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Temps de lecture estimé : 10 mn
11/04/05
Résumé:  Aline retrouve ses racines françaises...
Critères:  fh cousins taille poilu(e)s voir fmast
Auteur : Myavre

Série : La cousine canadienne

Chapitre 01 / 02
Buisson ardent

La seule chose que je savais sur ma cousine Aline, c’est qu’elle était très grande : tout le monde le disait dans la famille. Elle tenait, paraît-il, de sa mère qui dépassait le mètre quatre-vingts.


Mon oncle Francis et sa femme Maryse avaient divorcé dix ans auparavant. Par la suite, cette dernière avait refait sa vie. Elle s’était entichée d’un Canadien et était allée vivre là-bas avec lui, emmenant avec elle toute sa petite famille.

Francis avait fait le voyage trois ou quatre fois pour aller voir sa fille et son rejeton. Tandis qu’eux, de leur côté, n’étaient jamais revenus en France. Père et fille se connaissaient donc très peu.


Elle devait avoir vingt ans désormais et avait décidé de passer l’été en France pour retrouver ses racines et pour faire connaissance avec sa famille. Étant donné que nous vivions dans une petite fermette avec la grand-mère, qu’il y avait pas mal de place et un train presque direct pour rejoindre la capitale, la gare étant à quelques centaines de mètres seulement de la maison, il fut décidé qu’elle serait hébergée chez nous.


C’est ainsi que je fis connaissance avec cette grande gigue. Un mètre quatre-vingt-dix, vous vous rendez compte, elle me dépassait d’une bonne tête, sans même avoir besoin de mettre des talonnettes ! Mis à part cela, elle était plutôt quelconque. Un visage allongé et des traits assez grossiers, elle tenait manifestement de sa mère. En voyant les photos de cette dernière, je m’étais toujours demandé ce que mon oncle avait bien pu lui trouver. Sa fille en était le portrait craché, pas féminine pour deux sous qui plus est. Pas spécialement sympathique non plus, car plutôt coincée, froide et distante.


Tout ça pour dire que je ne m’en fis pas tout de suite une copine. D’ailleurs, j’avais d’autres chats à fouetter, des amis, des amies, une activité estivale très riche. Alors, cette grande asperge, je la laissais volontiers à ma famille.

Ma mère me le reprocha :



Mais, dans la pratique, je trouvais toujours un prétexte pour ne pas avoir à m’embarrasser de cette curieuse cousine.



Et puis il y eut ce soir où je dus rapporter les médicaments à ma grand-mère. Elle était coutumière du fait, elle les oubliait souvent. Je fis ce que je faisais d’habitude en pareil cas, je sautai par la fenêtre de ma chambre, le sachet de médicaments à la main, et contournai la bâtisse par le jardin pour aller toquer à sa fenêtre. C’était mille fois plus court et plus pratique. J’en profitai pour fumer une clope en cachette de mes parents.


Il faisait presque nuit. Machinalement, je tournai la tête et jetai un coup d’œil dans la chambre de ma cousine, attiré par la lumière qui émanait de sa fenêtre légèrement entrouverte.

Et là, je vis un spectacle à couper le souffle qui m’arrêta net dans mon élan : Elle était debout au fond de la pièce, entièrement nue et elle se triturait les tétons en se regardant dans le miroir. Impensable, stupéfiant !

J’y regardai à deux fois. Oui, c’est exactement ce qu’elle faisait : Elle se reluquait dans la glace en se pinçant les tétons avec ses doigts, et elle avait l’air d’y prendre un sacré plaisir.


Protégé par l’obscurité, je profitai honteusement de ce spectacle excitant et gratuit. Pourquoi n’avait-elle pas fermé les volets, cette pimbêche, pour être plus tranquille et faire ses cochonneries ? Elle ne savait peut-être pas qu’il y en avait. Pourtant, au Canada, ils devaient bien avoir des persiennes !

À sa décharge, c’est vrai que, de ce côté de la baraque, elle ne risquait pas grand-chose, il y avait des champs à perte de vue, elle avait peu de risque d’être épiée.


Je quittai à regrets ce spectacle incongru pour aller porter ses médocs à la vieille duduche. Je n’avais pas intérêt à traîner, sinon je risquais de me faire rappeler à l’ordre, elle n’était pas très patiente, la mamie !

Ma mission effectuée, je retournai directement vers la fenêtre de ma cousine. Elle était toujours là, toujours devant sa glace, toujours en train de se tripoter les nénés.


Je ne voyais pas très bien, car elle était de dos. J’en profitai juste pour détailler ses fesses. Pas trop mal foutues d’ailleurs, légèrement rebondies, peut-être un peu trop petites par rapport à son grand corps longiligne. Mais un beau petit cul quand même !

Je me mis à bander. J’y mettrais bien ma bite entre ses petites fesses. Cousine ou pas, après tout !

Parmi les petits secrets de famille, il y en avait certains qui disaient que ma tante était dans sa jeunesse une sacrée chaudasse, presque une dévergondée, et même que c’est ce qui avait plu dans un premier temps à mon oncle. Pour son plus grand malheur, elle avait tellement le feu au cul qu’elle l’avait cocufié à tire-larigo, d’où le divorce qui en avait résulté.

Comme on dit, selon l’adage, « telle mère, telle fille ». Et j’en avais d’ailleurs un petit aperçu, juste devant les yeux !


Je m’étais mis à bander sévère, mais je commençais à trouver le temps long. J’aurais aimé la voir de face.

Mes vœux furent bientôt exaucés. Elle se retourna en délaissant son sein gauche, son téton droit toujours roulé entre ses doigts. Ses seins étaient menus, perdus dans ce grand corps, mais les tétons semblaient assez gros et très sombres.

Mais ce n’est pas ce qui attira le plus mon attention. Tandis qu’elle s’approchait du lit, j’eus droit au spectacle divin d’une toison exubérante. Elle avait hérité ça du tonton, lui aussi était hyper poilu. Une grosse touffe châtain clair se déployait entre ses cuisses. Nulle trace de rasoir, nulle trace d’épilation. Juste une forêt luxuriante qui remontait presque jusqu’au nombril.


Elle se retourna à nouveau et s’assit sur le lit, me privant du spectacle envoûtant de sa toison touffue. Elle était toujours en train de se pincer les tétons. Elle y mettait de plus en plus d’ardeur. Pour elle, cela devait être un réel plaisir de se massacrer ainsi les tétins. J’en eus la preuve lorsqu’elle s’allongea finalement sur le lit. Elle prit les bouts et les étira, sauvagement, en se mordant les lèvres pour ne pas crier. Son plaisir était flagrant.


Comme je ne voyais plus très bien, je décidai d’approcher une caisse de la fenêtre. Je grimpai dessus et, du haut de mon perchoir, je pus contempler à loisir sa forêt amazonienne.

Elle aurait tourné la tête vers la fenêtre, elle aurait sûrement pu voir ma bobine se dessiner dans le chambranle. Mais elle avait pour le moment d’autres chats à fouetter, concentrée qu’elle était sur ses nichons.


Quelque temps plus tard, elle plongea sa main entre ses cuisses, écartant son buisson ardent pour s’enfoncer dans sa caverne juteuse. Son autre main n’avait pas lâché ses seins qu’elle continuait à massacrer et à étirer.

N’en pouvant plus, je sortis ma bite et entrepris de me branler en regardant Aline. Mon opinion concernant ma cousine avait radicalement changé, preuve en est la dureté de ma queue devant ce fabuleux spectacle, cette cochonne méritait vraiment que l’on y consacre plus de temps. Puisque ma mère le souhaitait… j’allais m’occuper d’elle.



Ô, putain, cette touffe ! Moi qui n’avais jamais été attiré par les poils, je trouvais sa chatte particulièrement divine. Je m’astiquais comme un fou alors qu’elle faisait de même. Ses deux mains désormais sur sa chatte, elle écartait ses chairs et branlait son clito. J’étais hyper excité mais, en même temps, j’avais envie d’attendre pour pouvoir jouir avec elle, en même temps qu’elle…


Vint ce moment fatidique où elle tourna la tête vers moi. Avais-je fait trop de bruit ou était-ce juste un hasard ? Cette fois-ci, j’étais certain qu’elle m’avait vu, ne serait-ce que l’espace d’une seconde…

Honteux d’être ainsi démasqué, j’ai sauté de mon perchoir et je me suis enfui comme un voleur.


Ensuite, j’ai regretté, je suis revenu lentement vers sa fenêtre et j’ai risqué un œil. Toujours allongée sur le lit, toujours les doigts entre les cuisses, elle s’astiquait comme une folle, j’entendais distinctement ses gémissements derrière la vitre, le spectacle était dantesque. Le fait de m’avoir entraperçu avait-il rajouté à son excitation ? Le fait est qu’elle était complètement partie et qu’elle s’astiquait comme une damnée.

Juste avant de jouir, elle a repris ses tétons entre ses doigts pour à nouveau les massacrer. Puis son visage s’est crispé, son corps semblait tétanisé. J’ai imaginé les spasmes de jouissance traversant tout son corps. Elle fermait les yeux, elle ouvrait la bouche, elle continuait de se frotter, la jouissance semblait sans fin et ce n’est que petit à petit que ses gestes se sont calmés. Pour ma part, je venais de jouir sans même me caresser. Je sentais mon slip tout empoissé.


Quelques minutes plus tard, elle s’est redressée, elle a ouvert le tiroir de la table de nuit et s’est allumé une clope. Son regard est un instant passé sur la fenêtre, mais il ne s’y est pas arrêté. Elle faisait tout pour l’éviter, c’est du moins l’impression que j’avais, comme si elle préférait ne rien savoir. J’étais pourtant certain que la première fois elle m’avait remarqué, qu’elle avait tout compris. Mais cela n’avait pas eu l’air de beaucoup la gêner de découvrir son cousin en train de la mater.


Allongée sur le lit, elle tirait taffes sur taffes et, de son autre main, elle continuait à masser sa poitrine.

Je savais que les seins d’une femme étaient à ne pas négliger, mais chez ma cousine, ça prenait un tout autre degré, une grande partie de son excitation venait de là, sa chatte, c’était juste pour se finir…

Elle a allumé une autre cigarette, puis elle s’est levée et elle est passée négligemment devant la fenêtre en dodelinant des fesses, comme si elle avait voulu m’exciter. Un petit arrêt devant le miroir pour se toucher à nouveau les seins.

Puis, écrasant le mégot dans le cendrier, elle a filé vers le cabinet de toilette : le spectacle était terminé.




Inutile de dire que le lendemain matin, je n’en menais pas large. Après m’être caressé toute la nuit et avoir fantasmé…

Debout de bonne heure, j’ai prétexté une sortie en forêt pour m’éclipser. J’avais des copains qui faisaient de la varappe. Non pas que j’étais spécialement fan de ce genre de truc, mais cela me donnait une bonne raison pour m’éloigner d’elle et pour ne pas la rencontrer.


Et le soir, je suis rentré fort tard. J’étais encore en boîte quand ma mère m’a téléphoné :



Quand ma mère m’appelait Hervé, c’est vraiment qu’elle était très en colère. Sinon, elle m’appelle d’un autre petit nom que ma fierté m’empêche de dévoiler.

Tout ça pour dire que j’avais vraiment le dos au mur et que j’allais être obligé d’accepter un compromis… J’avais pourtant vraiment du mal dans ma tête à assumer ce rôle de sale petit voyeur que je venais de jouer.

Je suis revenu tard dans la nuit. Je suis quand même passé par derrière, histoire de jeter un œil chez Aline. Les volets étaient toujours ouverts, mais les lumières étaient éteintes. Je suis remonté un instant sur mon perchoir, j’ai entraperçu une forme dans le lit. Manifestement, elle dormait. Du coup, je suis allé me coucher. Mais le simple fait qu’elle n’avait encore une fois pas jugé bon de fermer ses volets n’était-il pas un signe. En tout cas, je le pris comme tel.




Le lendemain matin, quand je me suis réveillé, Aline était levée. Nous nous sommes fait la bise, mais elle n’a fait aucun commentaire et rien ne trahissait dans son attitude la simple évocation de notre expérience passée. Peut-être préférait-elle d’ailleurs l’oublier !

Ma mère m’a choppé dans la cuisine, alors que je faisais réchauffer le café :



Dans la grande salle, Aline discutait avec ma grand-mère, qui était aussi la sienne par voie de conséquence. Sacrément patiente Aline ! Beaucoup plus que moi, la vieille était d’un chiant, sourde comme un pot en plus.

Les deux femmes m’ignoraient tandis que je dévorais mes tartines.


Prenant mon courage à deux mains :



Elle releva la tête, le visage passablement radieux :



Nous avons essayé, en comparant avec d’autres godasses. À vue de nez, ça devait faire à peu près du 41, la cousine avait plutôt de grands pieds. Normal, vu sa taille.

J’ai téléphoné à Mika, je me doutais bien qu’il devait avoir des groles avec la taille requise. Et puis, je l’ai briefé sur le fait que ma cousine allait nous accompagner. Il n’a pas sauté de joie. Il n’aimait pas trop s’entourer de boulets. Même moi je ne faisais pas trop l’affaire. Lui, c’était un spécialiste…



À suivre…