n° 08724 | Fiche technique | 18125 caractères | 18125Temps de lecture estimé : 11 mn | 24/03/05 |
Résumé: Je venais d'emménager je ne connaissais pas trop la ville ni personne ici a part mon galeriste et la gardienne d'immeuble. | ||||
Critères: fh voisins école | ||||
Auteur : Diablesse de charme |
Je venais d’emménager je ne connaissais pas trop la ville ni personne ici a part mon galeriste et la gardienne d’immeuble. Mon appartement se trouvait en face d’une Université pour futurs profs et lorsque je m’ennuyais ferme j’aimais bien regarder la vie estudiantine d’une fenêtre a l’autre. Il est sur que certains cours doivent être assommants ! Ils regardaient tous au moins une fois vers l’extérieur ! Cela me faisait rire car ils demanderaient probablement à leurs futurs élèves de ne pas le faire. Cette pensée rigolote fit son chemin tandis je croisais le regard d’un prof qui fermait le rideau de sa salle en face de chez moi pour éviter le problème en question. Vraiment mignon lui ! Je l’avais remarqué dès mon arrivé c’est peut être a cause de lui que je les regardais aujourd’hui. Il ne devait pas être beaucoup plus vieux que ses élèves. Je lui lançais un grand sourire et avant qu’il condamne la vue il me le rendit et je compris le pourquoi. Rien à voir avec une espèce de sympathie due au croisement de notre regard. Je venais de me rendre compte que j’étais aussi visible qu’on pouvait l’être en dessous de dentelle rouge devant une baie vitrée sans rideaux.
OUPS…
Premier réflexe : m’habiller
Second réflexe : sortir acheter un rideau.
Bah oui j’aime bien être a l’aise chez moi et encore heureux que je portais des dessous cette fois là !!! . . .
Dans un sens cela avait un peu emballé la machine à phantasme que je suis. Je me demandais si il m’avait trouvé à son goût dans mes dessous. C’était mon ensemble préféré et je ne me trouvais pas trop mal dedans encore une chance qu’il ne m’ait pas surprise en culotte de coton blanche et soutien-gorge dépareillé ! Ce que je portais avant de me décider à changer du tout au tout. Après tout pourquoi ne pas être féminine chez soi même si on est célibataire?
Devant le rayon, je scotchais devant un rideau bordeaux rouge en voilage et voilà ! Après tout tant pis pour la vue extérieure c’était ma couleur préférée et puis qui sait si le beau prof jetait un œil vers chez moi il reconnaîtrait la même couleur que mon ensemble. Les bâtiments étaient assez proches pour qu’il puisse
Détailler le tout… Bien sur je me refusais à penser que les autres 15 jours qui venait de se passer je m’étais donné a cœur joie en tenue d’Eve toute contente d’être indépendante!
Quand j’arrivais chez moi je m’employais à placer le rideau heureusement que les précédents locataires m’avaient laissé la barre pour le mettre car je n’y avais absolument pas pensé !
Debout sur mon tabouret, je commençais à remettre la barre en place quand je m’aperçus qu’en face le prof en question balançait un carton au-dessous de la fenêtre ou il se tenait tout sourire. Sur le carton, une petite phrase : Vous êtes cruelle… je crois que je suis devenue aussi rouge que mon rideau et aussitôt la barre en place je tirais le tissu rompant tout contact visuel avec lui qui souriait jusqu’aux oreilles. À bien y réfléchir il avait du remarquer la vue les autres jours aussi… Derrière mon rideau je ne pouvais m’empêcher de sourire à mon tour. Il avait apprécié cette vue alors… Je jetais un coup d’œil furtif, il était parti. Sa classe était vide. Je souriais comme une idiote.
Plusieurs jours se passèrent, sans voir le bel enseignant qui peuplait mes délires torrides depuis cette fois.
Le rideau y jouait pour beaucoup sans aucun doute, mais je le repoussais des que j’étais habillée et ne passait plus beaucoup de temps à rêvasser. Mon appartement me servait d’atelier, je suis artiste peintre.
J’avais des toiles à faire et mon galeriste venait chaque jour pour me booster. Je le soupçonnais de vouloir voir et découvrir autre chose que mes toiles un peu plus chaque jour. Néanmoins il pouvait bien être vraiment inquiet pour les délais. Je devais faire une expo d’ici 2 mois et sur la trentaine de tableaux à exposer je n’en avais qu’une vingtaine. Un jour où je décidais de prendre une pause je le vit donner cours. Je sorti sur mon balcon prendre l’air et je m’accoudais sur la rambarde de fer en le dévorant des yeux. Je n’entendais pas sa voix mais j’observais ses mouvements et ses lèvres remuaient. J’aurais aimé poser ma bouche sur la sienne a ce moment là. Ma pensée du faire écho trop fort car il croisa mon regard a cet instant et suspendit tous ses mouvements une seconde avant de secouer la tête et reprendre mais sans donner quelque coup d’œil vers moi. Et moi toute contente de l’avoir troublé je le regardais isolement. Quelques élèves se rendirent interceptèrent ses regards tournés vers l’extérieur et me sourirent je leur répondais de la même manière allant jusqu’à leur envoyer quelques baisers. Mon professeur ne pouvait plus faire cours des cet instant mi-amusé mi-surpris par la tournure de la situation. Un élève plus hardi que les autres ouvrit la fenêtre et me cria : Hé il vous intéresse ? Parce qu’on ne vous le vend pas cher !
J’éclatais de rire avant de répondre du tac au tac : vous acceptez la carte de crédit ? Ce qui déclencha des rires sonores dans la classe. Mon troublant professeur était rouge mais souriait malgré lui. Puis reprenant le contrôle de la classe il tira les rideaux un a un en demandant a ses élèves de bien vouloir retourner a leur travail. Quelle classe ! Et moi je souriais très contente de mon effet ! Avant de fermer le dernier rideau il me fit un dernier sourire en articulant CRUELLE. Je riais et je rentrai dans mon appart.
Je finissais ma toile quand on vint sonner à ma porte. Mon galeriste commençait réellement à m’ennuyer a trouver tous les prétextes pour venir chez moi. Un bouquet de fleurs obstruait le reste de la vue dans le judas de la porte. Il anticipait ma colère sans aucun doute, il connaissait mon agacement autant que mes faiblesses. J’ouvris la porte et je lui pris le bouquet un peu ronchon mais résolument prête à lui dire le fond de ma pensée quand je me mis à bégayer :
Mon prof me regarda tout surpris par mon numéro puis me sourit.
Je lui fermais la porte au nez. Puis me mordant la lèvre la rouvrit. Il avait pas bougé a part son sourire un peu crispé je crois qu’il ne l’avait pas vu venir celle là.
Il y eut un gros silence ou on se dévisagea ta tension montait moi je me perdais dans ses yeux magnifiques verts… totalement opposée à ma couleur fétiche.
J’ouvris la porte en grand et m’effaça pour le laisser envahir mon univers. Son dos était large et je devinais une musculature des plus intéressantes autant sur le plan artistique que personnelle.
Je hoche la tête, il pouvait les garder mais je ne suis plus connecté a la terre c’est en automatique.
C’est vrai j’ai l’air bien petite à côté de lui pourtant je fais 1mètre 80! Je me sens excitée, intimidée, et… très excitée.
Il découvre mon espace et je me sens faiblir de le voir effleurer mes tableaux chez moi, marcher les pieds nus sur mon tapis.
Il se retourne vers moi a cette question et moi qui avançait derrière lui me retrouve a buter contre lui.
Il baisse la tète vers moi et plonge son regard dans le mien. Dieu je me noie !
J’ai la gorge sèche… je sens mes seins s’alourdir et se tendre vers lui.
C’est tout ce que j’ai trouvé a dire. C’est nul, mais bon.
Sur ces mots il se retourne a nouveau mais je perçois a temps la rougeur qui a envahit ses joues.
Je suis en position de force et çà je le cogite toujours bien. Je suis troublée malgré tout par son aveu mais je relève. Il ne sortira pas d’ici avant que je le trouble définitivement. Je retrouve mon sourire et ma confiance et entames les hostilités.
Il se retourne doucement et réponds a son tour.
Il s’approche de moi et se penche sur mon visage avant de murmurer près de mon oreille
Et là je sens sa bouche dans mon cou et ses bras m’enlacer et ses grandes mains me coller contre lui avec force et douceur a la fois. J’ai cessé de respirer. Ses lèvres chaudes et humides s’empare des miennes et il me donne le baiser le plus érotique et sensuel qu’il m’a été donné de goûter ! Je fermais les yeux tout a mon baiser de cinéma. Quelque chose tomba. On se sépare.
Je les regarde, c’est des orchidées blanche avec un cœur pourpre, je lui souris. Et vais chercher un vase et mets les orchidées dedans.
Ses yeux pétillent de désir et amusement.
Je lui souris alors que je mets de l’eau dans le vase.
Je mords ma lèvre inférieure, je sens des papillons dans mon ventre qui se contracte et ma peau qui frissonne.
Il s’approche de moi et me retire la bouteille d’eau que j’utilisais pour remplir le vase. Un peu plus et je débordais.
Il me prend dans ses bras et me fais retourner en se frottant a moi. Il est si grand et si beau. Si désirable…
Je lui offre ma bouche qu’il dévore, je tends contre lui il m’explore… ses paumes contre mes fesses, il me presse… puis les remonte sous mon pull lentement dans mon dos je le sens ses caresses brûlantes…
Mes mains a moi tiennent ses hanches, je plaque son bassin et son désir probant contre mon bas ventre. Son excitation décuple la mienne je lâche un petit cri ma poitrine confinée dans sa prison de dentelles semble vouloir jaillir a la rencontre de ses mains de ses lèvres… ma prière est exaucée. Il ramène ses mains sur mes seins qu’il englobe. Mon t-shirt le gène et il quitte mes lèvres pour me supplier du regard. Je l’invite a me découvrir alors que je tire sèchement sur le tissu de sa chemise la déchirant et faisant sauter les boutons au quatre coins de la pièce en ne le quittant pas du regard. Il sourit et dans un mouvement il déchire mon vêtement du col jusqu’au ventre le reste tombe a mes pieds. Il happe mes seins emprisonnes et puis un sourire carnassier se dessine de nouveau l’attache est sur le devant…
Il le tire et le fait céder d’un doigt, contemplant mes seins qui se libère a sa vue pointant insolemment vers lui qui ne se fait pas prier. Il plonge sa tête entre eux et en happe un dans sa bouche l’autre dans sa paume qu’il pétrit.
Il me goûte, me mordille, me tête et moi je gémis en me cambrant toujours plus près de son bras libre il me soulève et je l’enserre sa taille de mes jambes, heureusement je portais une jupe courte et ample. Je mouille comme une folle. Mes doigts se sont perdus dans sa chevelure abondante que je caresse. Il m’embrasse dans le cou a présent puis reprends mes lèvres avant de poser assise le comptoir de la kitchenette le dos contre la paroi du frigo. C’est froid mais rien ne pourrait refroidir mes ardeurs a cet instant les siennes non plus assurément. Il fait glisser ma jupe et mon string le long de mes jambes. Le comptoir et froid lui aussi mais c plutôt excitant. Je l’aide a se débarrasser de sa ceinture alors qu’il élève les manches de feu- sa chemise l’air ironique. Je souris très fière de moi mais alors qu’il me fait découvrir sa nudité triomphante je me sens avide de lui. Son sexe est magnifique et sa vue m’excite tant que je ne peux m’empêcher de poser ma main sur lui et de le presser tendrement, a mon contact sa queue tressaille et son corps tout entier frissonne mon professeur ne bouge plus tendu a l’extrême. Il halète. Et moi je me délecte d’avance… je glisse du comptoir et m’agenouille devant lui il me regarde prendre position et faire coulisser son membre avec ma main avant de le prendre dans ma bouche. C’est chaud, bouillonnant, chaque mouvement de mes lèvres et de ma langue le fait gémir. Je taquine son extrémité avec de grandes lapées qui le font gémir plus fort il retient mon ardeur et tirant mes cheveux en arrière sans brutalité mais il m’empêche de le prendre en entier alors je me venge diablesse que je suis en lui suçant intensément le gland avec mes lèvres, ma langue et le mordillant parfois. Son bassin se mouvez je sais qu’il veux se libérer d’une main je le branler son extrémité toujours en moi et de l’autre je lui caresse les bourses elles sont soyeuses et se contractent chaque fois un peu plus. J’accélère le rythme et la pression sur sa bite. Mon professeur déverse son foutre en moi dans un cri de délivrance, je ne le laisse pas et continue de le sucer jusqu’à ce qu’il se débatte en gémissant. J’aime son goût épicé. Je me relève contre lui il me regarder les yeux assombrit par sa jouissance. Puis il m’embrasse sauvage et passionné, me soulevant pour me reposer sur le comptoir il m’écarte les jambes un peu brutalement et presse son sexe a l’orée du mien. Il est toujours dur et tendu à l’ extrême, moi je crie de frustration alors qu’il l’agite contre moi sans me combler de sa force imposante. Je crie son prénom et essaye de m’empaler sur lui mais il s’échappe et me mordille les tétons et place sa main sur mon sexe dégoulinant de mouille il frotte ses doigts sur le point le plus sensible rendu extrêmement réceptif a ses gestes je sens ses doigts qui me pénètre sa grande main me comble de trois doigts et avec son pouce entretient le rythme de mes gémissement je m’ouvres a lui, j’ai besoin de lui j’ai besoin qui me prenne qu’il me foute sa queue magnifique en moi et qu’il me baise sauvage comme il est, a ce moment. Mon professeur je te veux.
Il murmure mon nom et d’autre chose encore c’est excitant…
A ces mots il me la rentre d’un coup, elle est immense elle est si grosse si grande je n’ai pas mal pourtant excitée comme je suis…
Il gémit d’être en moi pour il commence a se retirer pour m’empaler d’un coup vif et puissant tenant me hanche pour imprimer son mouvement en moi.
Je crie.
Il me soulève et me pose a terre avant de la mettre contre mon visage je la prends je suces avec gourmandise la prenant entièrement puis la limant avec mes lèvres pressées autour de lui puis il se retire et me prends là par terre et me baise. Écartant mes jambes et les maintenant. À chaque coup de reins je hurle ma jouissance car je jouis comme une folle a chaque fois que sa queue rentre et lui, me baise encore et encore avant de gicler son foutre en moi dans un dernier cri.
On se réveille au matin un peu intimidés de se découvrir après la nuit passée…
J’aime apprendre avec cet homme depuis je lui demande des cours particuliers histoire de ne pas oublier la leçon donnée.
diablesse-de-charme@caramail.com