n° 08737 | Fiche technique | 14427 caractères | 14427Temps de lecture estimé : 9 mn | 26/03/05 |
Résumé: Humiliée par mon ami, j'ai eu envie de me donner à un autre | ||||
Critères: petitseins fh hplusag fellation pénétratio ecriv_f | ||||
Auteur : Laurette |
Cela n’allait plus du tout avec Antoine, mon copain de l’époque. Nous avions pourtant vécu 3 longues années ensemble et fait de multiples projets en commun.
Et puis est arrivé ce malheureux événement : Je suis tombée enceinte, malgré lui, malgré moi, sans désir véritable, juste par accident. Je prenais pourtant régulièrement la pilule, même s’il m’arrivait parfois de l’oublier, j’ai toujours été un peu « tête en l’air ».
Le jugement de mon conjoint avait été sans appel « Non, je n’en veux pas ! ».
Mais, plus que son refus, c’est sa façon de réagir qui m’avait choquée, il m’avait vraiment parlé méchamment et sans la moindre compassion. Ça avait cassé quelque chose en moi.
J’ai donc pris seule le chemin de l’abattoir, triste avortement solitaire sans prévenir personne.
A partir de ce jour, la situation s’est peu à peu dégradée entre nous. Nos rapports se sont espacés et nos querelles se sont intensifiées, au point de transformer peu à peu l’amour en haine.
Un jour où nous étions invités chez des amis, Antoine m’a carrément humiliée. Déjà que, pour lui, les « nanas » ce n’était pas grand chose. Mais ce jour là, il était bourré, et il m’a carrément fait passer pour une salope. « Que cela ne l’étonnerait pas que je fricote avec le facteur ! ». « Que je ne pensais qu’à le tromper ».
Tout ceci devant des amis très proches, le genre de ceux qui auraient pu être témoins à notre mariage.
Moi qui avais toujours été fidèle et qui n’avais jamais, au grand jamais, regardé ailleurs.
Je me suis enfuie, j’ai claqué la porte. J’étais en larmes dans le taxi qui me raccompagnait à la maison.
Le lendemain, il s’est excusé. Mais, probablement, pas avec suffisamment de tact. Moi, la salope ! Moi, la pute ! Ce n’était plus qu’une question de jours, mon pépère. Puisque je ne suis plus pour toi qu’un trou à boucher, nous n’avons plus rien à faire ensemble.
Les heures suivantes, j’ai erré comme un zombie perdu dans l’univers des vivants.
Mais ce n’était pas moi cette fille qui vivait ici, ce devait être quelqu’un d’autre.
Deux jours plus tard, trois jours peut-être ? Quelqu’un a sonné à la porte.
Il était déjà presque 10 heures mais j’étais encore en chemise de nuit et en robe de chambre. En ces temps là, je n’avais plus goût à rien, même pas à m’habiller.
C’était un homme dans la cinquantaine, le visage rond et rougeaud, avec un double menton. Les tempes grisonnantes et une couperose qui trahissait son amour pour l’alcool. Pas du tout mon genre de mec ! Surtout pas avec sa grosse bedaine, moi qui suis une petite puce presque squelettique.
Toujours est-il qu’il ne me donna guère l’occasion de le refouler de notre appartement. Et il se retrouva bientôt assis dans la cuisine, devant la petite table en formica, et je ne pus guère faire autrement que de lui proposer un café.
Il vendait une méthode accélérée pour apprendre les langues vivantes. J’ai été sur le point de lui dire de repasser plus tard lorsque mon « mari » serait là.
Mais, finalement, je n’avais rien d’autre à faire ce matin là et je ne suis pas très douée pour me débarrasser de ce genre de type.
Nous étions assis face à face depuis un bon moment, lui faisant son monologue et moi hochant de la tête par politesse, lorsque je m’aperçus que ses yeux revenaient régulièrement sur ma poitrine.
Certes, ma robe de chambre était entrouverte et ma chemise de nuit était peut-être légèrement transparente. Ceci dit, il n’y a pas péril en la demeure, dans la mesure où je suis plate comme une limande, presque encore plus que Jane Birkin. Que pouvait-il voir avec ses deux gros yeux ronds, sinon deux bouts de tétins sans originalité ?
Curieux personnage qui semblait fasciné par mon absence de poitrine ! Pourtant, à cette évocation, son intérêt pour mes tétés m’excita malgré moi et je sentis mon intimité soudain s’humidifier.
Est-ce aussi à cause de cette autre dispute : La fois où Tonio m’avait dit qu’il ne s’étonnerait pas de me retrouver un jour dans les bras du facteur !
Et puis, il y avait aussi cet air méprisant qu’il prenait désormais pour me faire remarquer que je n’avais pas de seins, lui qui les trouvait pourtant si « mignons » au début de notre union. Histoire de dire : « T’as pas de nichons, t’es même pas une vraie femme »
J’ai proposé un autre café à Roger, mon voyeur de colporteur.
Tout en me rasseyant, j’ai prétexté la chaleur pour retirer ma robe de chambre. Cette chemise de nuit était-elle véritablement transparente ? C’était pas flagrant, si elle l’était un peu, c’était braiment très léger. Mais, peut-être qu’inondée pas la lumière du soleil qui filtrait à travers la fenêtre…
« Sacré Roger, il faut pas que tu le sache mais j’ai très envie que tu me baises », me surpris-je à penser.
Qu’est-ce qui t’arrive ma pauvre, toi qui a toujours été très fidèle et très fleur bleue ? Surtout avec ce vieil obsédé qui a presque l’âge de ton père, t’es complètement folle !
Ces mots étaient sortis de ma bouche, involontairement, presque malgré moi, comme si une étrangère avait soudain pris possession de mon corps. Je m’en voulais pour ça.
Et ça avait cassé l’ambiance. Notre orateur insatiable avait soudain perdu le fil de ses pensées et sa superbe avait fondu comme neige au soleil. Il s’était égaré quelque part entre mes yeux et mes tétons, comme pétrifié par mon d’audace. Et ce n’est qu’au bout d’un temps infini qu’il bredouilla maladroitement ! « Oui, ils sont très beaux ».
Et, sans lui laisser le loisir de répondre j’entrepris de dégrafer les trois boutons qui l’éloignaient du spectacle. Je n’avais encore jamais fait ça avec quiconque. Je ne suis pas exhib pour deux sous et n’ai guère de moyen de l’être.
Mais, une fois partie, nul ne pourrait plus me retenir. J’avais envie de baiser, de me faire baiser, de me donner comme une pute. Ce type n’était pas beau, pas jeune, pas riche, mais j’avais envie de lui. Il aurait été sale et malodorant, je crois que j’aurais fait de même.
J’ai fait glisser la nuisette le long de mes épaules pour dévoiler ma poitrine entièrement nue.
Les hommes sont souvent plus fort en gueule qu’en action et celui-ci n’échappait pas à cette règle. Il mit un temps infini à se redresser, à faire le tour de la table, à venir me les toucher. Alors que moi je m’attendais à être violentée et à passer à la casserole dans les plus brefs délais.
Après m’avoir longuement bouffée du regard, il me bouffa finalement à pleine bouche. Lorsque sa langue s’immisça fermement dans ma bouche, je reçus de plein fouet toutes ses vapeurs d’alcool. Mais, loin de me dégoûter cela m’excita un peu plus. Mes tétons bandaient et ma chatte ruisselait. Ce parfait inconnu me mettait vraiment dans tous mes états. Je n’avais jamais été autant excitée avec Antoine. Pour retrouver pareille sensation, il me fallait remonter à cette aventure sauvage que j’avais eue avec un contremaître alors que je travaillais en intérim dans une fabrique de manteaux…
Et de sentir sa grosse avide aspirer avec force mes petits tétons, je me suis sentie traversée par des ondes de jouissance. Je n’en pouvais plus d’être ainsi tétée, j’étais à fleur de peau.
Par la suite, il lui fallut peu de temps pour m’arracher complètement la nuisette. J’étais debout contre le mur, complètement à sa merci et disposée pour tous les sévices. Il l’avait bien compris d’ailleurs. Il glissa une main experte entre mes cuisses et introduisit un premier doigt dans mon sexe humide et chaud. Il commença un va-et-vient agile qui m’arracha rapidement de premiers gémissements.
J’étais debout, embrochée à ses phalanges qui s’affairaient grossièrement en moi. Mes jambes flageolaient et j’avais l’impression que tout mon jus de femme dégoulinait le long de mes cuisses, comme autant de preuves de mon état d’excitation
Il me poussa soudain contre la table, ses doigts toujours en action. J’étais excitée comme une puce. Il me bascula sur la table glacée, sans prendre gare aux tasses qui, malmenées, allèrent exploser contre le sol dans un bruit d’apocalypse.
Je lui ai crié un « oui » à la limite de l’orgasme. Après tout « coquine » c’est quand même mieux que « salope » et c’est plutôt plaisant.
Il comprit alors que j’allais jouir très vite et il stoppa de suite son va-et-vient pour me faire languir un peu plus.
Après m’avoir lentement caressée partout, et excité tous mes nerfs, me remettant dans tous mes émois, il replongea entre mes cuisses et entreprit de me lécher avec ferveur. Quelques coups de langues plus tard et j’explosai avec force, expulsant hors de moi deux longs jets de cyprine qui aspergèrent sans crier gare mon divin maître-dévoreur.
Les spasmes succédèrent aux spasmes, tandis que cette langue divine redoublait entre mes cuisses. Je n’en pouvais plus. L’espace d’un instant, je fus submergée par la honte, réalisant soudain que je ne m’étais même pas lavée. Ma forte odeur de rousse devait l’incommoder. Mais cette gêne fut de courte durée, plaisir et désir reprenant bientôt le dessus.
Je n’en pouvais plus, il fallait qu’il vienne en moi. Il se déshabilla avec peine, son ventre bedonnant, son poitrail entièrement velu d’une toison déjà grisonnante. Mais, loin de me rebuter, tout en lui m’excitait. Il aurait pu me demander la lune et même MA lune que je lui aurais offerte.
Il me doigta encore un peu, jusqu’à ce que mon sexe coule à nouveau de délice ! Je me sentais toute poisseuse.
Puis, prenant alors mes petits seins dans ses mains, il me pénétra et commença alors un long va-et-vient, lent et profond, avant d’accélérer peu à peu la cadence.
Au dessus de moi je voyais ce gros visage aviné qui grimaçait au rythme des coups de boutoir que je sentais entre mes cuisses. C’était tellement bon, j’en perdais toute notion et je me déhanchais un peu plus pour mieux le ressentir.
Un orgasme terrible me cloua sur place au moment même où je sentis son premier jet brûlant inonder mon ventre… Un éclair de lucidité : Le préservatif ! Nous avions oublié le préservatif. Mais déjà le plaisir m’inondait à nouveau : j’ai hurlé comme une bête sans conscience du voisinage.
Il éjacula à nouveau. C’était tellement bon de recevoir tout ce foutre chaud en moi.
Nous reprîmes peu à peu nos esprits. Il m’embrassa avec tendresse et m’assura avec délicatesse que j’étais vraiment « un bon coup ». Seule son haleine fétide était moins agréable.
Mais j’étais prête à tout. Il aurait manifesté son désir de m’enculer que je me serais laissée faire, moi qui ne suis pourtant en général pas très chaude pour ce genre de pratique. Mais il était visiblement plus branché fellation et c’est avec beaucoup de plaisir que j’entrepris d’avaler son gros sexe.
Sous les assauts de ma bouche, il retrouva peu à peu toute sa vigueur, pour mon plus grand plaisir. J’avais envie d’être prise à nouveau, je me sentais complètement nympho ce matin là.
Le carrelage de la cuisine étant glacé et parsemé de bouts de verre, je l’entraînai dans le salon et je m’installai à quatre pattes sur le tapis, l’invitant à me rejoindre en ondulant des fesses.
Il ne tarda pas à me transpercer à nouveau, son vieux sexe bien dur perforant sans problème ma petite chatte poisseuse.
Il était fort doué, un sacré bon baiseur, cent fois mieux que trois ans de touche-pipi avec Antoine. Cela a duré longtemps, très longtemps. À chaque fois que j’atteignais presque l’orgasme, il me faisait languir un peu plus. C’était divin.
Et j’ai fini par jouir et, lui aussi, quelques temps plus tard, il m’a à nouveau remplie de sa semence divine.
Il était midi passé et il devait partir.
Tout en se rhabillant, en remettant ses chaussettes :
J’ai répondu « Non, je suis mariée » mais dans ma tête je pensais déjà « Oui, pourquoi pas ». Finalement, j’ai quand même accepté de lui laisser mon n° de portable.
Depuis, j’ai quitté Antoine et j’ai déménagé.
Et au bout de 4 ou 5 relances téléphoniques de notre ami Roger, j’ai finalement accepté de le revoir.
Je l’ai revu à nouveau une petite dizaine de fois et, à chaque fois cela a été formidable. Dommage qu’il soit marié et qu’il y ait peu de chance pour qu’il laisse tomber sa femme.
Je ne regrette donc pas de m’être conduite comme la pire des salopes. Et, pour tout dire, il m’arrive même d’être jalouse de Roger. Je me dis qu’au gré d’une de ses visites chez une autre cliente… mais, enfin, non, il m’assure du contraire.
De plus, je ressemble, paraît-il, à sa femme, en plus jeune ! Nous partageons, d’après ses dires, la même petite poitrine. Cela me donne presque envie de faire sa connaissance…