n° 08825 | Fiche technique | 7592 caractères | 7592Temps de lecture estimé : 5 mn | 09/04/05 |
Résumé: Une blondinette aux yeux marron qui aime s'amuser, c'est assez pour vous? Pour Marcus oui. | ||||
Critères: fh couple inconnu hotel facial cunnilingu fsodo | ||||
Auteur : Elvea Envoi mini-message |
Je pénétrai dans l’ascenseur derrière une fille blonde, bien en chair et assez petite, le mètre soixante tout au plus. Elle avait les cheveux sur les épaules, blonds très clairs. Des yeux marron foncé surplombés de grands cils noirs recourbés. Elle portait un jean serré bleu clair qui moulait ses cuisses assez rondelettes, le jean s’évasait sur des bottines noires. Elle avait un débardeur blanc sans manches, le tissu s’arrêtant à la hauteur des épaules, ses bras potelés comme ses cuisses étaient tout simplement attirants. Je m’imaginais déjà mordillant la chair dorée brûlée par le soleil de l’été, légèrement luisante de sueur.
L’ascenseur s’éleva lentement ; la blondinette restait appuyée à la glace qui était au fond de la cabine. Elle regardait le sol, tenant son petit sac serré contre ses cuisses. Soudain elle me jeta un regard furtif. Je sentais déjà le désir me tendre au fond de mon short noir en tissu fin. La bosse que risquait de former mon sexe dans les secondes suivantes se verrait si jamais je n’arrivais pas à me raisonner. La blondinette quitta la cabine devant moi au 38ème étage de l’hôtel. Je la suivis dans le couloir pour gagner ma chambre au numéro 3823, la blondinette stoppa au 3816 quelques portes avant la mienne. Alors qu’elle allait refermer la porte elle appela : « Hé ? » J’ignorai d’abord le petit son qu’elle émit, évidemment pas à mon intention. Pourtant elle recommença : « Hé » Je me retournai, elle me fit signe avec son index de m’approcher. Elle murmura lorsque je fus près d’elle : « J’ai vu que vous me regardiez dans l’ascenseur, je suis seule pour une heure si vous voulez entrer ? »
Je ne me fis pas prier et pénétrai à sa suite dans la chambre qui dominait la ville. La fenêtre était ouverte, il faisait une chaleur étouffante dans la pièce. Elle posa son sac et reprit : « Je suis ouverte à tout, tous vos plans même les plus foireux, mais je n’ai qu’une heure alors autant commencer tout de suite, je m’appelle Karine Yellow. » M’approchant d’elle, remarquant son visage luisant de sueur je me présentai : « Marcus Syraky ». Sans me laisser le temps de continuer elle agrippa ma chemise bleue qui pendait par-dessus mon short et m’attira à elle ; elle fut assez près de mon visage pour que je sente l’odeur de sa bouche, une odeur de pomme, une odeur très intime, pas franchement fraîche, mais assez douce pour que naisse une pointe d’excitation en moi. Elle murmura : « Je sais que t’as envie de me tirer mais j’aimerais m’amuser un peu avant » Elle accrocha ses doigts dans la boucle de sa minuscule ceinture et arracha la lanière de cuir, son jean chuta de quelques millimètres. Elle glissa ses mains derrière la ligne de boutons et les pressions dorées cédèrent dans un chuintement. Elle portait une culotte blanche avec une bordure en dentelle. Un petit animal rouge était brodé le côté droit. Elle agrippa ma main et la glissa entre son ventre et le tissu. Elle était tiède, douce et légèrement humide. Elle posa ses mains de chaque côté de ma chemise et déchira l’ensemble des boutons.
Ses yeux marrons restaient fixés sur les miens. Elle caressa mon torse de haut en bas, du bout des ongles. Enfin je m’approchai et posai mes lèvres sur les siennes, elle entama un baiser royal glissant sa langue jusqu’au fond de ma gorge, nos lèvres s’accrochaient, nos salives se mélangeaient. La parfaite inconnue bataillait du bout de la langue avec mes dents, nos lèvres luirent bientôt d’un mélange de nos salives, dans un bruit de succion elle avalait littéralement ma bouche. La bosse sous mon short devenait une montagne, elle colla sa cuisse gauche contre mon bas-ventre et commença à monter et descendre, comprimant mon sexe. Ma main dans sa culotte découvrit un univers humide lorsqu’elle s’aventura un peu plus bas. Elle enleva son débardeur et j’eus la surprise de découvrir ses seins bronzés mais lourds. Elle ne portait pas de sous-vêtements. Ses tétons étaient dressés dans leurs aréoles brunâtres. Elle finit d’enlever son jean, culotte comprise. Son sexe n’était pas rasé, parsemé de poils noirs drus. Elle se retourna, me laissant voir ses fesses grassouillettes. Des grains de beauté parsemaient sa peau. Elle se jeta à plat ventre sur le lit défait et me dit : « Viens sur moi j’aime m’amuser comme ça. »
Je m’allongeai à califourchon sur elle, elle me présentait son adorable petit trou, je ne pouvais pas résister. Ma verge turgescente bordée de veines bleutées palpitait dans son écrin de poils noirs. Du liquide brillait au bout du gland. Je posai mes mains sur ses épaules touchant sa peau avec délice du bout des doigts. Soudain je posai mon prince entre ses fesses à la recherche de l’entrée. Je trouvai le petit trou récalcitrant et m’enfonçait prestement. Il résista et elle poussa un cri rauque. « Encore, recommence, déchire-moi le cul! » Un mot si violent dans la bouche de cette petit femme me fit un effet fou, je retentai une entrée fracassante, cette fois le liquide de mon gland lubrifia l’entrée et j’entrai jusqu’à la moitié, elle s’agrippa aux draps défaits et me dit « Vas-y! »
J’entrai complètement avec un peu de résistance mais elle se tut. J’entamai un long va-et-vient sans qu’elle ne dise mot ; la sueur perlait sur son dos et à la racine de ses cheveux, il faisait une chaleur étouffante, et la blondinette aux cheveux en bataille en voulait de plus belle. Ne pouvant retenir mon orgasme plus longtemps je sortis de l’étroite petite cachette luisante pour prolonger le jeu. Elle se retourna et me fit face. J’eus envie de tout lâcher sur son ventre mais je fis un effort pour l’embrasser encore. J’avais envie de la posséder, de la goûter, de la manger. Je lui fis un bisou y mettant le plus de salive possible. Elle en fit de même maculant mon menton de sa salive sucrée. J’entamai la descente vers ses cuisses léchant ses seins, suçant les tétons à m’en gaver.
Elle gémissait doucement, sur le même ton. Enfin ses cuisses. Sa fente luisante. J’y glissai la langue d’un coup sec elle avait un goût âcre, acidulé, la sueur et la chaleur de l’été dans ce pays torride n’y étaient pas pour rien. Je trouvai son clitoris, durci et palpitant. Entamant un balai appuyé puis relâché je fus poussé contre sa fente par ses mains. Elle cessa les gémissements pour des petits jappements. Son corps se tendait et se relâchait au rythme de mes caresses linguales. Soudain un cri plus aigu sortit de sa gorge, elle me repoussa violemment, empoignant ma verge en même temps. Entamant un masturbation violente et virulente, à une vitesse phénoménale. Sa main glissait sur mon prince luisant de ma petite liqueur et des restes de la visite anale.
La blondinette gardait les yeux fermés, agitée de petits sursauts. Je me délivrai d’elle et montai vers son visage, elle ouvrit les yeux au moment où j’explosai dans une fantastique gerbe de sperme. Les petits jets atterrirent sur le front et la paupière droite de la blondinette qui fut surprise de mon attaque, elle pesta : « Pas trop dans les yeux! » Trop tard. Un petit paquet blanc maculait ses cheveux et la peau de son visage. Elle m’avait donné le plus puissant orgasme de ma vie, cette parfaite inconnue…
ELVEA