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Temps de lecture estimé : 7 mn
01/04/05
Résumé:  Un jeune étudiant surprend ses meilleurs amis. Il est invité à particper à leurs ébats.
Critères:  fhh jeunes voir fellation cunnilingu préservati pénétratio double sandwich fsodo ecriv_f
Auteur : Titecanaye      Envoi mini-message
La résidence étudiante


Comment ça je suis un pervers voyeur??

Non pas du tout !! C’était un malheureux concours de circonstances.

Ils n’avaient qu’à fermer la porte après tout.

Bon okay, dans les résidences d’étudiants, les portes sont rarement fermées à clé et on rentre chez tout le monde sans frapper ou presque. Mais si je fais comme ça depuis des mois, j’aurais jamais pensé que je les surprendrais…


Thomas et Lucie sont des amis depuis le primaire. On a suivi chacun nos spécialités mais dans les mêmes établissements.

Lucie, une petite brunette d’1m60 aux yeux noisettes, toute en sourires, les cheveux long jusqu’aux reins étudie l’économie.

Thomas, sportif depuis toujours, 1m85 de muscles, châtain, les yeux lagunes, fait frémir toutes les étudiantes de la section biologie de l’université.

Et moi, Antoine, la troisième roue du carrosse, l’intello binoclard, je ne fais fantasmer aucune étudiante en anglais, ou alors elles sont trop timides pour me l’avouer.


Cette fameuse journée de janvier, nous devions nous retrouver tous les trois, comme tous les samedis après-midi pour réviser nos cours et se motiver pour les partiels. Ma sacoche dans une main, j’ai franchi leur couloir, je suis arrivé devant leur porte, le bruit des autres chambres masquant trop les sons que j’aurais dû entendre en provenance de la leur !!!

Comme d’habitude, j’avais frappé deux fois et j’étais entré en pensant (heureusement) à refermer la porte. Sauf que d’habitude, au pire, je les surprenais en train de s’embrasser. Mais là, j’arrivais à un moment crucial, Lucie et Thomas ne m’avaient même pas entendu… Lucie, à califourchon sur Thomas, les mains en appui sur son torse, se démenait sur sa queue, ses seins ballottant… Depuis le temps, ça devait arriver. On en avait même parlé en rigolant, je l’avais espérer secrètement… J’étais devant mon plus vieux et plus excitant fantasme : observer un couple en plein acte. J’étais aux premières loges.


Thomas prenait les seins de sa copine en bouche, les suçait avidement et elle, elle hurlait son plaisir. Je comprends pourquoi les voisins de couloir avaient mis la musique si fort. Purée, que c’était excitant! Ma queue commençait à gonfler, j’étais toujours là, surpris, au milieu de la pièce, les matant sur leur canapé-lit.


Thomas, m’ayant remarqué, me fis signe de rester, petit clin d’œil entre amis. J’avais donc décidé de me mettre à l’aise. J’avais abandonné ma sacoche dans un coin, pris une chaise et m’étais installé. Ma braguette ouverte, j’avais commencé un plaisir, solitaire sans l’être… Mes mains allaient et venaient le long de ma queue, tout en regardant Lucie qui se trémoussait sur Thomas. Elle ne m’avait toujours pas remarqué. J’étais prêt à jouir quand enfin elle me vit.



Comment refuser ?? Lucie, attrapant un coussin du canapé, était venue se placer à genoux entre mes cuisses. Moi j’étais excité et gêné à la fois et Thomas, lui, était amusé, la queue encore fière et dressée. Lucie, autant habile de ses mains que de sa langue, suçait ma bite en feu tout en me caressant les bourses. J’essayai de baisser mon pantalon, elle m’aida. Je sentais sa salive, abondante, mêlée au jus de mon excitation qui coulait le long de ma queue. J’avais tant rêvé de cette bouche, que je prenais mal conscience que c’était enfin la réalité.



L’après-midi prenait un tournant exceptionnel. Placée à quatre pattes, Lucie offrait son cul à son copain, juste sous mon nez, tout en me prodiguant des caresses du bout de la langue, cherchant parfois à passer ses doigts experts vers mon anus.

Thomas, sûr de lui, me souriait. Il enfila sa queue dans le sexe trempé de sa belle en l’accompagnant d’un râle d’extase. Il posait ses mains sur les fesses de Lucie et attirait le cul de sa belle contre son bassin, dans des mouvements d’abord doux et amoureux, puis un peu plus vite et profond. Chaque coup de rein qu’il lui donnait, faisait geindre Lucie. Je sentais, à sa façon de lécher ma queue, le plaisir qu’elle ressentait. Thomas, enhardi par la scène et me faisant signe, humidifia son pouce avec sa salive et le planta doucement dans la raie de Lucie. Surprise, elle cambra les reins, manqua me mordre, puis se calma. Thomas, faisait onduler son pouce et son pieu dans un mouvement coordonné et qui poussa Lucie à m’enfoncer encore plus au fond de sa gorge avec frénésie. Elle me pompait avec une telle énergie que j’allais décharger en elle :



Et elle me reprit en bouche, d’une façon décidée. De son côté Thomas n’en menait pas large non plus. Puis, se relevant, Lucie nous balança :



J’aurais donné beaucoup pour voir ma tête !! Assis, hagard, la queue raide sortant de mon jean’s, j’étais invité par mes deux amis à me mettre nu devant eux, et à participer à leurs ébats sexuels. Thomas, plus rapide à la détente que moi, me prit la main, me mit debout et commença à m’effeuiller, retirant même mes lunettes. Lucie s’était allongée devant nous sur le canapé-lit et se caressait le clitoris sans aucune gêne. D’un signe, Thomas m’invita à le rejoindre sur le clic-clac.


Il accompagnait Lucie sur ses caresses intimes en y glissant aussi ses doigts et sa langue… et me faisait signe de son autre main de venir. Plutôt timide et réservé, je commençai par caresser les seins de Lucie. Elle se cambrait tant sous les coups de langue de Thomas, que par les délicieux électrochocs qui lui procuraient ma bouche. De ses mains, elle malaxait ses seins, pinçait ses tétons, les faisant ressortir et m’offrant plus de facilité à en mordiller le bout. Puis elle appuya sur la tête, laissa mes lèvres en contact avec sa peau, j’embrassai sa poitrine, son ventre, ses hanches en prenant soin de ne pas trop m’approcher d’une zone que je considérais comme défendue. Mais Lucie m’y poussait, elle voulait connaître le plaisir de sentir ma langue sur son clitoris, sentir mes doigts frôler les lèvres de son sexe et entrer doucement en elle. Invité comme jamais je ne l’avais été, je me décidai donc à lui prodiguer de divines caresses. Du bout de langue, je passais avec tendresse sur son clitoris, aspirant doucement la tendre chair, rencontrant parfois la langue de Thomas qui s’activait lui aussi à faire prendre son pied à Lucie. Celle-ci, d’ailleurs, mouillait abondamment, je la goûtai avec avidité, me laissant prendre au jeu, et ne laissant plus aucune place à Thomas, qui du coup choisi de se délecter des seins libres et envieux de caresses de sa copine.


Ma langue faisait (apparemment) des merveilles. Bien que peu expérimenté en matière de cunni, j’avais appris les bases et elles comblaient ma partenaire. Par moment, je laissais glisser un doigt ou deux dans son sexe humide, je l’entendais crier de continuer à la lécher, encore plus fort, encore plus profond. C’était grisant. Le nez dans la toison, la langue perdue de son antre et la bite tendue à en souffrir, j’étais assez fier de moi. Je ne pouvais plus continuer comme ça, je me plaçai, non plus allongé, mais à quatre pattes et profitai d’une main libre pour me soulager ma queue en rut.



Abandonnant nos caresses, Thomas ouvrit la tablette qui leur servait de chevet et en sortit une boîte de capotes. Il m’en tendit une, mais Lucie lui fit signe que c’était à lui de me l’enfiler. On m’aurait dit ce qui allait se passer le matin même, je ne l’aurais jamais cru, bien que très complices, je ne me serais jamais imaginé mon meilleur ami me plaçant un préservatif et m’autoriser à pénétrer sa copine… Et pourtant. Lucie me demanda de me mettre sur le dos, j’obéis sans difficulté. Elle vint se placer sur moi, s’empala sur toute la longueur de mon sexe (comment ça prétentieux ?!!) et commença les mêmes ondulations que celles que je l’avais vue faire quelques minutes ou heures auparavant, à califourchon sur Thomas.


Ce dernier plutôt que de nous mater, comme je l’aurais fais, sortit un tube de lubrifiant du chevet, il en plaça quelques gouttes ou bout de ses doigts et caressa doucement l’anus de Lucie… Au fond, je pense que c’était leur fantasme à eux, j’étais juste arrivé au bon moment au bon endroit. De l’intérieur, je sentais déjà les doigts de Thomas, j’eus peu de mal à imaginer ce que nous ressentirions tous les trois ensemble. Une fois préparé, le cul de Lucie devait être un pur délice. Je vis le visage de Thomas par derrière l’épaule de Lucie. L’endroit devait être chaud et étroit pour procurer un délice pareil. Doucement, je sentis de l’intérieur la queue de Thomas qui progressait dans l’autre conduit … et Lucie qui gémissait de plus belle, c’était puissant et fort. Nous coulissions tous les deux en harmonie dans le ventre de Lucie qui jouissait sans retenue. Thomas râlait de plaisir et semblait proche de l’orgasme. Il continuait ses va-et-vient tantôt avec force tantôt avec douceur, j’essayais de suivre la cadence pour la pauvre Lucie, qui semblait prête à jouir encore une fois, quand Thomas lâcha enfin un grognement de plaisir laissant comprendre que la capote était pleine. Il se retira et Lucie et lui roulèrent sur le côté .


Je me sentais un peu seul, j’avais perdu un peu mes moyens devant la scène trop nouvelle à mon goût … Lucie se rendit compte de ma détresse et, après m’avoir retiré le préservatif, me suça. Je berçai sa tête pour accentuer les mouvements au fond de sa gorge, j’allai jouir, jouir en elle, dans sa bouche, me déverser en longs jets de liquide tiède. Et c’est ce que je fis. Elle prit tout comme une récompense de ce que je venais de faire pour eux et avala discrètement, un clin d’œil coquin pour me signaler que tout était ok.


«Et voilà, papa, maman, voilà pourquoi j’ai raté mes partiels de février, mais promis, promis, je me rattraperais pour ceux de mai et juin!»


Non, décidément non, je devais me trouver une autre excuse !!