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Femme âgée

Cette histoire remonte à plus d’une vingtaine d’années. J’avais 25 ans environ. Mon patron m’avait envoyé dans la campagne, dépanner un lave vaisselle encastré dans une cuisine équipée.

Comme tout appareil encastré, c’est toujours un problème pour le dépannage et surtout la remise en place.

Pour réaliser cette opération, je m’étais allongé sur le sol de la cuisine pour remplacer la pièce défectueuse.

Ma cliente était une femme d’un certain age, 70/75 ans environ, forte, mais j’avais été frappé par son joli et doux visage et son contact jovial et agréable.

Plusieurs fois, elle butta contre contre mes pieds alors que j’étais allongé.

Voulant comprendre les raisons de ces bousculades, je changeais de position et quelle ne fut pas ma surprise : ma cliente installée à son fourneau jouxtant la machine à laver que je réparais avait une jambe de chaque côté des miennes.

Me déplaçant encore un peu, je découvris ses jambes, puis ses cuisses et enfin ses fesses que rien ne recouvrait.

Plusieurs fois, je me déplaçais pour à nouveau regarder sous sa blouse et je finis par me dire que cette posture n’était peut être pas tout à fait accidentelle, mais va-t-on savoir, il faut être prudent avec les clients !

Je repris ma place sous l’appareil en disant à cette brave femme que je risquais de la blesser si elle restait trop prés. Elle me répondit :"si vous me blessez, vous me soignerez " !

Plusieurs fois, elle butta contre mes jambes, puis, je ne l’entendis plus se déplacer.

Je continuais donc mon travail et ayant terminé, je sorti sur le dos du dessous de la machine.

Quel spectacle ! Ma cliente était assise sur une chaise, face à la machine à laver et j’avais les yeux sur ses cuisses dévoilées par la blouse, légèrement ouvertes.

"Que pensez-vous du spectacle jeune homme ? Est- ce un bon pourboire ?"

Je dois avouer que j’ai du avoir un instant le feux aux joues.

Je suis maman, mamie et arrière grand mère, mais veuve depuis bientôt 20 ans et je n’ai pas voulu manquer cette occasion de savoir si j’étais encore désirable. Apparemment, à voir votre pantalon, mon petit cinéma vous fait de l’effet !

En effet, une érection incontrôlée mais bien réelle déformait mon pantalon.

Le vêtement habillant cette femme était une robe blouse boutonnée sur le devant.

M’approchant à genoux, je défis les boutons un à un en partant du bas, découvrant un bas- ventre immense et un sexe peu velu et grisonnant, elle avait un soutien-gorge brodé qui cachait deux seins très jolis pour l’âge de la dame, avec des gros tétons comme des pouces.

Je commençais à caresser ses seins, à les sucer pendant un long moment, puis, à caresser l’intérieur de ses cuisses qu’elle écarta légèrement. Je me déplaçais pour me trouver dans la fourche de ses jambes et descendis vers son sexe et commençais un long cunnilingus. Le bas-ventre de la dame commença à s’animer au bout d’un long moment et venait à la rencontre de ma langue, mes doigts s’aventurèrent vers son anus, mais elle me tira le bras, je revins donc vers son sexe que je pénétrais de plusieurs doigts et elle finit par avoir un orgasme.

L’heure tournait. Mon client suivant devait commencer à s’impatienter ou était sur le point d’appeler la « boîte » (quelle aubaine, à cette époque, il n’y avait pas les portables !), je lui demandais de me rendre la pareille, mais elle refusa, m’indiquant qu’elle n’avait jamais fait cela de sa vie.

Je fus obligé de prendre congé après avoir fait ma facture. Mais rendez- vous fut pris pour le soir.

Fortement excité sur le chemin vers le domicile du client suivant, je fus obligé de m’arrêter me soulager car cela m’avait fortement excité et mon sexe en érection, comprimé, me faisait mal à mourir.

Le soir, à l’heure convenu, je me rendis chez ma petite mamie et repris sur le canapé mon ouvrage où je l’avais interrompu. Au bout d’un long moment de ce nouveau cunnilingus sur le canapé, elle m’entraîna vers sa chambre où elle s’allongea sur le dos, ses fortes cuisses grandes ouvertes. Je la pénétrais avec vigueur (vous pensez, depuis le matin, cela gambergeait dans ma tête et mon pantalon !) et elle atteignit un bruyant orgasme, je la suivis dans la foulée.

Nous restâmes un moment allongés côte à côte, la laissant récupérer (elle n’avait plus 20 ans).

Je lui demandais de me faire une fellation mais elle refusa, juste me caresser de la main.

Je la caressais moi aussi et sentant à nouveau les mouvements de son bas ventre, je la fis se mettre à genoux et la pris en levrette. Son orgasme fut long à venir mais puissant, ce qui déclencha le mien.

Il n’y a pas d’âge pour atteindre le plaisir !!!!

Nous discutâmes un long moment sur sa vie passée, elle me fit part de la frustration sexuelle qu’elle avait connue sa vie durant, son défunt mari ne semblant pas particulièrement passionné par le sexe et me dit elle un amant à la campagne !!

Son éducation qui n’était pas aussi libérale lorsqu’elle avait 20 ans (vers 1935) faisait qu’il «était difficile de la débrider sur le plan des pratiques moins conventionnelles

Je pris congé en lui promettant de revenir la voir.

Ce que je fis trois ou quatre fois, mais je n’ai jamais pu l’emmener à la fellation ou la sodomie et un jour, je trouvais la maison fermée.

Prétextant un réglage à finir, je demandais à la maison suivante les raisons de l’absence et la voisine m’indiqua qu’Irène avait fait une chute dans les escaliers et qu’elle se trouvait dans un établissement médicalisé.

Je lui ai rendu visite plusieurs fois mais son état de santé s’était fortement dégradé.

Je suis repassé plusieurs fois la voir et on m’a indiqué qu’elle avait quitté l’établissement.

Lors de passages dans le secteur, je me suis arrêté plusieurs fois en vain, jusqu’à que je trouve sur le volet un panneau « à vendre » !!………………….

Cela n’a jamais été une relation d’amour, mais je suis content de lui avoir fait connaître le vrai plaisir à son âge.