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n° 08824Fiche technique14431 caractères14431
Temps de lecture estimé : 9 mn
09/04/05
Résumé:  Rencontre entre une assistante et son manager.
Critères:  fh collègues intermast fellation cunnilingu
Auteur : Balou  (Epicurien)            Envoi mini-message
Nathalie


Dans mon activité au quotidien, je suis amené à recruter des collaboratrices et collaborateurs pour la bonne marche de mon service.

Je me rappellerai toujours de ce petit bout de femme que j’ai accueilli un jour d’octobre pour un premier entretien. Nathalie était son prénom.

Sa petite taille, comparée à ma forte stature, m’a immédiatement interpellée et j’ai pensé au fond de moi : "Bon sang, quel petit gabarit!". Cette jeune maman n’est pas, à proprement parler, un canon de beauté, mais j’ai tout de même été frappé par sa grâce et sa petite bouche en coeur, ainsi que par sa chevelure brune coupée au carré.

Cet entretien de recrutement s’est déroulé comme tous les entretiens classiques où je décortique les candidates de manière professionnelle, puisqu’il s’agissait là pour moi de recruter une nouvelle secrétaire. La journée a donc vu passer un défilé de jeunes femmes plus ou moins aptes à occuper le poste proposé.


Le soir, en conduisant ma voiture vers mon domicile, mon esprit n’a cessé de penser à la petite jeune femme brune rencontrée dans la journée. Je revoyais son regard, ses yeux noisettes, cette bouche attirante, ses petites mains fines et manucurées. Je me suis promis de l’appeler le lendemain matin car à force d’être tourmenté ainsi ma décision était prise : ce serait elle ma nouvelle secrétaire.


Allongé dans mon lit de célibataire, je n’ai cessé de penser à mes entretiens jusque tard dans la nuit. Ensuite le sommeil m’a gagné et je me suis endormi dans les bras de Morphée.


Le lendemain matin j’étais frais comme un gardon. Je dégageai un dynamisme hors du commun. Je suis arrivé à mon bureau. J’ai salué mon équipe.

Je ne cessais de scruter ma montre en m’interdisant d’appeler Nathalie trop tôt. Je relisais son CV et mes notes pour passer le temps. Impatient d’entendre à mon oreille sa petite voix de poupée, je me remémorais notre discussion.


Dix heures tapantes : je me jetai sur le téléphone et appelai ma candidate préférée. Immédiatement elle décrocha, surprise par mon appel si rapide. Sa voix m’envoûta instantanément mais je repris le contrôle de moi-même pour lui annoncer qu’elle était retenue.


Ainsi débuta une collaboration très fructueuse…


Nathalie s’intégra vite dans mon service. Sa bonne humeur, son sourire, sa serviabilité, son professionnalisme, ont vite conquis les plus irréductibles de mon groupe. J’étais ravi de ma nouvelle assistante. Nous devisions souvent lorsqu’elle venait fumer une cigarette dans mon bureau. Sa région de Normandie lui semblait bien lointaine. Mon écoute attentive et nos conversations l’aidaient à se sentir bien.

Au fil des jours, nos échanges devinrent progressivement plus intimes, elle me parlait de ses deux enfants, de son mari militaire souvent absent, de son manque d’ami. En fait je devenais, sans m’en rendre compte, son confident.


Il n’est pas chose aisée pour un manager d’associer trop d’affectif dans son métier. Avec Nathalie, j’essayais de faire la part des choses. En fait, notre relation était purement amicale et notre entente très cordiale. Mais je ne me privais nullement de la recadrer en cas de manquement à sa mission de secrétaire mais peut-être en prenant davantage de tact qu’avec un autre collaborateur.

Je dois reconnaître que son charme ne me laissait pas indifférent, mais je n’éprouvais aucun désir pour elle. J’entretenais une liaison torride avec une femme qui accaparait l’ensemble de mon énergie tant physique que sexuelle, donc Nathalie n’entrait aucunement dans mes plans drague de célibataire de l’époque.


Un jour, lors d’un repas pris en commun avec mon équipe, je me suis retrouvé assis en face d’elle. Je remarquai qu’elle me jetait des oeillades appuyées, lorsque je tournais la tête vers la personne qui m’interpellait. Nathalie était heureuse, je voyais la brune prunelle de ses yeux scintiller de mille feux. Le repas fut on ne peut plus arrosé et, tout naturellement, nous décidâmes de terminer la soirée en boîte.


Je n’ai jamais aimé me trémousser sur une piste de danse, de ce fait j’ai vite accaparé le bar avec mon groupe d’irréductibles piliers.

La nuit passant, les filles dansaient de plus belle. Certains de mes compagnons de boisson les rejoignirent pour guincher avec elles, moi je restais stoïquement fixé au comptoir.

Soudain je sentis une petite tape sur mon épaule. Je me retournai et découvris Nathalie en chemisier blanc et tailleur noir impeccable, qui me proposa de danser avec elle un slow.

Je me suis retrouvé un peu gauche face à elle, sur la piste de danse, mais mon statut m’a obligé à relever ce défi. Je remarquai le regard goguenard des membres de mon équipe et je leur jetai un regard noir. Nathalie m’entraîna gentiment à sa façon. Elle me guida lentement dans les mouvements lascifs tout en conservant une retenue très sobre. Nous avons parlé, tout en faisant honneur à la musique des slows qui défilait inlassablement. J’avais hâte que cette satanée série se termine enfin.

Cependant je sentais Nathalie vibrer dans mes bras, Je respirais son doux parfum de vanille. Le frottement de nos deux corps éveillait en moi de tendres pensées mais nullement érotiques. Je profitais simplement de l’instant présent.


La soirée se termina par des tournées au bar et nous nous quittâmes tous ce samedi matin pour retrouver nos foyers respectifs.

Je rentrai chez moi et m’écroulai dans mon lit telle une masse.


Le lundi matin, comme chaque début de semaine, nous avons préparé avec Nathalie le planning de la semaine. Cette journée fut pour moi harassante car j’avais un travail monstre à abattre, je n’étais pas souvent présent à mon bureau.

En fin de journée, Nathalie m’a demandé un entretien individuel. J’ai tout de suite remarqué une petite gène de sa part. Elle m’a regardé droit dans les yeux et m’a demandé si je pouvais venir à son domicile le soir même car elle souhaitait m’entretenir d’une chose importante. J’ai bien essayé d’en savoir plus mais elle n’a pipé mot. J’ai accepté sa requête et promis de venir vers 20 heures.


Je me suis posé des questions, en me disant que Nathalie est une femme mariée, mère de famille de surcroît. Je pensais qu’elle avait des soucis financiers et que le fait d’en parler avec elle au sein de son foyer pouvait l’aider dans sa démarche.


Arrivé à l’heure prévue, je me suis retrouvé assis dans le canapé de son salon. Légèrement surpris de découvrir une maison calme, sans enfants ni mari. Nous avons pris un verre ensemble, fumé quelques cigarettes. Je voyais mon assistante nerveuse et ne sachant pas comment aborder le sujet.

Voyant sa gène empirer à chaque minute je lui dis en la regardant dans les yeux qu’elle pouvait se livrer à moi si elle souhaitait me parler de sujets personnels concernant son ménage ou sa famille.

Elle a saisi la perche que je lui tendais pour m’avouer qu’elle ne cessait de penser à moi depuis la dernière soirée, en m’avouant que son mari était en déplacement pour la semaine, que ses enfants étaient chez leurs grands-parents et qu’elle avait envie de ma présence. Elle m’a également avoué que sa relation professionnelle avec moi lui apportait beaucoup de plaisirs, qu’elle appréciait mon management, que j’étais quelqu’un de bien. Bref elle s’est livrée à moi. Je n’ai rien dit de longues minutes, je l’ai laissée parler. Ensuite Nathalie m’a pris la main et m’avoua qu’elle avait par-dessus tout aimé notre slow, qu’elle ressentait une attirance pour moi.

Jamais aucune femme, encore moins une collaboratrice, ne m’avait à ce point troublé. Je me suis rapproché d’elle et, doucement, je l’ai prise dans mes bras…


D’abord timides, nos bouches se trouvèrent vite soudées. Nathalie me serra fort dans ses petits bras. De baisers chastes au début, nous avons laissé nos langues faire connaissance. Un baiser tendre et passionné à la fois nous entraîna de longues minutes vers un continent d’irréalité. Je savourais l’instant présent car nous ne prononcions aucune parole, notre respiration rythmait simplement cet échange sensuel.

Je sentais mon assistante s’abandonner progressivement. Elle portait un jean, ainsi qu’un polo crème, rien de sexy à proprement parler. Je laissais mes lèvres parcourir son cou, ses oreilles, ses cheveux bruns et soyeux. Elle se laissait faire en gémissant d’aise.

Toujours sur le canapé, Nathalie jeta par-dessus ses épaules son polo et me laissa admirer sa petite poitrine que je devinai à travers son soutien-gorge à carreaux rouges et blancs. Elle ôta son jean et je pus admirer également ses cuisses fuselées, son petit ventre rond. Elle se lova contre moi. Je me penchai sur elle et commençai à embrasser la douce peau de son ventre. Ma langue partit à la découverte de ce corps trop souvent délaissé. Nathalie, ensuite, écarta les cuisses, mais elle ne souhaita pas que j’ôte immédiatement sa culotte, par pudeur certainement.

Elle continua à me caresser les cheveux pendant que mes lèvres embrassaient son mont de Vénus à travers le fin coton de sa culotte. Mes mains ne restaient pas inactives. Je caressais la douce peau de ses cuisses, mes doigts couraient sur son ventre. Ma bouche remonta vers la sienne et nous échangeâmes un long et passionné baiser.


Après cette mise en bouche - c’est le cas de le dire - mon excitation était à son comble, je me sentais à l’étroit dans mon pantalon. Mon assistante remarqua mon état et elle caressa, de ses petites mains de porcelaine, ma hampe, à travers le tissu de mon jean.


La nuit était tombée depuis belle lurette. Nous continuâmes ce flirt poussé pendant encore de longues minutes. Nathalie m’avoua peu après qu’elle commençait à être gagnée par les remords, n’ayant encore jamais commis le péché d’adultère. De ce fait, nous stoppâmes nos ébats pour deviser de ce sujet.

Je lui fis comprendre que je respectais et comprenais ses interrogations, cela dura jusqu’au milieu de la nuit.

Elle me redit à plusieurs reprises qu’elle ressentait une profonde attirance pour moi, j’étais à ses yeux un galant homme respectueux de la gent féminine.

A force de lui prouver mes nobles intentions, Nathalie sans que je m’y attende me prit la main dans la sienne et me guida vers sa chambre et le lit conjugal.


Soudain elle se retourna vers moi et, de ses deux mains, elle s’agrippa à mon cou et me glissa dans le creux de l’oreille :



A cet instant j’étais heureux, heureux de pouvoir la rendre heureuse. Mais elle me précisa qu’elle ne pourrait pas faire l’amour, par égard pour son mari.

Nous nous déshabillâmes chacun de notre coté. Nus tous les deux, allongés sur les draps nous laissâmes nos regards découvrir nos corps. Ensuite je pris l’initiative de prendre au creux de mes mains ses petits seins ronds en forme de pommes, que je caressai et embrassai. Nathalie jeta sa tête en arrière et s’abandonna pour la nuit à mes mains et à ma bouche.


Adorant les caresses buccales, je me retrouvai entre ses cuisses et titillai avec ma langue son doux sexe d’amour. Les parfums marins excitèrent mes sens, ma langue goûta au nectar et s’enfonça progressivement en elle. Nathalie caressa ma chevelure tout le temps que je lui prodiguais cette caresse. Elle jouit plusieurs fois sous ma bouche. Je caressais également son bourgeon tout en insérant un, puis deux doigts en elle, doigts qui allaient et venaient comme un doux piston.


Je ne tenais nullement compte de moi, mon érection, certes, était visible, mais je dis à Nathalie que cette nuit était "sa nuit "avant toute chose. Mon plaisir attendrait, mais le bonheur que je donnais à ce petit bout de femme suffisait largement à ma félicité.


Au petit matin cependant ma petite poupée me demanda de la couvrir et de venir sur elle mais sans la pénétrer. Je m’exécutai de bonne grâce. Elle prit ma verge entre ses mains et me dit tendrement :



Quel délice, les mains de Nathalie ! Je me regardais coulisser délicieusement, ses doigts fins et blancs aux ongles longs enserraient ma hampe gonflée de sève pour elle. Nathalie prit mes bourses dans la paume de ses mains, cet attouchement décupla encore ma vigueur. Je me laissai aller à gémir, mon corps se tendit, je sentis bouillonner au creux de mes reins la puissance du plaisir.

Ne pouvant plus me retenir je lâchai :



Elle se redressa immédiatement, plongea vers mon bas-ventre et sa bouche s’ouvrit. Le spectacle de ses lèvres offertes se rapprochant de mon gland enclencha de ma part un "OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII", que je criai à tue-tête.

Ensuite, ses lèvres se fermèrent sur ma verge et je compris que sa divine succion allait engendrer un plaisir inouï si longtemps retenu. Une bouche en coeur qui voulait me donner du bonheur.

Je tremblais, je transpirais, ma respiration s’accélérait, mon coeur battait la chamade telle un solo de batterie. Un éblouissement. Je fus foudroyé par un orgasme hors du commun, je hurlai le prénom de mon assistante de longues minutes pendant que je me déversai dans sa petite bouche. Je vis ses lèvres distendue par le diamètre de ma hampe, mais Nathalie ne lâcha pas prise, ni ne hoqueta lorsque la sève en fusion inonda sa gorge. Moi je continuais à être submergé par les vagues du plaisir et à gémir encore et encore.

Ce plaisir violent et long à la fois me transforma. Je découvris que j’étais en train d’être subjugué par cette petite brune ronde.