n° 08730 | Fiche technique | 8545 caractères | 8545Temps de lecture estimé : 6 mn | 25/03/05 |
Résumé: Un homme offre sa femme à un amis | ||||
Critères: fhh couplus volupté voir cunnilingu double | ||||
Auteur : Hum (Un couple découvre l'amour à trois) |
Marie-Laure 42 ans et moi 49 ans sommes mariés depuis 15 ans. Marie-Laure est une belle femme blonde aux yeux bleus sur laquelle se retournent assez fréquemment les hommes. Côté sexe, ma femme était restée très conventionnelle, si elle acceptait les fellations elle se refusait toujours à la sodomie et encore plus à l’idée de l’amour à plusieurs. À plusieurs reprises j’avais bien essayé de lui révéler mon fantasme de la voir faire l’amour avec un autre homme, mais sa réponse était toujours la même : il n’en est pas question !
Pourtant un soir tout bascula… Ce soir-là nous avions invité un ami célibataire de 50 ans bien de sa personne, Bernard.
Après un apéritif et un repas bien arrosés nous nous étions réfugiés dans le salon où nous discutions autour d’un digestif. La soirée étant fort avancée, Marie-Laure s’était assoupie sur mon épaule dans le canapé pendant que Bernard assis dans un fauteuil qui nous faisait face me racontait des anecdotes professionnelles. Mon bras autour du cou de mon épouse pendant nonchalamment, ma main à la hauteur du sein gauche de Marie-Laure.
C’est alors que je surpris le regard de Bernard sur les cuisses de ma femme. Il faut dire que Marie-Laure aime s’habiller de façon sexy. Ce soir-là, elle portait un chemisier blanc légèrement transparent laissant entrevoir un soutien-gorge en dentelles de même couleur, assorti d’ailleurs à son mini slip, une jupe noire assez courte, des bas et un porte-jarretelles noirs. C’est vers la vision du haut de ces bas que la position de mon épouse endormie dévoilait légèrement que se portaient les yeux de Bernard.
Je fis comme si je n’avais rien vu et bien au contraire cette constatation eut pour effet de me faire bander. Je continuai donc à converser tout en m’arrangeant pour prendre une position qui permettait à Marie-Laure de mieux s’allonger sur moi dévoilant un peu plus ses cuisses. Bernard avait du mal à rester naturel tant son regard était attiré vers les jambes de mon épouse dévoilées maintenant assez haut pour offrir le spectacle d’une bande blanche juste au-dessus de la lisière des bas.
Tout en discutant, je commençai à caresser le sein gauche de Marie-Laure avec ma main ballante. N’obtenant aucune réaction, j’accentuai cette caresse… Toujours aucune réaction de la part de mon épouse, par contre Bernard avait cessé de parler. Je le regardai dans les yeux et délicatement avec ma main droite je défis le premier, puis le second bouton du chemisier de Marie-Laure. Par l’échancrure je passai ma main gauche que je glissai délicatement dans le soutien-gorge afin d’attraper le sein gauche que je fis sortir de son écrin. Ma main droite défit alors deux autres boutons du chemisier afin de me permettre d’écarter assez le chemisier pour présenter le sein de Marie-Laure à Bernard.
C’est alors que j’entendis dans un souffle Marie-Laure me dire « petit vicieux »… Je la regardai, mais elle restait les yeux fermés. Délicatement de ma main je pris son visage le fis légèrement pivoter et déposai un baiser sur ses lèvres en lui murmurant « je t’aime ». Elle ouvrit la bouche et sa langue enveloppa la mienne. Je profitai de ce long baiser pour défaire les derniers boutons de son chemisier et l’ouvrir complètement. Je fis ensuite sortir son deuxième sein de sa cachette. Ma main glissa vers le bas de la jupe que je relevai doucement. Marie-Laure se souleva légèrement pour m’aider dans cette manœuvre facilitant le passage de son slip que j’avais accroché au retour.
Doucement, j’allongeai Marie-Laure sur le canapé, tout en commençant à lui caresser sa petite chatte. À mon étonnement, je la trouvai humide et accueillante. Mes doigts entraient ou caressaient son bouton. Elle commençait déjà à gémir. Il faut dire que mon épouse est très sensible à cette caresse. Je regardais Bernard, qui ne quittait plus des yeux notre couple. Je lui fis alors comprendre de se déshabiller.
Une fois nu, je le fis approcher du visage de ma femme qui les yeux toujours fermés semblait apprécier de plus en plus ma caresse. Je fis agenouiller Bernard sur le canapé afin que son sexe se pose sur les lèvres entrouvertes de Marie-Laure. Elle eut un petit mouvement de recul et détourna la tête. Délicatement mais fermement je fis à nouveau tourner son visage de façon à de nouveau présenter la bite de Bernard à ses lèvres. J’appuyai alors sur sa nuque afin de les mettre en contact. Elle résista un petit peu, puis je les vis s’entrouvrir, et centimètre par centimètre la bite de Bernard prit possession de la bouche de Marie-Laure. C’était magique.
Pour la première fois, je voyais un sexe autre que le mien dans la bouche de Marie-Laure. Après un léger moment d’attente, je vis la bouche de mon épouse s’activer et le sexe de Bernard ressortir pour à nouveau s’enfoncer. Marie-Laure attrapa alors la bite de Bernard avec sa main droite, sa main gauche s’emparant de ses bourses qu’elle se mit à caresser. Je me dégageai alors tout en continuant de regarder mon épouse sucer Bernard. Elle avait maintenant les yeux ouverts. Sa langue parcourait le membre offert et descendait sur sa hampe pour finir par lui lécher les couilles puis remontait jusqu’à son gland qu’elle engouffrait.
Je profitai de ce moment pour finir de la déshabiller et pour me dévêtir à mon tour. Je lui écartai les cuisses et lui léchai la chatte qui maintenant dégoulinait. Marie-Laure jouit alors très fort. Je me relevai et lui présentai alors ma bite à sucer. Elle prit alors nos bites qu’elle suça l’une après l’autre. Bernard lui caressait le sein droit et moi le gauche. La glace du salon nous renvoyait cette image merveilleuse. Je demandai alors à Bernard de baiser ma femme. Il se releva et se positionna entre les cuisses de mon épouse. Elle avait arrêté de me sucer et me regardait intensément. Je lui souris et fit signe à Bernard de la pénétrer doucement.
Je vis le sexe de Bernard s’approcher de sa caverne. Mon épouse me serra la main. Puis je vis la bite de Bernard s’enfoncer lentement dans la chatte de Marie-Laure. Je pouvais suivre sa progression à la pression de la main de mon épouse. Enfin les poils des deux sexes se rejoignirent et Bernard dans un dernier mouvement s’enfonça tout au fond de ma femme. Il resta ainsi immobile pour la laisser s’habituer et pour me laisser me délecter de ce spectacle. La glace me renvoyait cette image de Marie-laure baisée par un autre que moi. Je bandais comme jamais. Ma femme donna alors le top départ en recommençant à me sucer avec violence et amour. Bernard alors la pilonna lui arrachant une seconde jouissance.
Je demandai alors à Bernard de s’allonger sur le canapé et tout naturellement ma femme vint d’elle-même s’empaler sur son sexe. Elle allait et venait faisant ballotter ses seins que Bernard caressait ou embrassait à la volée. Je me positionnai derrière et appuyai sur son dos. Elle comprit mon intention et arrêta ses mouvements pour m’offrir ce qu’elle m’avait toujours refusé. Je présentai alors ma bite devant son petit trou. Je l’appuyai et millimètre après millimètre je la fis pénétrer jusqu’à le sentir enfin accepté. J’étais alors tout au fond de son cul et j’y étais bien. Elle se mit alors à nouveau à bouger et je sentis le sexe de Bernard se frotter au mien à travers la mince parois qui les séparait.
Marie-Laure bougeait de plus en plus vite, Bernard la baisait, moi je l’enculais et la glace, notre complice, nous renvoyait cette image merveilleusement sexy qui restera à jamais gravée dans ma tête. Marie-Laure jouit une nouvelle fois en même temps que nous éjaculions tout au fond de son corps. Après avoir pris une douche, nous avons à nouveau fait l’amour tous les trois. Marie-Laure acceptant même que nous éjaculions en même temps sur son visage et ses seins ou avalant notre sperme. Ce n’est que le lendemain que Bernard nous quitta non sans avoir sodomisé une dernière fois Marie-Laure devant l’objectif de mon appareil photo qui avait remplacé notre glace.
Depuis il nous arrive souvent Marie-Laure et moi de regarder les photographies de cette première soirée (la suite est une autre histoire).