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n° 08731Fiche technique27011 caractères27011
Temps de lecture estimé : 17 mn
25/03/05
corrigé 04/11/16
Résumé:  Je rentre à la maison, que peut faire Elsa pendant que je roule... Que lui ferais-je une fois arrivé ?...
Critères:  fh revede facial fellation pénétratio fsodo hgode aliments
Auteur : Bardamu      
Retour à l'improviste

Je monte dans la voiture, il est 13 h 25. J’ai 180 km à faire, avec une bonne moyenne, il me faudra moins de deux heures pour rejoindre Elsa. Ça fait quinze jours que je suis par monts et par vaux et que je ne suis pas rentré au bercail. Elsa me manque… je crève d’envie d’être avec elle.


C’est une chance que mon rendez-vous de cet après-midi ait été annulé. Je vais pouvoir rentrer avec quatre ou cinq heures d’avance !


Je prends la bretelle d’autoroute ; ça ira plus vite par ici… et puis ça me permettra de rouler tranquille, tout en pensant à autre chose… et justement, j’ai la tête à tout autre chose !


Tout en roulant, j’imagine Elsa, comment elle est habillée, ce qu’elle est en train de faire à cette heure-ci, ce qu’elle a bien pu se faire à manger…


Les kilomètres défilent répétitifs et monotones. Je vois Elsa en petite tenue, elle m’emprunte toujours mon peignoir quand elle dort seule. Je l’imagine sortant du lit, les yeux vagues, l’allure un peu bougonne. Je la vois en train de prendre son petit déjeuner, boire son café face à la fenêtre. Puis elle passe à la salle de bains… elle accroche le peignoir sur le porte-serviette, entre dans la douche… Je voudrais bien être là, me faufiler dans la salle de bains, la surprendre dans la douche… lui faire l’amour, là, sous les jets d’eau.


Bon, il est 13 h 55, je ne serai pas à Nantes avant 14 h 30. Elsa ne sera plus sous la douche… elle aura fini de déjeuner.


Je prends l’embranchement d’autoroute, ça y est : Nantes 163 km ; enfin je sais exactement combien il me reste. Je regarde le compteur, je fais l’addition.


Je me demande ce que fait Elsa en ce moment, elle est sûrement en train de manger. Son visage apparaît un peu partout, sur les portes des camions que je double, sur les panneaux de direction… partout je vois son visage, qui me dit « Viens ! » ; partout je vois ses hanches, ses seins, ses jambes qui m’invitent à m’y rendre encore plus vite.


J’imagine comment elle est habillée, décontractée. Pull, pantalon large, traînant à pieds nus dans l’appart ; coquette, petit chemisier, jupe courte, talons hauts… Et en dessous, qu’est ce qu’elle porte ? Sophistiquée ? Guêpière et bas. Cool ? Soutien-gorge et culotte. Rien ?


Plutôt que ce qu’elle porte, ce qui m’intéresse vraiment, c’est de savoir comment je vais lui enlever : mes mains glissent sur ses épaules nues, je dégrafe son soutien-gorge… je caresse ses omoplates, Elsa pose son dos sur mon torse, je l’embrasse dans le cou en fermant mes mains sur ses seins…

Sinon, je prends Elsa par les hanches, à travers le tissu fin, je sens les baleines de sa guêpière, je laisse glisser ma main sur ses fesses, jusque sous sa jupe, je remonte jusqu’à l’attache de ses bas.


Ou bien, ses seins sont libres sous un gros pull à col roulé ; à peine accrochée à mon cou, elle relève les bras pour que je la déshabille. Je lui retire son pull-over. Elsa se colle à moi et presse ses seins sur ma poitrine.


À moins que son pantalon large ne cache une délicieuse culotte échancrée, haute sur les hanches, plongeante sur le sexe, qui laisse les fesses et les cuisses libres pour les caresses.


Une ambulance, gyrophare allumé, me double en trombe.


Sans bruit, je pousse la porte de l’appartement, de l’entrée je vois Elsa assise à son bureau, plongée dans des paperasses, ses lunettes et ses cheveux noirs noués en chignon lui donnent un air sévère et sérieux. En me voyant, elle sourit, son visage s’éclaire.



Elle lâche ses papiers sur le bureau, se jette en courant dans mes bras. Elle m’embrasse, longuement, avidement. Avec impatience, ses mains courent sous ma veste, me pressent et me caressent. Je pose mes mains sur ses fesses et je l’attire contre moi, son corps est chaud, sa bouche est pressée, ses baisers me couvrent le visage, ses seins sont tendus sous son chemisier, je sens ses tétons contre mon torse.


Nantes 120 km. Et je bande déjà !


Je passe la porte, l’appartement est envahi par la musique… Elsa est au milieu du salon, elle danse seule devant la chaîne hi-fi. Le volume couvrant mon arrivée, elle ne m’entend pas approcher, elle ne sent ma présence que quand je suis derrière elle. Saisie, elle se retourne, se jette à mon cou en me voyant. La musique continue, Elsa reprend sa danse, tournant autour de moi en petits cercles. Elle lance un bras vers moi, cherche à m’entraîner avec elle… mais elle s’esquive à chaque fois que j’essaye de la saisir. Sa danse devient plus lascive, plus érotique aussi… elle se met contre moi, me tourne le dos, tend les fesses et frotte son bassin sur moi. Puis elle recule et tout en continuant à se déhancher devant moi, elle déboutonne lentement son chemisier. Ondulant au rythme lent de la musique, elle me jette son chemisier à la figure et entame une danse entre strip-tease et danse du ventre.


Un panneau brun propose de jeter un regard à une superbe cathédrale… fleuron du patrimoine local… pour lequel, je ne sais pourquoi, je n’ai aucun intérêt !


Quand je rentre, l’appartement semble vide ; Elsa, dans la salle de bains, se prépare pour mon retour : épilation, crème de soins, gommage et masque d’argile. Je rentre et je la surprends, nue devant le lavabo, enveloppée dans un nuage de vapeur, le visage couvert d’une épaisse couche de crème verdâtre, les cheveux recouverts d’une serviette. Bien qu’elle déteste que je la voie dans cette posture, un large sourire fait craquer la couche d’argile qui lui recouvre les joues. Elle se tourne vers moi, s’avance dans toute sa superbe nudité. Ses seins sont couverts de gouttelettes d’eau, son sexe épilé n’est plus qu’un petit triangle noir au sommet de son sexe. Elle m’enlace, sa peau est chaude, moite. Elle me tend son visage et m’embrasse… puis elle éclate de rire en essuyant les traces d’argile que son baiser a laissées sur mes joues.


Mmmh ! 14 h 12, il est peu probable qu’Elsa soit dans la salle de bains à cette heure-ci ! Je vais arriver dans vingt minutes… où sera-t-elle à ce moment-là ? En train de faire quoi ?


Quand je pousse la porte, Elsa est dans la cuisine, elle revient à l’instant de faire des courses, elle a étalé ses achats sur la table, qu’elle range au fur et à mesure dans le frigo ou les placards. Elle est accroupie devant le frigo quand j’entre dans la pièce. Quand elle me voit, elle me saute au cou un sachet de légumes à la main…


Non, des yaourts, plutôt… Oui, c’est plus marrant les yaourts… je lui en étalerai sur les seins avant de les lui lécher… Bon, les légumes ça peut être sympa aussi… mais des courgettes ou un concombre… carottes, à la limite… non, c’est terreux les carottes… de toute façon, pas des haricots…


Mmmmh ! Je reste sur les yaourts, une option pour le pot de confiture. Donc je la renverse sur la table, je lui enlève son pull… je la caresse longuement… je lui retire délicatement son soutien-gorge… je prends un yaourt et, avec une cuillère, je lui badigeonne les seins… puis je me jette sur mon dessert.


Ou alors, je me jette sauvagement sur elle, je la déshabille rapidement… Non, je lui arrache ses vêtements… Euh ! Vaut mieux pas ! Disons que je la déshabille, que je l’allonge nue sur la table au milieu des victuailles… De là, je saisis un yaourt que je lui renverse sur le ventre… à pleines mains, je lui étale le yaourt sur le ventre et la poitrine… Et ça, c’est pas mal : je lui fais lécher mes doigts avant de plonger le nez entre ses seins pour laper. Je lèche par petits coups de langue, j’aspire le yaourt sur son ventre, je plonge ma langue pour lui nettoyer le nombril (elle adore ça !), je m’attarde un peu sur ses seins que je mordille, je gobe ses tétons jusqu’à ce qu’ils deviennent fermes et pointent comme une île au milieu d’un océan de yaourt.


Pas mal, ça ! Ça me plait bien !


Bon, disons que je rentre, Elsa est dans la cuisine, pour le yaourt j’improviserai sur place, elle porte un pantalon large, un pull trop large, avec rien en dessous, c’est ce qui semble le plus crédible (sauf pour le rien en dessous, mais bon). J’arrive, je rentre dans la cuisine, je me jette sur elle. Non, nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre. On s’embrasse longuement au milieu de la cuisine. Elsa penche la tête sur son épaule, je tiens son visage entre mes mains. Ma bouche fouille la sienne, nos langues se cherchent, se trouvent, se mêlent avec passion. J’adore l’embrasser comme ça… à lui couper le souffle ! Rendu ivre par ses baisers, je m’effondre avec elle sur la table… je suis au-dessus d’elle, ses cuisses se referment sur mes reins et m’enveloppent…


Encore un camion qui en double un autre… ça n’avance pas, bordel ! Je vais pas passer ma vie sur la route ! Je suis attendu… j’ai une fille toute chaude qui m’attend sur la table de cuisine, moi !


Donc j’entre… je passe dans la cuisine. Elsa me regarde entrer avec un large sourire. Elle porte un chemisier blanc négligemment ouvert qui m’offre un décolleté des plus affriolants et une petite jupe moulante ; finalement, la jupe c’est plus sympa, plus pratique, surtout à enlever… et puis ça laisse une option pour les bas. Ses cheveux en bataille contrastent avec la rigueur de sa tenue.



Je la caresse à travers son pull, ses hanches, ses seins. Je palpe tout ce que je peux attraper. Je l’embrasse comme un fou.

Elsa se dégage en minaudant :



Mmmh ! c’est direct ! Un peu trop… je vais me faire rembarrer. C’était plus rigolo avec le yaourt !


Ça y est, je suis dans la banlieue de Nantes… Plus que dix minutes… si ça roule… plus que dix minutes à bander dans le vide.


Je reprends… Je glisse une main sous sa jupe, je file sous sa culotte ; si elle a pris l’option pantalon je me débrouille pour lui retirer d’une seule main… et la culotte avec tout en finissant de laper les traces de yaourt. Elsa se tord sous les caresses appuyées de ma langue. Le nappage au yaourt l’a tellement excitée que sa chatte est déjà ruisselante, son sexe vient à la rencontre de mes doigts.


Est-ce que je la pénètre tout de suite ? Pourquoi pas ? L’ambiance n’est pas aux préliminaires. Et puis j’ai toujours eu envie de faire l’amour comme ça, à la sauvette ; pas forcément sur la table de la cuisine, mais dans un ascenseur ou un truc comme ça ! Dommage qu’il n’y ait pas d’ascenseur dans l’immeuble…


Donc, je laisse tomber mon manteau, je retire en une seule fois mon pull et ma chemise ; puis je baisse mon pantalon… Ma queue jaillit de mon slip comme un diable hors de sa boite… D’ailleurs, non ! Je garde mon manteau et le reste, j’ouvre ma braguette, je sors ma bite. J’ouvre les jambes d’Elsa et je me plante en elle d’un trait…


Merde ! même à cette heure-ci, ça bouchonne ! Mais qu’est-ce qu’ils font tous sur la route à cette heure ? Y peuvent pas bosser, tous ces cons ?


Je plonge dans sa chatte à grands coups de reins… c’est délicieux ! Elsa se met à gémir… m’encourage à grands coups de : « Défonce-moi ! », « Oui ! Encore ! », « Vas-y… Oui ! À fond ! » Des trucs dans ce genre !


Allez ! Magnez-vous tas de limaces ! Vous êtes peut-être pas pressés d’arriver au boulot ! Mais moi j’ai un truc sur le feu à maison… Un truc qui peut pas refroidir !


Je lui demanderais bien de me sucer ! Je sais qu’elle n’aime pas trop ça quand je sors de sa chatte et qu’elle doit sentir son goût sur ma queue… Mais dans le feu de l’action, ça pourrait le faire !


Je la pénètre longuement, à longs coups de boutoir ; puis d’un coup, je me retire, je recule jusqu’à me coller sur la porte du four. Elsa comprend tout de suite… d’ailleurs, elle en a envie ! Elle descend de la table, se jette à mes genoux… et engloutit ma queue sur toute la longueur… Pour une fois, elle ne me suce pas du bout des lèvres, mais à fond ! Elle avale ma queue tout entière, jusqu’aux couilles. Je sens mon gland buter au fond de sa gorge.


Mieux encore ! Je lui tiens la tête, je lui enfourne ma queue dans la bouche… Je lui baise la bouche comme je lui ai baisé la chatte… à grands coups de reins !


Mmmh ! Pas sûr ! Mais au moins elle me suce un peu ! Et pour une fois, elle adore… Pour une fois !


J’ai envie d’être en elle à nouveau. En levrette cette fois, sa position favorite. Elsa se relève, je passe derrière elle, je cale ma queue entre ses fesses… dans la raie de son cul mignon… elle tend la croupe, presse son cul contre ma bite… Je plonge mon nez dans son cou, je l’embrasse, je la mordille… mes mains empoignent ses seins… C’est un peu collant, le yaourt !


Enlacés, nous pivotons dans la pièce… Quand Elsa est face à la table, je la force à se pencher en avant… Elle prend la pose, le buste penché sur la table, les cuisses ouvertes… Elle me tend son cul et d’une main elle m’ouvre le passage de son sexe.


Je la pénètre à nouveau, avec la même brutalité, ça lui plait, je coulisse en elle encore mieux dans cette position, je m’enfonce plus loin aussi ça aussi, elle aime quand mon ventre claque sur ses fesses. Elsa ouvre les cuisses pour m’offrir l’angle idéal, je m’engouffre en elle sans effort, variant le rythme et la profondeur de mes coups de reins…


À un moment, il faut que je débarrasse de mes vêtements… Si possible avant de la prendre en levrette !


Je regarde ma queue s’enfoncer en elle, les lèvres de sa chatte se retroussent à chacun de mes mouvements… J’adore cette position, j’adore ce spectacle dont je suis le seul à profiter : ma queue raide rendue brillante par la cyprine, imbibée d’une écume blanche qui s’enfonce entre les pétales rosés de son sexe, qui ressort entièrement. J’ai l’impression d’éprouver visuellement les frottements le long de ma bite. J’en joue et j’en jouis, je regarde mon gland gonflé au maximum ressortir de son sexe, replonger entre les fines lèvres, les emboutir au passage puis revenir en arrière…


Autre spectacle délicieux et rare : je vois, juste au-dessous de ma queue, les replis froissés de l’anus qui se relâchent ou se rétractent suivant que je m’empale en elle ou que je me retire. Elsa ne déteste pas que lui caresse l’anus en lui faisant l’amour, ou même parfois que je glisse un doigt dans son cul… Moi aussi, j’aime sentir contre ma queue la présence de cet intrus à travers la paroi de son vagin. Et puisqu’elle est offerte, je lui plante, pas trop sauvagement quand même, un doigt dans l’anus… Et je caresse, du bout de l’index, mon gland à travers la cloison qui sépare son sexe de son anus.


Ce qui serait bien c’est qu’elle soit disposée à autre chose… le tout c’est de le lui présenter avec diplomatie !



Et voilà pour la diplomatie ! Elsa ne proteste même pas, prise dans la frénésie du jeu, elle pose ses mains sur son cul, écarte les globes de ses fesses. Au centre, l’œillet rosé de l’anus s’entrouvre à peine… même pas assez pour y enfoncer un doigt sans forcer !


Je pose mon pouce sur la rondelle et je masse quelques instants par des mouvements circulaires. Le cul reste étroit et serré. Sans lubrifiant, ça ne passera jamais, même un doigt !


Seulement, la vaseline est dans un tiroir de la commode, dans la chambre, et je n’ai pas envie de laisser Elsa, apparemment bien disposée, ne serait-ce qu’une seconde.


Tant pis, j’ai le choix entre de l’huile de cuisine et du beurre. J’opte pour le beurre… J’ouvre le frigo, je sors le beurre, un couteau. Je taille un petit cube et je le lui introduis dans l’anus. Au contact froid, l’anus se contracte un peu, je pousse le morceau de beurre et j’enfile mon index à la suite, en deux ou trois mouvements dans l’anus. Je le sens se relâcher un peu, les parois de l’intestin se lubrifier. Ça ressemble à Un Dernier Tango à Paris. Néanmoins, ça reste étroit. Un peu trop pour ma queue. Et depuis le temps que j’ai envie d’enculer, Elsa, qui n’a jamais été visitée par là, il est hors de question d’y aller avec brutalité, mais il est aussi hors de question que je renonce. Pas aujourd’hui !


J’y vais progressivement, une phalange, puis l’autre. Un autre morceau de beurre, j’en profite pour badigeonner le pourtour de l’anus. Je reprends avec calme, une phalange, une autre, un doigt complet… enfin ! Elsa se tient toujours les fesses et s’écarte le cul au maximum ; pour l’instant, elle est toujours partante !


J’arrive à enfoncer un deuxième doigt ; Elsa commence à grogner, ça commence à lui faire mal ! Mais elle garde la pose, jambes ouvertes, cul offert, elle cherche même à m’ouvrir davantage le passage en tirant au maximum sur ses fesses…


D’une main je lui masse les parois de l’intestin, de l’autre je cherche sa chatte, si ruisselante que c’en est à peine croyable. Je la branle vigoureusement… qu’elle reste dans le même état d’excitation.


Avec le beurre, mes doigts glissent sans peine, mais ma queue, ce sera une autre affaire… Tant pis, je n’en peux plus, je veux me planter maintenant dans ce conduit étroit… on verra bien !

Je reprends un morceau de beurre à pleine main, je l’écrase entre mes doigts et je m’enduis la bite, c’est froid… Heureusement que c’est du beurre sans sel, parce que sinon Elsa aurait le cul en feu… Enfin, ça ne va plus tarder !


Je retire mes doigts, je lui écarte les fesses moi-même, Elsa me tend son cul : elle est prête !

Je pointe mon gland sur l’anus qui s’est déjà rétracté, je pousse un peu, je dérape le long de la raie de son cul, évidemment. Cette fois, je prends ma queue à pleine main, juste derrière le gland, je bande comme jamais… L’anus s’entrouvre… je m’enfonce… juste le gland… j’ai l’impression d’être pris dans un étau. Elsa gémit :



J’essaye de m’enfoncer lentement, progressivement et sans à-coups. Ça rentre avec peine… mais ça rentre !



Je regarde le compteur : 110 km/h ; pas mal en centre-ville ! Si je ne m’envoie pas dans le décor, je vais me faire retirer mon permis. Et j’ai pas envie de rentrer à pied ! Je lâche un peu l’accélérateur.


Où en étais-je ? Oui ! Elsa me demande de lui défoncer le cul ! Ouais ! Bon ! Ça m’étonnerait qu’elle accepte de se faire enculer comme ça ! Et puis, elle est si étroite que sans préparation je n’arriverai même pas à lui enfiler mon gland dans le cul ! Non, ce qu’il faudrait, c’est que j’aille chercher le petit gode rouge dans le tiroir de la chambre ! Que je la prépare un peu avant de la sodomiser… Mais alors il faut aller dans la chambre… Tant pis, on fera l’amour sur le lit ! À la place du beurre, je prendrai de la vaseline ! Et puis je la sodomiserai très progressivement… tout en douceur !


Nantes Centre, nous y voilà. Bon, ça me fait encore un quart d’heure de bouchons ! Au mieux !


Ou alors, au lieu de la sodomiser, ça serait rigolo que ce soit elle qui m’encule ! Avec le petit gode-ceinture que j’avais acheté il y a plus d’un an. Dommage qu’elle ne l’utilise jamais !


Oui ! C’est ça ! Je l’entraîne dans la chambre, je la harnache moi-même avec les sangles du gode. Elsa debout devant le lit, moi à genoux en train de lui attacher le gode… Une fois installé, je me penche sur la bite en latex… Je la suce, comme elle-même me suce ! Je cale mes mains sur ses fesses et je pompe cette bite en caoutchouc… Elsa me prend la tête et m’oblige à m’enfoncer le gode au fond de la gorge, exactement comme je l’ai forcée à me sucer tout à l’heure dans la cuisine. Puis je l’allonge sur le lit… je veux m’empaler moi-même sur sa queue artificielle, m’asseoir sur cette bite, jusqu’à ce qu’elle rentre tout entière dans mon cul !


Je finis de sucer le gode, j’y ai laissé suffisamment de salive pour que ça rentre sans trop de difficulté. Pendant ce temps-là, je me suis enfilé un doigt dans l’anus, pour le détendre et l’élargir un peu.


Je me redresse, je me mets debout sur le lit à l’aplomb du gode. Je m’assieds, ma queue commence à ramollir un peu, comme à chaque fois qu’Elsa me branle le cul… L’extrémité du gode bute sous mes couilles, Elsa le guide vers mon anus, je plie lentement les genoux, je sens le gode forcer mon cul et s’enfoncer sur un ou deux centimètres. C’est un gode de petite taille, à peine moins long que ma queue, mais surtout beaucoup plus fin… Petit à petit je m’empale, centimètre après centimètre, reculant un peu avant de m’enfoncer plus loin. À la fin, mon cul frôle les cuisses d’Elsa : je suis enculé sur toute la longueur du gode.


À croire que tous les feux sont rouges ! Tant pis, le prochain, je le grille !


Je fais coulisser lentement mon cul, de haut en bas, le long de la petite bite noire, pendant quelques minutes. Pendant ce temps, je regarde Elsa qui, n’ayant aucun mouvement à faire, se caresse les seins, laisse ses mains courir sur mes cuisses, comme pour mieux éprouver le rythme auquel je m’encule. Elle finit par effleurer mes couilles et mon sexe définitivement rétréci et racorni. Elle soupèse mes couilles, les masse, les presse, puis sa main se ferme sur ma queue et me branle au rythme de mes coups de reins. Ma queue reprend un petit peu de vigueur entre ses doigts.

Rapidement lassée de son rôle passif, elle m’ordonne :



Délicieusement soumis, je prends la pose : je lui tourne le dos, les bras appuyés sur le bord du lit. Elsa éprouve la longueur de la queue, sa raideur, sa chaleur. Mais au lieu de se placer derrière moi, elle se lève et vient me présenter la bite artificielle sous le nez.



Elle se comporte comme un homme, et la queue de latex n’est plus un accessoire, mais une partie d’elle-même. Elle presse sur mon crâne, saisit la queue entre les doigts et me l’enfourne d’un trait dans la bouche. La vigueur et la profondeur avec laquelle elle s’enfonce ! C’est à peine si j’effectue le moindre mouvement qui me donnerait la nausée. Après quelques instants, elle retire le gode gluant de salive de ma gorge, et se met à genoux entre mes cuisses.


Elle me pénètre exactement comme je l’aurais fait pour elle : la bite entre les doigts, elle guide l’engin jusqu’à l’entrée de mon cul, l’enfonce lentement sur un ou deux centimètres, puis elle place ses mains sur mes hanches et s’enfonce d’un trait, d’un coup de reins puissant et violent. Pendant qu’elle m’encule avec une sauvagerie dont je ne l’aurais jamais crue capable, je hurle, je gémis, je grogne en serrant les dents, je la supplie d’y aller doucement… mais rien n’y fait, elle me défonce à grands coups de reins, ses mains agrippées à mes hanches m’interdisent toute fuite.



Je plonge le nez dans le matelas, je pousse des cris étouffés dans les draps, pendant qu’Elsa m’encule avec frénésie, je secoue nerveusement ma queue flasque…


C’est y est, le dernier feu (rouge, évidemment !). Dans deux minutes je suis à l’appart. Dans deux minutes je suis dans ses bras.


Elsa me libère enfin, je suis sur le point de jouir. Je me lève. Sans le moindre scrupule surtout après ce qu’elle vient de me faire endurer, je lui enfonce ma queue dans la bouche, où elle reprend un peu de raideur. Elsa me pompe avec la même fureur qu’elle a mise à me sodomiser ; je sens mon gland heurter sa gorge, ses lèvres buter sur mes couilles… Alors que je vais jouir, je me retire de sa bouche, en quelques coups de poignet je sens monter l’éjaculation. Arc-bouté, la bite tendue vers son visage, je me vide par longs jets qui s’écrasent sur le visage d’Elsa.


Je tombe à genoux, en gémissant. Elsa me regarde avec un grand sourire, les joues zébrées de filets blanchâtres, des traînées de sperme coulent depuis son nez et ses lèvres et tombent en goutte à goutte sur ses seins. Je l’embrasse en goûtant le foutre amer. Je retombe sur le lit… heureux, épuisé…


Le cul me brûle, mes testicules contractés me font mal. Avons nous déjà fait l’amour avec autant de violence et de fougue ?


Je tourne à l’angle de la rue, je me gare. En dix secondes je suis dans l’entrée de l’immeuble. En dix de plus j’ai gravi les deux étages. J’ouvre la porte, je jette mes sacs dans l’entrée. Je traverse le séjour vide, je rentre en trombe dans la cuisine vide, je visite la chambre, la salle de bains, même les toilettes. Vide, vide, vide : l’appartement est désert.


Elsa n’est pas là ! Fait chier ! J’ai une érection terrible, et Elsa n’est pas là ! C’est toujours la même chose quand je rentre à l’improviste.





(Nouvelle correction : 2016)