage, fit rapidement ses nuits, et nous laissa redevenir amants. Elodie prit à nouveau la pilule, perdit tout le poids qu’elle avait pris, retrouva son corps superbe, ses poils repoussèrent, plus soyeux que jamais, et sa libido revint au galop. Elle passait instantanément de la mère à l’amante dès que Céline s’endormait, de l’amante à la mère dès qu’un pleur la réveillait. Douche écossaise… mais nécessaire.



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Un dimanche, le téléphone sonna et j’entendis Elodie parler fort, comme pour attirer mon attention. Je l’ai retrouvée dans le salon. Elle était nue, sans doute Céline s’était elle endormie et Elodie s’apprêtait à me rejoindre pour me surprendre dans la chambre où je rangeais des CD quand le téléphone a sonné. Elle mit le haut-parleur. C’était Benoît.



Elle me regarda d’un air très coquin, plaquant sa main sur sa foufoune et la massant lentement. Bandage instantané !



Epatante… Cette coquine prévoyait tout. Mère attentive, épouse amoureuse, elle savait se montrer perverse et calculatrice.


La mamie garda avec joie sa petite fille pour trois jours, nous laissant passer deux nuits à Nantes.



Instantanément, elle percuta. En insistant sur le mot, elle sut que j’avais envie qu’elle me pique.



Deux soirées de rêve, trois jours étourdissants. Plus belle que jamais, ma petite putain s’est à nouveau prostituée devant moi, toujours avec le même genre d’hommes, quarante, cinquante ans, solides, virils, pas défraîchis. Quatre le premier soir, quatre autres le second. Un feu d’artifice, heureusement sans incident. Dans mon placard, j’ai vu ma petite femme s’ouvrir nue aux huit hommes qui l’ont consommée, engluée, inondée, souillée. J’ai entendu ses plaintes étouffées, ses gémissements retenus, et au moins trois fois ses cris rentrés, mâchoires serrées. Ils l’ont prise en missionnaire ou en levrette, et un a voulu la prendre à cheval sur lui. Je les ai entendus gémir quand ils éjaculaient librement en elle. Elle s’est excitée, a beaucoup joui, me piquant entre chaque client avant de redescendre. Habitué à la posséder pleine de sperme, j’ai pu me délecter de son odeur musquée, de ses souillures après le dernier client de chaque soir. Comme l’an passé, elle redevenait instantanément cette femme adorable, tendre et douce de toujours. Elle m’offrit un nouveau téléphone portable, avec son argent durement gagné, rappela-t-elle.



Le deuxième soir, alors qu’on avait fait l’amour après les autres et qu’on se serrait tendrement, se laissant aller aux confidences, nous avons échangé sur notre vie de couple, et notre avenir.



Elle ne répondit pas sur Daniel malgré la perche tendue.



Je l’ai câlinée tendrement. Si elle est comme sa mère.. ouaaaa, quel bel avenir pour moi ! Car sa mère, elle est bandante. Piqué par cette idée, je l’ai provoquée.



Je l’avais enfin piquée.



Elle m’embrassa, et me câlina. Elle se mit en chien de fusil, posant sa tête sur mon ventre, le visage tourné vers moi.



Elle me regarda avec intensité.



Elle porta sa main derrière la tête. C’était ma bite, dure, dressée, fière, contre sa nuque.



Elle se fit toute câline. Ah, comment lui dire ouvertement ?



Devant mon silence, elle se détendit, s’allongea sur moi, bras tendus, et descendait son visage pour me donner de petits bises sur les lèvres, tout en murmurant.



Elle m’embrassa, préférant peut-être ne pas entendre la réponse qu’elle attendait, ou craignait, je ne sais pas, je n’ai pas su.



Comme à l’accoutumée, elle redevint dès le lendemain matin la parfaite petite épouse tendre et amoureuse, pleine d’humour et de taquinerie. Nous avons dépensé les 400 euros gagnés la veille, sans oublier de faire avec le plein de la voiture ce qui nous a fait rire (« mes frais de déplacement sont compris dans le prix », riait-elle), puis nous avons pris le chemin de la maison de ses parents où elle s’est transformée en parfaite petite mère.



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Céline a grandi, belle comme sa mère. Henri était toujours aussi serviable, ayant définitivement oublié de demander son loyer en client abonné. Elodie s’enfermait avec lui, car Céline se déplaçait à quatre pattes à toute vitesse, puis apprit à marcher. Elle ne se lassait pas de s’étourdir avec lui, recevant le sperme surabondant que ses testicules monstrueuses fabriquaient toujours en quantité. Elle aimait cela, aimait se pervertir avec lui, aimait cette différence d’âge qui l’excitait, aimait ce côté bestial qui pimentait ses ébats, sans compter le caractère un peu scandaleux de son statut de prostituée gagnant le montant de son loyer.


L’année 2003 s’est écoulée rapidement, notre couple baignant dans un bonheur renouvelé, avec ses jeux sexuels piquants, et ses délires nés des souvenirs nantais. Daniel se manifesta plusieurs fois, en téléphonant directement sur le portable d’Elodie. Je n’en aurais rien su, évidemment, mais elle tenait à me le dire. Il lui envoyait également des sms. Il voulait absolument coucher avec elle, et se plaisait à tenir des propos érotiques. Elodie jouait à lui répondre, pour entrer un peu dans son jeu, car elle me disait qu’il n’y avait pas de mal à être coquine en parole, et à distance. Je me demandais ce qu’ils pouvaient bien se dire, Elodie restant vague, sans chercher à mentir, mais sans donner plus d’importance à ce qui n’en avait pas pour elle. Ma curiosité fut néanmoins piquée et j’ai proposé à ma douce épouse coquine un petit jeu qu’elle accepta avec excitation. Nous allions nous exciter à son insu, ce qui serait un juste retour. Un soir comme tous les autres, ma petite femme et moi nous sommes mis nus au lit. Elle m’a fait chut, puis elle l’a appelé en mettant le haut parleur.



Quelle comédienne !



Elle me regardait, et j’en profitais pour caresser son sexe, tout mouillé ! Ils parlèrent longtemps, l’oncle posant des questions déplacées sur les dernières fois où elle a fait l’amour, comment, ce qu’elle aimait le plus, si elle sortait sans culotte… Elodie était excitante, répondant franchement, sauf notre bulle secrète bien entendu. C’est là qu’elle a dit que j’étais un merveilleux amant ; l’oncle ayant failli s’étrangler..



Par signe, je lui fis signe de dire oui, elle fit une moue de surprise, puis se ravisa.



A nouveau, je lui fis signe de dire oui, ce qui la surprit une fois encore. J’ai pris un papier sur la table de nuit et ai griffonné bébé. Elle a souri.



J’étais aux anges. Je bandais dur. Et si je la faisais engrossée par son oncle Daniel ? Qu’il serve au moins à quelque chose celui-là. Si elle aimait les vieux et me cocufiait avec (pour mon grand plaisir il est vrai), c’était de sa faute à celui-là.



Elle raccrocha, malgré les protestations de son oncle. Elle me regarda incrédule, puis ouvrit les bras. Je m’y suis précipité. Pleine de sève, elle était très excitée et nous avons déliré en nous caressant avant de nous prendre avec fougue.



Elle me serrait avec tendresse.




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Elodie arrêta la pilule fin avril 2004. Benoît nous a rappelés pour ses vacances cubaines et nous a laissés l’appartement. Ce fut le mois le plus torride. Nous sommes allés deux fois à Nantes, deux nuits chaque fois. Ce mois là, j’avais en poche sa plaquette de pilules, elle s’est fait posséder chaque fois par trois ou quatre clients, et bien sûr Henri son abonné, le taureau qui a pu lui aussi, sans le savoir, l’inonder et la féconder de son sperme surabondant. Si je l’ai possédée plus qu’eux réunis, je n’ai pas une seule fois éjaculé en elle ce mois là. Je les ai tous entendus grogner, parfois rugir, quand ils se vidaient en elle, quand ils ont expulsé leurs spermes, leurs semences dans son ventre fertile. C’est féconde qu’elle s’est donnée à eux, comme je le voulais, fou que je suis, et elle s’est fait à nouveau engrosser.



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Octobre 2004. Elle est actuellement enceinte de cinq mois, superbe, enjouée, pétillante, chaude, gourmande, amoureuse, et paie toujours en nature le propriétaire qui en profite au maximum avant de la perdre, car le logement devient trop petit et on le lui a dit. À l’heure où je termine cela, elle doit dormir, repue.



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Février 2005. Cédric vient de naître. Bonheur ! Je suis encore seul chez moi et, bien que peu accro d’internet j’ai surfé et j’ai trouvé ce site via Google, étonnant par tous les témoignages apportés anonymement par chacun. Rien n’est tabou, je me lance, j’y dépose le mien, sans doute un peu trop long mais je l’ai écrit pour moi, en octobre, sur mon micro portable lors d’un stage à Paris, le soir tard, après que je lui aie téléphoné et que nous ayons déliré à distance. Je laisse une boîte mail (pas celle familiale !), au cas où quelqu’un ayant vécu, homme, femme, quelque chose de similaire au moins en partie m’apporte son témoignage, et qui sait peut-être un conseil. Je ne pense pas la consulter assidûment (pas beaucoup de temps), mais quand même régulièrement.



Loïc.