n° 08831 | Fiche technique | 22720 caractères | 22720Temps de lecture estimé : 14 mn | 10/04/05 |
Résumé: La célebre cathédrale parisienne n'a pas inspiré que Luc Plamandon et Garou... | ||||
Critères: fh amour volupté voir exhib noculotte fellation pénétratio | ||||
Auteur : L'ours Tiber |
Une sortie de métro à Paris… Comme à son habitude, mon coeur m’y attend. Me voyant émerger des profondeurs de la terre, telle une taupe sur un escalier roulant, son visage s’illumine. Je m’approche d’elle et la prend par la taille pour la serrer contre moi. L’hiver est rude en région parisienne, je décide donc de coller mes lèvres sur les siennes pour qu’elles ne prennent pas froid. Il est 14h00, nous n’avons pas encore décidé du programme des réjouissances de la journée, nous restons donc un long moment collés l’un à l’autre afin de mieux y réfléchir.
Sacrifions au rituel des présentations. Je me prénomme Julien. À l’époque de cette histoire j’avais 25 ans. Taille moyenne, poids moyen, largeur moyenne, je plaisais moyennement aux femmes. Mais pour l’intérêt de ce récit il nous importe uniquement que je plaise à ma belle.
Ma belle justement, alors âgée de 23 ans, s’appelle Louise. Tout le charme de ce prénom n’est rien comparé au sien. Ma préférence est toujours allée aux femmes qui font passer leurs cheveux derrière les oreilles. C’est sans doute du fétichisme et je l’assume, mais les oreilles féminines me séduisent particulièrement. Les cheveux bruns mi-longs de Louise tombent délicatement sur ses épaules, mais l’incorruptible Judge Dredd lui-même lui pardonnerait ce petit écart.
C’est une brune made in Normandie comme disait l’ami Stone. Son doux visage est illuminé de deux grands yeux invariablement tristes. La nature masculine étant ce qu’elle est, cette tristesse sonne comme un appel à la consolation, et lui donne un charme irrésistible.
Sans talons Louise mesure approximativement 1,75 m, avec des talons elle est un peu plus grande que moi. Cela ne me dérange pas, mais je la sais troublée car en amante attentive elle prend soin de mon ego. Aujourd’hui justement elle porte d’adorables bottes noires à talons avec une jolie jupe suffisamment longue pour être élégante et suffisamment courte pour laisser voir que ses jambes, bien que n’appartenant pas à une sportive accomplie, doivent faire baver la plupart des hétérosexuels croisant leur trajectoire. Je peux deviner au hâle de ses jambes que mon amante porte ce qui, la connaissant, ne peut être que des bas.
Cette délicieuse vision me laisse espérer que la jupe de Louise cache un porte-jarretelles. Je décide donc de profiter de notre étreinte pour le vérifier, laissant mes mains se balader gentiment mais consciencieusement sur ses hanches. La belle a décidé de me faire plaisir, après quelques secondes de recherche je trouve avec émotion les fameuses petites attaches du bonheur.
Quelque peu dérangés par le passage des gens sortant du métro, nous décidons de lever le camp. Le périple qui s’en suit est de courte durée et mène notre caravane dans un fast-food Mc Gloonald où nous nous arrêtons boire un chocolat chaud avec 3 doses de sucre, pas moins parce que c’est comme ça et pas autrement… Louise est assise avec moi à sa gauche et un mur à sa droite, ainsi aucune chance qu’elle ne s’échappe. La porte du Mc Gloonald est cassée, et malgré les instructions laissées par le personnel à l’usage des plus simples d’esprit, personne ne semble vouloir la refermer. Mon amour me dit sur un ton enfantin : « J’ai froid. »
Tel un chevalier servant je ne tarde pas à me lever pour aller fermer la porte fautive. Lorsque je reviens m’asseoir, Louise me regarde avec un air interrogateur.
Aussitôt je lui demande en regardant autour de moi « Ben qu’est-ce qu’y a ? » Aucune réponse…
Après quelques longues secondes, une petite ampoule vient s’allumer au-dessus de ma tête. Louise ne m’a pas demandé d’aller fermer la porte. Pour ne pas avoir l’air du dernier des benêts je prends un air dégagé comme si jamais je ne m’étais levé et je m’approche d’elle posant une main sur sa hanche et laissant l’autre s’égarer innocemment sur son genou. Tout travail méritant salaire, elle colle sa bouche contre la mienne et m’embrasse doucement pour me récompenser dignement. Acceptant mon dû comme il se doit, je laisse par moments ma langue caresser celle de Louise. La main posée sur son genou commence à remonter lentement sur sa cuisse. Celle précédemment posée sur sa hanche ne reste pas inactive non plus et commence à mon insu à remonter sous le pull de la belle. Elle s’arrête quelques instants sur son ventre. Décidé à ne pas contrarier les projets de cette main particulièrement dégourdie je la remonte jusqu’à la poitrine de Louise. Cela me donne l’occasion de reconnaître grâce à la texture du soutien-gorge la parure que porte ma jolie brunette. Elle a pensé à mettre l’ensemble que je préfère. Emu par cette tendre découverte je caresse son sein à travers le soutien-gorge avec plus d’insistance. L’autre main probablement jalouse continue ses caresses en passant entre les jambes de ma douce amoureuse. Elle remonte de plus en plus, cherchant sans doute à se rapprocher de la chaleur. Louise m’encourage en faisant de même sur ma jambe et en laissant sa langue prendre ses aises dans ma bouche. La main vagabonde dépasse la lisière du bas et arrive sur la peau de Louise, d’une douceur improbable. Cette sensation aussi agréable qu’elle puisse être, me fait réaliser que j’ai mis Louise dans une situation pour le moins indécente dans ce lieu très public, sa jupe étant remontée si haut que chacun peut admirer la bordure de ses bas et les attaches de son porte-jarretelles.
Brutal retour sur terre… Je remets avec application la jupe de ma moitié en place. Mon application quasi scolaire dans le réajustement de la pièce de tissu et la gêne qui se lit sur mon visage provoque un rire presque attendri chez Louise qui me serre contre elle pour me montrer que ma faute était pardonnée. Tout de même inquiet, je jette un coup d’œil alentour pour m’assurer que nous n’avons pas troublé le repas à l’américaine d’une paisible famille française. Je suis rassuré en ne voyant face à nous que deux jeunes filles qui semblent occupées à discuter de sujets dont discutent les jeunes filles, ou du moins, feignent de l’être.
Ce petit intermède m’a permis de réfléchir à la suite des opérations.
Nous nous levons et je fais passer ma femme devant en bon gentleman pour sortir du fast-food, me gardant bien de lui dire que je fais cela pour admirer sa croupe qui ondule devant moi avec grâce. Les hanches de Louise sont larges et ses fesses d’une rondeur à la fois attendrissante et admirable. Si mes parents ne m’avaient pas donné l’éducation qu’ils m’ont donnée, je crois que je lui aurais mis une main au panier tel le premier camionneur venu.
Nous prenons le métro pour nous rendre à destination. La rame est quasi déserte. À cette heure les gens sont au travail. Grand bien leur fasse. Qui plus est, nous portons tous les deux de longs manteaux ce qui va nous permettre d’agrémenter agréablement ce court trajet. Louise, collée contre moi a posé sa main sur mon sexe et le caresse à travers mon pantalon. Ma réaction est à la fois rapide, simple et on ne peut plus claire, bref d’une efficacité toute allemande : une belle érection vient de se former sous mon pantalon et ma désirable chérie s’en rendant compte semble très fière d’elle.
« On dirait que je vous plais finalement bel inconnu », me dit-elle innocemment à l’oreille.
« Ho que oui » lui répondis-je avec la finesse d’un semi-remorque chargé de machines à laver de contrebande.
Joignant le geste à la parole je commence à caresser ses fesses à travers le tissu de sa jupe. De sa main libre elle saisit la mienne et la fait descendre sur sa jambe jusqu’à la limite de sa jupe. J’interprète ce geste comme une autorisation à être plus entreprenant. Je soulève donc lentement sa jupe oubliant totalement les gens présents dans la rame qui de toute façon ne peuvent rien voir grâce à nos manteaux. Tout au plus peuvent-ils imaginer ce que nous faisons. Si cela peut leur apporter un peu de joie, j’en suis fort aise. Mes mains caressent ses fesses, douces, tandis que nos langues reprennent leur ballet interrompu un peu plus tôt.
Il y a quelque chose d’inhabituel, je ne réalise pas immédiatement, mais quelque chose n’est pas à sa place. Avec ma lenteur habituelle, je finis par recoller les morceaux. Surprise… Bonne surprise ! J’extrais ma langue de sa bouche et la regarde dans les yeux.
« Ca te plait ?» me demande-t-elle avec un petit sourire.
Cela me plait c’est une évidence, elle le comprend immédiatement. Je réponds simplement « Oui » tout en continuant à caresser ses fesses, ni vu, ni connu.
Louise pour me faire une surprise a « oublié » de mettre une culotte, pas même le plus minimaliste des strings la sépare de moi.
Comprenez, j’avais prévu de faire du tourisme moi, sagement. Voir les beaux monuments de Paris, figurer sur quelques photos de Japonais en balade et s’asseoir gentiment au bord de la Seine (pas trop près hein) pour compter fleurette. Seulement voilà cette belle surprise pesait légèrement sur mon esprit et les mots venaient différemment: « Je t’aime, un peu, beaucoup, je te veux là tout de suite…». J’avais désespérément envie d’elle et à mon grand désespoir, le métro n’était pas l’endroit le plus propice à l’assouvissement de nos désirs mutuels.
Heureusement, nous arrivons à destination avant que je n’arrache frénétiquement tous ses vêtements. La visite de la célèbre cathédrale est agréable, les vitraux magnifiques, l’ambiance magique mais dieu que c’est long ! J’ai bien du mal à me concentrer sur tout cela, je ne cesse de regarder Louise. L’envie de lui faire l’amour ne m’a toujours pas quitté, l’attente devient de plus en plus difficile. Elle sait que je la regarde, j’en suis sûr, mais elle feint de s’intéresser au sacré plutôt qu’à mon envie profane. Fait-elle vraiment semblant ? Si c’est le cas, cette cruauté est intolérable !
« Et maintenant les toits de Notre Dame, la plus belle vue de Paris » annonce le guide d’un groupe de retraités américains que nous avions discrètement suivi pour profiter de ses lumières, lorsque je pensais encore pouvoir faire taire mon désir pour la tentatrice pendue à mon bras. Nous gagnions donc quelques étages d’énergie potentielle.
Sur le toit, j’analyse la situation et trouve rapidement le meilleur parti à en tirer. J’attrape Louise par la main et l’attire à l’opposé du groupe de cow-boys. J’ai repéré un endroit visiblement interdit au public mais protégé par un simple muret. J’enjambe bien vite le muret et aide galamment mon ange à faire de même. Elle ne dit rien, elle sait où je l’emmène, elle sait ce que je veux et je crois lire dans ses yeux des félicitations pour cette remarquable idée. « Merci, Merci… c’est beaucoup de travail, on ne naît pas brillant… » Pour être plus à l’aise pour passer par-dessus la symbolique barrière, Louise soulève sa jupe bien plus que nécessaire, me laissant entrevoir ses remarquables jambes. Elle sait que cela me plaît, elle en joue.
Nous sommes seuls au monde, au-dessus de Paris, j’ai la certitude que personne ne viendra nous déranger ici, sauf peut-être les anges, ces gros mateurs, mais j’accepte cette idée avec philosophie. D’autres dans la même situation se seraient penchés au-dessus du vide pour hurler « Je suis le roi du monde ». Je n’en fais rien. J’ai une bien meilleure idée en tête.
Sans crier gare (ni rien d’autre d’ailleurs) je plaque l’objet de mes désirs contre un mur qui avait la bonne idée de traîner par là. Nous reprenons le même manége que dans le métro… le public en moins. Prévenues de l’absence de la culotte de Louise mes mains rushent directement vers les fesses nues de la belle. Quand le chat n’est pas là les souris dansent, dit-on. Nos langues comme à leur habitude se sont trouvées et se taquinent comme le font tous les bons amis. Les mains de Louise, elles, ont trouvé un chemin jusqu’à l’intérieur de mon pantalon et me palpent avidement les fesses. Je décide de reprendre ma respiration une seconde pour lui expliquer le plan A, le plan B et le plan C.
Au moins personne ne pourra dire que les instructions n’étaient pas claires.
Rapidement nos deux manteaux sont à terre. Louise porte un joli pull rose dont l’encolure me semble bien ample. Effectivement je n’ai aucun mal à dénuder ses épaules et à faire apparaître son soutien-gorge. Tout en continuant à découvrir toute la géographie de son corps avec mes mains j’embrasse son décolleté. La douceur de sa peau me donne envie de mordre dans ses deux globes que le soutien-gorge repousse vers le haut, mais c’est de ma langue que je les caresse pour l’instant. Sur le relief d’abord, puis dans le creux qui les sépare et enfin sur l’aréole à laquelle je peine à accéder à cause du soutien-gorge. Louise pousse un petit soupir d’aise. Je la repousse un instant pour admirer ses seins tandis que je les extrais de leur carcan. Ils ne sont pas démesurés, mais d’une beauté qui m’inspire chaque fois un respect quasi religieux, avec leurs aréoles parfaites, que même la lune leur envierait. Je ne peux m’empêcher de porter à la bouche ces jolis fruits. Je presse doucement sur le sein pour ne pas que le mamelon ne se dérobe à mes caresses. Je le lèche tendrement jusqu’à ce qu’il durcisse. Il essaye de me montrer qu’il m’aime. Puis, je le mordille et l’aspire guettant la respiration de Louise qui s’accélère. J’aime goûter la peau si tendre de sa poitrine.
Je pourrais la caresser ainsi jusqu’à la nuit, mais elle se penche pour susurrer quelque chose à mon oreille.
Je lui fais ma plus belle moue désapprobatrice pour lui faire comprendre que la question ne se pose pas. Elle me répond par un petit sourire ironique. C’est tout elle ça, toujours à plaisanter même dans les moments les plus solennels. Je le lui fais remarquer :
Il est vrai que le petit goût de blasphème de la situation ne faisait qu’ajouter à mon excitation déjà palpable à cent mètres à la ronde.
Elle ne répond rien et commence à glisser le long de mon corps les mains posées sur mon torse. « Au revoir mademoiselle ».
Peu avant d’atteindre son but, elle soulève mon pull, dépose quelques baisers sur mon ventre et laisse jouer sa langue sur mon nombril. Ce traitement est divin, d’autant plus qu’une de ses mains s’est aventurée sous le tissu et joue habilement avec mes mamelons. C’est à mon tour de soupirer d’aise tant elle s’y prend avec doigté, elle sait comment me faire plaisir.
Elle s’arrête soudain, s’accroupit complètement et entreprend de défaire ma ceinture… lentement. Puis elle défait le bouton de mon pantalon sans se presser d’avantage. C’est une véritable torture et pourtant j’adore ça. Ma braguette est enfin descendue. Je ferme les yeux pour apprécier ce moment dans toute son intensité. Enfin elle fait descendre légèrement le caleçon libérant mon sexe dont l’horizontalité lui laisse entendre à quel point je la désire. D’une main, elle le saisit à sa base pour mieux en faire ce qu’elle veut. Sa langue joue habilement avec mes bourses puis remonte le long de mon pénis en empruntant le chemin tracé par la grosse veine bleue. Je suis littéralement en ébullition lorsque sa langue salue mon prépuce de quelques petits coups taquins. « Coucou… Non perdu je suis à gauche… Et non je n’y suis plus ». Sa langue est partout et nulle part à la fois, une telle agilité est simplement stupéfiante, et soudain, sans même me laisser une chance de comprendre son petit jeu, elle me prend dans sa bouche aussi loin qu’elle le peut. Quelle sensation… Je tends la main vers son visage pour la remercier de tant de plaisir.
C’est bien trop bon. Il me vient l’idée de regarder comment tout cela est possible, de découvrir cette technologie qu’on me cache et qui met dans un tel état. Elle est belle et excitante, toute dépoitraillée qu’elle est, avec sa jupe qui ne cache plus rien de ses jambes. Sa bouche s’active avec une lenteur calculée sur mon sexe pour m’apporter un maximum de plaisir. Sa position accroupie semble très inconfortable et cela me plaît. Je n’ai pas envie de l’aider, au contraire, je me saisis de ses mains et les ramène vers ma poitrine. Je devine plus que je ne vois mon sexe qui entre et sort de sa bouche, ses cheveux constituant un rideau tout symbolique. Je n’écarte pas ce rideau, le mystère fait partie du plaisir, on ne demande pas à David Copperfield comment il fait disparaître la tour Eiffel, on apprécie, c’est tout.
La caresse est bien trop douce, je sens le plaisir monter en moi, je suis sur le point de rendre les armes. Mais je ne le veux pas. Par égoïsme d’abord, je ne suis pas prêt à renoncer à faire durer un tel moment d’extase. Pour remercier Louise comme il se doit pour tout ce plaisir, ensuite. Je la saisis par les épaules pour l’inviter à remonter à ma hauteur. Je l’embrasse et caresse son sexe de ma main, faisant passer mon doigt le long de ses grandes lèvres, pour la prévenir de mes intentions. Pas d’objection… J’approche donc ma bouche du creux de son oreille pour lui dire : « Je veux venir en toi ». Elle ne répond pas. Qu’importe, qui ne dit mot consent.
Sans aucun ménagement, je lui fais faire volte-face. Elle appuie ses deux mains contre le mur et attend, résignée, c’est à moi de faire d’elle ce que je veux. Ce que je veux est d’une rare limpidité, il ne reste plus qu’à passer de la théorie à la pratique. Je veux jouer avec elle comme elle a joué avec moi… Mais plus longtemps, ego masculin oblige. Mes mains saisissent ses hanches, les tirent vers moi, puis descendent, lentement, jusque sur ses jambes pour mieux remonter, lentement, sans omettre d’accrocher la jupe au passage, dévoilant ainsi des fesses rondes, pleines et charnues que l’on voudrait croquer. Mais je m’abstiens, la gourmandise est un pêché, ne tentons pas le diable. Je prends mon temps pour contempler cet admirable fessier que la lumière de cette belle journée met en valeur comme il le mérite, la laissant se demander à quel jeu idiot je peux bien jouer dans son dos.
Sans changer d’allure, je pose mon sexe entre les deux globes. Nouveau soupir et léger mouvement de son bassin… Je reste un long moment ainsi, profitant de la vue et accompagnant ses ondulations, avant de caresser ses grandes lèvres avec mon gland toujours avec cette lenteur que je m’emploie à rendre insupportable. Vers le haut, vers le bas, encore vers le haut… Les soupirs se font plus fréquents, plus prononcés aussi. Je sens sa respiration s’accélérer encore. Vers le bas, vers le haut… Ce petit jeu ne durera plus très longtemps, j’ai déjà gagné, il ne lui reste plus qu’à le reconnaître, question de temps, je peux sentir l’humidité qui émane d’elle sur mon prépuce. Bonne joueuse elle finit par admettre sa défaite d’une voix tremblante.
On m’a toujours appris que « ce que femme veut, dieu le veut ». J’ai parfois des bouffées de piété…
Je cesse mon cruel petit jeu et présente mon sexe à l’entrée de sa chapelle d’amour. D’un mouvement de bassin j’entre en Louise de quelques pouces. Je vais et viens en elle, d’abord peu profondément, accompagné par l’ondulation de sa croupe. À chaque mouvement je m’enfonce d’avantage jusqu’à ce que ses fesses viennent caresser mon ventre, ou l’inverse je ne sais plus. Je m’arrête par moments, au plus profond d’elle, pour sentir la chaleur humide et la douceur de son vagin, inimitable sensation, à la fois absurdement locale et présente dans tout l’être. Puis je recommence mon va-et-vient, tantôt à un rythme de sénateur, tantôt frénétiquement. Mes mains vont dans le plus grand désordre des ses jambes à ses seins, de ses seins à son ventre…
Bientôt, le plaisir est trop intense. Je sens cette boule qui se déplace dans mon membre, trop rapide et trop lourde pour être arrêtée. La surprise est totale et il n’y a de toute façon plus rien d’autre à faire que de m’abandonner à mon plaisir, tant il est puissant. À plusieurs reprises j’explose dans son ventre, totalement absorbé par cette sensation et en même temps à demi inconscient.
Lorsque l’orgasme, fier du devoir accompli s’en est allé, je suis resté dans le corps de Louise encore un peu, affalé sur son dos, goûtant ce moment d’intimité. Puis nous nous sommes réajustés tant bien que mal et sommes repartis par le chemin par lequel nous étions arrivés.
Les enfants grisonnants de l’Oncle Sam et leur guide n’étaient plus là. Je ne pourrai jamais les remercier de m’avoir donné sans le savoir une si bonne idée. Ce haut lieu touristique qu’est Notre-Dame a depuis pris pour moi une valeur symbolique qu’il n’avait jamais eu.