n° 08754 | Fiche technique | 17845 caractères | 17845Temps de lecture estimé : 11 mn | 28/03/05 |
Résumé: La naissance de mon intérêt pour les femmes... | ||||
Critères: fh fplusag profélève voir exhib massage init | ||||
Auteur : Villow (Une vie pas comme les autres) |
Je vivais pleinement les changements de mon corps. Après les transformations de l’adolescence, je découvrais mon penchant pour les femmes et le plaisir que j’éprouvais lors de situations insolites et d’un érotisme certain.
Un jour où j’allais à la piscine couverte de notre hôtel de vacances d’hiver, j’eus la révélation devant moi. Les vestiaires étaient mixtes et les cabines se fermaient avec un rideau de tissu.
Cherchant une cabine pour me changer, je rencontre une femme, un peu plus jeune que ma mère, sortant de la douche, le corps enveloppé dans un drap de bain. Nos regards se croisent et elle me gratifie d’un splendide sourire, dont seules les femmes ont le secret.
Prête à entrer dans sa cabine, elle me signale que la cabine proche de la sienne, dans l’angle, est disponible, tout en me fixant avec ses yeux doux et sensuels. Je rougis un peu et la remercie.
Je rentre dans la cabine et là, je remarque que cette inconnue me tourne le dos, toujours vêtue de sa serviette. Elle a mal fermé son rideau (volontairement ?) ce qui me permet de la voir à travers cet espace. Quel bonheur…
Elle laisse glisser sa serviette et me tourne toujours le dos. Je vois pour la première fois de véritables jolies fesses blanches féminines à quelques centimètres de moi. La réaction ne se fait pas attendre. Je bande au point d’avoir mal dans mon slip. Mon cœur bat la chamade et j’ai très chaud.
Je l’observe. Elle pose sa jambe gauche sur le banc, elle se masse la jambe avec un liquide huileux en commençant par les pieds. J’ai une vision des plus excitantes : j’entrevois une petite mèche de poils au niveau de ses fesses et l’admire huiler sa cuisse, puis ses jolies formes rebondies.
Ce spectacle dure (à ce moment-là, je n’ai plus aucune notion du temps) mais je reste frustré de ne pas en voir plus…
Elle tourne son visage vers moi, me sourit et me fait face.
A cet instant précis, j’ai la forte impression que le sol se dérobe sous mes pieds… Quelle vision ! Cette femme a décidé de répondre à mon penchant de voyeur : elle m’offre sa nudité.
Afin de parfaire ce spectacle, elle me fait un strip-tease inversé… Elle se rhabille tout doucement, très sensuellement. Elle enfile des sous-vêtements noirs, les ajuste. Puis c’est au tour de sa jupe droite et de son chemisier. Elle range délicatement ses affaires, ouvre entièrement le rideau, me sourit et me fait un clin d’œil. Elle quitte le vestiaire.
J’étais prêt à lui courir après, la remercier, l’embrasser… Mais mon état d’excitation ne me le permettait pas.
Merci à cette belle inconnue pour cette séance d’érotisme intense que tous les adolescents rêvent de vivre un jour.
***
Trois mois plus tard, j’ai connu des moments similaires… Non… bien plus intenses.
A l’école, j’avais un peu de mal avec l’anglais; mes résultats s’en ressentaient. Afin de combler cette carence, ma mère me proposa de prendre des cours de soutien avec une de ses amies. Je ne la connaissais pas. Mon premier cours eut lieu un mercredi après-midi, à 15h00.
L’adresse en poche, je me rendis en bus chez ma nouvelle prof d’anglais. Elle habitait un immeuble neuf face à l’hippodrome, donc sans vis-à-vis. Elle avait un appartement terrasse au dernier étage.
Je sonne à la porte… Elle m’ouvre. Elle devait avoir moins de la quarantaine, brune, des lunettes, pas très grande et bien faite. Elle m’accueille très chaleureusement, elle m’embrasse et me dit être très satisfaite à l’idée de m’aider à améliorer mon niveau d’anglais.
Elle a la peau douce et un joli sourire mutin. Elle me tutoie rapidement et me dit de l’appeler par son prénom, Caroline, et non « Madame ». Elle me propose de venir dans le salon et de s’installer autour de la table basse.
Elle est vêtue d’une jupe ample au-dessus du genou et d’un chemisier blanc, un peu transparent. Elle se met dans un fauteuil un peu haut et me propose de m’asseoir face à elle dans le canapé, bas et profond.
Pour commencer, elle me demande mon programme d’anglais de l’année et les choses sur lesquelles je bute le plus, comme le vocabulaire, les verbes irréguliers…
A ce moment, elle se rapproche, positionnée au bout de son siège, pour lire ses notes posées sur la table basse. Elle se penche et j’ai la douce vision de la naissance de ses seins volumineux engoncés dans un soutien-gorge en dentelle blanche, grâce à deux boutons de chemisier défaits. Je déglutis et j’ai une sensation de gêne.
Elle relève la tête et me propose de prendre en notes un texte dicté en anglais. Elle me tend un bloc papier, un stylo et me dit de m’installer confortablement pour écrire. Je m’enfonce dans le canapé, croise les jambes, prêt à jouer les sténos.
Je la regarde à nouveau et constate que mon champ de vision est des plus troublants. D’où je suis, je remarque que sa jupe est un peu remontée, ce qui me permet de voir la naissance de ses cuisses tout en contemplant son décolleté.
Elle débute la séance et m’oblige rapidement à me concentrer sur ma feuille de papier. J’écoute, j’écris ses mots barbares en m’appliquant à contrôler l’orthographe.
Après environ dix bonnes minutes, un silence.
Je relève le nez et quel bonheur… Elle m’offre une vision troublante. Ses jambes se sont un peu écartées ou sa jupe est remontée… Toujours est-il que j’ai la chance de voir un petit triangle blanc. Sa petite culotte en dentelle…
Après cette courte distraction, je la vois me fixer cordialement en me demandant de contrôler mon travail. Je m’exécute.
Autant vous dire, que le seul contrôle que j’ai fait, c’est de vérifier la couleur de sa culotte!
Je la regarde, par-dessus mon bloc de papier, balancer ses jambes, lentement, de gauche à droite, avec parfois un manque de coordination qui laisse place à un triangle un peu plus grand. Mon cœur palpite. Les jambes croisées me permettent de rester discret sur mon état d’excitation.
Sa voix me ramène à la réalité. Elle me demande de corriger mes fautes. Pour cela, je prends la même position qu’elle, assis au bout du canapé, mon bloc posé sur la table basse, un crayon rouge en main.
De cette façon, je vois d’encore plus près son entrejambe, à quelques centimètres de moi… J’ai la douce impression que son mouvement de jambes a permis de relever un peu plus sa jupe et une ouverture plus grande, qui me laisse deviner une toison brune sous ce petit slip de dentelle un peu transparent. Je n’ose pas la regarder, de peur qu’elle ne constate une bosse sans précédent dans mon jean.
A la fin de l’exercice, elle se lève et me propose une boisson. Je remarque ses yeux qui semblent pétiller et un léger rictus. Je la suis du regard, tous ses mouvements sont décomposés. Je suis dans un état second; je dois me contrôler car c’est l’amie de ma mère. Elle revient de la cuisine avec les verres d’orangeade et les pose délicatement entre nous. Elle se rassoit et me demande si tout va bien. J’acquiesce de la tête avec un large sourire.
Et c’est reparti jusqu’à 16h30, heure d’arrivée de sa fille de sept ans. Nous nous saluâmes par un bisou qui me semblait plus appuyé et plus long qu’à mon arrivée, et elle me dit :
Elle a un impondérable la semaine prochaine. Je repars très excité par ce spectacle de début de cours et commence sérieusement à prendre goût à la langue de Shakespeare.
***
J’ai repensé très souvent à cette scène lors de nombreux plaisirs solitaires, pendant les 15 jours suivants.
Mercredi en 15, jour de mon cours de soutien d’anglais. Je suis super excité. Je me douche, me parfume, mets mon plus beau caleçon et une chemise comme unique vêtement. Il fait très beau et très chaud aujourd’hui.
Il est 14h00, je prends mon bus en tenant compte de 15 minutes de trajet. Je ne veux pas être en retard.
14h20, je suis devant la porte de son immeuble. Elle m’a donné son digicode, qui me permet de pénétrer dans son immeuble.
Je prends l’ascenseur et monte au dernier étage. Il fait chaud. Je sonne à la porte. Quelques secondes après, je vois du jour dans l’œilleton, les verrous font du bruit, la porte s’ouvre.
Surprise… Elle est pieds nus, vêtue d’un peignoir, des lunettes de soleil sur ses cheveux bruns huilés et tirés en arrière.
Elle me fait remarquer que je suis en avance, pour un cours devant débuter à 15h00. Je lui rétorque que l’on avait convenu 14h30 lors de la dernière séance.
Elle me prend le bras, m’embrasse doucement et me dit que cela n’a aucune importance. Elle m’invite à entrer et s’excuse pour sa tenue, puisqu’elle prenait un bain de soleil sur sa terrasse. En effet, je remarque le nécessaire à la sieste bucolique et un soutien-gorge rouge, posé sur un tabouret.
Fait-elle du bronzage intégral ? Est-elle nue sous son peignoir ? Cette seule pensée suffit à me faire déglutir plusieurs fois de suite.
Je reviens à moi lorsqu’elle m’annonce, en anglais évidemment, le programme de cette séance. Elle m’invite à m’asseoir dans le salon et me présente un texte assez long en français à traduire en anglais à l’aide d’un dictionnaire. Elle me dit que je devrais en avoir pour une heure - c’est ce qu’elle donne à ses élèves en temps normal - et me demande si, pendant ce temps, cela ne me pose pas de problème qu’elle continue à parfaire son bronzage, puisqu’elle est déjà en tenue. Je la regarde et lui fais signe que non.
Je remarque alors sa totale décontraction et la luminosité de son visage… Je constate aussi un décolleté naissant mais sans barrière apparente de tissu. J’ai à peine le temps d’en profiter qu’elle me met face à mon exercice et retourne sur la terrasse. Elle me fait comprendre de lui faire signe à la fin de mon travail.
Le canapé est placé dos à la terrasse mais un miroir permet de regarder ce qui s’y passe. Je m’assois et vais me concentrer sur ma discipline préférée : le voyeurisme.
Je l’observe s’installer sur son transat et quitter son peignoir; elle est de dos et passe de l’huile sur les jambes et le devant de son corps. Son dossier relevé m’empêche de vérifier ma thèse sur son absence de culotte. Elle repose son flacon et furtivement, j’aperçois la forme généreuse de ses seins. Elle se met sur le dos et je ne vois plus que ses doigts de pieds. Une forte tentation me pousse à me lever pour en voir un peu plus, mais mon respect de son statut «d’amie de ma mère» m’en empêche.
Je regarde le texte de français et me lance à mon dur labeur.
Après un bon quart d’heure, je me rends compte que j’ai un peu de mal à avancer et à me concentrer; j’ai chaud et soif. Je jette un œil à ma douce prof et constate qu’elle n’a pas bougé. J’ai peur de la déranger…
Allez, je me lance : prenant mon meilleur accent d’Outre-Manche, je lui demande si je peux aller me servir un verre d’eau. Elle me répond qu’il n’y a aucun problème, me désigne le placard des verres et me fait savoir qu’elle aimerait bien aussi une orangeade. Je file dans la cuisine, sers les orangeades et me dirige vers la terrasse.
A ce moment, j’ai un instant d’hésitation, car je la vois uniquement vêtue d’un mini slip en dentelle rouge et de ses lunettes de soleil.
Je reste derrière la baie vitrée et, stoïque, contemple ce corps de femme qui m’est offert. Elle est belle. Son corps luit sous les rayons du soleil. Ses seins sont fermes, son ventre presque plat. Quel spectacle enchanteur !
Elle me tire de mes pensées en m’appelant et me demande si tout est OK. Je lui réponds et décide donc de me rapprocher d’elle. Je lui demande où je dois déposer son verre. Son doigt montre le tabouret sur lequel est posée l’autre partie de ses sous-vêtements.
Elle me demande si je ne suis pas embarrassé de la voir à demi-nue mais, ne me laissant pas le temps de lui répondre, elle me signale que c’est comme à la plage et que j’ai certainement eu l’occasion de voir ma mère ou certaines de ses amies faire du monokini.
Je balbutie un « Of course » et pose son orangeade à côté de son soutien-gorge en dentelle rouge (très sexy d’ailleurs). Elle en profite pour se retourner et me dit qu’elle a beaucoup de difficulté à se passer de l’huile dans le dos. Elle me tend son flacon, sans me demander si je peux…
Quel bonheur ! Cette femme au moins deux fois plus âgée que moi me demande de lui passer de l’huile à bronzer. Je la regarde et détaille entièrement son corps; elle est belle et son mini slip, qui est en fait un string, met bien en valeur ses fesses rebondies. Je la sens me surveiller du coin de l’œil; je prends le flacon, fais couler de l’huile sur sa colonne vertébrale. Je me positionne au-dessus d’elle, accroupi et commence mon massage.
Ce premier contact tactile me fait un effet fou. Je m’emploie à lui prodiguer un massage d’une sensualité dont je n’avais pas conscience. Je prends un plaisir immense à faire glisser ma paume, mes doigts sur son dos. D’abord le haut, les épaules puis le centre. Elle me fait comprendre de bien étaler sur l’ensemble du dos et les bras afin de ne pas exposer une partie de sa peau aux rayons du soleil sans protection.
Je passe délicatement sur l’arrière de ses bras puis sur les rebords de son dos, à la naissance de ses seins. Quelle douce sensation !
Je continue consciencieusement ma mission sur le bas de son dos, sur ses fossettes avant l’élastique rouge. Je sens sous mes doigts son bassin bouger très doucement.
Puis après de longs va-et-vient près de son string, elle me dit qu’ayant déjà la main huileuse, je pourrais continuer par ses jambes afin qu’elle soit totalement protégée des coups de soleil, dont elle a très peur. Elle me fait un mini argumentaire sur les vertus de la crème solaire et la dangerosité des UV.
Il ne m’en faut pas plus pour lui appliquer délicatement de l’huile, sur les mollets et sur les cuisses, tout en fixant ses jolis globes séparés par cette ficelle de dentelle rouge. Je masse longuement ses mollets fermes et sportifs, puis le creux de ses genoux, avant de m’attaquer à ses cuisses.
Afin de me faciliter l’accès à l’intérieur de ses cuisses, elle les écarte un peu. Tout en étalant l’huile sur ses cuisses, j’observe de près le renflement que fait son slip avec un sillon fortement dessiné et quelques poils bruns sortant de part et d’autre.
Je suis aux anges : j’approche enfin de près la beauté, la sensualité et la sexualité féminine. Je n’ose pas rapprocher mes doigts et reste à distance respectueuse. Caroline le sent et me fait comprendre qu’elle m’a demandé de lui passer de l’huile sur l’ensemble du corps. Tout le corps !!!
Comme un élève très appliqué, je me mets de l’huile dans les mains, les frotte délicatement, tel un commerçant qui voit en son client le pigeon du jour, et remonte de manière appuyée du haut des cuisses au bas des fesses. Je constate que cela a pour effet d’écarter un peu ses fesses et de voir apparaître un petit morceau de chair recouvert de poils bruns surmonté d’une auréole d’une couleur plus foncée. Mes mains tremblent et continuent, toujours aussi consciencieuses.
J’apercevais enfin les prémices du sexe féminin; quelle révélation!!!
Je prenais un plaisir sans nom à masser cette paire de fesses qui m’était proposée mais sentais aussi que je n’étais pas le seul.
Après que j’ai étalé l’huile au point de ne plus voir la moindre brillance sur cette partie du corps, Caroline me remercia simplement et me dit de retourner à mes devoirs. J’obéis, toujours aussi discipliné.
J’eus beaucoup de difficultés à me concentrer le reste du temps mais ma prof fut très compréhensive et fit preuve d’une extrême générosité dans sa correction.
A la fin de mon cours, Caroline me raccompagna à la porte toujours vêtue de son peignoir, me prit le bras et m’embrassa très langoureusement sur la joue. Elle me dit :
En sortant, je ne savais plus qui j’étais, où j’allais ni comment m’y rendre. Bref, j’étais dans un autre monde. J’étais bien mais aussi déçu. Peut-être de n’avoir pas osé pousser un peu plus cette séance pour débuter mon éducation sexuelle.
Toujours est-il que je me dis que j’aurai plus de courage la prochaine fois, amie de ma mère ou pas. Sauf que dans les semaines qui suivirent, jamais une telle occasion ne s’est représentée.
Dommage pour moi… Non, c’était tout de même des moments magiques et d’une rare sensualité. Un rêve pour moi… et depuis, je me suis un peu rattrapé !