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Temps de lecture estimé : 19 mn
19/02/05
Résumé:  Comment une jeune mariée décide de séduire son mari amateur de stars du x
Critères:  fh fhh couplus extracon magasin voir exhib lingerie cunnilingu pénétratio ecriv_f
Auteur : Chrystelle  (JF bcbg sexy 24ans blonde)            Envoi mini-message
Première soirée libertine

Je me décide enfin à prendre la plume pour vous raconter l’un de mes plus beaux après-midis et la soirée qui l’a suivi.


Avant tout, il convient que je me présente. Je suis une jeune femme mariée de 24 ans, aux longs cheveux blonds dont la frange est coupée droite ; mes yeux sont verts. 1,75m pour 60 KG : un vrai petit canon, comme me qualifie mon mari. J’ai été éduquée dans un milieu aisé et j’ai fréquenté les instituts privés les mieux cotés, jusqu’à obtenir un BTS d’assistante de direction.


Je suis très attentionnée à notre vie de couple, faisant de mon mieux pour satisfaire le moindre des désirs de mon merveilleux mari. Lui a 30 ans, est dirigeant de société, sportif et bien éduqué ; il sait parfaitement me satisfaire en jouant au mieux de sa principale qualité pour moi : être à la fois attentionné et directif.


Xavier (mon mari) apprécie que je sois désirable et désirée : c’est ainsi qu’en 4 années de mariage, il m’a fait découvrir les charmes de la lingerie sexy sous des tenues très BCBG. Je suis ainsi devenue une adepte des fines dentelles sous les tailleurs les plus chics. C’est à lui également que je dois ce goût prononcé pour les talons hauts. Mon employeur actuel, un ami de mon père, ne tarit pas de compliments à propos de mon look et de mes tenues. Je sais qu’il apprécie mes petits tailleurs BCBG et ce que je porte avec.


Avec Xavier, j’ai découvert de multiples pratiques nouvelles qui agrémentent notre vie sexuelle. Il m’a fait découvrir les joies de l’exhibition en commençant par la fréquentation des plages naturistes. Voilà le tableau dressé : une jeune femme modèle, un zeste de perversion, un autre de soumission, mais cela ne semble pas suffire à Xavier, qui m’incite à franchir un nouveau palier dans notre vie sexuelle. C’est ainsi qu’il souhaite que nous fréquentions les clubs libertins de notre ville, d’abord pour y pratiquer l’exhibition, mais je sais que son désir est plus hard car, plusieurs fois, il a évoqué son fantasme de me voir dans les bras d’un autre, voire de plusieurs hommes.


Voilà plusieurs semaines que nos rapports se sont espacés, et qu’il fait preuve d’une attention moindre envers ma personne. Lorsque j’évoque cette distance, il me répond vaguement que ce n’est que passager ; mais je constate à regret que cela persiste. C’est ainsi que j’ai décidé de mettre à profit une journée de congé pour le surprendre. J’avais constaté que certaines actrices du porno l’émoustillaient plus que d’autres, et principalement celles dont la nudité était soulignée par une épilation totale, ainsi que celles s’exhibant dans des tenues évoquant le monde du SM.


Je pris donc rendez-vous chez mon esthéticienne pour parfaire mon épilation. Je dois reconnaître avoir été gênée pour lui demander de me faire le maillot, et finis par lui avouer ce que je souhaitais. Allongée nue sur la table, un frisson me parcourut lorsque la cire tiède fut appliquée sur mon pubis blond ; mais il fallait en passer par là. Sophie, l’esthéticienne, me complimenta sur ma beauté ainsi dévoilée, et me proposa de parfaire celle-ci en m’épilant le reste de la raie. Il est vrai que – sans être réellement poilue - elle était couverte d’un fin duvet. Je faisais confiance à Sophie ; elle me demanda de me placer à 4 pattes sur la table en écartant les jambes. Je me mis en position. Le contact de ses mains gantées de latex sur mes fesses nues m’électrisa. Elle appliqua la cire sur toute ma raie et me demanda de rester ainsi 3 minutes en essayant d’écarter mes fesses. Je restai dans cette position indécente, puis elle revint et, d’un coup sec et douloureux, retira la bande de cire ; j’étais enfin lisse.

Je dois reconnaître que de redécouvrir mon petit abricot totalement lisse me faisait de l’effet et que je sentais à présent mon sexe s’humidifier alors que je sortais de l’institut. La première étape était franchie.


Pour la seconde, je devais me rendre dans une boutique spécialisée ; c’est ainsi que je me retrouvai devant la vitrine de « Songes de Cuir », à Lyon. De magnifiques ensembles plus torrides les uns que les autres étaient présentés ; parmi eux, des tenues de vinyle noir et rouge… J’entrai dans la boutique, vide de tout client ; seul, un monsieur d’une quarantaine d’années était derrière le comptoir. J’aurais toutefois préféré une femme, et je rougis.


Je parcourus la petite boutique et trouvai facilement le rayon des tenues SM. Le propriétaire de la boutique m’avait rejoint. Il me proposa son aide. Son calme et sa bienveillance apparente m’ont rassurée, et je lui fis part du plan que j’avais élaboré. Il me complimenta pour cette démarche visant à satisfaire mon mari et, pour être au calme, me proposa de passer dans une alcôve jouxtant la boutique.


Je m’y laissai guider ; cette petite pièce était décorée avec goût : il y a avait là deux fauteuils de velours rouge, un canapé assorti, une table basse, un paravent, ainsi qu’une petite estrade entourée de miroirs. Il me proposa de me mettre à l’aise ; je m’installai sur le canapé. Au bout de quelques minutes, il était de retour, porteur de nombreuses boîtes. Il me présenta différents modèles, tous plus sexy les uns que les autres.


Mon attention fut attirée par une mini-robe en vinyle rouge, brillante à souhait. Comme mes yeux étincelaient d’envie, il me proposa de la passer. Je me dirigeai derrière le paravent, et ôtai ma veste de tailleur bleu ciel sous laquelle je portais un balconnet en dentelle blanche ; puis je fis glisser ma jupe portefeuille, ne gardant que mon brésilien assorti au balconnet ainsi que des bas auto-fixants blancs aux larges revers de dentelle. Je passai la mini-robe rouge ; le contact du vinyle froid sur ma peau m’électrisa. Elle était sans manches, avec un col ras du cou et le dos nu ; de plus, elle était très courte, dévoilant le revers de mes bas blancs. Je revins dans la boutique, où mon guide me complimenta à nouveau, tout en me faisant remarquer que mes dessous étaient trop visibles et que le noir aurait été préférable au blanc. Il me tendit des bas noirs et me proposa de m’aider ; se plaçant derrière moi, il dégrafa la robe qui glissa au sol.



Je dégrafai mon balconnet, libérant mon 90b dont je suis si fière ; puis mon brésilien et mes bas prirent le même chemin. J’étais totalement nue, seule devant un inconnu. Il me fit asseoir et roula les bas noirs avec une infinie délicatesse. Je lui tendis une jambe, et il déroula le premier bas, très fin, sur toute sa longueur, puis le second. Dans cette position, il pouvait admirer à loisir mon sexe fraîchement épilé. Mes escarpins blancs ne convenant pas, il me laissa ainsi pour chercher d’autres chaussures. J’en profitai pour m’admirer dans les grands miroirs, de plus en plus convaincue de la réussite de mon entreprise de séduction envers Xavier.


Mon vendeur revint, m’apportant des cuissardes en vinyle noir, et s’accroupit devant moi. Je glissai mes pieds dans les cuissardes dont les talons étaient très hauts, au moins 10cm ; elles étaient très belles. Il en remonta les fermetures en prenant garde de ne pas pincer les bas. J’étais hyper cambrée, ainsi perchée : les bottes montaient à mi-cuisse, et seuls les revers de dentelle des bas noirs dépassaient des cuissardes. Il me proposa de m’admirer sur l’estrade, et m’aida à en gravir les marches. Je dois reconnaître que cela prenait forme… Il m’encouragea alors à passer la robe sans le moindre dessous.



Je l’interrogeai :



Il s’absenta de nouveau ; j’étais intriguée, mais très excitée. Je pris l’initiative d’enlever la robe, ne gardant que les cuissardes et les bas noirs. Il réapparut avec une boîte qu’il ouvrit sur la table basse : c’était un ensemble de lanières de cuir et de chaînes métalliques, qui m’intrigua.



Il plaça sur mes hanches une lanière de cuir noir qui prit la forme d’un porte-jarretelles orné de chaînes métalliques, dévoilant plus ma nudité que la masquant ; il fit de même avec le balconnet, dont les froides chaînes métalliques excitaient mes tétons déjà dressés. Ses mains douces fixèrent les jarretelles de cuir noir aux revers de dentelle de mes bas noirs. Debout devant lui, je puis m’admirer dans les grands miroirs qui me renvoyaient une image que je ne soupçonnais pas.



Il ouvrit une petite boîte rectangulaire, et en sortit des boules de geisha, accessoire que je connaissais pour l’avoir vu dans certains films X.



Il m’installa dans l’un des fauteuils, plaçant l’une de mes jambes sur un accoudoir ; puis il agit de même avec l’autre : j’étais follement offerte dans cette position, avec cette tenue. Il s’agenouilla devant moi, tenant l’accessoire par une boucle métallique au bout de laquelle pendaient deux boules dorées de 4 cm de diamètre, retenues par une cordelette noire.



Rougissante (j’étais dans un tel état), je gobai l’une des boules et passai ma langue dessus ; l’autre subit le même traitement, puis il les ressortit de ma bouche. Le contact de la première contre mon sexe lisse provoqua une véritable décharge dans mon ventre ; il poussa du bout de l’index, et elle s’engouffra dans mon vagin. Puis il présenta la seconde ; j’en frémissais déjà : cette sensation était divine… Je fermai les yeux, me mordant les lèvres.


Au bout d’une minute de répit, il me fit mettre debout : immédiatement, le feu reprit dans mon ventre. Me tenant par la main, il me promena dans la petite pièce ; à chacun de mes pas, l’orgasme montait en moi. Je me retenais à son bras. J’allais jouir debout à ses côtés. Ainsi offerte à mon plaisir je ne m’étais pas rendu compte qu’il m’avait entraînée dans la boutique, où un jeune homme flânait au rayon des cassettes. J’ouvris les yeux, sans pouvoir me cacher ni dissimuler mon plaisir.



Il s’adressa au jeune homme :



Ces simples mots me firent jouir debout ; perdant l’équilibre, je m’abandonnai dans les bras de mon guide. Il me porta jusqu’au petit salon, où il me déposa sur le canapé pour me laisser souffler. Lorsqu’il eut fini avec le client, il revint vers moi.



En effet : je venais de passer deux heures torrides dans cette boutique sans avoir eu le moindre rapport.


Après cette après-midi de préparation, le retour à la maison a été rapide. Très vite, je me suis fait couler un bain afin de retrouver ma fraîcheur. En me déshabillant dans la chambre, je ne pus m’empêcher de m’admirer de nouveau dans mes beaux dessous de dentelle blanche : j’étais pour quelques minutes encore une jeune et belle bourgeoise sexy.


Je me glissai dans le bain tiède. L’immense salle de bain de notre maison était l’un de mes lieux favoris ; baignée de lumière tamisée, c’était l’un de mes refuges, et la grande baignoire posée au centre de la pièce sur une estrade, le lieu de mes plaisirs les plus secrets. Je me laissai envahir par la chaleur du bain ; j’étais si bien… Mes mains parcouraient mon corps, remontant le long de mes longues jambes. Le bout de mes doigts redécouvrit la douceur de mon intimité fraîchement épilée.


Humm… J’étais lascive, prête à tous les excès ; les yeux fermés, j’imaginais déjà la soirée qui allait me réconcilier avec Xavier, et mon index jouait lentement avec mon petit clito dardé de plaisir… Après une trentaine de minutes de douceur solitaire, je me décidai à sortir de l’eau. Je passai un kimono de satin rouge, et j’entrepris de sécher mes longs cheveux blonds. Leur longueur demande un entretien régulier, mais ils sont un réel plus dans mon look. Combien de fois Xavier fut troublé de me découvrir en petite tenue, mes longs cheveux blonds tombant librement sur la naissance de mes fesses ?


Une bonne heure a été nécessaire pour le coiffage et le maquillage, un peu plus soutenu que d’habitude. Le miroir me renvoyait l’image d’une Chrystelle beaucoup plus "sexe", et prête à tout. Enfin, ce fut le moment délicieux de l’habillage. En ôtant le kimono de satin rouge, mon image de femme fatale m’excitait déjà. La gorge nouée, je plaçai sur mes hanches le porte-jarretelles constitué de lanières de cuir et de chaînes métalliques ; le contact froid du métal sur mon pubis fraîchement épilé me fit fondre, et mon petit abricot s’humidifia immédiatement.


Puis je passai le balconnet assorti, dont le jeu de lanières de cuir encerclait mes seins aux tétons dardés sous les chaînettes métalliques. Je gainai mes longues jambes des bas noirs aux larges revers de dentelle, auxquels je fixai les jarretelles de cuir noir. J’ajustai le tout en me redressant devant le miroir. Je m’assis de nouveau pour passer les cuissardes de vinyle noir aux talons hauts ; en remontant le zip, je lissai mes bas afin que les revers dépassent du haut de chacune des cuissardes.


Délicieuse attention de mon charmant vendeur de l’après-midi, il avait glissé dans mes nouveaux trésors un collier en cuir noir clouté orné d’un anneau. Je m’empressai de le passer à mon cou, positionnant l’anneau sous mon menton : voilà qui me changeait des colliers de perles ! J’étais fin prête, et déjà au comble de l’excitation. Toutefois, je passai par dessus un long chemisier en voile noir très transparent que je laissai ouvert : tout en étant hyper sexy, cette note me rendait un peu plus sophistiquée.


Le champagne était au frais et je pris un réel plaisir à déambuler ainsi "vêtue" dans la maison, m’affairant à préparer une réception particulière pour mon cher époux.

Il me restait environ 30 minutes à patienter ; aussi, je m’installai dans l’un des fauteuils de cuir ivoire de notre salon. L’ambiance était électrique ; la lumière tamisée, agrémentée de quelques bougies, donnait à notre salon des airs de décors de cinéma, que j’espérais le plus "X" possible…


Enfin, le bruit caractéristique de la voiture sur le gravier de l’allée ; mon cœur s’accéléra.


La porte s’ouvrit, mais je ne bougeai pas.


Il était dans l’entrée.



Ma voix tremblait d’excitation.



La peur me saisit : Xavier n’était pas seul ! Comment faire ? Je ne pouvais me rendre dans ma chambre sans passer par le hall d’entrée…


Tétanisée sur mon fauteuil, je sentis mon sang se glacer. Je restais immobile, essayant de fermer le long chemisier afin de cacher ma tenue ; mais sa transparence dévoilait plus quelle ne cachait.


Xavier venait de faire entrer un jeune homme dans notre living…



Je rougis, la gorge nouée ; tout mon plan venait de s’effondrer en quelques instants. Je ne pouvais rester inactive sans m’expliquer.



Je me levai, prête à rejoindre ma chambre, lorsque Xavier me saisit et, me plaquant contre lui, m’offrit ses lèvres dans un baiser torride.



Le jeune homme, qui devait avoir 20 ans à peine, était touchant tant il était intimidé par la situation. Pourtant, c’était un bel homme ; 1m80 pour environ 80 kg, brun aux yeux bleus, bien musclé comme je les aime. Il portait un costume gris très classe ; vraiment, il me plaisait.


L’excitation de cette folle journée et l’interdit de la situation me firent perdre pied ; je me lovai contre Xavier, lui offrant mes lèvres, ma langue… Je sentais sa virilité décupler contre mon ventre.



Charles acquiesça sans rien dire ; ses yeux ne pouvaient se détacher de mes jambes et de mon petit cul largement dévoilé.


Je revins au salon avec un plateau supportant 3 flûtes ainsi qu’un seau dans lequel le Moët sera parfaitement glacé. En le déposant sur la table basse, je pris soin de me placer face à Charles, et de dos à Xavier. Je me baissai sans plier les jambes, ce qui fit remonter le bas de mon chemisier, dévoilant largement mes fesses nues encadrées par le porte-jarretelles de cuir noir.


(Xavier) – Chrys, tu es sublime ! Si j’avais pu me douter que tu sois si…

(Moi) - Ce soir, je suis ton cadeau : tu feras de moi ce que tu voudras ; je dirai oui à tout.

(Xavier) – Hummm… Délicieux programme ; n’est-ce pas, Charles ?

(Charles) - En effet ; vous avez vraiment beaucoup de chance, Monsieur.


Ayant servi les flûtes de champagne, j’en tendis une à chacun avant de m’asseoir sur l’accoudoir du fauteuil de Xavier, une jambe de chaque côté. Le contraste entre le cuir ivoire du fauteuil et ma tenue noire était saisissant.

Je me cambrai davantage, et Xavier fit glisser le chemisier, dévoilant mon corps dans son écrin de cuir et de chaînettes métalliques.



La situation commençait à sérieusement m’émoustiller ; je sentais mon sexe s’humidifier de plus en plus. Et, prise au jeu, je décidai de jouer à fond mon rôle d’hôtesse. Je me levai, et fis face à Xavier.



Je me suis approchée de Charles en le fixant ; ma bouche s’est entrouverte alors que ma langue pointait entre mes lèvres.



Je me suis assise au bord du canapé avant de me laisser tomber contre le dossier ; mes jambes se sont écartées, dévoilant mon petit abricot lisse et déjà gonflé, encadré par le noir des attaches de cuir de mon porte-jarretelles et le haut des bas dévoilés par les cuissardes de vinyle.

Charles s’est approché ; lorsqu’il a posé ses mains sur mes cuisses, une décharge électrique me parcourut. J’étais prête.

Il déposa un baiser sur ma fente avant que sa langue ne la parcoure à plat, de bas en haut, lentement, puis plus profondément. Mes lèvres s’ouvraient ; sa langue pointait à l’intérieur de plus en plus loin. Je me sentais m’ouvrir sous cette caresse divine. Je fermai les yeux, la tête rejetée en arrière ; mon souffle s’accéléra. J’ouvris de nouveau les yeux, fixant Xavier qui avait sorti son sexe et qui se masturbait lentement en nous fixant.



Je sentais l’orgasme monter lentement, profondément ; j’ondulais du bassin sur cette langue qui me donnait tant de plaisir.



Charles savait faire cela à merveille : sa langue me fouillait, j’ondulais dessus ; un vrai délice. Lorsque ses mains se sont glissées sous mes fesses, je me suis légèrement soulevée pour en faciliter l’accès. Ses mains étaient douces et fermes ; son index vint de se poser sur ma fente, et une simple pression le fit pénétrer dans mon antre mouillé. La combinaison de sa langue et de son doigt ne tarda pas à me faire fondre de plaisir. Je fermais de nouveau les yeux pour me laisser aller à mon premier orgasme quand il arrêta sa caresse pour remonter mes jambes, se saisissant de mes cuissardes. Sa langue glissait vers mon petit trou plissé ; Xavier, qui sait à quel point j’adore cette caresse, l’encouragea.



Je me cambrai encore davantage tandis que Charles prenait soin de mouiller le pourtour de mon anus, qui déjà s’ouvrait sous cette caresse. Enfin, son index vint rejoindre sa langue ; je poussai en prévision de cette introduction tant attendue.

Il fit entrer son index lentement dans mon petit trou, m’arrachant des cris de plaisir mêlés à une divine souffrance. Je ne parvenais plus à m’occuper de mon petit bouton, submergée par le plaisir qui émanait de l’autre côté.



Je repris les caresses sur mon clito, m’arrachant des spasmes de plaisir impossibles à dissimuler. Soudain, un orgasme géant me tétanisa ; je jouis sur mes doigts. Immédiatement, Charles appliqua sa bouche sur ma fente pour me boire. C’était divin : je me sentais me vider de ma cyprine sur sa langue ; il me buvait…


Il me fallut quelques minutes pour reprendre mes esprits. Je me levai, tendant la main à mon nouvel amant.



Je l’emmenai dans notre chambre, où j’entrepris de le déshabiller ; d’abord sa veste, puis sa cravate. Mes doigts faisaient sauter un à un les boutons de sa chemise blanche… Je jouais de mes ongles sur son torse musclé et imberbe. Xavier nous avait suivis ; il était debout dans l’encadrement de la porte.



Il ouvrit son petit bureau et en extirpa son caméscope.



Face à la caméra, je m’accroupis, les jambes bien écartées ; de mes doigts aux longs ongles vernis de blanc, je défis la ceinture, puis la braguette. Enfin, j’extirpai du caleçon l’objet de ma convoitise : il était beau, dur déjà, de belle taille. Je fixai la caméra en passant ma langue sur mes lèvres, prenant soin de le branler d’une main alors que mon index de la main gauche jouait avec mon petit clito.


Enfin arriva l’instant que mes deux amours semblaient tant attendre : en fixant Charles dans les yeux, j’approchai son gland de ma bouche. Je déposai un baiser juste au bout et, sans le quitter des yeux, j’entrepris une fellation d’experte, jouant avec ma langue sur toute la longueur de ce membre imposant, le sortant de ma bouche pour en branler le gland posé sur mes lèvres, puis le reprenant bien à fond jusqu’à ce que mes lèvres viennent en contact avec les poils de son pubis.

La séance dura bien 5 minutes, lui debout, prêt à exploser ; je le menais au bord de la jouissance, puis m’interrompais. Il était à moi ; je maîtrisais la situation.

Xavier repris l’initiative :



En effet, un long jet tiède s’abattit sur mon visage, me striant des lèvres au front, suivi de deux autres jets moins puissants qui m’éclaboussèrent la langue. Je pris le sexe de mon amant dans ma bouche pour le finir, lui soutirant ses dernières gouttes.


Xavier reprit :



Xavier sait que je n’aime pas avaler, et que - tout au plus - j’accepte de goûter sa semence ; mais là, face à la vidéo, je devenais toute autre. Je le fixai à travers l’objectif et lui montrai ma bouche engluée du sperme tiède de Charles. Je déglutis en le fixant, prenant même soin de recueillir avec mes ongles le sperme étalé sur mes joues avant de le porter à ma bouche.



Il se met nu en un temps record.



Je me suis relevée et debout, pliée en deux devant lui, j’entrepris de le sucer. Je savais que dans cette position, Charles - qui était derrière moi - devait particulièrement apprécier mon petit cul ; d’ailleurs, au bout de quelques minutes, je sentis sa main parcourir ma fente sur toute sa longueur. J’ondulais sur cette main sans cesser ma pipe. Je sentais le sexe de Xavier grossir dans ma bouche alors que l’index de Charles me fouillait la chatte trempée, m’arrachant de petits râles rauques.


Xavier, au bord du précipice, me repoussa pour me positionner face au grand miroir et je sentis sa queue s’ériger entre mes fesses. Il ne fut pas long à trouver son chemin, pénétrant mon sexe trempé de toute sa longueur. Il me prit longuement, lentement, puis plus violemment, me claquant les fesses.



Charles reprit le dessus :



Xavier passa derrière moi et, passant un doigt dans ma raie, il l’introduisit dans mon petit trou sans plus de ménagement, puis il le remplaça par son sexe bandé. Comme il est large, j’avoue que lorsqu’il me sodomise, je subis plus que je jouis ; mais, cette fois-ci, l’introduction fut lente et douce, et enfin je sentis son pubis contre mes fesses. Debout, perchée sur les talons hauts de mes cuissardes, il me besognait en me tenant par les hanches. À chaque aller et retour les chaînettes métalliques venaient frotter la pointe durcie de mes seins. Charles n’en perdait pas une miette ; il filmait la scène en s’attardant sur les expressions de mon visage, qui en disaient long sur le plaisir qui m’enivrait.


Je le vis faire un travelling sur mes seins, puis zoomer sur mon sexe exhibé dans sa plus pure nudité, laissé béant par la précédente pénétration qui m’avait été infligée par Xavier. Tout en me faisant sodomiser sans relâche et en y prenant un réel plaisir dû - je le crois - plus à l’érotisme de la situation qu’à la montée d’un orgasme, je jouais à allumer Charles en le fixant, ma langue parcourant mes lèvres puis me les mordant dans un râle de plaisir.



Il se déshabilla intégralement, le sexe triomphant devant mes yeux ; immédiatement, en véritable affamée, je m’en saisis et le pris en bouche pour le sucer, pendant qu’il tirait sur l’anneau de mon collier pour m’obliger à l’avaler bien à fond.



Xavier venait d’ordonner le bouquet final ; il s’allongea sur le lit et je vins me positionner, accroupie sur sa queue, la faisant disparaître dans ma fente de petite fille sage… Je montais et descendais en rythme sur sa queue dressée, attendant le moment où Charles allait placer son sexe contre mon petit trou.


Le contact de son gland m’électrisa ; agrippant mes hanches, ses mains sur mon porte-jarretelles, Charles me tira fermement vers lui, m’empalant sur le sexe de Xavier alors que sa queue se frayait un chemin vers le fond de mon intestin. Prise entre ces deux queues, je les sentais aller et venir de chaque côté, dans un tempo digne des plus belles mélodies.


Mon plaisir monta vite. Je ne pouvais le contenir ; d’ailleurs, je ne le souhaitais pas. Je me laissai aller à un orgasme d’une intensité jamais connue jusqu’à ce jour. Mes deux amants, ne me laissant aucun répit et continuant à me besogner de concert énergiquement en me traitant comme une poupée gonflable, je jouis une fois de plus…


Charles se retira le premier, suivi de Xavier ; alors que j’étais à peine remise de mon plaisir foudroyant, ils m’obligèrent à m’asseoir face à eux. C’était irréel : moi assise au bord du lit, eux face à moi qui se branlaient en me fixant… Comme un automate, j’ouvris la bouche et, la langue sortie, j’attendis leur offrande.


Xavier éjacula le premier, m’inondant le visage de son sperme ; je pris son sexe dans ma bouche pour aspirer la totalité de sa jouissance. Charles, à son tour, explosa en de longs jets sur mes joues. J’étais couverte de sperme, une véritable douche !



Nous nous sommes enlacés tendrement ; je savais que maintenant, j’allais devoir assumer la totalité de ses fantasmes et que j’allais essayer de lui faire assouvir les miens.





N’hésitez pas à me laisser vos commentaires ; bisous à tous !


Chrystelle


Chrystellex@yahoo.fr