n° 08801 | Fiche technique | 12584 caractères | 12584Temps de lecture estimé : 9 mn | 04/04/05 |
Résumé: Une femme me fait glisser à travers elle dans mes fantasmes. Si bien que je ne suis plus si je suis elle, lui ou moi... | ||||
Critères: fhh hbi couple fellation anulingus fsodo hsodo init | ||||
Auteur : Voie du Soir (Jeune homme vivant à Paris) |
La conversation avait commencé comme ça. "Je peux vous offrir à boire". "Avec plaisir". J’étais seul dans un café. Elle et lui étaient entrés quelques temps après. Je lui avais passé le tabouret. Sans arrière- pensée aucune. Juste par politesse. Elle m’avait souri, m’avait remercié. Sans le vouloir j’ai regardé ses jambes, sa jupe un peu courte laissant voir ses jambes. Elle était vraiment belle. Trop. Trop pour que je ne la regarde pas. Trop pour qu’elle ne sache pas que je la regarde. Trop pour que lui ne puisse pas imaginer que je la regarde. C’est aussi simple que ça. Et on commence à discuter. De rien, de tout. De tout ce qu’on peut se dire." Vous venez souvent ici ?" "Non. " Mais, vraiment, je les considère comme un couple. Je la regarde c’est vrai, mais jamais je n’oserai la moindre allusion, le moindre geste déplacé. Bien au contraire. Je vous le dis, je les considère comme un couple pour toujours. Mais c’est elle qui commence. C’est elle qui a le droit de commencer, ouvertement. C’est elle qui est de plus en plus proche de moi, c’est elle qui parfois me frôle d’un peu trop près, me regarde un peu trop longuement. C’est elle qui propose un verre, chez eux. Prétextant je sais pas quoi. Qu’ici c’est trop enfumé. Et puis ils n’habitent pas loin. Lui est enthousiaste. Vraiment, ils n’habitent pas loin. Je dis d’accord. Elle est vraiment belle. Ses jambes surtout.
Une fois dans leur salon, après un deuxième whisky, elle se plaint d’une douleur légère dans le dos. Elle a mal dormi cette nuit, une courbature rien de plus. Lui la conseille d’aller voir un ostéopathe dès demain. Elle se lève, s’étire, se cambre, puis demande à son mari de lui passer un peu de crème apaisante. Il refuse. Il déteste les crèmes, c’est gras. Alors elle me demande de la masser parce que son mari déteste. Juste elle me demande un service, rien de plus, si je peux la masser, un peu. Il est là, ne dit rien. Ne dit rien, consent. Elle insiste, me le demande comme un service, je ne peux refuser. Et commence du plus loin de ma main, à la masser. Elle aime. Elle aime trop. Je suis là, un peu de côté, je la masse dans le haut du dos, elle se cambre, et commence à gémir, m’indique où diriger mes doigts. Mais c’est des gémissements, que l’on peut croire naturels, venant du massage, d’une courbature calmée, d’un muscle qui se relâche. Je la masse. Lui est là, il sert des verres, m’en propose un, me dit qu’il n’aime pas trop ça, masser. À cause que c’est gras. Elle se cambre de plus en plus .Je continue le massage. Elle me donne des indications. Me dit plus bas. Ma main descend, un peu. Je la regarde, la désire, regarde sa cambrure, ses hanches, son cul de plus en plus tendu. Je descend, caresse les reins, un peu gêné. Lui ne dit rien, consent, me donne mon verre, met de la musique. Puis elle me demande de descendre plus bas. Je suis déjà aux reins. Ma main glisse sous sa robe, pudiquement, caresse son derrière. Elle ne retient plus ses soupirs qui deviennent de plus en plus sensuels. Elle me demande de continuer, d’une voix chaude. Je sens son slip, ma main l’effleure, rien de plus. Je remonte un peu, mais elle me dit, non, un peu plus bas. Mes doigts glissent sur le bord de son slip, n’osant guère plus. Mais elle me dit d’aller plus bas. Timidement, un premier doigt glisse dessous. Mon coeur bat très fort. S’arrête presque. Lui continue de boire, tranquille, sans rien dire. C’est ici, juste un peu plus bas, me dit-elle. Lentement, ma main glisse dans la raie de ses fesses. Chaudes, ouvertes, elle me laisse faire, me demande même de continuer. Mon sexe se tend. Peu à peu je descend, descend plus bas, caresse son cul, puis sens dans un geste un peu long son sexe humide, brûlant. Elle insiste pour que je continue. Ses gémissements deviennent de plus en plus significatifs, ma main glisse maintenant complètement entre ses fesses. Je sens parfois son petit trou. Je m’y attarde, pour voir. Elle aime. Lui nous regarde, en buvant un verre. Il ne dit rien. Il semble même attendre. Je n’ose trop le regarder. Il baisse la lumière. Ma main va plus loin. Son sexe est brûlant, humide, disponible, ses lèvres ouvertes, mes doigts vont de plus en plus en loin. Ses gémissements ne laissent plus sous-entendre son désir, son bonheur. Je continue. La pénètre peu à peu. Je sens son vagin, mon pouce s’attarde sur son petit trou, mon index la pénètre, puis remonte sur son anus pour l’humecter. Elle aime, elle se cambre de plus en plus. J’ai envie de la prendre, de la pénétrer. Comme ça, par derrière. Ma main est humide. Je la regarde de profil, lèvres ouvertes, les yeux mi-clos, elle jouit et le montre. Je suis là, ne sais pas ce que je peux faire, ce que je peux dire ou ne pas dire. Juste, je sens son corps, son sexe, je regarde son profil, ses lèvres ouvertes, entend ses gémissements. Je la caresse, la pénètre doucement de mon majeur remontant un peu de sa mouille sur son anus… D’un coup, elle se redresse. Son corps m’échappe. Peut-être je dois partir maintenant. Peut-être. Ma main est encore humide. J’ai envie de lécher, de goûter. Elle se redresse, se retourne un peu vers moi, me remercie, me dit qu’elle va mieux, et dit qu’elle va prendre une douche bien chaude.
Lui est là. Semble ne rien avoir remarqué. Soudain intimidé, je cherche une excuse pour partir. Il continue notre conversation, l’air de rien. Tout en cherchant un disque. De la salle de bains, elle appelle. Demande qu’on vienne l’aider. Il me demande, si ça ne me dérange pas, d’y aller.
Dans la salle de bains, elle est en train de se déshabiller. Ses seins sont magnifiques. Assez gros, mais saillants. Elle est belle. Belle de désirs. Elle va sous la douche, l’eau ruisselle sur son corps, elle passe le jet partout puis me regarde, me dit de venir. Je me déshabille, la rejoint, bandant comme un fou, prêt à la prendre, là. C’est elle qui tient le jet, elle me lave, sa main glisse sur mon corps, me branle un peu, me fait passer le jet partout. Puis elle s’en va, s’essuie rapidement avec une serviette éponge et passe dans la pièce d’à coté. Le jet a un peu calmé mon ardeur, comme on dit. Mais les entrailles me brûlent. Je pousse la porte par où elle vient de passer, laissant derrière elle un parfum. C’est la chambre. La lumière est tamisée. Elle m’attend debout, elle vient de mettre un peu de musique, une musique douce, lointaine, exotique. Une voix suave. Son mari est là. Il est assis. Il est nu. C’est la première fois que je vois un homme nu. Sans pouvoir m’en empêcher, mes yeux se posent sur son sexe. Il est en érection, il me semble très gros. Je ne sais quoi dire, alors c’est elle qui m’invite à m’allonger sur le lit. Sur lequel elle vient me rejoindre, plaçant son sexe au-dessus de ma bouche, puis sa langue glisse sur mon sexe, plusieurs fois avant que je sente sa bouche me prendre en entier et qu’elle commence à me sucer. Très lentement, très voluptueusement. Tandis que son sexe est là, tout prêt. Parfois, il se pose sur moi, il est salé, brûlant, humide. Je ferme les yeux, pour me retenir. Parfois je sens son sexe effleurer ma bouche, parfois il se pose vraiment sur moi, alors je peux faire glisser ma langue entre ses lèvres, parfois même je peux remonter jusqu’à son anus que ma langue pénètre un peu. Je ferme les yeux pour ne pas exploser dans sa bouche. Jamais une femme ne m’a sucé comme ça. Puis je l’entends jouir. En ouvrant les yeux, je vois un sexe qui la pénètre. Je le vois là, tout prêt, à quelques centimètres de moi. Un sexe d’homme dans un sexe de femme. Elle jouit puis se reprend et me suce avec plus d’ardeur. Lui la pénètre lentement. Je ne peux m’empêcher de regarder ce sexe énorme aller et venir en elle. Sortir, pénétrer, sortir, pénétrer. Tandis qu’elle me suce suivant exactement le même rythme. Il la pénètre et elle m’avale tout entier, il ressort, sa bouche remonte jusqu’au gland. Ça me procure un sentiment confus. Le sentiment de la pénétrer et, suite à un jeu de miroir étrange, de voir mon sexe la pénétrer.
Soudain, il s’interrompt et son sexe sort complèment. Son sexe abandonne sa chatte et sa bouche délaisse mon sexe. Puis elle se tourne. Et vient s’empaler sur moi tandis qu’il enfonce son sexe dans sa bouche et ses lèvres le sucent. Elle suce magnifiquement bien. Elle aussi ferme les yeux, s’attarde sur le gland, remonte sa chatte et joue avec mon gland, puis elle prend tout le sexe et s’empale sur moi. Pénètre, avale, remonte, revient. Je regarde ça, à quelques centimètres de moi tandis que je la sens aller et venir sur moi. Ne sachant plus, confusément, si elle me suce, si je la pénètre. Puis voilà qu’elle m’embrasse. Je sens de sa bouche le goût du sexe qu’elle vient de sucer. Etrangement, tout se confond d’avantage, j’ai le goût du sexe d’un homme sur les lèvres. Puis elle revient sur le sexe et m’embrasse à nouveau et encore et encore. Comme si, finalement je suçais ce sexe par ses lèvres à elle. Puis peu à peu, elle rapproche le sexe de l’homme de mes lèvres et je commence à goûter, légèrement, presque sans le vouloir, nos deux bouches ensemble, ne sachant plus si je l’embrasse tandis qu’elle suce un homme ou si nous suçons un homme et que parfois nos lèvres se touchent. Ses lèvres, le gland, le gland, ses lèvres, tout ça n’est plus qu’une même chose et le sexe rentre en moi, par la bouche, je sais ce qu’elle ressent, je ferme les yeux et suce, voluptueusement, lentement, suivant exactement le rythme qu’elle m’ordonne en s’empalant sur mon sexe. Tout ça n’est plus qu’une même chose. Etre pénétré et pénétrer. Je suce un sexe, un homme, une bite. Je suce et y prend du plaisir. Je le branle de mes mains, c’est dur. Puis elle se retourne encore. Je le suce et elle me suce. Mais ses mains caressent mon anus. Sa langue y vient. Jamais je n’ai rêvé qu’un jour une femme me fasse ça. L’homme retire son sexe de ma bouche et le pose sur l’anus de sa femme et tandis qu’un doigt pénètre, l’homme commence à la pénétrer à la prendre. Et tandis que deux doigts me pénètrent, le sexe de l’homme pénètre l’anus. Ensemble nous jouissons. Ses doigts vont loin, et encore une fois suivent exactement le rythme de l’homme. Ce que je vois, ce que je sens ne sont qu’une même sensation. Puis après quelque temps, elle se retourne de nouveau. Elle s’attarde toujours de l’autre coté. Puis elle se redresse, s’agenouille. Elle se donne entièrement. Je ne vois plus dans la lumière que ce corps offert. Que ce cul ouvert entièrement. J’approche mon sexe, pose mon gland sur son anus, et pousse ; et ça rentre. Je la sodomise. Pénètre ses entrailles. Je la sens toute entière. Ma main se pose, comme pour m’assurer qu’il s’agit bien de son cul. Elle n’est plus que jouissance. Je vais loin. Très loin, lentement. Elle se courbe encore plus, n’est plus qu’un cul que je domine, que je pénètre… et c’est à ce moment que je sens le sexe de l’homme s’accoler sur mon anus, deux mains qui m’écartent les fesses, et d’un coup brusque un pieu qui me pénètre… je la prend, il me prend. Mais rapidement, elle se détache, se retire, me laisse seul concentré sur ce sentiment, cette sensation nouvelle, brûlante, étrange : être pénétré. Je m’incline, me donne entièrement, comme elle l’a fait pour moi. Je n’ai plus aucune réserve, et, étrangement, trouve mon plaisir dans cet abandon, dans le fait de me livrer, de me soumettre tout entier, et me laisser prendre, pénétrer, sodomiser pour la première fois. Jouir du cul. Sentir ce qu’elle a ressenti, ce que toutes les femmes ressentent lorsqu’un homme les prend, les pénètre. À son rythme. Il va-et-vient, infiniment. Je m’abandonne à lui, je m’abandonne entièrement, ne veux plus être qu’un corps que l’on prend, que l’on traverse, que l’on possède. Elle est là, nous regarde. Puis elle se couche vers moi, me donne son cul. Je la lèche, la respire. Derrière, le sexe continu d’aller et venir. Je suis devenu femme. Mais tout à l’heure, ensemble, nous la ferons jouir à en éblouir son enfance.
Voie du soir