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n° 08706Fiche technique21448 caractères21448
Temps de lecture estimé : 13 mn
18/02/05
Résumé:  Une soirée qui commençait mal puis un trajet bourré de decouvertes...
Critères:  fh fhh fhhh grp inconnu grosseins bus voir exhib fellation cunnilingu 69 préservati pénétratio double sandwich partouze ecriv_f
Auteur : Breizhoo
Le chauffeur de bus, les passagers et moi.

Je venais de passer une soirée affreuse, une soirée qui ne s’était pas terminée telle que je l’avais souhaitée. Et pourtant, je l’avais attendue avec une impatience sans égal, je l’avais espèrée, passée et repassée dans ma tête. Elle allait être formidable, parfaite… Au final, elle avait été minable.


Cela faisait près de deux mois que je n’avais pas revu Tony. Il était parti à l’étranger, un voyage d’affaires m’avait-il dit. Je n’en avais jamais douté. Pendant tout ce temps, il m’a beaucoup manqué et c’est dire avec quelle hâte j’attendais de le revoir. Il est arrivé cet après-midi et nous nous étions donné rendez-vous ce soir. J’avais pris un soin tout particulier à ma tenue. J’avais voulu être sexy mais sans pour autant afficher un air désespéré de femme en manque d’amour et de caresses. Cela avait été difficile parce que nous devions dîner dans un restaurant avant de nous retrouver seul à seul et on m’aurait très certainement enfermée à l’ombre si je lui avais sauté dessus en public.


Ce soir, Tony n’a même pas posé les yeux sur mon décolleté. Pourtant, il était à la limite de la décence. J’avais voulu jouer la carte "poitrine" plutôt que la carte "jambes". Aussi, avais-je mis un pull très échancré, sans soutien-gorge, ce qui était rare vu la consistence de mes seins et un jean. Je précise que je sors très rarement sans sous-vêtements. Ma poitrine est lourde et je ne tiens pas, d’ici quelques années, à avoir les seins tombants aux genoux. Pourtant, aujourd’hui j’avais fait exception et j’avoue avoir apprécié, à chacun de mes pas, le frottement de mes mamelons contre la laine du pull. J’étais particulièrement excitée lorsque je suis entrée dans le restaurant. Nous nous sommes embrassés et nous aurions pu faire l’amour à cet instant-lá. J’étais prête.


Tony m’a invitée à prendre place en face de lui. En voyant son visage, j’ai su aussitôt que quelque chose n’allait pas. Et bien avant que nous passions commande au serveur, je sus qu’il ne voulait plus de moi. Je suis tout de meme restée. J’ai mangé en silence tandis que Tony m’expliquait pourquoi notre relation était finie. Il parlait, me racontait les deux mois qu’il avait passé à l’étranger, sa rencontre avec une fille: le truc classique. J’écoutais à peine. Je ne me sentais pas concernée par cette nana que je ne connaissais même pas.


Et me voilà, dans ce bus. Après le restaurant, nous nous sommes quittés. J’ai longuement erré dans les rues, ne sachant quoi faire, ne voulant pas entrer dans un bar toute seule, ne voulant pas vraiment rentrer chez moi, sachant parfaitement que mon appartement ne serait pas vraiment un refuge. Je savais que, une fois entre ces quatres murs, la solitude et le sentiment d’abandon serait encore plus oppressant.


Je suis tout de même parvenue à prendre le dernier bus. Il est tard, nous ne sommes que quatre plus le conducteur. Il y a une autre femme un peu plus loin derrière moi. Elle aussi, est seule. Deux hommes sont assis à quatre rangs devant moi et discutent. Parfois, je regarde les lumières de la ville par la vitre. Je me prends à songer au nombre de gens qui sont ensemble en ce moment, à ce qu’ils font, aux caresses qu’ils se donnent, aux baisers qu’ils s’échangent. J’en viens même à songer aux positions qu’ils abordent. Je souris à cette pensée. Oui, on peut dire que je suis en manque. Je n’ai pas fait l’amour depuis deux mois. Mes seins sont durs et douloureux de désirs inassouvis et mon sexe mendie une attention masculine. Je me suis caressée depuis la dernière fois, très souvent même. Mais ce soir j’espèrais avoir un homme entre mes jambes, j’espèrais Tony.


Mes yeux se posent sur les deux hommes. L’un est plutot joli garçon, la trentaine je pense, l’autre l’est un peu moins malgré son plus jeune age. Je commence à imaginer des choses. J’imagine le plus vieux venant vers moi, s’asseyant sur le siège de devant, face à moi. Je m’imagine soulever mon pull pour lui dévoiler mes seins. Leurs pointes se dressent vers lui, ses yeux pétillent, ses mains s’avancent, ses doigts me frôlent… Je tressaute de plaisir.


La femme m’arrache à mes rêveries en passant dans l’allée. Les deux hommes se retournent et l’admirent alors qu’elle se dirige vers le conducteur. On ne peut nier qu’il y a de quoi la regarder. En effet, elle porte une jupe ultra courte, camouflant avec limite, le bas de ses fesses qu’elle ne se prive pas de tortiller. Elle se penche un peu pour parler au conducteur.



Les deux hommes la regardent encore. Je fais de même. Sa jupe s’est haussée un peu lorsqu’elle s’est penchée et à mon avis soit elle ne porte pas de culotte, soit il s’agit d’un string. Toujours est-il qu’il me semble impossible qu’elle ait fait tout cela innocemment. Le conducteur répond quelque chose et elle fait demi-tour. J’écarquille les yeux. Et je crois bien que les hommes font de même. Non seulement elle porte une jupe de la taille d’une ceinture mais en plus en haut elle ne porte quasiment rien. Elle a une sorte de brassière très courte avec un col en V montrant presque la moitié de sa poitrine. Je constate que elle non plus ne porte pas de soutien-gorge car non seulement ses seins tressautent à chaque pas, mais la semi-transparence de sa brassière divulgue l’ombre de ses mamelons. À cette vue, les miens se dressent instantanément et je sens mon sexe devenir chaud.



La femme empoigne ses seins relativement volumineux, bien qu’un peu plus petits que les miens, me dis-je, et les agite doucement devant l’homme.



L’homme saisit les seins avec bonheur. Son ami les regarde éberlué. La femme s’assoit sur les genoux du plus jeune et l’autre ose enfin étendre le bras pour la caresser. Quant à moi, je serre les cuisses. Le spectacle m’excite malgré la petite pointe de jalousie que je ressens. J’aimerais être à la place de cette femme. J’aimerais que quelqu’un se préoccupe de mes seins également, que quelqu’un les pétrisse, les caresse, les mordille, les suce, les lèche… Doucement, je passe une main discrète sous mon pull et entreprends de titiller mes mamelons. Je sens mon corps reprendre vie.


Lá-bas, la femme pousse de petits gémissements. Chacun de ses seins est pris d’assaut par les bouches des hommes. Elle leur tient la tête tandis qu’elle gigote sur les genoux du plus jeune. Je delaisse ce spectacle et regarde par la vitre. Nous avons quitté le centre ville et nous dirigeons vers le village voisin. Il n’y a plus de lumières. Je ne vois rien. Soudain, le conducteur se fait entendre.



La femme repousse les deux hommes et se lève. Elle se dirige vers le chauffeur et lui parle. Je ne perçois pas ce qu’elle lui dit mais je doute qu’il la regarde dans les yeux. En effet, elle n’a pas remis sa brassière et ses seins sont, on ne peut mieux, exposés. Devant moi, le trentenaire se retourne et me regarde. Je ne sais que faire. Cependant, j’ose un sourire. Soudain le bus s’arrête. Le trentenaire se retourne et tous trois nous fixons le devant du vehicule. La femme revient vers nous, tenant à la main le chauffeur aux joues rougies.



Je commence à me dire qu’on m’a totalement oubliée lorsque le trentenaire se tourne vers moi en s’adressant à la femme.



La femme tente de dissimuler une grimace avant de me faire signe. J’hésite. Je ne connais pas ces gens. Et pourtant, je sens que ma culotte est détrempée. J’ai envie de faire l’amour. Mon corps entier brûle de désir. Lentement je me lève tandis que la femme fait tomber sa jupe. Elle ne porte pas de string. À vrai dire, elle ne porte rien. Le trentenaire se lève et se dirige vers moi tandis que son ami se penche vers la femme. Elle pose une jambe sur le siège et le jeune homme entreprend de dire bonjour à son minou. Le chauffeur, quant à lui, se met à lui caresser les seins.


Le trentenaire s’arrête devant moi. Il sourit mais semble un peu embarrassé. Il ne sait sans doute pas vraiment comment m’aborder. Et pour être honnête, je ne sais pas non plus comment faire. Nous sommes tous deux face à face, dans l’allée du bus, aussi timides et hésitants que deux adolescents inexpérimentés.



Lentement, j’ôte mon manteau et le jette négligemment sur un siège. Il fait de même. Il s’approche de moi et doucement, passe ses mains derrière ma tête avant de m’embrasser. Ses lèvres sont charnues, expertes et sensuelles. Je me laisse aller lorsque sa langue se glisse dans ma bouche. Il est tendre, prenant le temps d’apprécier notre jeu. J’ai une furtive pensée vers Tony. Ses baisers étaient toujours plus brusques, plus précipités aussi. Sylvain commence à me faire fondre. Lentement, ses mains glissent jusqu’à mes seins. Savamment, il frotte la laine de mon pull contre mes mamelons qui s’érigent à m’en faire mal. Aussitôt, mon sexe durcit lui aussi. Je le sens s’humidifier à une vitesse incroyable. Je commence à gémir doucement.


Un peu plus loin devant nous, la femme chevauche le jeune homme tandis que le chauffeur l’embrasse à pleine bouche. Ses gémissements s’accordent aux miens qui deviennent plus prononcés.


Sylvain m’allonge sur une banquette et entreprend de dégrafer mon jean. J’en profite pour retirer mon pull tandis qu’il fait de même avec ma culotte. Il se penche alors entre mes jambes. Je sens son souffle chaud contre mon pubis et j’écarte un peu plus les cuisses de manière à lui faciliter l’accès. Sa langue vient flirter avec mon clitoris et il introduit un doigt dans mon vagin. Je me cambre instantanément sous l’effet du plaisir. Instinctivement, mes mains se posent sur mes seins que je flatte avec plus ou moins de rudesse.


Je me sens un peu coupable d’avoir du plaisir toute seule, aussi je me redresse et lui demande de venir sur moi, en soixante-neuf. Ses yeux pétillent et il ôte son jean. Au travers de l’étoffe de son short, je devine son érection avant même de la voir. Tant bien que mal, nous parvenons à la bonne position. Je me mets alors à sucer, lécher, caresser son membre que je sens battre en moi. De son côté, il poursuit son cunnilungus, à mes yeux l’un des meilleurs que j’ai jamais reçu. Le plaisir monte en moi à toute vitesse, j’ai du mal à me concentrer sur lui. Je sens que les muscles de ma langue peinent à être ordonnés et coordonnés. Je fais n’importe quoi, je mordille un peu. Je sens que je vais jouir. Il accélère ses mouvements de langue sur mon clitoris et le va-et-vient de ses doigts dans mon vagin. Il sait que l’orgasme est proche. Son sexe grossit encore sous ma langue, m’étouffant un peu. Une chaleur familière m’inonde le ventre jusqu’au sexe. Je suis prise de secousses, mon vagin se contracte, ma bouche s’agrandit dans un gémissement de bonheur. Mon corps entier vient d’être assouvi de plaisir.


Lentement, Sylvain se redresse, un grand sourire aux lèvres.



Je n’ai pas besoin de lui répondre. Le sourire que je lui rends ne peut qu’indiquer ma reconnaissance. Gentiment, il me prend la main et va s’assoir sur le siège opposé. Il sort un préservatif de la poche de son jean et après l’avoir placé sur son membre, m’invite à prendre place sur ses genoux. J’hesite. Je n’ai jamais eu deux orgasmes à suivre. Je doute que je puisse encore jouir. Pourtant, je me dois bien de le remercier comme il se doit. Lui n’a pas joui.


Je m’installe sur lui, descendant lentement sur son sexe. Le mien est encore ultra sensible de l’orgasme que je viens d’avoir. Lorsqu’il écarte mes chairs, je me prends à tressaillir de plaisir. Sylvain se saisit de mes seins, se met à les sucer et les lécher tandis que je bouge doucement mon bassin. Son sexe me remplit complètement. Je glisse et coulisse sur lui, mes mains posées derrière moi sur ses genoux. Mon clitoris frotte contre son pubis et ses poils favorisent la montée de mon plaisir. Par instants je le sens tressaillir et ses dents mordillent un peu plus mes tétons. Ses muscles se contractent de plus en plus, ses gémissements accompagnent les miens. Je sens que je vais jouir une nouvelle fois. Sylvain n’en est pas loin non plus. J’accélère les mouvements de mon bassin. Son membre vient frapper le fond de mon vagin et chaque secousse envoie des ondes de plaisir dans tout mon corps. Sylvain s’aggrippe au siège derrière moi et commence à donner, lui aussi, des coups de bassin de plus en plus précipités. Je passe mes bras derrière son cou. Son sexe frotte les parois de mon vagin avec ferveur. Je n’en peux plus. Je sens que je viens. Une nouvelle fois, mon sexe se contracte de jouissance, je laisse échapper un cri alors qu’une chaleur me monte du ventre. Les contractions de mon vagin ont dû le rendre plus étroit autour du membre de Sylvain. Il s’arque aussi, son bassin donnant quelques coups décisifs. Il pousse un râle de plaisir.


Epuisés, nous tombons dans les bras l’un de l’autre. Nos corps sont brûlants, palpitants encore de plaisir et de bonheur. Sylvain me caresse le dos et j’ai enfoui ma tête dans son cou. Nous tentons de reprendre notre souffle. Doucement, je me lève, sentant son sexe coulisser lentement hors de mon vagin, et je m’assois sur le siège opposé, couvrant instinctivement ma nudité à l’aide de mon pull.


Mes yeux se posent alors sur l’avant du bus. Nos trois compères sont encore liés les uns aux autres. La femme chevauche farouchement le chauffeur tandis que le compagnon de Sylvain la sodomise avec ferveur. Ses cris de plaisir résonnent dans tout le véhicule. Je ne les avais pas remarqués jusqu’alors. Le spectacle est d’un erotisme torride. La femme saute et tressaute sous les à-coups de plus en plus violents de ses partenaires. Ses mains sont aggripées à l’arrière du siège sur lequel le chauffeur est assis. Elle semble peiner à se tenir. Mais ce qui m’excite surtout, ce sont ses seins. Ils sont beaux, bien ronds et bien volumineux et le spectacle qu’ils offrent ne laisseraient pas indifferents beaucoup de monde. Ils gigotent dans tous les sens, se débattent avec frénésie comme s’ils voulaient s’échapper, ils se frappent parfois l’un contre l’autre. Leur mouvement est violent, envoûtant.


J’ignore ce qui me prend mais je me lève et me dirige vers eux, les yeux rivés sur ses seins claquant comme des drapeaux. Je m’approche et instinctivement je me penche et me mets à sucer ses tétons. Je me surprends moi-même. Jamais je n’ai été attirée par une femme, jamais je ne me suis même posée la question sur ma sexualité. Pourtant à ce moment précis, ses gros seins m’excitent. J’ai un peu de peine à conserver ses bouts érigés dans ma bouche car son corps bouge sans cesse sous les coups de butoir de ses deux assaillants.


Soudain je sens une main me caresser les fesses. C’est Sylvain qui nous a rejoint. Je lève les yeux et à ma grande surprise, je le vois embrasser son ami à pleine bouche. Cela m’excite encore plus et je redouble mon attention sur les seins de la femme. Je sens son corps se contracter. Elle ne va pas tarder à jouir. Ses deux partenaires l’ont probablement senti aussi car ils accélèrent leur besogne. Les mamelons s’échappent de ma bouche. Elle est secouée dans tous les sens, elle s’aggrippe à moi. Je sens ses ongles labourer ma peau. Enfin, elle pousse un cri de bonheur, la tête rejetée en arrière et les seins dressés au ciel.



Je remarque alors que son sexe est encore dressé à l’extrême. Un coup d’oeil au camarade de Sylvain m’indique que ni l’un ni l’autre n’a joui. Oubliant toute timidité ou réserve, je viens m’assoir sur le chauffeur resté sur son siege. Grâce à l’humidité de mon vagin, mon anus a été plus ou moins préparé. Le chauffeur dirige savamment son membre à l’entrée de ma rosette alors que je descends doucement sur lui. Je sens le gland entrouvrir mon orifice et une fois que je l’ai "avalé", je m’assois brusquement sur lui, sentant son sexe entrer d’un coup en moi. Je pousse un petit cri. J’ai toujours aimé la sodomie, cet étrange mélange de douleur et de plaisir. Doucement je monte et je descends sur lui. Je suis bien. Il m’a aggripé les seins, ses mains ne pouvant pas contenir toute la chair. Je lève les yeux. Sylvain et son ami me regardent. Sylvain recommence à avoir une érection, mais c’est surtout celle de son copain que je vise. Il comprend mon regard et se baisse, le sexe à la main, tendu avec une certaine majesté, prêt à me remplir complètement.


Je tressaille un peu, un mélange d’anxiété et d’anticipation. Je n’ai jamais été prise devant et derrière en même temps. Je vais enfin découvrir ce sentiment, cette sensation et je sais d’avance que je vais aimer. Sylvain vient de prononcer le nom de son ami: Antoine. Ce sont peut-être de brèves présentations, mais nous n’avons pas besoin de plus. Derrière moi, le chauffeur se présente aussi: Cyril. Voilà qui est fait. Maintenant, Antoine peut me pénétrer tandis que Cyril se retire légèrement, ne laissant que son gland dans mon anus. Le sexe d’Antoine entre progressivement dans le mien. Je ne peux réprimer un cri. Cette sensation n’a pas de mot assez fort pour etre décrite. Mon corps entier en tremble tant c’est bon. Aucun de mes partenaires n’a commencé à faire des va-et-vients et pourtant je jouis presque. Cyril me pince légèrement les tétons, redoublant mon plaisir.


Antoine enfonce d’un coup sec les derniers centimètres de son membre. La suite est plus ou moins trouble. Je ne sais comment Sylvain est parvenu à enfouir sa queue dans ma bouche, mais je m’en fiche. Je la suce et la lèche, tandis que mes deux autres orifices se font défoncer avec ferveur et frénésie. Je ne cesse de gémir, je suis en état de jouissance presque permanent. Je n’en peux plus. Les sexes de mes compagnons se relaient sans cesse au fond de moi, mon vagin est devenu une veritable fontaine, mon anus renforce l’extase et double mon plaisir. Je suis comblée. Mon corps ne cesse de sauter sous leurs coups, mes seins montent et descendent avec violence. Je jouis encore et encore, remplie de partout, aimée, admirée, choyée. Jamais je n’avais connu pareil assouvissement.


Finalement, je sens mes compagnons, un a un, accelérer leur coups de butoir, se tendre et jouir.


Nous nous écroulons à terre, les uns sur les autres, nos corps nus enlacés, nos liqueurs emmêlées. Nous sommes à bout de souffle, éreintés mais heureux. Enfin, j’assume que mes compagnons sont aussi satisfaits que je le suis. Je n’ai plus de force, mes jambes tremblotent, mon corps entier est encore un peu secoué de tout ce plaisir. C’est Sylvain qui, finalement, m’aide à me redresser. Il me soutient par la taille alors que je retourne vers le siège sur lequel j’avais jeté mes vêtements. Doucement, il entreprend de me rhabiller, effleurant parfois, un peu plus longtemps que nécessaire, ma peau hyper sensible.


Nous voilà tous de nouveau habillés. Le chauffeur a redémarré le bus et nous avons repris la route. Sylvain est demeuré assis à côté de moi et m’a proposé de me raccompagner. Les idées encore un peu floues, j’ai accepté.