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n° 08701Fiche technique10483 caractères10483
Temps de lecture estimé : 7 mn
17/02/05
Résumé:  Une femme au travail...
Critères:  fh ff fbi travail vidéox fellation cunnilingu fist pénétratio fdanus fsodo ecriv_f
Auteur : Sarah 3  (Sarah)      
Cindy et Jennifer au travail



Cindy était secrétaire dans une boîte de télécommunication. Elle avait son propre bureau, situé juste à côté de celui de son patron. Elle avait 24 ans, blonde, les cheveux tombant jusqu’au milieu du dos . Ses yeux verts l’aidaient beaucoup dans ses parties de chasse amoureuse. Elle avait un corps splendide et savait le mettre en valeur. Outre son apparence vestimentaire, une autre chose occupait ses pensées la majeure partie de la journée, c’était le sexe. Ainsi, elle ne portait jamais de sous-vêtements, au cas où l’occasion se présenterait de baiser avec un inconnu ou si une envie trop forte la prenait et qu’elle avait besoin de se soulager avec ses doigts, ce qui lui arrivait régulièrement, même au boulot.


Au milieu de l’après-midi, l’interphone sonna :


« Mademoiselle, venez à mon bureau, j’ai une lettre à vous dicter.



Lorsqu’elle entra dans la pièce, elle trouva son chef debout, appuyé sur le bureau, face au fauteuil.


« Asseyez-vous et écrivez :


A Paris, le 17 mars. Mademoiselle, après plusieurs mois de collaboration d’un très bon niveau, je suis heureux de vous annoncer que je ressens pour vous une très forte attirance physique. »

A ce moment de la dictée, Cindy releva la tête et se rendit compte que son patron avait déboutonné sa braguette et exhibait fièrement sa queue, tendue vers le haut par une énorme érection.


« Venez me sucer, j’en ai très envie. »


Cindy n’attendit pas qu’il répète son ordre et se jeta sur l’engin. Elle l’enfourna dans sa bouche et l’aspira entre ses lèvres de toutes ses forces. En même temps, elle lui massait les boules, qu’elle trouva gonflées de désir et de sperme. Déjà, elle sentait des gouttes sur sa langue et elle accéléra le mouvement. Mais, il stoppa son élan en lui relevant la tête et lui demanda de s’asseoir sur le bureau à sa place. Pendant qu’elle se mettait en place, il se déshabilla. Cindy enleva elle-même sa jupe et écarta les cuisses pour accueillir son patron. Il pointa sa queue contre sa chatte et la pénétra d’un seul coup. Puis, il ressortit très lentement en lui tenant les cuisses, pour replonger aussitôt d’un coup rapide. À chaque mouvement, il voyait sa bite devenir de plus en plus humide, signe que sa secrétaire appréciait le traitement. Il accéléra le mouvement, lui arrachant des gémissements qui se transformèrent progressivement en cris de plaisir. Elle croisa ses jambes dans le dos de son partenaire, posa ses mains dans son cou et en un coup de reins, se souleva pour s’empaler sur lui. D’abord surpris par cette initiative, il s’en accommoda, d’autant plus vite que Cindy exécutait de petits mouvements de hanche très agréables. Il la laissa bouger ainsi jusqu’à ce qu’elle atteigne la jouissance. Puis, tandis qu’elle reprenait ses esprits, toujours accrochée à lui, il lui caressa les lèvres avec l’index. Une fois ce dernier assez humide, il le présenta devant son anus et l’y introduisit. Son trou, crispé au début, se détendit et le laissa entrer. Ragaillardie par cette nouvelle intrusion, Cindy releva la tête et dit à son patron :


« Repose-moi sur le bureau. »


l se retira et, la tenant par les fesses, la déposa sur le meuble. Elle se retourna aussitôt, lui tendit les fesses qu’elle écarta des deux mains, lui offrant son trou.


« Vas-y encule moi fort ! »


Cette phrase lui enflamma les sens. Il se précipita sur elle, présenta son gland à l’entrée de son cul et la sodomisa d’un coup, sans prêter attention à ses gémissements qui exprimaient de la douleur. Il resta en elle jusqu’à ce qu’elle se calme et il commença à bouger, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Cette fois, elle criait de plaisir.


« Oh oui, bourre-moi le cul !



l la tenait par les hanches et à chaque coup, ses couilles venaient taper contre elle. Il lui attrapa les seins et en fit rouler les bouts entre ses doigts. C’est elle qui maintenait l’allure en faisant venir son cul contre sa queue. Elle se l’enfonçait au plus profond d’elle même. Soudain, épuisé par ce traitement, il la stoppa, sentant qu’il allait jouir. Il se retira lentement et commença à se branler pendant qu’elle se retournait. Elle le prit en bouche, bien serré entre ses lèvres et le suça. Elle lui malaxait les couilles, pendant que sa bouche allait et venait sur toute la longueur de sa queue. Ses doigts lui caressaient les testicules et une de ses mains se glissa entre les jambes de son patron vers son cul. Cindy lui glissa le majeur dans le cul et le fit aller et venir rapidement, tandis qu’elle continuait sa fellation. Pris des deux côtés, l’homme ne put se retenir davantage et lâcha son sperme. De longs jets chauds et consistants vinrent s’écraser au fond de la gorge de Cindy qui avalait chaque goutte. Elle continuait d’aspirer afin de récupérer toute sa semence. Il eut l’impression qu’elle lui vidait les bourses et que tout ce qu’il avait de sperme était maintenant dans sa gorge. Elle lui lécha le gland pour le nettoyer en le regardant dans les yeux. Puis, elle se releva et se rhabilla.


« Coupez ! C’est bon, on la garde. Merci tout le monde, c’est fini pour aujourd’hui. Jennifer, impeccable hein, surtout le regard à la fin. Mark, comme d’hab, rien à dire. Jenn, pour toi c’est fini, c’est ça ?



Jennifer prit son sac et se rendit aux douches. Pour les atteindre, elle devait traverser de nombreux plateaux. Elle put voir une femme se masturbant seule, un homme chevauchant une femme en levrette et deux femmes avec deux hommes sur un lit. Mais, elle voyait tout cela d’un œil distrait car elle était habituée à ces scènes d’orgie. De plus, elle était fatiguée par une longue journée de travail et voulait rentrer chez elle. Elle se lava rapidement, mais sans oublier une seule surface de son corps et en savonnant bien tous ses orifices. Elle s’habilla et sortit prendre le bus qui la ramenait chez elle. Elle arriva au pied de son immeuble, gravit les cinq étages à pied et arriva sur le pas de la porte. Elle l’ouvrit et en posant son sac lança :


« C’est moi, je suis rentrée !



Jennifer lui fit un bisou dans le cou, léger d’abord, puis, sentant que sa compagne appréciait, elle le fit plus long, plus intense, provoquant des frissons. Puis, ses mains descendirent le long de son corps, frôlant ses seins qu’elle sentit déjà durcir, caressèrent le ventre plat et ferme, puis se glissèrent sous la jupe de Lucie.


« Dîtes donc mademoiselle, on ne porte rien sous sa jupe aujourd’hui ? Vous me semblez bien coquine.



Jennifer s’accroupit et glissa sa tête sous la jupe de Lucie. Elle lui écarta les fesses et commença à lui lécher l’anus. Lucie écarta davantage les jambes pour lui faciliter l’accès, tandis qu’elle se penchait en avant au-dessus de l’évier. Elle sentait la langue pointue dans son cul et cela la faisait mouiller. Jennifer abandonna ses fesses et sa langue poursuivit sa route entre ses cuisses pour atteindre son sexe. Sa chatte totalement épilée, était trempée. Jennifer la lapait, voulant tout boire. De temps en temps, elle aspirait son clitoris entre ses dents. Lucie tremblait de plaisir, son corps n’était qu’un orgasme tout entier. Plus elle jouissait, plus Jennifer la buvait. Excitée au plus haut point, Jennfier passa une main sous sa jupe, écarta sa culotte et mit directement deux doigts dans son vagin dégoulinant de mouille. Elle pénétra le sexe de son amie avec sa langue, puis laissa sa place à son majeur, bientôt rejoint par son index. Elle savait que Lucie pouvait recevoir plus de doigts et continua sa pénétration. Son annulaire et son auriculaire prirent place également dans le vagin de Lucie qui ne s’arrêtait plus de gémir. Elle se triturait les seins pour augmenter la lubrification de son sexe. Jennifer serra les doigts et, avec beaucoup de précautions glissa son pouce dans ce sexe dilaté. Les cinq doigts étaient regroupés en un seul point et elle put faire avancer sa main jusqu’au poignet. Ses doigts bougeaient à l’intérieur, touchant la membrane. Lucie poussa alors un long cri et se tendit. Puis, elle s’écroula, épuisée, mais heureuse. Jennifer retira sa main et sécha la chatte de son amie avec sa langue pour ne rien laisser. Puis, elle se coucha sur le dos de Lucie et susurra à son oreille :


« Je t’aime.



Pendant que Jennifer allait dans la chambre, Lucie rangea un peu la cuisine, puis son regard tomba sur la corbeille de fruits. Une idée lui vint alors.


« Qu’est-ce que tu fais ? Me fais pas languir !